- Société générale pour favoriser le développement du commerce et de l'industrie en France
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Société générale
Pour l’article homonyme, voir Société générale de Belgique.
Logo de la Société généraleCréation 4 mai 1864 Dates clés 29 juillet 1987 : privatisation Personnages clés Paulin Talabot Forme juridique Société anonyme Action Euronext : GLE Slogan(s) « « On est là pour vous aider[1] », « Si on en parlait ? », « Conjuguons nos talents » » Siège social 29, boulevard Haussmann
75009 Paris
FranceDirection Frédéric Oudéa (Président Directeur Général) Actionnaires Famille Schneider, actionnaire principal. Salariés 7,06%
Société générale Asset management 5.63%
Autocontrôle 4,41%
Groupama 3,00%
Meiji Life Insurance 2,55%
CDC 2,06%
Dexia 1,48 %Activité(s) Banque, Assurance, Finance, Conseil Filiale(s) Crédit du Nord, Rosbank, Boursorama Effectif 163 000 Capitalisation 32,50 Md € (Octobre 2009) Fonds propres (part du groupe) 36,1 Md € (2008) Chiffre d'affaires 21,8 Md € (2008) Bilan comptable 1 130,0 Md € (2008) Résultat net 2,7 Md € (2008) modifier La Société générale est une des principales banques françaises, et une des plus anciennes. Elle fait partie des trois piliers de l'industrie bancaire française non mutualiste (aussi appelés « les Trois Vieilles ») avec LCL (ex-Crédit lyonnais) et BNP Paribas.
Histoire
Les origines de la banque : 1864 - 1893
La banque a été fondée par un groupe d'industriels (dont Paulin Talabot qui en fut le premier directeur) et de financiers sous le Second Empire, le 4 mai 1864, « pour favoriser le développement du commerce et de l'industrie en France ». Le premier Président de la banque est l’influent industriel Eugène Schneider (1805-1875), suivi par Guillaume Deninger, dit Denière, puis par l’Écossais Edouard Blount. La banque développe alors son réseau de manière importante en France, pour posséder un total de 32 en province en 1870 dont 15 à Paris. L’année suivante, la Société générale ouvre un bureau à Londres.
La banque commence à se constituer une clientèle de PME et de particuliers grâce à son réseau. Le siège parisien suit quant à lui les grandes entreprises. Cette même année 1871, la banque accède au marché des émissions publiques françaises. La France connaît cependant une période de marasme économique entre 1871 et 1893, entraînant la faillite de plusieurs établissements bancaires. La Société générale continue son développement et possède 148 guichets en 1889.
Début du XXe siècle : 1894 - 1945
À partir de 1894, la banque se structure comme un grand établissement de crédit moderne. Le groupe ne se contente plus de la collecte des dépôts des entreprises et de particuliers, mais s’oriente de manière importante vers les crédits d'exploitation à court terme destinés aux industriels et négociants, mais aussi vers le placement des titres dans le grand public, les emprunts privés français et enfin les emprunts russes. Cette diversification s’accompagne d’une expansion de l’actionnariat, qui passe de 14 000 en 1895 à 122 000 en 1913, et cela grâce aux bonnes performances du groupe.
Après des années difficiles lors de la Première Guerre mondiale, la Société générale devient la première banque française dans les années 1920. Elle accroît son réseau, notamment en province, qui passe de 260 guichets périodiques en 1910, puis 864 en 1930 et enfin 1 457 en 1933 (y compris ceux de la Sogenal).
L’embellie de la fin des années 1920 sera de courte durée. Les années 1930 sont marquées par un repli des affaires que se soit en France ou à l’international. À la veille de la Seconde Guerre mondiale, le réseau a diminué au niveau de 1922.
La nationalisation : 1945 - 1990
À la sortie de la guerre, la Société générale est nationalisée. La banque profite de la forte croissance de l’après-guerre pour se développer en France. Dans le même temps le groupe continue son expansion internationale, en Afrique, en Italie ou encore au Mexique. À partir de 1966, les groupes bancaires n’ont plus besoin d’autorisation préalable pour ouvrir des agences, ce qui favorise le développement du groupe en France.
Un changement de réglementation en 1966-1967 permet à la Société générale de se diversifier grâce à l’atténuation de la distinction entre banque de détail et banque d’affaire, et par la création d’un marché hypothécaire. Le groupe va tirer profit de cette nouvelle réglementation, en créant de nouvelles filiales spécialisées, notamment dans le crédit-bail avec ses filiales Sogelease, Sogebail, Sofinabail...
Au cours des années 1970 et 1980, la banque adopte les nouvelles techniques et évolutions du secteur comme l’informatique, les distributeurs automatiques ou les cartes bleues. Dans le même temps le groupe continue son développement international et rachète des filiales spécialisées pour compléter son offre.
Le 29 juillet 1987, la Société générale fait partie des trois grandes banques privatisées grâce à ses bonnes performances.
En 1988, une tentative d'OPA du groupe de Georges Pébereau conduit à l'affaire de la Société générale.
Les années 1990 et 2000
Le groupe va se développer autour de trois grands pôles : banque de détail, gestions d’actifs (SGAM - Société Générale Asset Management) et banque de financement et d’investissement (SGCIB - SG Corporate & Investment Banking). Ce développement va se traduire par de la croissance externe et interne.
- 1997 : La branche banque de détail est renforcée par l’acquisition du Crédit du Nord. Elle intègre également l'activité du réseau la Sogénal.
- 1998 : La Société générale crée la « Direction de la Banque de Détail hors France métropolitaine », qui est l’un des axes stratégiques majeurs de développement du groupe.
- 1999 : Bataille pour la prise de contrôle de Paribas, qui finalement sera acquise par la Banque nationale de Paris.
- 1999 : Acquisitions réalisées à l’international, en Roumanie, en Bulgarie et à Madagascar.
- 2001 :
- Suite de la stratégie de développement à l’international, surtout en Europe Centrale (la Komerční banka en République tchèque et la SKB Banka en Slovénie).
- Le chef du service central de traitement et de compensation des chèques de la Société générale et le plus haut responsable de la lutte contre le blanchiment d'argent au sein de l'enseigne se voient reprocher par le juge d'instruction Isabelle Prévost-Desprez de graves défaillances dans les mécanismes de contrôle interne de la banque, en liaison avec l'affaire du Sentier II où plus de 120 personnes avaient participé à une importante cavalerie financière[2].
- 2006 : Désignée « Banque de l'année » par Euromoney en juillet.
- 2007 : Première banque signataire du Pacte PME depuis le 11 décembre 2007. La banque souhaite au travers de ce pacte, trouver de nouveaux partenaires technologiques et innovants lui permettant d'accroitre sa compétitivité et sa capacité à innover, apporter des solutions nouvelles qui prennent en compte sa responsabilité sociale, environnementale, et son obligation de sécuriser ses métiers. La crise début 2008 confirme la nécessité pour la banque de s'ouvrir vers le monde des PME innovantes.
- 2008 : Déjà affaiblie par la crise des subprimes, la société annonce le 24 janvier 2008 avoir été victime d'une fraude sur le marché des contrats à terme. Le débouclement des positions lui a coûté 4,9 milliards d'euros[3], soit presque l'équivalent du bénéfice net dégagé en 2006 (5,2 milliards d'euros). Cette perte, ajoutée à celle des subprimes, a contraint l'établissement à mener une augmentation de capital de 5,5 milliards d'euros. Le 30 mai, est annoncé le prochain remplacement du responsable de la banque de financement et d'investissement (BFI) de la Société générale, Jean-Pierre Mustier, par un ancien dirigeant de Bear Stearns, Michel Peretié.
Le 4 février 2008, débute à Paris un important procès pour blanchiment d'argent qui met en cause plusieurs dirigeants de l'enseigne. Affaire du Sentier II : le parquet de Paris a requis le 3 juin 2008 la relaxe de la Société générale et de quatre de ses dirigeants, dont le président Daniel Bouton dans l'affaire du Sentier.
Mécénat et parrainage
Le groupe pratique une politique de soutien actif et le plus souvent très discret qui s'inscrit dans la durée[4]. Si le parrainage du rugby est connu[5], d'autres le sont moins, tels celui de la musique, de l'art moderne et contemporain, du handisport, en tant que partenaire officiel de la fédération française de handisport) ou de la solidarité, de l'insertion professionnelle et de l'enfance défavorisée.
La crise financière de janvier 2008
Article détaillé : Crise financière de janvier 2008 à la Société générale.Le 24 janvier 2008, le président de la Société générale, Daniel Bouton, annonce une perte de 7,1 milliards d'euros, dont 4,9 milliards d'euros relatifs à une perte de trading, mettant en cause le trader Jérôme Kerviel, soit, à cette date, la plus grande perte jamais constatée dans l'histoire bancaire.
Le 6 février 2008, suite à cette perte de 4,9 milliards d'euros, la banque annonce qu'elle va recevoir de la part de l'administration fiscale française un milliard d'euros[6], au titre d'un trop perçu d'impôt sur les sociétés[7].
En mai 2009, Daniel Bouton quitte la banque, quelques semaines après le départ de son principal adjoint. Il est remplacé par Frédéric Oudéa.
Crise financière 2008-2009
Évolution de l'action et de la note
L'action Société générale a perdu 61% sur l'année 2008 et 20% depuis le début de l'année 2009. Les titres concurrents BNP Paribas et Crédit agricole ont légèrement progressé en 2009.
Sa dette long terme Senior a été abaissée à la note A+ par Standard & Poor's le 7 mai 2009, Aa2 par Moody's le 14 avril 2009 et A+ par Fitch le 11 mai 2009[8].
AIG
Fin 2008, l'assureur American International Group (AIG) réussit à rendre 12 milliards de dollars qu'il devait à la Société générale, qui lui avait acheté des produits dérivés [9]. Le groupe AIG a pu payer grâce à un renflouement de la Réserve fédérale américaine, à la suite duquel l'État américain est devenu propriétaire à 80% du groupe [9].
Versements publics 2008
La Société générale a emprunté 1,7 milliard d'euros de l'État en décembre 2008.
Bonus 2008
Daniel Bouton et Frédéric Oudéa ont annoncé mi-janvier 2009 avoir renoncé à leur bonus pour 2008, au même titre que l'ensemble des dirigeants des grandes banques françaises, à la demande de l'État qui s'était porté au secours du secteur bancaire. Les dirigeants de la Société générale renoncent temporairement à convertir leurs stock-options, Le Monde, 20 mars 2009
Stock-options 2009
Les plans de stock-options de janvier et mars 2009 ont bénéficié à 4 800 collaborateurs du groupe, en France et à l'étranger. Ces options ne sont pas exerçables avant 2012 et sont soumises à des conditions de performance (progression du cours de l'action et dividendes).
Une attribution de stock-options à quatre dirigeants de la Société générale a été projetée en mars 2009. Ces stock-options concernent Frédéric Oudéa, directeur général, Daniel Bouton, président de la banque, qui devaient recevoir respectivement 150.000 et 70.000 titres, Didier Alix et Séverin Cabannes, directeurs généraux délégués, 50.000 titres. .[10]
Le prix d'exercice étant fixé à 24 euros, proche des bas niveaux actuels du cours de l'action, ce procédé permettrait aux quatre dirigeants d'empocher la différence éventuelle entre ce chiffre et la valeur du titre dans trois ans, délai fixé par la Société générale pour leur exercice.
Cette attribution a suscité l'indignation du Président Nicolas Sarkozy et de l'ensemble du monde politique. Les dirigeants de la Société générale ont dû renoncer temporairement à convertir leurs stock-options. Les dirigeants n'ont pas renoncé à recevoir ces stock-options mais seulement à les convertir en actions tant que la banque bénéficiera de l'appui de l'État, qui lui a déjà prêté 1,7 milliard d'euros et lui permet de bénéficier de la Société de financement de l'économie française (SFEF) pour emprunter sur les marchés. Ils pourront les convertir en actions lorsque la banque n'aura plus besoin du soutien de l'Etat.[11]
Les pertes de SGAM-AI
Lundi 27 avril 2009, Le quotidien Libération publie un dossier sur des pertes de 5 milliards d’euros qu'aurait subi SGAM-AI, un département de la filiale de gestion d’actifs de la banque, Société générale Asset Management (SGAM). [12] (Voir Affaire de la SGAM-AI)
En 2009, le SGAM fusionne avec CAAM dans une coentreprise (CAAM : 75 %, SGAM : 25 %). Cette fusion signifie que toutes les activités nécessaires au bon fonctionnement du groupe Société générale et de ses filiales devront être reproduites ou achetées a l'extérieur.
Principales filiales
- SG CIB ce n'est pas une filiale mais une division de la Banque
- SGAM (Société générale Asset management), dirigé par Philippe Collas (1997-2003), Alain Clot (2004-). SGAM compte 3 000 salariés dans le monde, dont 700 en France. Cette filiale de gestion d’actifs investit l’argent que des particuliers ou des professionnels) lui confient, en prenant une commission au passage. En 2008, Sgam a subi une forte chute de ses encours sous gestion (269 milliards d’euros contre 358 milliards fin 2007). Elle a dû afficher des pertes, à cause de sa filiale en gestion alternative, Sgam AI, et de ses risques inconsidérés. Cette entité va être démantelée et une partie vendue au Crédit agricole (CAAM). Plusieurs centaines de personnes pourraient être licenciées lors d'un plan social qui sera lancé d'ici quelques mois. [13]
- SGAM Alternative Investments (SGAM AI)
La Société générale dans le monde
- SGBT Luxembourg (Société Générale Bank & Trust Luxembourg) : établissement bancaire de droit luxembourgeois, filiale à 100% de la Société Générale. Implantée depuis 1893 au Grand-duché (plus ancienne implantation bancaire étrangère au Luxembourg), SGBT Luxembourg a accompagné dès son origine le développement de l'industrie luxembourgeoise et a contribué ainsi à l'émergence de la place financière du Grand-duché.
- National Societe Generale Bank : créée en 1978, c'est l'un des principaux groupes financiers en Égypte. Elle a été créée à partir de 2 banques:
- La Société Générale: 3 ème banque de France et l'un des principaux acteurs du marché européen. - National Bank of Egypt: La NBE est l'une des principales banques en Égypte.
- Komerční banka : avec 364 agences en 2005, 1,5 million de clients et 7400 employés, la Komerční banka est la première banque pour les entreprises et la seconde pour les particuliers en République tchèque. La Société générale a repris 60% de la banque en 2001 pour 1,186 milliard €, en devenant ainsi actionnaire majoritaire. Le groupe opère également en Slovaquie sous le nom KB-Bratislava.
- SG Splitska Banka : rachetée en 2006 à Bank Austria Creditanstalt pour 1 milliard d’euro, la banque possède 9% de part de marché en Croatie avec 119 agences et 1 500 employés. C’est le 4e réseau du pays.
- Société générale Maroc : créée en 1913, c'est l'un des principaux groupes financiers au Maroc. Elle détient 215 agences.
- BRD : fondée en 1923, la BRD est la seconde banque de Roumanie en termes de dépôts. Elle possède 360 agences pour 1,7 millions de clients et 5 700 employés. C’est en 1998 que la Société générale entre à son capital pour y monter jusqu’à 58,32% en 2004.
- Geniki Bank : la Société générale entre au capital de la General Bank of Greece en 2004 en reprenant la participation d’un fonds de pension de l’armée grecque. Renommé Geniki Bank, le groupe possède 132 agences pour environ 2 % de parts de marché début 2006.
- Bank Republic : en septembre 2006, la SG rachète 60% du capital de cette banque qui possède 21 agences autour de Tbilissi et 74 000 clients. Bank Republic représente 11% des dépôts, 8% des crédits et 30% des cartes de crédit.
- SGBB * [1] (Société Générale de Banques au Burkina) : filiale à 44,2% de la Société Générale suite au rachat en mai 1998 de la BFCI-B (Banque pour le Financement du Commerce et des Investissements au Burkina). Elle est classée troisième établissement bancaire du Burkina Faso.
- Rusfinance : filiale russe à 100% de la Société générale, spécialisée dans le crédit à la consommation.
- SGBL (Société générale de banque au Liban) : filiale libanaise de la Société générale depuis 1969 (à 25% puis à 50% en 1991), elle compte près de 60 agences réparties sur l'ensemble du territoire libanais.
- Mobiasbanca : cinquième banque moldave en termes d'actifs. La Société générale a fait l'acquisition de 70,57% de son capital en janvier 2007 pour 18,4 M €.
- Société générale Algérie : installée depuis 2000, c'est la première banque grand public française à s'installer (ou se réinstaller) en Algérie. Elle possède un réseau de 39 agences. En 2003, 29% de son capital était détenu par El Khalifa Bank.
- Rosbank * [2][3]: filiale russe dont la Société Générale contrôle 50% + 1 action du capital[18]. Rosbank avec 600 agences a le premier réseau à capitaux privé de banque de détail en Russie et compte environ 3 millions de clients particuliers, 60 000 PME et 7 000 grandes entreprises et couvre l'ensemble du territoire avec une présence dans 90% des villes de plus de 500 000 habitants.
- UIB [4] (Union internationale de banques) : Créée en 1964, l’UIB a été privatisée en novembre 2002 avec le rachat d'une partie de son capital par le Groupe Société Générale. Son objectif est d’appliquer le modèle de rentabilité Société Générale en améliorant durablement les outils, les méthodes de travail et la qualité de service.
- ALD Automotive : Location longue durée et gestions de parcs automobiles du groupe Société générale.
Métiers
Réseaux de détail et services financiers
Gestions d'actifs, gestion privée et métier titres
La banque de financement & d'investissement
Direction de l’entreprise
- Frédéric Oudéa - Président-Directeur général
Comité exécutif
Membre du Comité exécutif [19]
- Séverin Cabannes - Directeur général délégué
- Didier Alix - Directeur général délégué
- Françoise Delasalles - Directrice des ressources du Groupe
- Didier Hauguel - Directeur des services financiers spécialisés (DSFS)
- Hugues Le Bret - Directeur de la communication du Groupe
- Anne Marion-Bouchacourt - Directrice des ressources humaines du Groupe
- Jean-Louis Mattei - Directeur de la Banque de détail hors France métropolitaine du groupe (BHFM)
- Benoît Ottenwaelter - Directeur des risques du Groupe
- Michel Péretié - Directeur de la banque de financement et d'investissement
- Alain Py – Président Directeur général du Crédit du Nord
- Jacques Ripoll - Directeur des gestions d’actifs et services aux investisseurs
- Jean-François Sammarcelli - Directeur de la Banque de détail Société générale en France (BDDF)
- Patrick Suet - Secrétaire général et Responsable de la conformité du Groupe
- Didier Valet - Directeur financier du Groupe
Conseil d'administration
Membres du Conseil d'administration[20] :
- Frédéric Oudéa
- Jean Azéma
- Robert Castaigne, coopté le 20 janvier 2009
- Michel Cicurel
- Robert A. Day
- Patrick Delicourt, Administrateur élu par les salariés
- Jean-Martin Folz, Président des Comités de sélection et des rémunérations
- France Houssaye, Administratrice par les salariés
- Jean Bernad Levy
- Elisabeth Lulin
- Gianemilio Osculati
- Nathalie Rachou
- Luc Vandevelde
- Kenji Matsuo, Censeur
Données financières
Données financières en millions d'euro Années 2002 2003 2004 2005 2006 2007 Produit net bancaire 14 573 15 637 16 390 19 170 22 417 21 923 Résultat brut d’exploitation 4 000 5 100 5 300 7 000 8 000 7 600 Résultat net part groupe 1 397 2 492 3 281 4 446 5 221 0 947 Données boursières
- Actions cotées à la Bourse de Paris
- Membre de l'indice CAC 40
- 6e capitalisation boursière française
- Code Valeur ISIN = FR0000130809
- Valeur nominale = ---- euro
- Nombres d'action au 9 janvier 2008 : 9 332 221 titres
- Capitalisation au 9 janvier 2008 : 44 411.72 M€
- Nombre de transactions quotidiennes : --- titres
- Transaction courante
Responsabilité sociale
La Société générale a pris en compte sa responsabilité sociale et environnementale mais ne semble néanmoins pas certifiée respectant la norme ISO 14001[21].
Le salaire de son dirigeant représente 520 fois le salaire médian français[22], ce qui ne lui permet pas l'obtention de l'agrément "entreprise solidaire".[23]
Voir aussi
Articles connexes
- Banque
- Banque Française Commerciale Océan Indien
- Daniel Bouton
- Classement des entreprises leader de la banque
- Crise financière de janvier 2008 à la Société générale
- Établissement financier
- Établissement de crédit
- Fédération bancaire française
- Jérôme Kerviel
- Liste de banques par pays
- Newedge (filiale de courtage de dérivés, leader mondial)
- Affaire de la SGAM-AI
Liens externes
- Groupe Société Générale
- La collection d'art contemporain de la Société Générale
- Banque de détail Société Générale en France
- Banque de détail Société Générale (site Internet Mobile). Accessible depuis un mobile uniquement.
Notes et références
- ↑ Refrain de la chanson du film Bernard et Bianca S.O.S Société.
- ↑ Beau linge et argent sale, Jean-Pierre Thiollet, p. 111, Anagramme éd., 2002
- ↑ Informations LCI du 24 janvier 2008
- ↑ Site officiel
- ↑ Par amour du rugby
- ↑ Société Générale : Bercy va rembourser 1 MdE d'impôts
- ↑ Lorsqu'un évènement exceptionnel survient avant la clôture définitive de l'exercice précédent, une société doit, par obligation légale, l'imputer sur cet exercice, en l'occurrence, 2007.
- ↑ Notations de la Société Générale
- ↑ a et b A.I.G. Lists Firms It Paid With Taxpayer Money, New York Times, publié le 15 mars 2009.
- ↑ L'attribution de stock-options à des dirigeants de la Société générale provoque une polémique, Le Monde, 20 mars 2009
- ↑ Les dirigeants de la Société générale renoncent temporairement à convertir leurs stock-options, Le Monde, 20 mars 2009
- ↑ Le nouveau fiasco à 5 milliards de la Société générale, Libération, 27 avril 2009
- ↑ Le nouveau fiasco à 5 milliards de la Société générale, Libération, 27 avril 2009
- ↑ Njegoskij|org :: la Société générale prend le contrôle de Podgoricka Banka a.d
- ↑ Njegoskij|org :: Diplomatic clippings on the acquisition of Podgoricka Banka a.d. (en)
- ↑ Njegoskij|org :: Official report on the privatization of Podgoricka Banka a.d. (en)
- ↑ Njegoskij|org :: Podgoricka Banka will not suffer from the "Société Générale affair" in France (en)
- ↑ Site officiel de Rosbank
- ↑ Organigramme du CE sur le site officiel.
- ↑ Composition du CA sur le site officiel.
- ↑ socgen
- ↑ Chiffre référencé par la SARL de presse Transnationale & Compagnie
- ↑ au sens de l'article L.443-3-1 du code du travail
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