- Armée française en 1940
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Suite à l'armistice de la Première Guerre mondiale en 1918, l'armée française était considérée comme la meilleure du monde[réf. nécessaire].
Après la mobilisation due à la déclaration de guerre contre l'Allemagne, au début de la Seconde Guerre mondiale, les quatre armes (Armée de terre, Marine nationale, Armée de l'air et Gendarmerie) comptaient cinq millions d'hommes dans leurs rangs, encadrés par 120 000 officiers.
L'armée de terre française déployait, de la frontière suisse à la mer du Nord, 2 240 000 combattants groupés en 94 divisions dont 20 d'active et 74 de réservistes soit une infériorité numérique limitée de 12 % par rapport à la Wehrmacht. Il faut rajouter l'armée des Alpes face à l'Italie et 600 000 hommes dispersés dans l'empire colonial français. La principale ligne de fortification était la ligne Maginot.
Ordre de bataille au 10 mai 1940
Au déclenchement de la bataille de France, l'organigramme de l'armée de terre était celui-ci :
Réserves du Grand Quartier général (GQG)
- 2e division d'infanterie polonaise
- 1er groupement cuirassé (général de division Keller)
- 2e division cuirassée (DCR) (général de brigade Bruche)
- 3e division cuirassée (DCR) (général Brocard)
- 21e corps d'armée (général de corps d'armée Flavigny)
- 23e corps d'armée (général de division Germain)
10e armée (général Altmayer)
Unité formée le 30 mai 1940.
Groupe d'armées 1 (général Billotte)
1re armée (général Blanchard)
- Groupe de bataillons de chars 515
- 13e bataillon de char de combat (Hotchkiss H35)
- 35e bataillon de char de combat (Renault R 35)
- Groupe de bataillons de chars 519
- 38e bataillon de char de combat (Hotchkiss H 35)
- 39e bataillon de char de combat (Renault R 35)
- 32e division d'infanterie
- 1re division cuirassée (général de brigade Bruneau)
- Secteur fortifié de l'Escaut
- Corps de cavalerie (général de corps d'armée Prioux)
- 2e division légère mécanique (général de brigade Bougrain)
- 3e division légère mécanique (général de division Langlois)
- 3e corps d'armée
- 4e corps d'armée
- 5e corps d'armée
2e armée (général Huntziger)
- Groupe de bataillons de chars 503
- 3e bataillon de char de combat (Renault R 35)
- 4e bataillon de char de combat (FCM 36)
- 7e bataillon de char de combat (FCM 36)
- 2e division légère de cavalerie
- 5e division légère de cavalerie
- 1re brigade de cavalerie à deux régiments (8e chasseurs et 1er hussards, général Gaillard)
- Secteur fortifié de Montmédy
- 71e division d'infanterie
- 10e corps d'armée
- 18e corps d'armée
7e armée (général Giraud)
- Groupe de bataillons de chars 510
- 9e bataillon de char de combat (Renault R-35)
- 22e bataillon de char de combat (Renault R-35)
- 4e division d'infanterie (général de division Musse, division de réserve série A type nord-est)
- 21e division d'infanterie (général de brigade Lanquetot, division d'active type nord-est)
- 60e division d'infanterie (général de brigade Deslaurens, division de réserve série B type nord-est)
- 1re division légère mécanique (général de brigade Picard, division d'active)
- Secteur fortifié des Flandres
- 1er corps d'armée (général de division Sciard)
- 25e division d'infanterie motorisée (général Molinié, division d'active type nord-est motorisée)
- 16e corps d'armée (général de division Falgade)
- 9e division d'infanterie motorisée (général de division Didelet, division d'active type nord-est motorisée)
9e armée (général Corap)
- Groupe de bataillons de chars 518
- 6e bataillon de char de combat (Renault R-35)
- 32e bataillon de char de combat (Renault R-35)
- 33e bataillon de char de combat (Renault FT-17)
- 1re division légère de cavalerie
- 4e division légère de cavalerie
- 3e brigade de spahis
- 4e division d'infanterie nord-africaine
- 53e division d'infanterie
- 2e corps d'armée
- 11e corps d'armée
- 41e corps d'armée de forteresse
Groupe d'armées 2 (général Prételat)
3e armée (général Condé)
- Groupe de bataillons de chars 511 (lieutenant-colonel Wolf)
- 5e bataillon de char de combat (Renault R-35)
- 12e bataillon de char de combat (Renault R-35)
- Groupe de bataillons de chars 513
- 29e bataillon de char de combat (Renault FT-17)
- 51e bataillon de char de combat (char 2C)
- Groupe de bataillons de chars 520 (lieutenant-colonel Salce)
- 23e bataillon de char de combat (Renault R-35)
- 30e bataillon de char de combat (Renault FT-17)
- Groupe de bataillons de chars 532 (lieutenant-colonel Girard)
- 43e bataillon de char de combat (Renault R-35)
- 3e division légère de cavalerie (général de division Petiet)
- 1re brigade de spahis (colonel Jouffrault)
- 6e division d'infanterie
- 7e division d'infanterie
- 8e division d'infanterie
- 6e division d'infanterie coloniale
- 6e division d'infanterie nord-africaine
- Corps d'armée colonial (général de division Freydenberg)
- 2e division d'infanterie
- 51th Highland Division (général de division V.M. Fortune)
- 56e division d'infanterie
- Secteur fortifié de Thionville
- 6e corps d'armée
- 24e corps d'armée
- 42e corps d'armée de forteresse
4e armée (général Réquin)
- Groupe de bataillons de chars 502
- 20e bataillon de char de combat (Renault R-35)
- 24e bataillon de char de combat (Renault R-35)
- Groupe de bataillons de chars 504
- 10e bataillon de char de combat (Renault R-35)
- 343e compagnie autonome de char
- 344e compagnie autonome de char
- 1re division d'infanterie polonaise
- 45e division d'infanterie
- 9e corps d'armée
- 20e corps d'armée
5e armée (général Bourret)
- Groupe de bataillons de chars 501
- 1er bataillon de char de combat (Renault R-35)
- 2e bataillon de char de combat (Renault R-35)
- 31e bataillon de char de combat (Renault FT-17)
- Groupe de bataillons de chars 508
- 21e bataillon de char de combat (Renault R-35)
- 34e bataillon de char de combat (Renault R-35)
- Groupe de bataillons de chars 517
- 19e bataillon de char de combat (char D2)
- 8e corps d'armée
- 12e corps d'armée
- 17e corps d'armée
- 43e corps d'armée de forteresse
- modifier] Groupe d'armées 3 (général Besson)
6e armée (général Touchon)
- 45e corps d'armée de forteresse (général Daille)
8e armée (général Garchery)
- Groupe de bataillons de chars 506
- 16e bataillon de char de combat (Renault R-35)
- 36e bataillon de char de combat (Renault FT-17)
- Groupe de bataillons de chars 516
- 17e bataillon de char de combat (Renault R-35)
- 18e bataillon de char de combat (Renault FT-17)
- 7e corps d'armée
- 13e division d'infanterie
- 27e division d'infanterie
- 2e brigade de Spahis
- 13e corps d'armée
- 44e corps d'armée de forteresse
Armée des Alpes (général Olry)
- Groupe de bataillons de chars 514
- Bataillon de chars des troupes coloniales (char Renault FT-17)
- 8e division d'infanterie coloniale
- 14e corps d'armée
- 15e corps d'armée
Article détaillé : Campagne de Norvège.- Brigade autonome de chasseurs de Podhale
- 13e demi-brigade de marche de la Légion étrangère
- modifier] Théâtre d'opérations d'Afrique du Nord
XIXe région militaire
- 85e division d'infanterie d'Afrique
- modifier] Troupes du Maroc
- 3e division marocaine
- 5e brigade de cavalerie
- groupe de bataillon de chars 522
Commandement supérieur des troupes de Tunisie
- 81e division d'infanterie d'Afrique
- 84e division d'infanterie d'Afrique
- Région fortifiée Sud-tunisien
Groupe des forces mobiles du Levant
- Brigade indépendante de chasseurs des Carpates, général Stanislaw Kopanski
Troupes présentes dans l'empire
- Afrique occidentale française
- Régiment mixte d'infanterie coloniale de l'AOF
- 1er régiment de tirailleurs sénégalais
- 2e régiment de tirailleurs sénégalais
- 7e régiment de tirailleurs sénégalais
- 6e régiment d'artillerie coloniale
- Bataillons de tirailleurs sénégalais de 1 à 8
- Afrique équatoriale française
- Bataillon de tirailleurs sénégalais de l'AEF
- Régiment de tirailleurs sénégalais du Tchad
- Bataillon de tirailleurs sénégalais de l'Oubangui-Chari
- Régiment de tirailleurs du Cameroun
- compagnie portée de Largeau
- Madagascar (19 000 combattants)
- Bataillon de tirailleurs malgaches
- Indochine (40 000 combattants)
- division du Tonkin
- division de Cochinchine-Cambodge
- brigade d'Annam-Laos
Types de grandes unités dans l'armée française de 1940
Les divisions d'infanterie
Les divisions d'infanterie sont les unités les plus répandues à l'époque, elles se répartissent en trois séries :
- d'active, qui existent en temps de paix ;
- de série A, créées à la mobilisation par dédoublement des unités d'active, elles comportent plus de 50 % de réservistes, l'encadrement et le matériel y sont à peu près équivalents à celui de ces dernières ;
- de série B, créées de toute pièces, elles sont majoritairement composées de réservistes cantonnés au bétonnage ou aux travaux agricoles, le matériel et les effectifs sont bien souvent incomplets.
Elles sont aussi réparties en types correspondant à une organisation et une dotation différentes. On trouve ainsi des :
- divisions d'infanterie de type Nord-Est motorisé (active) ;
- divisions d'infanterie de type Nord-Est (active - réserve A et B) ;
- divisions d'infanterie de type Nord-Est à un régiment mixte d'artillerie divisionnaire (réserve B) ;
- divisions d'infanterie de forteresse.
Les divisions légères de cavalerie
Ce sont des divisions semi-motorisées, issues de deux réformes successives : la réforme de cavalerie de 1932 et la transformation, en janvier 1940, des divisions de cavalerie (DC) en divisions légères de cavalerie (DLC), allégées d'une partie de leurs effectifs pour former des unités supplémentaires ; le commandement voulait avoir des unités plus nombreuses et plus mobiles. Ces divisions étaient familièrement appelées « divisions essence-picotin », car elles combinaient deux brigades de cavalerie :
- une brigade à cheval (BC) composée de :
- 2 régiments de cavalerie.
- une brigade motorisée (BLM) composée :
- 1 bataillon de dragons portés ;
- 1 régiment d'automitrailleuses (RAM).
Dans la pratique, cet assemblage se révèlera peu commode, les engins motorisés devant souvent attendre les chevaux, sous peine d'avoir à combattre seuls. Ces divisions sont dites légères, pour leur aptitude à passer plus rapidement de l'ordre de marche à l'ordre de bataille.
Les 1re, 2e, 3e, 4e et 5e divisions légères de cavalerie, ont toutes les cinq été créées par conversion des trois dernières divisions de cavalerie d'active, en février 1940.
La 6e DLC, elle, a été créée en Algérie par absorption de diverses unités stationnées en Afrique du Nord.
Les cinq premières seront en première ligne, lors de l'entrée en Luxembourg et en Belgique, cherchant à couvrir le terrain, pour permettre le déploiement de l'infanterie dans le cadre de la manœuvre Dyle.Les divisions légères mécaniques
Ce sont des améliorations des divisions de cavalerie d'active, en remplaçant les régiments à cheval par des unités d'automitrailleuses de combat, en pratique des chars de combat. Elles sont le plus proche équivalent français des Panzerdivisions allemandes, assez bien équilibrées, regroupant presque toutes les armes nécessaires à la guerre mécanisée. Avec 260 véhicules de combat en première ligne (sans compter les véhicules de commandement et de volant au nombre de 47 unités), elles souffrent d'être un peu moins puissantes et peu nombreuses.
Deux ont été formées avant guerre :
- la 1re à partir de l'ancienne 4e division de cavalerie en 1936 ;
- la 2e de la 5e division de cavalerie, en 1937.
Une troisième a été créée en février 1940.
Une quatrième est en cours de création en mai 1940 mais ses éléments seront vampirisés par la 4e division Cuirassée.
Il en sera créé deux autres début juin au format allégé :
- la 4e créée à partir de la 1e division légère de cavalerie ;
- la 7e créée à partir de la 4e division légère de cavalerie.
Ce seront des unités et de renforts de circonstance issues d'unités éprouvé des écoles, sans réelle cohésion et qui seront envoyées au combat sans préparation.
Les divisions cuirassées
Ces nouvelles unités apparaissent le 16 janvier 1940, quand sont créées les 1e et 2eissues des 1e et 2e brigades cuirassées.
La 3e suivra en mars, et enfin la 4e, le 15 mai.
Ce sont des regroupements de bataillons de chars de combat destinés au départ au soutien d'infanterie, associés à un bataillon de chasseurs portés et un régiment d'artillerie tractée tout-terrain. Elles sont bien moins réussies que les divisions légères mécaniques, manquant d'infanterie d'accompagnement et d'unités de reconnaissance.
Elles possèdent un atout, cependant, avec leurs 2 bataillons de chars de bataille B1 bis, qu'aucun panzer ne peut détruire directement.
L'appellation de réserve que l'on lit souvent n'est pas juste. L'acronyme DCr se veut juste différent de DC ou division de cavalerie.Les groupes de reconnaissance
Les groupes de reconnaissance sont des petites unités de cavalerie, motorisées ou non, qui sont formées à la mobilisation pour fournir des unités de reconnaissance aux grandes unités, on en trouve six types :
- groupe de reconnaissance de corps d'armée de type motorisé (trois escadrons de fusiliers motocyclistes et un de mitrailleuses et de canon motorisé) ;
- groupe de reconnaissance de corps d'armée de type normal (deux escadrons à cheval, un de fusiliers motocyclistes et un de mitrailleuses et de canon motorisé) ;
- groupe de reconnaissance de division d'infanterie de type motorisé avec automitrailleuses (un escadron de 20 AMRl, un de fusiliers motocyclistes et un de mitrailleuses et de canon motorisé) ;
- groupe de reconnaissance de division d'infanterie de type motorisé (deux escadrons de fusiliers motocyclistes et un de mitrailleuses et de canon motorisé) ;
- groupe de reconnaissance de division d'infanterie de type normal (un escadron à cheval, un de fusiliers motocyclistes et un de mitrailleuses et de canon motorisé) ;
- groupe de reconnaissance de division d'infanterie de type outre-mer (deux escadrons à cheval et un de mitrailleuses et de canon hippomobile).
Équipement de l'armée française
Mobilité
123 000 camions militaires et civils furent réquisitionnés[1] ainsi que 400 000 chevaux.
Chars de combat et autres blindés
On comptait 3 378 chars dans ses rangs :
- Renault R-35 : 855 dans les 1er, 2e, 3e, 5e, 6e, 9e, 10e, 12e, 16e, 17e, 20e, 21e, 23e, 24e, 32e, 34e, 35e, 39e, 43e BCC, tous affectés aux armées.
- Hotchkiss H35
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- Infanterie : 550
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- 90 affectés aux armées dans les 13e, 38e BCC
- 270 affectés au sein des divisions cuirassées dans les 14e, 25e, 26e, 27e, 42e et 45e BCC.
- Cavalerie : 450
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- 70 dans les 1er, 2e, 3e, 4e et 5e régiments d'automitrailleuses
- 300 dans les divisions légères mécaniques
- 40 dans les groupes de reconnaissance
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- Renault D2 : 100 chars livrés
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- 45 au 19e BCC et 5 de volant.
- 14 Renault D2 à la 345e compagnie autonome de chars de combat
- 10 Renault D2 à la 346e compagnie autonome de chars de combat
- 12 Renault D2 à la 350e compagnie autonome de chars de combat
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- FCM 36 : 90 exemplaires au 4e et 7e BCC, plus 10 de volant.
- Char FCM 2C : 6 exemplaires au 51e BCC.
- Renault FT-17 : 441 exemplaires dans les 18e, 29e, 30e, 31e, 33e, 36e BCC et le bataillon des troupes coloniales. De plus seront créé dés mai 115 sections de 5 chars chacune pour garder les aérodromes.
- Char B-1bis 35 exemplaires de B1 et 369 exemplaires de B1bis
- Char SOMUA S-35
- Renault D1 135 au sein des 61e, 65e et 67e BCC, stationnés en Tunisie, le 67e viendra combattre en France pendant le mois de juin.
- Renault VM 123
- Renault AMR 35 200
- Panhard AMD-178 553 en juin
- Laffly 80 A.M. 28
- Laffly S.15 T.O.E. 25
- Renault A.C.G.1 50
- Renault YR 12
- Lorraine 37
- Lorraine 38L
Abréviations
- BCC : bataillon de chars de combat
- BCTC : bataillon de chars des troupes coloniales
- CACC : compagnie autonome de chars de combat
- CEFS : corps expéditionnaire français de Scandinavie
- cie : compagnie
- CPTICC : centre pratique de tir et d'instruction des chars de combat
- DCr : division cuirassée
- DLC : division légère de cavalerie
- ECC : école des chars de combat
- ERGM : entrepôt de réserve général du matériel
- GBC : groupe de bataillon de char
- GRDI : groupe de reconnaissance de division d'infanterie
- PEB : parc d'engins blindés
- RAM : régiment d'automitrailleuses
Artillerie
L'artillerie française était en meilleure posture qu'en 1914 avec un assez bon parc de matériel de tous calibres mais une bonne moitié était à traction hippomobile et la conception de la grande majorité de ses matériels datait de la précédente guerre comme les autres artilleries de l’époque ; par ailleurs, elle manquait cruellement de canons antiaériens.
- Canon de 155 mm GPF : 450
- Canon Rimailho de 155 mm :
- Canon de 105 mm C 35 B :
- Canon de 75 Modèle 1897 : 4 500
- Canons antichars de 47 mm : 700 (47 mm AC 37APX)
- Canons antichars de 25 mm : 7 000 (25 mm SA34 et 25 mm SA37)
Infanterie
- Mitrailleuse Hotchkiss modèle 1924, cal. 8 mm (8x50R)
- Mitrailleuse Reibel MAC 31 et 34, cal. 7,5 mm (7,5x54)
- Fusil-mitrailleur modèle 1924-1929, cal. 7,5 mm (7,5x54)
- Fusil MAS 36, cal. 7,5 mm (7,5x54)
- Fusil Lebel modèle 1886, cal. 8 mm (8x50R)
- Mousqueton Berthier 1892, cal. 8 mm (8x50R)
- Pistolet mitrailleur MAS 38, cal. 7,65 mm (7,65x19,7), en nombre extrêmement limité.
- Pistolet automatique modèle 1935 S, cal. 7,65 mm (7,65x19,7)
- Revolver modèle 1892, cal. 8 mm (8x27R)
Voir aussi
Notes et références
- Bernard Crochet, Camions de l'extrême, Éditions de Lodi, septembre 2007, 350 p. (ISBN 978-2-84690-307-3)
Bibliographie et sources
- Stéphane Ferrard, France 1940 – L'armement terrestre, ETAI, Paris, 2003 (ISBN 978-2-7268-8380-8).
- François Broche, L'Armée française sous l'occupation, tome 1, La dispersion, Presse de la Cité, Paris, 2002 (ISBN 2-258-05471-0).
- Pierre Porthault, L'armée du Sacrifice 1939-1940, éd. Guy Victor, 1965.
- R. Jacomet, L'Armement de la France, 1936-1939, Paris, 1945.
- Marc Bloch, L'Étrange Défaite. Témoignage écrit en 1940.
Articles connexes
- Bataille de France
- Ordre de bataille de la Force expéditionnaire britannique en 1940
- Armée belge en 1940
- L'Armée polonaise dans la Bataille de France
- Corps des Volontaires luxembourgeois
- Armée de Vichy
- Ligne Maginot
Liens externes
- modifier] Groupe d'armées 3 (général Besson)
Catégories :- Unité militaire de la Seconde Guerre mondiale
- Histoire de l'armée de terre française
- Ordre de bataille
- 1940
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