55e division d'infanterie

55e division d'infanterie

55e division d'infanterie (France)

55e Division d'Infanterie
Insigne de la 55e division d'infanterie (1940).jpg

Insigne de la 55e division d'infanterie (1940).
Pays France France
Branche Terre
Type Division d'Infanterie
Rôle Infanterie
Guerres Première Guerre mondiale

Sommaire

Les chefs de la 55 e Division d’Infanterie

La Première Guerre mondiale

Composition au cours de la guerre

1914

Mobilisée dans la 5e Région.

9 – 17 août

17 – 26 août

26 – 29 août

  • Retrait du front, puis, à partir du 27 août, transport par V.F., de la région de Saint-Mihiel, dans celle de Roye.

29 août – 5 septembre

5 – 13 septembre

13 septembre 1914 – 13 janvier 1915

  • Engagée dans la 1re Bataille de l'Aisne: franchissement de l'Aisne et combats au nord de Soissons.
  • Stabilisation du front et occupation d'un secteur aux abords nord de Soissons et vers Pernant:
    • 6 octobre, relève partielle du 3e corps d'armée britannique.
    • 7 novembre, attaque française sur le plateau de Vrégny et sur Braye.
    • 12 novembre, attaques françaises vers la ferme Perrière et le Pont Rouge.
    • 22 novembre, attaque allemande au nord de Crouy.
    • 8 - 13 janvier 1915, attaques françaises dans la région de Crouy; violente contre-offensive allemande, et repli au sud de l'Aisne.

1915

13 -18 janvier

  • Retrait du front et repos vers Noyant.

18 janvier – 27 février

  • Occupation d'un secteur entre la ferme de la Maison Rouge et Vénizel.

27 février – 22 mars

  • Retrait du front; repos et instruction vers Hartennes.

22 mars – 30 avril

  • Mouvement vers le front et occupation d'un secteur vers Vénizel et Condé-sur-Aisne

30 avril – 11 mai

11 mai – 5 juin

5 – 23 juin

  • Retrait du front et repos vers Chelers.

23 juin – 23 novembre

  • Mouvement vers la région Gouy-en-Servins, Villers-aux-Bois; puis occupation d'un secteur au sud du cimetière de Souchez (éléments à partir du 19 juin).
  • Engagée dans la 3e Bataille d'Artois: du 25 au 28 septembre, violentes attaques françaises, puis occupation du terrain conquis: le 11 octobre, nouvelles attaques françaises.

23 novembre 1915 – 8 février 1916

  • Retrait du front, et transport par V.F., de la région de Saint-Pol sur Ternoise, vers celle de Fismes; repos et instruction.
  • A partir du 26 décembre, mouvement vers Ville-en-Tardenois; repos et instruction.
  • A partir du 7 janvier 1916, mouvement vers la région de Prouilly; travaux.

1916

8 février – 20 juin

  • Mouvement vers le nord, et, à partir du 11 février, occupation d'un secteur vers Berry-au-Bac et le moulin Pontoy:
    • 10 mars, attaque allemande au bois des Buttes.
    • 25 avril, attaque française.

20 juin – 12 juillet

  • Retrait du front; à partir du 23 juin, transport par V.F. vers la région de Vitry-le-François; repos.
  • A partir du 7 juillet, mouvement vers Triaucourt; repos.

12 – 30 juillet

  • Transport par camions dans la région de Verdun.
  • A partir du 20 juillet, engagée dans la Bataille de Verdun, vers la cote 304 et la lisière est du bois d'Avocourt.

30 juillet – 20 août

  • Retrait du front et repos au sud de Revigny.

20 août – 1er septembre

  • Mouvement vers le front et occupation d'un secteur vers la cote 304 et la lisière est du bois d'Avocourt.

1er – 21 septembre

21 septembre – 22 octobre

  • Transport par camions dans la région de Verdun; occupation d'un secteur vers le bois d'Haudromont et l'ouvrage de Thiaumont.

22 octobre – 2 novembre

  • Retrait du front et repos vers Triaucourt.

2 novembre 1916 – 5 février 1917

  • Mouvement vers le nord, et, à partir du 9 novembre, occupation d'un secteur vers le bois Camard et Avocourt.

1917

5 – 14 février

  • Retrait du front; repos vers Triaucourt.

14 février – 15 avril

15 – 22 avril

22 avril – 23 mai

  • Occupation d'un secteur entre l'étang de Vargévaux, et la Meuse.

23 mai – 5 juin

  • Retrait du front; repos et instruction vers Gondrecourt.

5 juin – 5 juillet

  • Transport par camions dans la région de Châlons-sur-Marne, et occupation d'un secteur entre le Casque et le mont Haut, étendu à droite, le 14 juin, jusque vers le Téton: attaques et contre-attaques fréquentes, en particulier vers le Téton.

5 – 24 juillet

  • Retrait du front, transport par V.F. dans la région de Romilly-sur-Seine; instruction.

24 juillet – 25 août

  • Transport par V.F., de Romilly-sur-Seine, à Dormans et à Mézy, puis mouvement par étapes vers le front.
  • A partir du 4 août, occupation d'un secteur entre la Miette et le Ployon, dans les environs de Pontavert.

25 août – 12 septembre

12 septembre – 4 octobre

  • Occupation d'un secteur entre la Miette et le Ployon.

4 – 29 octobre

  • Retrait du front; repos vers Arcis-le-Ponsart.

29 octobre – 29 novembre

  • Occupation d'un secteur vers Chevreux et le plateau des Casemates, porté, à la suite de l'avance du 2 novembre, entre le nord-est de Chevreux et la ferme de Vauclerc.

29 novembre 1917 – 6 janvier 1918

1918

6 – 28 janvier

  • Mouvement vers le front, puis occupation d'un secteur entre la Miette et le Ployon.

28 janvier – 23 mars

  • Retrait du front, mouvement vers Lizy-sur-Ourcq; repos et instruction.
  • A partir du 10 mars, mouvement par étapes vers Soissons et Vic-su-Aisne ; travaux.

23 mars – 30 mai

  • Transport par camions dans la région de Chauny.
  • Engagée dans la Bataille de Noyon:
    • Résistance à la poussée allemande sur la rive droite de l'Oise.
    • Puis organisation du front sur la rive gauche, vers Manicamp et Varesnes.

30 mai – 3 juin

3 juin – 18 août

  • Retrait du front et défense d'un secteur vers Moulin-sous-Touvent et le sud d'Autrêches:
    • 3 juillet, attaque française dans cette région.
    • 6 juillet, front étendu, à gauche, jusque vers la ferme Quennevières ; préparatifs d'offensive.
    • 1er août, front réduit, à gauche, jusque vers Moulin-sous-Touvent.

18 – 27 août

27 – 29 août

  • Retrait du front et transport par camions dans la région de Crécy-en-Brie.

29 août – 10 septembre

  • Préparatifs de dissolution.

10 septembre

  • Dissolution.

Rattachements

Affectation organique:

  • août 1914 :
  • Mai 1915 :
  • Juin 1915 : Isolée
  • Décembre 1915 :
  • Juin 1916 : Isolée
  • Juin 1917 : 5e Corps d’Armée

IIe Armée

4 juillet 1916 – 4 juin 1917

IIIe Armée

11 février – 12 mars 1918
24 – 25 mars 1918

IVe Armée

23 juin – 3 juillet 1916

Ve Armée

25 novembre 1915 – 22 juin 1916

VIe Armée

27 août 1914 – 8 mai 1915
5 juin – 15 juillet 1917
28 octobre 1917 – 10 février 1918
13 – 23 mars 1918
26 mars – 1er juin 1918
27 août – 3 septembre 1918

Xe Armée

9 mai – 24 novembre 1915
16 juillet – 27 octobre 1917
2 juin – 26 août 1918
4 – 9 septembre 1918

Armée de Lorraine

22 – 27 août 1914

L’entre-deux-guerres

La Seconde Guerre mondiale

À la mobilisation, il est rattaché au Xe corps d'armée à la IIe Armée[1]

Composition

  • La 55e division d'infanterie sous les ordres du général de brigade Lafontaine, chef d’état major le lieutenant colonel Lallemand de Liocourt, elle est composée de :
    • 213e régiment d’infanterie
    • 295e régiment d'infanterie
    • 331e régiment d'infanterie
    • 147e régiment d'infanterie de forteresse
    • 11e bataillon de mitrailleurs
    • 506e compagnie antichar
    • 4e bataillon de chars de combat
    • 7e bataillon de chars de combat
    • régiment d’artillerie mixte divisionnaire
    • régiment d'artillerie de forteresse
    • I/78e régiment d’artillerie divisionnaire (première batterie)
    • 605e batterie anti-char
    • 64e GRDI (groupe de reconnaissance divisionnaire)
    • 55/1 compagnie de sapeurs-mineurs
    • 55/2 compagnie de sapeurs-mineurs
    • 55/81 compagnie télégraphique
    • 55/82 compagnie radio
    • 55/5 compagnie hippomobile
    • 155/5 compagnie automobile
    • 55/5 groupe d’exploitation divisionnaire
    • 55e groupe sanitaire divisionnaire
    • 55e centre d’instruction divisionnaire
  • Réservistes de classes anciennes, très mal instruits seulement 4% d'officiers d'active. Armement incomplet, pas de canon de 25 mm dans les RI. Déficit en matériel de topographie et d'observation, déficit en matériel d'habillement. Approvisionnements incomplets mais malgré les efforts pour améliorer l'instruction ( envoi des régiments dans la zone arrière du CA ) celle ci reste rudimentaire. Au 10 mai 1940, les unités sont a 80 ou 85% de leur effectifs théoriques ( nombreux permissionnaires ). La dotation en mines antichar n'est pas réalisée. L'armement en canons antichars de 25 mm est incomplet au 147e RIF et au 11e BM, et inexistant dans les régiments organiques de la division[1].
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L’après Seconde Guerre mondiale

Notes et Références

  1. a  et b A partir du Recueil d'Historiques de l'Infanterie Française (Général Andolenko - Eurimprim 1969).

Liens internes

Liens externes

La 55° DI dans la bataille de l'Aisne (1917)

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