Armée belge en 1940

Armée belge en 1940

En 1940, l'armée belge n'a pas une capacité suffisante pour affronter la Seconde Guerre mondiale. Cependant, depuis 1936, en suite à la politique de neutralité et à la rupture de l'alliance avec la France et du Royaume-Uni, des efforts sont faits par le gouvernement belge pour préparer son armée au conflit que l'on voit venir par un réarmement. Mais ces efforts se heurtent à la capacité limitée de l'industrie nationale d'armement, avant tout consacrée aux armes légères. Quant aux fournitures en armement lourd, elles sont contrariées par les français et les anglais qui rechignent à fournir canons, chars et avions modernes dont ils manquent eux-mêmes. On procède à la création de nouvelles unités à missions spécifiques (en fait depuis 1934), telles les cyclistes-frontières et les chasseurs ardennais. On équipe aussi l'armée de chars légers et de canons anti-chars automoteurs. Quelques avions modernes viennent renforcer une aviation qui, en 1936, était au niveau de celle des pays voisins, mais qui, en 1940, est dépassée.

Sommaire

Politique de défense pendant l'Entre-Deux-Guerres, ses conséquences en 1940 et ses suites pendant le conflit

En 1920, un accord militaire franco-belge est signé entre les gouvernements belge et français dans le but de coordonner leurs efforts pour l’occupation conjointe de la Ruhr, mais aussi pour réduire le front en cas de nouvelle agression allemande[1].

Durant l’entre-deux-guerres, la Belgique est divisée entre les factions politiques flamandes et wallonnes : lorsqu’il fallut voter un budget militaire face à la menace nazie, les députés flamands boudèrent ce vote avec l’appui des pacifistes socialistes, ce qui empêcha la modernisation à temps de l’armée belge à la veille de la Seconde Guerre mondiale.

Mais l’objectif principal du Mouvement flamand était de rompre l’accord militaire franco-belge de 1920[2] qu’il considérait comme un symbole de la « domination francophone ». Léopold III, inquiet devant les menaces de division du pays, parut céder au mot d'ordre flamand Los van Frankrijk ![3] (Indépendant de la France !) et le 14 octobre 1936, Léopold III déclare au Conseil des ministres que « Seule une neutralité volontaire, appuyée par un appareil militaire aussi puissant que possible, peut maintenir la Belgique à l'écart du conflit. » [4]. Il s'agissait donc de bâtir une défense militaire belge capable de rassurer les Belges quant à la capacité du pays de se défendre contre tout agresseur. Ce qui permettait, en plus, de neutraliser l'action flamingante par ce que le ministre Paul Henri Spaak déclara être devant le parlement belge "une politique exclusivement et intégralement belge".

En conséquence, le gouvernement dénonça l’accord franco-belge[5] ainsi qu'implicitement les accords de Locarno et se replia dans une stricte neutralité, refusant officiellement toute coopération avec les états-majors alliés et envoyant des unités légères à la frontière française. Cette attitude vaudra au roi de vives réprobations de la part des Alliés et d’une partie de la population wallonne[6]. Mais des contacts secrets sont prouvés, comme on le lira, après la guerre, dans le livre "Servir", titre des mémoires du général en chef des armées françaises Gamelin[7], qui y expose qu'il était en rapport avec le roi Léopold III, chef de l'armée belge. Celui-ci transmettait les renseignements que les services belges pouvaient recueillir auprès d'allemands anti-hitlériens quant aux plans de la Wehrmacht contre la Belgique. C'est l'attaché militaire français à Bruxelles, qui avait été l'élève du général Van Overstraeten à l'École royale militaire de Bruxelles, qui servait de relais Van Overstraeten lui-même, conseiller militaire personnel du roi, en parle dans un de ses livres "Dans l'Étau". On trouve des références aussi dans le livre "Le 18e jour" du colonel Remy[8], grand résistant gaulliste qui met les choses au point quant au soi-disant refus belge (proclamé par certains auteurs et journalistes) de coopérer avec la France. Il ne s'agissait que d'une apparence destinée à abuser l'opinion publique pour éviter le plus possible tout ce qui aurait pu passer pour une provocation aux yeux d'Hitler durant les mois de mobilisation générale sur pied de guerre mis à profit pour préparer l'armée belge à affronter l'Allemagne.

Au moment du déclenchement de l'attaque allemande contre la Belgique, l'armée belge est sur pied de guerre depuis septembre 1939. Grâce à la mobilisation générale, l'armée compte 650.000 hommes (plus la gendarmerie et les conscrits de 1940 qui vont être incorporés, soit 50.000 hommes). Cette force veille le long d'une ligne qui s'étend depuis la mer, le long de l'Escaut puis du canal Albert, jusqu'au sud de l'Ardenne, soit près de 500 kilomètres suivant un arc de cercle épousant sensiblement le tracé des frontières depuis le littoral jusqu'à la frontière Est avec le Luxembourg et la France. C'est un effort représentant 46 % de la population masculine de 20 à 40 ans, soit 8 % de la population totale de la Belgique. Ces pourcentages sont supérieurs à ceux de la France et de l'Angleterre. Il faut ajouter à ce chiffre 40.000 conscrits de la classe de 1940 qui sont appelés anticipativement. Il est d'ailleurs prévu d'appeler la classe de 1941, ce que l'on n'aura pas le temps de faire. En plus, l'armée peut compter sur 10.000 gendarmes chargés de la police militaire (la prévôté militaire), mais qui peuvent combattre l'ennemi, surtout contre les parachutistes.

En mai 1940, la Belgique est de nouveau envahie par l'Allemagne. L'armée belge se bat bravement et se replie en bon ordre mais le front français, dans l'Ardenne française, cède à Sedan, alors que les Chasseurs ardennais, troupe d'élite de l'armée belge, ont écrit, en Ardenne belge, une de leurs pages de gloire en retardant la Wehrmacht de plus de 24 heures. Malheureusement, les Français n'ont pas tiré parti de ce délai de grâce pour se préparer. Comme l'avait dénoncé, en avril 1940, une commission parlementaire française présidée par le député Taittinger, le dispositif français de la région de Sedan est médiocre, composé de réservistes de rang B installés dans des fortifications de campagne inachevées. C'est très bien exposé dans le livre "la Seconde guerre mondiale" de Pierre Miquel[9]. Ce n'est que le 12 mai que les Allemands attaquent à Sedan. Mais, en deux jours, la défense française n'a pu envoyer en avant que quelques chars légers qui ne résistent pas aux chars allemands qui percent le front des Français. Cela oblige l'armée française à reculer pour tenter de retrouver sa cohésion et pour ne pas être contournée. Cependant, les Belges sont eux-mêmes percés en leur centre, sur le canal Albert, au nord de Liège, et menacés sur leur gauche par la disparition de l'armée hollandaise en retraite accélérée, ce qui les oblige à reculer pour s'aligner sur l'armée française.

À signaler qu'une mission de liaison française dirigée par le général Champon est arrivée au grand quartier général belge dès le premier jour de l'offensive allemande[10], le roi Léopold III ayant accepté que l'armée belge lie sa stratégie à celle de l'armée française. Dès le 12 mai, l'armée belge, ainsi que le petit corps expéditionnaire anglais, retraitent pour tenter de reformer un front cohérent avec les Français qui reculent après qu'une panique ait saisit des troupes françaises à Stonne face à la Wehrmacht qui procède par attaques répétées de chars qui percent les lignes alliées avec l'appui d'une aviation dominatrice. Poutant, à Gembloux, c'est une victoire française et, sur la Dendre, les Belges tiennent bon pendant trois jours. Mais il n'y a pas de tactique alliée pour contre attaquer avec des chars du fait de conceptions inadéquates face à la stratégie allemande de percées étroites et puissantes exécutées par des chars qui disloquent le front allié dont les états-majors s'obstinent à vouloir maintenir leurs troupes suivant un dispositif linéaire. Aussi, ces deux succès ne sont que des batailles d'arrêt suivies de nouveaux replis. Finalement, sur la Lys, l'armée belge résiste encore cinq jours sans reculer, alors qu'elle est abandonnée sur sa droite par les Anglais en retraite accélérée vers Dunkerque.

Les Allemands disposent d'un matériel blindé plus évolué et mieux commandé que celui des alliés et ils atteignent la mer, encerclant le gros de l'armée française, la British Expeditionary Force et l'armée belge. Les munitions manquent, les vivres et l'eau aussi. La situation sanitaire est déplorable, le typhus menace quelque 2 millions de réfugiés. Une grande partie du parlement et du gouvernement belges sont dans la nature. Seul le roi Léopold III et quelques ministres belges (notamment, le premier ministre Pierlot et le ministre des affaires étrangères Spaak) sont capables de prendre une décision. Finalement, après l'entrevue de Wijnendael avec ces deux ministres, le roi choisit la reddition de l'armée au terme d'une campagne des dix-huit jours (28 mai 1940). L'objectivité commande d'insister sur le fait qu'il avait annoncé que l'effondrement belge devenait inévitable en écrivant en urgence au roi d'Angleterre par une lettre personnelle confiée à l'attaché militaire anglais et en communiquant par radio avec le général Blanchard, commandant l'armée française du Nord. Ceci est détaillé" dans le livre de l'amiral Keyes "Un règne brisé", et aussi dans le livre du colonel français Rémy "Le 18e jour". Rémy, un gaulliste de la première heure, condamne la dénonciation par le président français Paul Reynaud de l'attitude du roi qu'il expose à la vindicte des Français en prétendant ne pas avoir été tenu au courant. Mais il ne s'agit pas d'armistice entre gouvernements belge et allemand. Au contraire du maréchal Pétain, chef de l'État français, qui conclura, un mois plus tard, un accord politique avec l'Allemagne nazie, le roi se refuse à toute entente avec l'Allemagne et est donc « prisonnier de guerre ». Il est alors déclaré « dans l'impossibilité de régner » par le gouvernement en exil d'Hubert Pierlot, cela selon les termes de la Constitution belge qui dispose que, dans le cas de la perte par le roi de sa liberté d'action, son pouvoir doit être exercé collégialement par le gouvernement. Les clauses de la reddition postulent la fin de toute activité militaire belge, entraînant la déportation en Allemagne de 215.000 prisonniers de guerre.

Mais l'armée va se survivre à travers l'Armée Secrète (A.S.), organisation clandestine fondée par des officiers et soldats qui ont échappé à la captivité ou qui ont pu s'évader. Beaucoup de membres de l'A.S. payeront chèrement leur action d'espionnage et de sabotage. Ils sont arrêtés, torturés, déportés, mis à mort. Un monument à leur mémoire se dresse à Bruxelles, devant le siège du Conseil d'État, dit "monument des treize colonels". Le roi, quant à lui, va protester contre les déportations par des lettres à Adolf Hitler. En réponse, il est menacé d'être lui-même déporté, ce qui finira par arriver en 1944. Entre temps, les actes de guerre de l'Armée secrète et d'autres organisations de résistance se sont développés, soutenus par le gouvernement belge en exil à Londres (après que Pierlot et Spaak, d'abord réfugié en France, aient dû traverser clandestinement l'Espagne, cachés dans le double fond d'une camionnette, afin d'échapper au gouvernement franquiste qui pouvait les livrer aux allemands). De Londres, le gouvernement patronne une effort de guerre qui s'illustre par trois escadrilles belges dans la Royal Air Force, tous les navires belges mis au service des alliés, de même que les richesses du Congo belge (notamment l'uranium). En plus, des troupes du Congo attaquent et refoulent les Italiens d'Abyssinie, remportant les victoires de Bortaï et de Saïo, tandis qu'une force terrestre est reconstituée en Angleterre sous le commandement du colonel Piron. Elle participera à la libération du nord de la côte française et à celle de la Belgique. A la fin de la guerre, près de 100.000 Belges sont mobilisés contre l'Allemagne à travers le monde, en plus des effectifs de la Résistance intérieure. Ce chiffre englobe les troupes terrestres du colonel Piron, ainsi que les services, mais aussi les troupes d'Afrique du général Gilliaert victorieuses des Italiens. Sont inclus également dans ce chiffre les trois escadrilles et les marins de la marine marchande.

Pendant toute la guerre, les réseaux de résistance nés spontanément en Belgique sont alimentés en informations et consignes à travers des émissions codées (les messages personnels) de Radio Belgique depuis Londres, ainsi que par des parachutages d'armes et d'agents. Parmi les réseaux de résistance, l'Armée Secrète. De par sa nature spécifiquement militaire elle s'attachera à noyauter certains milieux en rapport avec les Allemands, mais favorables aux alliés, pour installer un réseau de renseignements et de sabotages de nature militaire. C'est aussi elle qui constituera les maquis ardennais, l'Ardenne étant la seule région du pays apte à accueillir une guérilla. Les communications de l'Armée Secrète avec le gouvernement belge de Londres se faisaient par radio et aussi par le transfert d'hommes et de matériels effectués avec des avions légers Lysander reliant la Belgique à l'Angleterre par des liaisons nocturnes utilisant de petits aérodromes clandestins improvisés dans des endroits isolés.

Effectifs et matériels

En 1940, 650 000 hommes avec, en plus 10 000 des gendarmes équipés comme infanterie légère et destinés à faire la police de l'armée (prévôté), mais entraînés pour combattre l'ennemi, surtout dans le cas de parachutistes, et 50 000 jeunes recrues du contingent de 1940, mais qui seront envoyées en France dès le 10 mai pour y suivre un entraînement que l'on n'aura pas le temps de leur apporter. La totalité des effectifs traduit un effort considérable puisque les mobilisés représentent 8% de la population totale de la Belgique, soit 46% de la population masculine entre 20 et 40 ans. Il s'agit d'un effort de mobilisation supérieur, statistiquement parlant, à celui des alliés.

Chenillette T13 capturée. Cet engin de 5 tonnes est armé d'un canon antichar de 47 mm. Environ 200 exemplaires furent mis en service à partir de 1934. Certains furent réutilisés par l'armée allemande après leur capture[11].
Tracteur d'artillerie de l'armée belge capturé par l'armée allemande.
Un AMC 35 en flammes. Neuf de ces chars légers français ont été livrés à la Belgique. Huit ont participé a la bataille et quatre furent détruit au combat.

Des soldats démobilisés en 1940

Alors que la guerre commence pour la Belgique, et que la bataille de France va suivre, des catégories de soldats ont été démobilisées depuis 1939 sous des pressions de parlementaires. Sont démobilisés :

  • les mineurs (un régiment du Hainaut perdit 700 hommes renvoyés à leurs mines);
  • les ingénieurs des mines (officiers de réserve de l'Artillerie et du Génie);
  • les pères de trois enfants et plus;
  • les membres du service de santé;
  • certains fonctionnaires des cabinets ministériels;
  • les « compétences » nécessaires à l'industrie nationale.

Des armes anciennes et quelques équipements modernes

Les soldats de la 2e réserve trouvent leurs armes dans les dépôts de la Première Guerre mondiale. Ils sont équipés :

  • des fusils Mauser de 1889 (en bon état);
  • des mitrailleuses Colt (moins bons);
  • des fusils-mitrailleurs français Chauchat, que les combattants de la Grande Guerre abandonnaient à cause de leurs (innombrables) enrayages.

D'autre part, les chiffres suivants, en armement moderne de l'armée belge, sont tirés du livre allemand "Le Mythe de la guerre éclair" de Karl Heinz Frieser.

  • 1.338 pièces d'artillerie, dont 80 canons Bofors antiaériens.
  • 270 chars légers moyennement blindés mais dotés de canons capables de percer les blindés allemands.
  • 200 véhicules blindés sur chenillettes, les T13 équipés de canons de 47 mm réputés excellents. Les Chasseurs ardennais en furent dotés en quantité limitée, ce qui leur permit, le 10 mai, de mettre en échec des troupes allemandes déposées par planeurs sur les arrières belges à Witry.

Les chenillettes T13 furent utilisées sur la Dendre et, surtout, pendant la bataille de la Lys, durant laquelle leurs canons révélèrent leurs qualités antichars. Il convient de noter que des chars mi-lourds avaient été commandés en France en 1938 sous le nom d'autos blindées (terme choisi dans le but de dissimuler aux espions allemands la tactique nouvellement choisie de renforcer l'arme blindée dans le but d'offrir des moyens accrus de contre attaque contre l'armée allemande que l'on savait orientée vers l'utilisation de blindés). Mais, à part neuf exemplaires, ces blindés ne furent jamais livrés.

  • 377 avions dont seulement un tiers d'appareils modernes.

L'aviation

  • 60 chasseurs modernes avaient été commandés aux États-Unis, mais ne furent pas livrés à temps.
  • On compte, au moment de l'attaque allemande, 377 avions, dont 140 appareils de combat n'en comprenant qu'une soixantaine pouvant être considérés comme modernes, quoique dépassés par les avions allemands sur le plan de la vitesse. Les deux tiers de ces appareils seront détruits au sol lors de l'attaque de la Luftwaffe du 10 mai. Les autres se sacrifieront, d'abord sur le canal Albert pour les bombardiers légers, les autres principalement pour le réglage à partir d'avions des tirs de l'artillerie contre les divisions allemandes. Des Renard R.31, avion de conception et de fabrication belge, parviendront à mener une cinquantaine de mission d'observation et d'attaque au sol. Dans l'ensemble, les avions militaires qui réchapperont des combats, volant de terrains de fortune en terrains improvisés, finiront en panne de carburant et seront sabordés le 28 mai.

Cette force aérienne se répartit comme suit :

  • trois régiments d'aéronautique :
    • 1er Aé : six groupes de Reconnaissance, chacun d'eux était détaché auprès d'un Corps d'Armée. Matériel : des avions belges Renard R.31. Ces appareils furent utilisés pour des réglages de tirs d'artillerie et, faute de mieux, pour des attaques au sol.
    • 2(nd) Aé : trois groupes de trois escadrilles de chasse. Matériel très diversifié et généralement dépassé, exception faite des nouveaux chasseurs Hawker Hurricane.
    • 3e Aé : trois groupes de trois escadrilles de bombardement et de Recce de jour et de nuit. Matériel, essentiellement Fairey Battle.
  • deux compagnies d'aérostiers avec chacune un ballon captif

La DCA (défense anti-aérienne)

  •  ?x batteries de 105 mm.
  • 30 batteries de quatre canons de 75 mm qui étaient presque toutes de vieilles batteries allemandes de 88 mm "retubées", capables tout au plus d'atteindre des avions volant à 360 km/h à une altitude inférieure à 3 000 mètres.
  • 9 batteries de 6 canons de 40 mm achetés récemment chez Bofors pour combattre les appareils volant bas.
  • 4 batteries de projecteurs.

Annexes

Notes et références

  1. Anne-Claire de Gayffier-Bonneville, Sécurité et coopération militaire en Europe, 1919-1955, p.34.
  2. Pierre Grosser, Pourquoi la Seconde Guerre mondiale ?, Éditions complexe, p.200.
  3. Els Witte, Nouvelle histoire de Belgique, Volume II, p.168.
  4. Lucien Marchal, La mauvaise carte, Bruxelles, 1946, p.118
  5. M. Dumoulin, E. Gérard, M. van den Wijngaert, V. Dujardin, Nouvelle histoire de Belgique, volume 2 : 1905-1950, Éditions complexe, p.169.
  6. M. Dumoulin, M. van den Wijngaert, V. Dujardin, Léopold III, Éditions complexe, p.173.
  7. "SERVIR", Général Gamelin, 3 volumes, éd. Plon, Paris 1946
  8. "LE 18e JOUR" ,Colonel Remy, éd. France-Empire, Paris 1976.
  9. "LA SECONDE GUERRE MONDIALE", Pierre Miquel, éd. Fayard, Paris 1986.
  10. "LEOPOLD III EN L'AN QUARANTE", Jean Cleeremans, page 72, éd. Didier Hatier, Bruxelles 1985
  11. (en) Belgium Armor

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