Septmoncel

Septmoncel

46° 22′ 18″ N 5° 54′ 50″ E / 46.3716666667, 5.91388888889

Septmoncel
Administration
Pays France
Région Franche-Comté
Département Jura
Arrondissement Saint-Claude
Canton Saint-Claude
Code commune 39510
Code postal 39310
Maire
Mandat en cours
Raphaël Perrin
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes Haut-Jura Saint-Claude
Démographie
Population 648 hab. (2006)
Densité 33 hab./km²
Géographie
Coordonnées 46° 22′ 18″ Nord
       5° 54′ 50″ Est
/ 46.3716666667, 5.91388888889
Altitudes mini. 448 m — maxi. 1 281 m
Superficie 19,4 km2

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Voir la carte administrative

Septmoncel [sɛmɔ̃sɛl][1] est une commune française, située dans le département du Jura et la région Franche-Comté. Ses habitants sont appelés les Septmoncelands et les Septmoncelandes.

Sommaire

Géographie

Vue panoramique de Septmoncel

Localisation

Septmoncel est situé dans le Jura, à proximité de la Suisse (à 50 km de Genève par la route et 23 km à vol d'oiseau). C'est une commune du canton de Saint-Claude, ce village fait partie du Parc Naturel Régional du Haut Jura et de la communauté de communes des « Hautes Combes ». Il fut notamment la patrie de Désiré Dalloz, célèbre jurisconsulte. Situé en surplomb de Saint Claude, Septmoncel est un village à flanc de coteau.

Communes limitrophes

Topographie

Septmoncel se situe à 960 m d'altitude, à environ 4 km à vol d'oiseau au sud-est de la ville de Saint-Claude.

Hydrologie

Géologie

Histoire

Vers 500 - Dans un récit sur la vie de 3 moines de l'abbaye de Saint-Claude (Romain, Lupicin et Oyen), on décrit le secteur de Septmoncel comme :
« Une forêt immense coupée de rochers effrayants, peuplée de cerfs et d'ours qui séparait Saint-Claude des plaines de l'Helvétie et que ne traversait aucune route ". » Ce territoire était vierge d'habitants.

Vers 800 - C'est l'époque des premiers défrichements. Les toponymes Chaux Berthod, Selmembergs, Manon, témoignent de ces premières mises en valeur conduites par des dignitaires de l'abbaye de Saint-Claude (Belthodus, Mainberthus et Manon).
Septmoncel au cours de cette période et des siècles suivants fait partie intégrante des terres de Saint-Claude dite " la grande Cellerie " Les Septmoncelands sont alors " mainmortables " : le paysan est privé de la faculté de disposer de ses biens et de léguer par testament à d'autres qu'à ses descendants directs vivant sous le même toit. Ce droit condamne les familles à une cohabitation perpétuelle et soumet le secteur à un servage strict.

1245 - La bulle du pape Innocent IV confirme les privilèges de l'abbaye de Saint-Claude et mentionne l'église de Septem Acervis (littéralement : Sept Monceaux). La paroisse est immense et s'étend sur les communes actuelles de Septmoncel, Lamoura, Lajoux, Les Molunes, Prémanon, une partie de Les Rousses ainsi que quelques territoires situés actuellement en Suisse.
L'Église est consacrée à saint Étienne.

1324 - Les combats, les enlèvements de bestiaux et les incendies étant incessants entre les habitants de Gex et de Septmoncel, Hugard II de Joinville, seigneur de Gex et l'abbé Jean de Roussillon décident de signer un traité de paix à Mijoux.

1349 - Une colonie de Dauphinois s'installe dans la région et introduit un fromage bleu persillé analogue au Sassenage (Bleu du Vercors-Sassenage).

1349 - La peste décime la population de Septmoncel qui devient presque un désert.

Vers 1500 - Après un dépeuplement, le XVIe siècle voit une époque de prospérité pour le secteur. Les défrichements sont encouragés.

1535 - François Ier envoie des renforts à la ville de Genève assiégée par le duc de Savoie. Une armée forte de 600 hommes bat en retraite dans la forêt de la Frasse, est poursuivie et massacrée. Cette forêt a pris depuis le nom de Forêt du Massacre.

1612 - Par le traité d'Auxonne, la Valserine devient la frontière entre la Franche-Comté et la France.

1639 - Les troupes françaises commandées par Philippe de La Mothe-Houdancourt dévastent la paroisse et brûlent Septmoncel et Montépile.

1679 - Traité de Nimègue : la Franche-Comté devient française.

1682 - Construction de l'église actuelle dédiée à saint Étienne.

1765 - 30 avril, naissance du futur général d'Empire, Jean-Joseph Gauthier.

1766 - 25 février, naissance au Voué du futur général d'Empire, Jean-Pierre Gauthier dit Leclerc.

1771 - L'assemblée de la paroisse décide son adhésion à la requête de Christin contre la mainmorte. Elle donne pleins pouvoirs à cet avocat, soutenu par Voltaire, pour la représenter en procès contre l'abbé de Saint-Claude devant le parlement de Besançon. Ils seront déboutés de leur demande en 1775.

1788 - La communauté de La Darbella se détache de Septmoncel et est rattachée celle de Prémanon.

1789 - La communauté de Les Molunes se détache à son tour et devient une commune.
Dans la nuit du 4 août, l'assemblée constituante abolit la mainmorte. Les derniers serfs du Haut-Jura sont affranchis.

1790 - Le curé Ambroise Dalloz refuse de prêter serment à la constitution civile du clergé. Il célèbre le culte notamment aux grottes des Cressonnières et dans une cave de grenier fort sur le Frêne. Jusqu'en 1789, des prêtres réfractaires ont trouvé refuge dans la montagne avec la complicité d'une partie de la population.
Le 11 février, le premier maire de Septmoncel se nomme Jean-Baptiste Duraffourg (orthographié "Durafourt" sur le compte-rendu de la première Assemblée Générale des Citoyens) Il est élu au suffrage censitaire par 111 voix pour 170 votants. Cette assemblée générale se tient à l’église, "après avoir entendu la messe", sous la présidence du curé Dolard, la Salle commune ayant des problèmes d’étanchéité.

1792 - Le conseil de la municipalité nomme deux officiers municipaux pour procéder au désarmement des gens suspects. Les Septmoncelands s'enrôlent nombreux dans les armées de la Révolution.

1795 - Naissance le 12 août du jurisconsulte Désiré Dalloz.

1814-1815 - Les Autrichiens envahissent et commettent pillage et destruction sur le plateau. Les habitants de Septmoncel se réfugient à la Baume des Sarrazins.

1826 - Le 28 septembre, un incendie détruit 19 maisons du village.

1839 - Par ordonnance royale du 21 octobre, Lamoura et Lajoux se séparent de Septmoncel et deviennent communes[2].

1841 - Un ouragan emporte 10 maisons, renverse 2000 sapins et blesse grièvement 3 personnes.

1858 - Fin des travaux de création de la route des « lacets de Septmoncel » commencés en 1835. Auparavant le trafic piétons se faisait par le "chemin des Grès" (via gradum) ou " chemin des moines " parce que ces moines l'empruntaient depuis le Ve siècle pour se rendre à Genève, Romainmôtier ou à l'Abbaye territoriale de Saint-Maurice d'Agaune.

Rousset dans son Dictionnaire géographique dit, de Septmoncel :
« Village assez mal bâti, aux rues irrégulières, étroites, sans alignement, non pavées ou mal pavées et dont le sol, inégal et raboteux, ressemble, en temps de pluie, au lit d'un torrent. Les maisons, construites en pierre, se composent généralement d’un rez-de-chaussée et d’un étage ; elles sont toutes couvertes en bardeaux de sapin. À ce défaut d’alignement et de régularité des rues qui donne au village un aspect désagréable, se joint l’absence complète de fontaines jaillissantes. La citerne de Mi-la-Ville, établie au milieu de la place, forme par sa voûte une saillie disgracieuse et gênante pour la circulation… »

1903 - Fondation de la mutuelle électrique du Haut Jura par les lapidaires et commerçants de Septmoncel. Albin Lançon a joué un rôle important.

1914-1918 - 35 morts pour la France.

1919 - Création des ateliers coopératifs des ouvriers lapidaires de Septmoncel qui comprennent 150 associés. Deux coopératives de consommation " la Fraternelle " (les rouges) et "la Ruche " (les blancs) ouvrent des magasins au village de Septmoncel.

1930 - Construction du groupe scolaire.

Juin 1940 - Premier passage d'une colonne allemande qui stationne un jour et une nuit sans commettre d'exactions.

1943 - Un maquis se constitue aux Eterpets. Le ravitaillement en est assuré par la "Frat" (La Fraternelle : coopérative d’alimentation fondée en 1881 par le cercle ouvrier de Saint-Claude).

1944 - Le 17 juin, Léon Mandrillon (chef de l'Armée secrète du Haut-Jura) et son fils Julien sont abattus par les Allemands et leur maison incendiée.
Roger Mandrillon et un instructeur sont déportés.

1944 - Le 20 juin, le Saut du Chien est dynamité par le groupe "Théo".

1966 - Adduction d'eau avec le syndicat des Eaux des Rousses.

2001 - Inauguration d'un nouveau centre de Secours.

2002 - Inauguration du Cantou (foyer logement pour personnes âgées).

Administration

Sous l’Ancien Régime, jusqu'à la Révolution Française, l'administration des subdivisions administratives (à peu près une ville, un village) était confiée à quelques habitants sélectionnés qui achetaient auprès du roi «le droit de gouverner tous les autres», L'administration est collégiale, répartie entre des notables siégeant de droit et d'autres désignés par des corporations de métiers. Le pouvoir municipal est donc une oligarchie. Le maire est nommé et beaucoup ont cherché à se dérober à cette fonction ressentie comme une charge.

L'institution des maires en France s'est faite par décrets de l’Assemblée constituante des 14,19 et 30 décembre 1789. Selon les époques et les régimes politiques, trois modes différents ont été utilisés pour la désignation du premier magistrat de la commune :

  1. élection directe par tous les électeurs de la commune (mode originaire)
  2. nomination autoritaire par le pouvoir d'État
  3. élection par le Conseil Municipal de l'un de ses membres (mode actuel)
Liste des maires depuis la Libération
Période Identité Étiquette Qualité
1944 1947 Arthur Mandrillon   Lapidaire
1947 1983 Maurice Benoît-Gonin   Notaire
1983 1990 Jean-Paul Barbe   Commerçant en matériel de ski, démissionnaire avec une partie de son équipe.
Construction d'une piste de ski à roulettes "au Replan"
1990 2001 Marie-Thérèse Gruet-Masson   Institutrice
Première femme maire de Septmoncel
mars 2001 réélu en 2008[3] Raphaël Perrin    

Démographie

Évolution démographique
Années 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
Population 3243 2986 2805 2728 2922 2911 1302 1362 1345
Années 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
Population 1352 1319 1300 1320 1310 1319 1372 1452 1456
Années 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
Population 1414 1444 1346 1248 1210 1065 869 801 767
Années 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 - -
Population 739 726 655 606 606 658 648 - -
Notes, sources, ... Population sans doubles comptes de 1962 à 1999 ; population municipale en 2006
Sources : Insee, Ehess[2]
Courbe d'évolution démographique de Septmoncel depuis 1793

Économie

Site vu du Saut du Chien, Altitude 708m, profondeur 70m

L'économie de Septmoncel est tout entière dépendante et indissociable de la taille des pierres fines.

  • Au XVIIe et XVIIIe, l’horlogerie est l’industrie dominante à Septmoncel. Elle est abandonnée en 1812.
  • C'est vers 1735 qu'un nommé Michaud des Thoramy (hameau de Septmoncel à l'époque) taille "sans art quelques pierreries que Genève employa dans des bijoux". Il a l'idée de façonner des pierres percées d'un trou servant de contre-pivot pour l'horlogerie. C'est le début du lapidaire.
  • Vers 1770 Gauthier-Clerc et Dalloz-Furet vont vendre leur production à Paris.
  • En 1817, Chevassus-Berche aîné introduit la taille des topazes et des améthystes.
  • En 1822, Claude Marie David jeune introduit à son tour la taille des rubis et des émeraudes.
  • En 1858, il y a environ 500 ouvrier(es) lapidaires à Septmoncel. Les principaux marchands lapidaires à cette époque sont : Emmanuel David-Talon, Victor Benoit-à-la-Guillaume, Auguste Joz-Roland, Xavier Regad, Joseph-Marie Vuillerme et Eléonor Gruet.

Actuellement, l'usine lapidaire Dalloz est la principale industrie de Septmoncel.

Septmoncel est également le nom donné à un fromage local, plus connu sous l'appellation bleu de Gex.

Humbert II du Viennois, cèda le Dauphiné au roi de France, Philippe VI en mars 1349. Ce dernier respectera les libertés régionales, en particulier celles des Juifs, qui émigrèrent malgré tout prudemment vers la Provence. En effet, le 14 février, des pogroms à Strasbourg en avaient brûlé 900 ! Les paysans dauphinois refusèrent eux aussi de devenir français et vinrent s'installer dans les vallées du Haut-Jura, alors espagnol. Ils développèrent la fabrication de fromages à pâte persillée analogue au Sassenage dans cette région montagneuse, à la terre aride, qui ne permettait que l'élevage du mouton et de chèvres. Pendant de nombreuses années, leur production fromagère, « une affaire de femmes », resta très faible. Un Evêque de l'Abbaye de Saint-Claude les incitèrent à produire ces fromages et aida à leur diffusion.

On prétend que ce Bleu était le fromage préféré de Charles Quint, alors maître de la Franche-Comté et grand amateur de fromage.

Divers auteurs soulignent les difficultés de cette implantation fromagère : les populations étaient constamment menacées par des hordes guerrières ou des pillards et les prairies étaient « incapables de nourrir même d’aussi petites vaches ». De plus, ces populations restèrent mainmortables jusqu'à l’abolition du servage en 1789 (nuit du 4 août) Alors, le paysan, devenu libre et propriétaire de sa terre, put entreprendre culture, élevage et production avec un profit qui favorisa la fabrication et le développement de ce fromage.

  • En 1791, l’avocat et député Christin présenta à la Constituante un rapport défendant le maintien des activités des salines de Montmorot, dont la production était nécessaire aux fabrications de fromages de “Septmoncel”.
  • En 1808, une délibération du conseil d’arrondissement de Saint-Claude mentionnait les "Septmoncel" comme les fromages les plus courants dans la contrée.
  • En 1859, vingt trois communes de l’arrondissement de Saint-Claude en produisaient 253 tonnes.
  • Au début du XXe siècle, les fruitières se multiplient jusqu’à en compter 30 sur l’ensemble du Haut-Jura dans les années 50.
  • En 1935, une banale affaire commerciale est portée devant la justice. La décision du tribunal de Nantua du 26 juillet 1935 définit clairement le Bleu de Gex et fixe une aire exclusive de fabrication. Cette AOC est confirmée par décret le 29 décembre 1986.
  • En 1948, certaines fruitières créent une coopérative de négoce pour écouler le Bleu.

De fabrication artisanale, le Bleu de Septmoncel est encore produit dans des petites laiteries montagnardes selon les méthodes traditionnelles employées au XIVe siècle. Il est fabriqué exclusivement à partir de lait de vaches Montbéliardes ou Pie rouge des montagnes, se nourrissant d'herbages et de fourrages récoltés sur place. Il bénéficie d'une appellation d'origine contrôlée, Bleu de Gex ou « Bleu de Septmoncel » ou « Bleu du Haut-Jura » obtenu par décret le 20 septembre 1977.

Lieux et monuments

Le Chapeau de Gendarme
  • Le chapeau des gendarmes
    • Le site

Dans les lacets de Septmoncel, route sinueuse traversant le village à une dizaine de kilomètres de Saint-Claude, se trouve le "Chapeau de Gendarme". Cette curiosité géologique rappelle la forme du chapeau porté par les gendarmes sous la révolution. Elle est très spectaculaire en hiver avec la formation d'une cascade de glace.Cet anticlinal serré n’affecte qu'un plissement de quelques mètres de calcaires.

Formationchapeau (104).gif
    • Explications géologiques

Lors du plissement, les couches les plus récentes ont glissé le long du flanc de l’anticlinal de "Sur les Grès" et se sont reployées au fond du synclinal de Septmoncel. Les géologues emploient le terme de "Collapse structure" pour désigner ce type de phénomène. Aujourd’hui, une autre explication parait plus vraisemblable et correspond à des interprétations courantes en d’autres points du massif : Le Chapeau de Gendarme et son décollement sur les argiles purbeckiennes est la conséquence du chevauchement de l’anticlinorium des Molunes. Son front est en évidence au "Pli en Champignon de la Cernaise". Des kilomètres cubes de calcaires compacts, sur une hauteur de plusieurs centaines de mètres, se sont avancés de un à deux kilomètres sur le compartiment du lieu-dit "Sur les Grès" décollant les couches superficielles plus malléables du crétacé inférieur.

Formationchapeau2 (105).gif

Ainsi le couple "Pli en Champignon de la Cernaise" et "Chapeau de Gendarme" montre à petite échelle l’équivalent d’un prisme d’accrétion identique à la formation du Jura, décollé au niveau des couches de sel du trias, devant la poussée des massifs externes des Alpes sur la couverture secondaire du Jura. Ceci est un exemple rare des phénomènes mécaniques dus à la collision de deux masses géologiques : l'une jeune (les Alpes), l'autre déjà vieille (le Jura).

Personnalités liées à la commune

  • Désiré Dalloz (Septmoncel 1795 - Paris 1869) : juriste, avocat et homme politique ; cofondateur, en 1845, avec son frère Armand (1797 - 1857), de la maison d'édition (spécialisée en droit juridique) Dalloz.

MILITAIRES

  • Etienne Joseph Cretin (Septmoncel 1777 - +?) : Officier d'infanterie. Le 11 décembre 1813, il s'empara de positions anglaises à la bataille de La Nive.
  • Jean Alexis Delacroix (Septmoncel 1766 - +?) : Capitaine, plusieurs fois blessé au cours de 32 ans de campagnes
  • François Gauthier (Septmoncel (1719) - (Charleville) Mézières 1801): Fusilier.
  • Jean-Joseph Gauthier (Septmoncel (Montépile) (1765) - Ruffey-sur-Seille (1815) : Général et baron du Premier Empire.
  • Jean-Pierre Gauthier (alias Gauthier-Leclerc) (Septmoncel (1766 - Marnes (Deux-Sèvres) (1821) : Général et baron du Premier Empire (nom gravé sous l'Arc de Triomphe de l'Etoile).
  • Jean Marie Philibert Vuillerme (alias Willermé) (Septmoncel 1762 - Nimègues +?) : Colonel. Lieutenant volontaire du Doubs en 1792, armée du Rhin et d'Italie, campagne d'Autriche.
  • Pierre Alexis Vuillerme (Septmoncel ? - +?) : Capitaine.

Voir aussi

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Sources

septmoncel.fr

Liens externes

Bibliographie

  • Archives communales de Septmoncel.
  • Histoire d'un siècle de notre village : Conseil Municipal des Jeunes (CMJ) de Septmoncel.
  • Sur les pas de Désiré Dalloz conférence en 1995 pour le bicentenaire de la naissance du jurisconsulte : Me Benoit-Gonin ancien Maire.
  • Archives Départementales du Jura, Lons le Saunier.
  • Dictionnaire géographique, historique et statistique des communes de la Franche-Comté et des hameaux qui en dépendent : Alphonse Rousset.
  • "Les maires en France XIXe-XXe. Histoire et sociologie d'une fonction" éd. Fayard - 1993 : André Chandernagor.
  • "Les Francs-Comtois et l'Empire" éd. L'intermédiaire des chercheurs et curieux - 2004 : Jean-Marie Thiébaud - Thierry Choffat - Gérard Tissot-Robbe.
  • "Images et chroniques du Haut-Jura (1872-1944)" éd. Beaumes-Rives - 1986 : Michel Bailly.
  • [9] "Curiosités géologiques"éd. Parc Naturel du Haut-Jura - 1988

Notes

  1. Jean-Marie Pierret, Phonétique historique du français et notions de phonétique générale, Peeters, Louvain-la-Neuve, 1994, p. 104.
  2. a et b Ehess, notice communale de Septmoncel sur la base de données Cassini, consultée le 28 juin 2010
  3. Préfecture du Jura, Liste des maires élus en 2008, consultée le 2 mai 2010

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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Septmoncel de Wikipédia en français (auteurs)

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