- Schlettstadt
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Sélestat
Sélestat
DétailAdministration Pays France Région Alsace Département Bas-Rhin (Strasbourg) Arrondissement Sélestat-Erstein (chef-lieu) Canton Sélestat (chef-lieu) Code Insee abr. 67462 Code postal 67600 Maire
Mandat en coursMarcel Bauer
2008-2014Intercommunalité C.C. de Sélestat Site internet www.ville-selestat.fr Démographie Population 19 837 hab. (2006) Densité 447 hab./km² Gentilé Sélestadien(ne)s Géographie Coordonnées Altitudes mini. 165 m — maxi. 184 m Superficie 44,40 km² Sélestat (avant 1920 Schlestadt ; en allemand Schlettstadt, prononcé en dialecte alsacien Schlettstàdt) est une commune française située dans le département du Bas-Rhin et la région Alsace. Ses habitants sont appelés les Sélestadiens.
Sommaire
Géographie
Sélestat se trouve au centre de l'Alsace, à 22 km au nord de Colmar et 47 km au sud de Strasbourg. Située sur la rive gauche de l'Ill, la ville s'adosse au massif vosgien, mais son relief reste très uniforme puisque les altitudes s'échelonnent de 165 à 184 m.
Elle communique avec la Lorraine par le tunnel Maurice-Lemaire appelé aussi le tunnel de Sainte Marie-aux-Mines. Saint-Dié-des-Vosges est à 43 km à l'ouest. La ville se trouve à proximité de l'Allemagne, à une vingtaine de kilomètres à l'est.
Une nature préservée aux portes de la ville. L'Illwald, Réserve Naturelle Régionale du Ried de Sélestat, compte parmi les plus grandes forêts alluviales d'un seul tenant en France : 1 500 hectares de verdure, d'arbres majestueux et une faune exceptionnelle qui se dévoile au regard des plus attentifs. Elle abrite l'une des plus grandes populations de daims sauvages en France. Ce site d'une formidable richesse patrimoniale et naturelle est reconnu au niveau européen, comme en atteste son classement en site Natura 2000.
Le château du Haut-Koenigsbourg est situé à environ 12 km à l'ouest de Sélestat.
Histoire
Héraldique
Article connexe : Armorial des communes du Bas-Rhin.Les armes de Sélestat se blasonnent ainsi : « d'argent au lion couronné de gueules ».
Moyen-Âge
- La légende raconte que la ville a été fondée par le géant Sletto, d'où le nom allemand de Schlettstadt. La première trace écrite remonte au VIIIe siècle, mais le site fait alors partie du village de Kintzheim. L’expansion de la ville débute au XIe siècle, lorsque Hildegarde de Buren, mère du premier des Hohenstaufen, grand-mère de l'empereur Frédéric Barberousse, y fonde une église qui sera occupée à partir de 1094 par des moines de Conques, vénérant Sainte Foy. Ce prieuré dirige la ville jusqu’à ce que Frédéric II de Hohenstaufen accorde le statut de ville libre à Sélestat en 1217.
- Le pouvoir passe dès lors progressivement aux bourgeois. Les commerçants et les Sélestadiens font construire l'église paroissiale Saint-Georges à quelques mètres de l'église romane Sainte Foy. Cette église style gothique flamboyant fut construite entre 1220 et 1500. Sélestat prospère, devient membre de la Décapole en 1354 (jusqu'en 1679), agrandit ses fortifications, reçoit des ordres monastiques et fait du commerce.
- En 1521, à Sélestat, il est mentionné pour la première fois le sapin de Noël, ou arbre de Noël ou encore arbre du Christ. Le document est exposé à la Bibliothèque Humaniste. Il s'agit d'un livres de comptes datant du 21 décembre 1521 venant des archives de la ville.
Renaissance
- La Renaissance marque la période glorieuse de la ville qui devient une capitale de l’humanisme. Son école devient célèbre dans toute l’Europe. La Réforme, la Guerre des Paysans qui agite alors le Sud du Saint Empire, et celle de Trente Ans marquent le déclin de Sélestat.
- La ville est prise par les Suédois en 1632, occupée par les Français en 1634, officiellement annexée par Louis XIV (avec les autres villes de la Décapole) à la Paix de Nimègue en 1678. Elle sera entre temps fortifiée par Vauban en 1674. Sélestat devient ville garnison de l'armée française, et voit tous ses privilèges de ville libre disparaître, de même que son nom francisé.
Époque contemporaine
- La ville subit deux sièges par les Allemands[réf. nécessaire] en 1814 et 1815 et est à nouveau assiégée en 1870 lors de la guerre franco-prussienne. Suite à la défaite de Napoléon III à Sedan, comme toute l'Alsace et une partie de la Lorraine (département de la Moselle actuel), Sélestat fut reprise par les Allemands à partir de 1870. Elle connut alors un deuxième âge d'or. La ville fut une nouvelle fois réannexée à la France en 1918, à la fin de la Première Guerre mondiale, après qu'en novembre 1918, suite aux troubles liés à la vacance du pouvoir, un conseil de soldats et d'ouvriers ait tente de diriger Séléstat, peu avant l'arrivée des troupes françaises. Le 22 novembre, Séléstat redevenait française.
- Après la débâcle française de 1940, Sélestat est occupée par l'Allemagne nazie.
La libération de la ville commence en novembre 1944 suite à des bombardements américains sur les positions allemandes près de la gare. Le 1er décembre au soir, les premières divisions américaines atteignent la périphérie de la ville. En hâte, des commandos allemands font sauter trois ponts principaux de la ville. Le 2 décembre au matin, le quartier ouest est libéré puis le centre-ville dans l'après-midi. Cependant, la libération de la ville n'est pas terminée, les Allemands résistant fortement et le froid faisant son apparition. La ville fut définitivement libérée en février 1945, bien que la date du 2 décembre 1944 reste la date symbole pour les Sélestadiens.
- L'après-guerre fut le temps de la reconstruction pour Sélestat sous l'impulsion des maires Joseph Klein et Albert Ehm. Sous l'action du Dr Maurice Kubler, maire durant plus de quinze ans, la ville connut un véritable essor, s'affirmant comme la véritable capitale de l'Alsace centrale. C'est également en 1966 que le Dr Kubler signa le jumelage avec la ville de Waldkirch, véritable symbole de la réconciliation franco-allemande.
- L'année 1989 marqua une véritable révolution dans l'histoire de la ville puisqu'un maire socialiste, Gilbert Estève, fut élu. Ayant longtemps collaboré dans les cabinets parisiens aux plus hautes sphères du pouvoir, il entreprit un vaste programme de politique culturelle en lançant la construction d'une médiathèque intercommunale, d'un Fonds régional d'art contemporain d'Alsace (FRAC) et d'une grande salle de spectacle, les Tanzmatten. Il décéda en 1996 d'un cancer du poumon.
- C'est également au début des années 1990 que l'équipe de handball, le SC Sélestat, accéda à l'élite et permit à la ville de se faire connaître sur le plan national.
Administration
Liste des maires
Liste des maires successifs Période Identité Parti Qualité 1790 1791 André Schaeck 1791 1792 Ignace-Xavier Herrenberger 1792 1793 François Dutaillis 1793 1793 Daniel Bourdonet 1793 1794 François-Xavier Armand Lambla 1794 1795 François-Xavier Dinichert 1800 1807 François Ignace Schaal 1808 1811 François Dutaillis 1811 1813 Treuillé de Beaulieu 1813 1816 Joseph Armbruster 1816 1819 Jean-Baptiste Marande 1819 1820 Joseph Kubler 1820 1829 Joseph Amey 1829 1830 André Dispot 1830 1834 Antoine Cetty 1834 1840 Louis Rousset-Pomaret 1840 1850 Joseph-Benjamin Pannarun 1850 1852 Jean-Baptiste Spiess 1852 1853 Joseph-Georges Dengler 1853 1860 Pierre Lemaître 1860 1861 Fortuné Dispot 1861 1861 Marie-Charles Knol 1870 1872 Ignace-Xavier Albrecht 1872 1884 Charles Helbig 1884 1886 Alphonse Franck 1886 1893 Ignace Spiess 1893 1896 M. Boninger 1896 1905 Constant Schloesser 1906 1910 Nicolas Geissenberger 1910 1917 Jean Hartmann 1917 1918 Alphonse Scherer 1918 1925 Auguste Stoffel 1925 1935 Auguste Bronner 1935 1945 Jean Meyer 1945 1953 Joseph Klein 1953 1965 Albert Ehm MRP / UNR 1965 1983 Maurice Kubler 1983 1987 François Kretz [1] PR 1988 1989 Robert Weber PR 1989 1996 Gilbert Estève[2] PS 1996 2001 Pierre Giersch PS 2001 2008 Marcel Bauer RPR / UMP mars 2008 → en cours Marcel Bauer[3] UMP Toutes les données ne sont pas encore connues. Jumelages
- Charleroi (Belgique) depuis 1959
- Waldkirch (Allemagne) depuis 1966
- Grenchen (Suisse) depuis 1988
- Dornbirn (Autriche) depuis 2006
Population et société
Démographie
Évolution démographique
(Source : Cassini[4] et INSEE[5])1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 6 907 7 464 8 068 9 070 9 646 9 700 8 634 9 844 10 365 1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895 9 950 10 184 10 044 9 307 9 088 8 979 9 172 9 418 9 304 1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954 9 336 9 699 10 604 9 943 10 165 10 959 11 363 10 722 11 705 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 - - 13 818 14 635 15 248 15 112 15 538 17 179 19 837 - - Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes Manifestations culturelles et festivités
- Le Corso fleuri : au mois d'août, défilé de chars décorés de dahlias - en savoir + sur http://www.corso-selestat.fr
- Sélest'art : Biennale d'art contemporain, de la mi-septembre à la mi-octobre - en savoir + sur http://www.selest-art.fr
- Léz'arts Scéniques : Festival de musique, début août
- Festival Chansons en herbe[6], du jeudi 14 au samedi 16 mai 2009. Les Tanzmatten proposent six artistes émergents de la Chanson française et deux concerts décentralisés.
- Jeudi 14/05 à 20 h : Loane + K
- Vendredi 15/05 à 20 h : Bensé + Gérald Genty
- Samedi 16/05 à 20 h : Berry + Claire Denamur
- Mardi 12/05 à 20 h 30 : Bal Pygmée - Salle de l’Évasion, 1 Rue du Tabac, Sélestat.
- Vendredi 22/05 à 20 h 30 : Karavan orchestra - MJC Le Vivarium, 53 Route de Bassemberg, Villé.
Sport
La ville de Sélestat est essentiellement connue dans le monde du sport par son club de handball, le SC Sélestat handball, qui évolue depuis 1990 en première division LNH, l'élite du handball français. Éternel petit poucet du handball français, peu de spécialistes donnaient une quelconque chance au club du Centre-Alsace de se maintenir au plus haut niveau. Mais au fil des années, malgré un budget très serré, le club s'imposa comme l'une des valeurs sûres du championnat de France. Jouant avant tout le maintien, le club frôla néanmoins l'exploit lors de la finale de la coupe de France 1995, face à l'ogre de l'époque, l'OM Vitrolles. De même, en 2000, terminant à la cinquième place du championnat de France, Sélestat manqua de se qualifier pour une coupe d'Europe pour à peine deux points.
Équipé du COSEC Eugène-Griesmar (anciennement COSEC de l'Ill), qui peut contenir jusqu'à 2 000 spectateurs, le club est réputé comme étant l'un des meilleurs centres de formation français, ses équipes de jeunes évoluant au plus haut niveau. Ainsi, le SC Sélestat handball a formé nombre de cadres des équipes nationales françaises A ou Espoirs dont les plus connus sont Thierry Omeyer et Seufyann Sayad.
En 2002, Sélestat eût l'honneur d'organiser la première Coupe de la Ligue de handball. La ville fut aussi l'un des lieux de compétition du championnat du monde de handball UNSS.
Hormis le handball, l'athlétisme est l'un des autres piliers de la vie sportive sélestadienne avec l'Athlétic Club Centre-Alsace (ACCA), fondé en 1989, qui organise la course des "10 kilomètres de Sélestat" chaque année depuis 1992.
Les clubs de halthérophilie et de lutte font également à titre régulier la fierté de Sélestat puisque de nombreux jeunes halthérophiles et lutteurs sélestadiens se voient titrés lors de diverses compétitions nationales voire européennes.
Du point de vue des équipements, il faut noter l'existence des deux principales salles couvertes de la ville pouvant accueillir différents sports : le COSEC Eugène-Griesmar et le Gymnase Koeberlé. A la fin de la décennie, une troisième salle devrait voir le jour, essentiellement tournée vers l'activité handballistique. Pareillement, une nouvelle piscine sera construite en juillet 2009. Sélestat possède aussi un parcours de santé se situant dans un cadre forestier au bord de son cours d'eau le Giessen, ainsi qu'un stade municipal destiné aux équipes de football du SC Selestat football et d'athlétisme. Le club de tennis, quant à lui, possède des courts en terre battue et en dur. Enfin, traversée par l'Ill, Sélestat dispose d'un club de canoë-kayak.
Personnages célèbres nés à Sélestat
- Johannes Mentel ou Mentelin, (vers 1410-1478), imprimeur.
- Heinrich Kramer dit Heinrich Institoris, (1436-1505), religieux dominicain.
- Jacques Wimpfeling, (1450-1528), humaniste.
- Mathias Schurer, (1470-1519), imprimeur.
- Beatus Rhenanus, (1485-1547), humaniste .
- Paul Phrygio, également Sidensticker, Kostentzer, Costenzer, (* vers 1483, † 1. août 1543 à Tübingen), théologien de la Réforme.
- Martin Bucer, (1491-1551), réformateur allemand.
- François Ignace Schaal, (1747-1833), général de l'armée française pendant la Révolution française et l'Empire.
- François-Antoine Herman (1758-1837), diplomate de Napoléon Ier.
- Georges Antoine Keman, (1765-1830), peintre et miniaturiste.
- Baron Sébastien Birgy dit Perquit (1768-1856),Maréchal de camp , commandeur de la Légion d'Honneur, chevalier de l'Ordre royal et militaire de Saint-Louis.[7].
- François Pierre Amey (1768-1850), général de l'armée française pendant la Révolution française et l'Empire.
- Gaspard Eberlé (1764-1837), général de l'armée française pendant la Révolution française et l'Empire, gouverneur de Nice puis de Briançon, baron d'Empire.
- Eugène Koeberlé (1828-1915), pionnier de la chirurgie abdominale.
- Lazare Weiller (1858-1928), industriel et homme politique français sous la IIIe République.
- Heinrich Scheuch, (1864-1946), général prussien et ministre allemand de la Guerre.
- Alfred Oberkirch (1876-1947), homme politique et ministre français sous la IIIe République.
- Albert Merglen, (1915), général de l'armée française.
- Georges Kleiber, (1944), linguiste et enseignant.
- Pierre Kretz, (1950), romancier.
- Fabienne Keller, (1959), ancien maire de Strasbourg.
- Fabien Fond, (1971),joueur de basket ball.
- Seufyann Sayad, (1979), joueur de l'équipe de France de handball.
Économie
Un tissu économique diversifié
Un large panel d’activités composé à 60 % d’établissements de moins de cinq salariés mais aussi d’établissements de plus de 200 salariés.
- L’industrie
Tradition industrielle très forte avec de grandes entreprises comme la Société Alsacienne d’Aluminium, la Société Alsacienne de meubles (Cuisines SCHMIDT et CUISINELLA), Albany, Daramic ...
- L’artisanat
Un des principaux piliers de l’économie locale. L’artisanat emploi 20 % des actifs sélestadiens et d’Alsace Centrale (136 entreprises artisanales pour 10 000 habitants contre 115 pour 10 000 habitants à l’échelle de l’Alsace). Croissance marquée des secteurs du bâtiment et de la production.
- Le commerce
Localisé majoritairement en centre-ville et dans le Parc d’Activités Economiques Nord (grande distribution, commerces des biens d’équipements et de la personne). Zone de chalandise étendue et fidélisation croissante des populations de la zone d’Obernai-Erstein.
Un pôle d’emploi et de formation
La zone d’emploi de Sélestat constitue le troisième bassin d’emploi du Bas-Rhin. Les formations bac et post-bac à Sélestat et en Alsace Centrale sont diverses.
Des zones d’activités attractives et dynamiques
Les deux moteurs économiques locaux sont le Parc d’Activités Économiques Nord et la Zone Artisanale Sud, qui emploient 1 600 personnes chacune sur une superficie totale de 200 ha. Le Parc d’Activités Nord est dévolu, pour sa première tranche, aux activités industrielles et commerciales et, pour sa seconde tranche, à l’artisanat et aux services. Dans la Zone Artisanale Sud sont concentrées des entreprises du secteur artisanal, de l’industrie des biens intermédiaires ainsi que du secteur transport-logistique.
La ville vit aussi des revenus du tourisme, attiré par les monuments historiques de Sélestat même mais aussi des villages avoisinants.
Monuments et lieux touristiques
- Église romane Sainte-Foy.
- Église gothique Saint-Georges.
- Château d'eau.
- Bibliothèque humaniste.
- Remparts de Vauban.
- Beffroi du XIIIe siècle.
- Demeures du XVIe siècle.
- Lycée Docteur Koeberlé.
- Maison du pain.
- Tour des Sorcières.
- Halle aux blés.
- Fonds régional des arts contemporains d'Alsace (FRAC).
- Médiathèque intercommunale.
Château d'eau en forme de beffroi.
Émetteur de Sélestat
Au Sud-Ouest de Sélestat se trouve un grand émetteur d'ondes moyennes pour les fréquences 1161 kHz et 1278 kHz doté d'une puissance de 300 kW. Il utilise deux antennes directionnelles nettement visibles depuis l'autoroute en arrivant à Sélestat.
Chaque antenne consiste en trois pylônes isolés de la terre. Les pylônes pour l'émission sur 1161 kHz ont une hauteur de 60 mètres, les pylônes pour l'émission sur 1278 kHz ont une hauteur de 115 mètres. Les pylônes de chaque antenne directionnelle sont arrangés en une ligne légèrement coudée afin de couvrir la plaine d'Alsace.
Notes et références
- ↑ François Kretz meurt en cours de mandat d'une attaque cardiaque, fin 1987.
- ↑ Gilbert Estève meurt en cours de mandat d'un cancer du poumon, le 22 juin 1996.
- ↑ [pdf] Liste des maires au 1er avril 2008 sur le site de la préfecture du Bas-Rhin.
- ↑ http://cassini.ehess.fr/ Population par commune avant 1962 (résultats publiés au journal officiel ou conservés aux archives départementales)
- ↑ INSEE : Population depuis le recensement de 1962
- ↑ Chansons en herbe
- ↑ Dictionnaire des Contemporains, de G. Vappereau, 1861.
Voir aussi
Liens externes
- Site officiel
- Espace culturel et festif des Tanzmatten
- Office du tourisme
- Bibliothèque humaniste
- Illwald (réserve naturelle régionale du Ried de Sélestat)
- (fr) Sélestat sur le site de l'INSEE
Bibliographie
- Alexandre Dorlan, Histoire architecturale et anecdotique de Sélestat (Schlestadt) : les transformations d'une place forte alsacienne des origines à nos jours, Le Livre d'histoire, Paris, 2003, 3 vol. (XIX-480, X-580, 502 p.) (ISBN 2-84373-270-0) (vol. 1) ; (ISBN 2-84373-271-9) (vol. 2) ; (ISBN 2-84373-272-7) (fac simile de l'édition originale de 1912-1914)
- Jocelyne Fritsch, Sélestat : au cœur de l'Alsace, Éd. La Nuée Bleue, Strasbourg, 1993, 32 p. (ISBN 2-7165-0240-4)
- (de) Joseph Geny, Die Reichsstadt Schlettstadt und ihr Antheil an den socialpolitischen und religösen Bewegungen der Jahre 1490-1536 : Nach meist ungedruckten Quellen bearbeitet, Fribourg-en-Brigsau, 1900, 223 p.
- (de) Joseph Geny (Abbé), Geschichte der Stadt Schlettstadt, Heitz & Mundel, Strasbourg, 1905, 14 p.
- Docteur Maurice Kubler, maire, Sélestat en cartes postales anciennes, Bibliothèque européenne, Zaltbommel, 1978, 80 p.
- Joseph Logel, Victime du paradoxe, J. Do Bentzinger, 1990, 332 p. (ISBN 2-906238-18-X)
- Jules Pfister, La bataille de Sélestat : novembre 1944-février 1945 (traduction de Charles et Joséphine Rohmer ; adaptation de Maurice Kubler et Bernard Hamann), Alsacollections, Sélestat, 1994 (2e éd.), 55 p.
- Frédéric Pagès, La dispute de Sélestat, Le Verger éd., Illkirch, 2000, 63 p. (ISBN 2-908367-96-3)
- Anne Pradines et Christophe Meyer, Sélestat : l'équilibre des temps, Ville de Sélestat, 2006, 91 p.
- Sélestat, Éd. La Nuée bleue, Strasbourg, 2000, 142 p. (ISBN 2-7165-0526-8)
- Société des amis de la Bibliothèque de Sélestat (Bas-Rhin), Histoire de l'enseignement secondaire à Sélestat, Impr. Alsatia, Sélestat, 1969, 198 p.
- Paul Adam, L'Humanisme à Sélestat, Imp. Alsatia, Sélestat, 1978.
- Magazine "En Alsace", n°30, Sélestat une pure Alsacienne, sept.oct.2003, p.68 à 88.
- Histoir de Sélestat, de F M KENTIZINGER
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