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Université Rennes 2 Haute Bretagne
Université Rennes 2 Haute Bretagne Informations Fondation 1969[1] Type Université publique Budget 30 035 867 €[2] Localisation Rennes, St-Brieuc,
Bretagne,
FranceCampus Villejean, La Harpe, St-Brieuc Régime linguistique Français Fondateur François II[3] (Héritière de l'Université de Bretagne fondée en 1461) Président Marc Gontard[4] Personnel 1095[2] Enseignants 645[2] Étudiants 17 380[2] Premier cycle 11 760[2] Deuxième cycle 3 956[2] Troisième cycle 509[2] Affiliation Université européenne de Bretagne[5]
Site web www.univ-rennes2.fr modifier L’Université Rennes 2 Haute Bretagne, ou plus couramment Rennes 2, est une université publique située à Rennes en France. Elle est avec l'Université Rennes 1 l'une des deux universités rennaises. Elle a été créée en 1969, issue de l'ancienne faculté de lettres de l'Université de Rennes dont l'origine remonte à la création de l'Université de Bretagne en 1460 à Nantes.
Son campus principal est situé au nord ouest de Rennes dans le quartier de Villejean, comme l'autre campus situé à La Harpe. Une antenne qu'elle partage avec l'université de Rennes 1 est située depuis 1991 à St-Brieuc sur le campus Mazier.
L'université est spécialisée dans les sciences humaines et sociales, les langues étrangères, et dans le sport. Elle forme quelques 17 000 étudiants, répartis dans ses trois campus. Elle est le plus grand pôle de recherche et d'enseignement dans le domaine des sciences humaines et sociales dans l'ouest de la France.
Les activités de l'université sont visible au delà de ses murs, notamment par les Presses Universitaires de Rennes dont elle est à l'origine, par les activités du PRESS Université européenne de Bretagne[5] dont elle est co-fondatrice, mais aussi par ses activités culturelles liées à celles de la ville de Rennes, notamment par l'accueil de festivals, ou par les activités de la salle du Tambour.
Sommaire
Histoire
Fondation de l'Université de Bretagne
L'université de Bretagne est fondée par Bertrand Milon le 4 avril 1460, à l'initiative du duc François II de Bretagne, et ce par une bulle pontificale du pape Pie II, donnée à Sienne[3]. Celle-ci incarne le vœu de François II d'affirmer son indépendance vis-à-vis du roi de France[6], alors qu'aux abords du duché à Angers en 1432, Poitiers en 1432 et Bordeaux en 1441 s'ouvre des universités. Créée sous la forme d'un studium generale, cette université peut enseigner toutes les disciplines traditionnelles : Arts, Théologie, Droit et Médecine. La population étudiante entre la fin du XVe siècle et durant les deux siècles suivants croît pour atteindre le millier voire 1 500 étudiants[6], selon les estimations les plus hautes.
Au début du XVIIIe siècle, l'université rentre dans une phase de déclin[6]. Nantes est tout entière tournée vers le commerce (commerce triangulaire à Nantes) et ses élites s'intéressent peu à cette institution. Le poids de Rennes pour les affaires politiques grandit à l'époque avec la tenue du Parlement de Bretagne dans ses murs depuis 1709. Ainsi, en 1728, le maire de Nantes peut écrire que
« l'Université bretonne serait mieux placée à Rennes, pays de lettres, qu'à Nantes où l'on ne respire que le commerce »— Gérard Mellier, maire de Nantes[6]Par conséquent, la Faculté de Droit est effectivement transférée à Rennes en 1735 où est déjà présent le Palais du parlement de Bretagne. Les facultés de lettres, de théologie et de médecine sont conservées à Nantes, mais celle de médecine était déclinante, et celle de théologie minée par l'influence du jansénisme[6]. La Révolution signe la fin des universités d'Ancien Régime. En 1793, la Convention Nationale ordonne la suppression de toutes les Universités et Facultés.
Essor des facultés à Rennes
Article détaillé : Université de Rennes.En 1806, Napoléon réorganise l'ensemble du système d'enseignement français en instituant l'Université impériale, la Faculté de Droit est rétablie à Rennes. Nantes est oublié par ce décret, une université sur son territoire n'ouvre que suite à un décret du 29 décembre 1961.
En 1810, une Faculté des Lettres est créée également à Rennes[3] avec, à partir de 1839, cinq chaires (littérature française, littérature ancienne, littérature étrangère, histoire, philosophie). Une Faculté des Sciences est créée, toujours à Rennes, en 1840. Ces trois Facultés restent sans lien institutionnel entre elles jusqu'à la création en 1885 d'un Conseil des Facultés qui prend en 1896 le nom d'Université de Rennes[3]. Au milieu du XIXe siècle, l'ensemble de ces facultés sont rassemblées dans le Palais universitaire situé Quai Émile Zola. Elles sont ensuite éparpillées dans le centre-ville de Rennes. C'est ainsi que la faculté de lettres s'installe, en 1909, dans l'ancien séminaire acquis par la ville qui jouxte la Place Hoche[7]. En 1954, l'école de médecine et pharmacie devient Faculté de Médecine. Jusqu'en 1969, l'Université de Rennes comprend donc quatre Facultés : Droit, Lettres, Sciences, Médecine.
Dès la Libération, le recteur de l'académie de Rennes envisage de rassembler les trois facultés rennaises et l'Ecole de médecine et pharmacie sur un même site, au lieu-dit Villejean[8]. En 1950, lorsque la municipalité commence l'aménagement du quartier de Villejean, elle le conçoit comme un quartier réservé au développement universitaire. La hausse du nombre d'étudiants à cette époque rendent le déménagement des bâtiments de la Place Hoche une nécessité. Les nouveaux locaux sont annoncés en 1961[8] alors que l'université fête la même année son 500e anniversaire[9]. Les travaux commencent en 1963[10]. Le complexe universitaire est conçu selon l'organisation des études à l'époque : la 1ère année est commune et la spécialisation se fait les années suivante. Un long bâtiment est donc prévu pour accueillir les étudiants de 1ère année, alors que d'autres plus petits sont censés accueillir ces même étudiants une fois la première année passée[8]. Entre l'annonce du nouveau campus en 1961 et l'inauguration en 1969, les étudiants passent de 2 400 à 6 613[8]. En 1967, les étudiants de la faculté de lettres font leur première rentrée dans un campus encore en chantier. Les observateurs d'alors sont élogieux pour le nouveau campus « L'édifice central est allongé interminablement. L'effet est singulier de ces mille fenêtres au cadre bleu foncé. En réalité, les murs ne sont que fenêtres. Cette faculté sera une maison de verre. »[8]. Les évènements de mai 68 remettent en cause l'ancienne organisation de l'université et les différents facultés doivent revoir leur organisation[11]. À Rennes, les évènements ont affecté les relations entre les différentes facultés, et la scission de l'Université de Rennes en plusieurs entités s'impose.
Scission de l'Université de Rennes
En 1969, la loi d'orientation de l'enseignement supérieur consacre la création de deux universités à Rennes (Universités de Rennes 1 et de Rennes 2)[1]. À l'est de la ville, Beaulieu accueille les sciences dites "dures", et la philosophie. À l'Ouest, le campus de Villejean est consacré aux langues, aux sciences artistiques, humaines, sociales et au sport. La faculté de médecine, composante de Rennes 1, est contigüe à Rennes 2 et est au pied du plus grand complexe hospitalier de Bretagne : Le CHR de Pontchaillou.
En 1991, le campus Mazier à Saint-Brieuc voit l'installation d'une antenne délocalisée de l'Université de Rennes 2 avec des formations en histoire et en AES puis des enseignements de géographie en 1993. L'université continue sa croissance la même année avec l'inauguration d'un nouveau campus à La Harpe, et avec l'ouverture d'un nouveau bâtiment dédié à l'enseignement des langues étrangères[12]. L'essor des campus de Vannes et de Lorient aboutissent en 1995 à la création d'une université nouvelle, l'Université de Bretagne-Sud. En mars 2002, le campus de Villejean est connecté au métro VAL[13] avec sa station « Villejean-Université » jouxtant la Présidence de Rennes 2. L'université jusqu'à cette date excentrée et périphérique passe à moins de 5 minutes du centre-ville.
À l'heure actuelle, les deux Universités Rennes 1 et Rennes 2 réfléchissent à fusionner pour créer une seule et même université rennaise[14]. Cette dualité n'est pas unique en France, mais la tendance serait plutôt à la réunion afin d'obtenir une meilleure visibilité à l'étranger ainsi qu'une mutualisation des moyens. Bertrand Fortin et François Mouret, alors respectivement présidents de Rennes 1 et Rennes 2, se sont montrés partisans d'une réunification, resserrant les liens et cultivant les partenariats. Si la fusion se produisait, l'Université de Rennes serait, avec ses plus de 40 000 étudiants, une des plus importantes universités françaises.
En attendant une éventuelle fusion avec l'Université de Rennes 1, les universités et écoles bretonnes se sont associées en 2006 dans le cadre d'un PRES afin de mettre en avant la recherche bretonne. Cette association est l'Université Européenne de Bretagne[5]. Un des aspects de cette association est la signature commune de la recherche. Ainsi les publications seront signées sous le nom de l'UEB. Le but est de permettre une meilleure visibilité internationale aux établissements bretons. L'université doit accéder à l'autonomie au 1er janvier 2010[15]
Les présidents de l'Université Rennes 2 Haute Bretagne
Depuis la création de l'université, huit présidents se sont succédé à la tête de l'établissement. Le président actuel de l'université est Marc Gontard. Élu le 7 décembre 2005, il succède à François Mouret. Ancien premier vice-président de l'université et vice-président du conseil scientifique de l'université, son mandat est d'une durée de 5 ans[4].
Liste des présidents de l'Université de Rennes 2 Haute Bretagne :• René Marache[16] (1970–1975) • Michel Denis[17] (1976–1980) • Jean-François Botrel[18] (1982–1986) • Jean Mounier[19] (1986–1991) • André Lespagnol[20] (1991–1996) • Jean Brihault[20] (1996–2001) • François Mouret[4] (2001–2006) • Marc Gontard[4] Depuis 2006 Composantes
Conformément à Loi Savary qui fixe l'organisation légale des universités publiques en France, Rennes 2 est divisée en UFR pour les 2 premiers cycles universitaires, et en écoles doctorales pour le troisième cycle. D'autres services n'offrent pas de formations mais concourent à l'activité de l'université et disposent de statuts variés. Ceux-ci peuvent avoir une visibilité extérieure assez importante en raison de leurs activités.
Unités de Formation et de Recherche
L'université est structurée autour de cinq composantes de formation et de recherche[21]. Elles ont la charge de la formation des étudiants en 1er et en 2nd cycle universitaire, et délivre à ce titre des diplômes de Licence et de Master, mais aussi d'une partie des activités de recherche via des laboratoires de recherche et des instituts. Certains de ces derniers peuvent être communs à d'autres établissements d'enseignement et de recherche. L'accession en 1er cycle se fait de droit pour tous les titulaires d'un Baccalauréat ou d'un titre équivalent.
- l’UFR Activités Physiques et Sportives dirigée par Paul Delamarche a la charge des formations en sport. Elle est structurée en un unique département, STAPS,et comporte 2 unités de recherche.
- l’UFR Arts, Lettres, Communication (ALC) dirigée par Patricia Plaud-Dilhuit a la charge des formations en Arts plastiques, en Arts du spectacle, en Histoire de l’art, en Lettres, en Musique et Sciences de l'information et de la communication. Elle est structurée en 6 départements, et comporte 4 unités de recherche.
- l’UFR Langues dirigée par Françoise Dubosquet a la charge des formations en langues. Elle est structurée en 9 départements[22], et comporte 4 unités de recherche. Un total de 21 langues vivantes sont enseignées.
- l’UFR Sciences humaines dirigée par Stéphane Laurens a la charge des formations en Psychologie, en Sciences de l’éducation, et en Sociologie langage et communication. Elle est structurée en 3 départements, et comporte 4 unités de recherche.
- l’UFR Sciences sociales dirigée par Jacqueline Sainclivier a la charge des formations en Administration économique et sociale (AES), en Géographie et aménagement de l’espace, en Histoire, et en Mathématiques Appliquées aux Sciences Sociales (MASS). Elle est structurées en 4 départements, et comporte 7 unités de recherche.
Écoles doctorales
L'université héberge deux écoles doctorales, l'école doctorale « Sciences Humaines et Sociales » (SHS) et l'école doctorale « Arts, Lettres, Langues » (ALL). Elles sont issues de la restructuration des 2 anciennes écoles doctorales de l'université, et accréditées sous leurs formes actuelles depuis 2008[23]. Celles-ci fonctionnent en réseau avec l'Université de Bretagne Sud et l'Université de Bretagne Occidentale, ces dernières étant co-accréditée, et Rennes 2 étant l'établissement de tutelle[24]. Elles ont la charge du suivi des étudiants en 3ème cycle universitaire, mais aussi de la gestion des habilitation à diriger des recherches. En 2005, 88 soutenances de thèse ont été passées[25], sur un total d'un demi millier de doctorants inscrits. Les thèses sont depuis 2008 présentées sous l'autorité du PRES Université européenne de Bretagne[26], le PRES commun aux établissement d'enseignement supérieur de la région. L'université est aussi membre de 4 collèges doctoraux internationaux qui permettent la mise en place de cotutelle de thèses, les collèges doctoraux franco-algériens, franco-brésiliens, franco-chinois, et franco-japonais[27].
L'école doctorale Sciences Humaines et Sociales (SHS) est dirigée par Vincent Dubreuil, et l'école doctorale Arts, Lettres, Langues (ALL) par Jean-Marc Poinsot.
Service Universitaire d'Enseignement à Distance
Liste des directeurs du SUED :
Le Service Universitaire d'Enseignement à Distance a la charge des enseignements de 1er et 2nd cycle des étudiants qui ne peuvent suivre leurs cous sur le campus. Depuis 1964, il dispense des formations universitaires (diplômantes et non diplômantes) aux étudiants concernés. D'une centaine d'étudiants concernée à ses origines, ce chiffre est passé à 800 en 1975, avant d'atteindre en 2009 environ 1 500 étudiants du Grand Ouest voire au-delà. Son éventail de formation est passé sur la même période de trois spécialités (anglais, histoire et lettres) à une douzaine actuellement.
Dépendant initialement de l'Université de Rennes et situé Place Hoche, le SUED (alors SED) assurait son enseignement par la diffusion plusieurs soirs par semaine par tranches de 2 heures de cours enregistrés dans les studios de Radio-Bretagne, Rue Janvier. Après la scission de l'Université, son nouveau directeur, Michel Rousse, obtient du ministère des crédits pour l’installation d’un studio d’enregistrement propre à l'université sur le campus de Villejean. En 1998, les studio SUED aménagent dans le bâtiment des langues, nouvellement construit, l'ancien studio étant légué à Radio Campus Rennes, association étudiante qui l'utilisera jusqu'à son déménagement dans le bâtiment EREVE en 2004. Entre temps, le reste des activités du SUED a été transférés sur le campus de la Harpe en octobre 1992, par la volonté du président Lespagnol d'y créer un pôle Publics Adultes. Le service s'ouvre à de nouvelles technologies, proposant ses enseignements sous la forme de vidéos, puis par la diffusion de celles-ci via internet. Depuis sa création, dix directeurs se sont succédé à sa tête [16].Par le nombre de ses étudiants, il se situe au 5ème rang parmi les 23 centres universitaires de télé-enseignement français. Il occupe une place importante dans la région du Grand Ouest, puisqu'il propose des formations que n'offrent pas les SUED des autres universités de la zone comme celle de Nantes, ou celle de Caen.
Service Commun de Documentation
le Service Commun de Documentation (le SCD) gère l'ensemble des fonds documentaires de l'université. Il a été créé le 25 juin 1990 par le conseil d'administration de l'université[28], pour prendre la suite de l’ancienne bibliothèque interuniversitaire de Rennes, qui a été partagée entre les université de Rennes I et de Rennes II en la même année[29]. Ceux-ci sont accessibles sur les sites suivants :
- une Bibliothèque Universitaire centrale, offrant un fond de 816 686 entrées[2], dont l'intégral des thèses soutenues à l'université, et un fond de livres anciens de 30 000 volumes. Le bâtiment agrandi en 2004 dispose d'une capacité de 1290 places assises.
- une médiathèque de langues étrangères[30] offrant un fond de 135 288 entrées et d'une capacité de 210 places assises. Elle propose des documents dans les 21 langues enseignées.
- 7 bibliothèques d'UFR, offrant des fonds de 312 021 entrées. De tailles variables, elles disposent d'une capacité totale de 693 places assises. Ces Bibliothèques intégrées aux UFRs concernent les domaines d'Art, lettres, Communication, de Musique, d'Anglais, de Breton, de Sciences humaines, de Sciences Sociales, et d'Activités Physiques et Sportives.
- une bibliothèque au pôle universitaire de Saint-Brieuc de 110 875 entrées.
Un système de Prêt Entre Bibliothèque (PEB) permet en outre aux étudiants à partir du master ainsi qu'aux enseignants d'accéder à des ouvrages non disponibles à Rennes mais disponibles dans des bibliothèques ou des centres de documentation français comme étrangers.[28]
Presses Universitaire de Rennes
Les Presses Universitaires de Rennes sont une maison d'édition gérée par l'université. Elles ont été initialement créées en 1984[31] sous la forme d'un service d'édition de l'université. Elles sont transformées en maison d'édition universitaire en 1990 sous l'impulsion d'André Lespagnol, alors président de l'université. En 2004, elles sont réformées pour prendre la formes d'un Service d'Activités Industrielles et Commerciales commun aux neuf universités du Réseau des Universités de l'Ouest Altantique (RUOA). Première presses universitaires de France par leur nombre de publications annuelles[32], elles sont passées de 20 titres publiés à leurs création en 1984 à quelques 200 en 2008[31] ce qui offre aux chercheurs des universités membres du réseau des possibilités de publication avec la garantie d’une structure de visibilité nationale et internationale. Elle a été qualifiée de « magnifique exemple de réussite universitaire, qui s’impose au monde professionnel »[33] lors du rapport de l'AERES. Les PUR sont dirigées par Pierre Corbel. Elles sont localisées sur le Campus de la Harpe.
Enseignements et recherche
Diplômes
L'université est habilitée à délivrer des diplômes de 1er, 2sd, et 3ème cycle. L'ensemble des composantes de l'université près d’une centaine de diplômes nationaux[27],[2] :
- Le Diplôme d'accès aux études universitaires permettant aux non bachelier d'accéder à l'Université.
- Le Diplôme national de Guide interprète national (DNGIN)
- 5 mentions de DEUST: Métiers des bibliothèques et de la documentation, Usages socio-éducatifs des technologies de l’information et de la communication, Animation et gestion des activités physiques et sportives ou culturelles (Milieux urbains; et Sports nature et aquatiques, tourisme et randonnées côtières)
- 41 Licences générales et 10 Licences professionnelles,
- 42 masters et 11 masters internationaux. Dans le dernier rapport de l'AERES de juin 2008 concernant Ces masters[34], 32 de ces masters récolent la mention maximale de "A - très favorable", et 25 la mention "B - favorable".
Échanges Internationaux
Au fil des années, l'université a développé un large réseau d'échange. Celui-ci s'est principalement constitué entre 2001 et 2005, les flux d'étudiants augmentant de 80% pour les entrants et de 95% pour les sortants [35].Profitant des jumelages de la ville de Rennes avec d'autres métropoles du monde, l'université a mise en place des accords avec des universités des villes partenaires, telles que l'Université de Rochester[36], l'Université du Tōhoku à Sendai[37],[38], ou l'Université du Shandong[39] . D'autres accords d'échanges avec des noms de l'enseignement mondial reconnus à l'échelle mondiale complètent ces offres d'échange, notamment avec l'Université de Sheffield ou l'université de Waseda. L'université est aussi partie prenante dans des programmes d'échanges plus généraux tels qu'Erasmus ou CREPUQ. 224 accords sont en cours avec des universités étrangères, dont 172 dans le cadre du programme Erasmus, et 52 hors Europe[2]. En 2008/2009, 360 étudiants sont ainsi partis à l'étranger.
L'université accueille aussi des étudiants étrangers pour des séjours plus ou moins longs.
En 2008/2009, 2 074 étudiants étrangers étaient inscrits à Rennes 2, soit 12% de la population étudiante de l'université. 1 079 d'entre eux étaient inscrits dans le cadre d'une diplôme LMD, pour un total de 114 nationalités représentées. Parmi celles-ci, les Chinois (192 étudiants), les Américains (127 étudiants) et les Allemands (117 étudiants) sont les trois nationalités les plus représentées[2]. Des cours de français sont aussi dispensés dans le cadre du CIREFE à ce public[40].L'université est aussi partenaire d'établissements d'enseignement supérieur étrangers par ses 11 masters internationaux. Elle a ainsi passé des accords dans ce domaine avec des universités comme celles de Madrid, de Brasilia, de Moscou, ou encore l'École Supérieure de Commerce de Hanoi[27].
Unités de Recherche
La recherche à l'université est structurée autour de 19 laboratoires de recherche, dont sept équipes qui sont associées au CNRS par des Unités mixtes de recherche (UMR). Elle est regroupée dans trois domaines de recherche[41]. La plupart de ces laboratoires travaillent en commun avec d'autres établissements supérieurs. Selon le classement Webometric de 2009 portant sur les établissements supérieurs de recherches et d'enseignements, l'université se situait aux alentours de la 50ème place française, et de la millième place à l'échelle mondiale[42] en termes de publication de recherche via internet. Sur les 467 enseignants-chercheurs, 219 étaient considérés comme des chercheurs publiants lors du rapport de l'AERES[43].
- Espaces géographiques et historiques :
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- CNRS UMR 6554: Littoral, environnement, télédétection, géomatique (Climat et occupation du sol par télédétection / Costel)[44]
- CNRS UMR 6590: Espaces géographiques et sociétés (Rennes, espaces géographiques et société / Reso)[45]
- CNRS UMR 6258: Centre de recherches historiques de l'Ouest (Cerhio)[46]
- EA 1279: Histoire et critique des arts[47]
- Santé, éducation, innovations technologiques :
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- EA 1274: Mouvement, sport, santé (M2S)[48]
- EA 1285: Centre de recherches en psychologie, cognition et communication (CRPCC)[49]
- EA 4050: Recherches en psychopathologie : nouveaux symptômes et lien social[50]
- EA 3875: Centre de recherche sur l’éducation, les apprentissages et la didactique (Cread)[51]
- EA 3874: Linguistique et didactique des langues (Lidile)[52]
- Centre de recherches en sciences sociales / laboratoire d’économie et de sciences sociales de Rennes (Cress-Lessor)[53]
- CNRS UMR 6566: Centre de recherche en archéologie, archéosciences, histoire (CReAAH)[54]
- EA 2241: Laboratoire d’anthropologie et de sociologie[55]
- CNRS UMR 6625: Institut de recherche mathématique de Rennes (Irmar)[56]
- Arts, lettres, langues :
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- EA 3208: Arts : pratiques et poétiques[57]
- EA Plurilinguismes, représentations, expressions francophones - information, communication, sociolinguistique (PREFics)[58]
- EA 3206: Centre d’études des littératures anciennes et modernes (Celam)[59]
- CNRS FRE: Centre de recherche bretonne et celtique(CRBC)[60]
- EA 1796: Anglophonie, communautés, écritures (Ace)[61]
- EA: Équipe de recherche interlangues : mémoire, identités, territoires (Erimit)[62]
- Centre de ressources et d’études audiovisuelles (Crea)[63]
Campus
Les composantes de l'université sont réparties dans les quelques 150 000m² de terrain des 3 campus, dont 2 basés à Rennes, et 1 à Saint-Brieuc dans les Côtes d'Armor[2].
Campus de Villejean
Le Campus de Villejean, le campus principal de l'université, est localisé dans le quartier du même nom, au nord-ouest de Rennes. Il rassemble 4 des 5 UFRs, l'administration centrale, la bibliothèque universitaire, et la salle de spectacle le Tambour. Plusieurs composantes de l'Université Rennes 1 (UFRs de médecine et d'odontologie), ainsi que l'École des hautes études en santé publique sont aussi présentent sur celui-ci. Son inauguration remonte à 1969[8], après un début des travaux en 1963[10]. Le campus se développe de nouveau dans les années 1990 afin d'accueillir un nombre de bacheliers en forte hausse, avec notamment en 1993 l'inauguration du pôle langues[12], en 1997, avec l'ouverture de la salle du Tambour[64], et en 2004 avec la livraison du bâtiment Erève[65]. Il accueille les étudiants sur une surface de 104 618 m² de terrain, et 75 778 m² pour les salles[2].
Campus de La Harpe
Le Campus de la Harpe est situé à Rennes, au nord du campus principal. Il regroupe l'UFR d'activités physiques et sportives, les Presses Universitaires de Rennes, le Service Universitaire d'Enseignement à Distance, la bibliothèque de section de l'UFR, ainsi que plusieurs autres services de l'université. Ceux-ci occupaient jusqu'à cette date le campus de Villejean. Son inauguration remonte au 11 mai 1993[66], mais certains services comme le SUED avaient déjà intégré le campus dès 1992[16]. Il accueille quelques 1000 étudiants sur une surface de 21 119 m² de terrain, et de 11 217 m² pour les salles[2].
Campus Mazier
Le campus Mazier est situé dans la ville de Saint-Brieuc dans les Côtes d'Armor. Il est principalement dévolu au 1er cycle universitaire. Créé à l'origine par l'Université Rennes 1 en 1987 et aménagé dans une ancienne école primaire, l'université y ouvre en 1991[67] des annexes de ses UFRs d' Activités Physiques et Sportives, de Sciences Sociales, et d'Arts, Lettres, Communication. Il accueille quelques 700 étudiants sur une surface de 19 316 m² pour le terrain, de 8 352 m² pour les salles de cours, et de 2 531 m2 pour le gymnase Gernugan[2]. Une bibliothèque de 110 875 entrées est aussi présente[28].
Vie étudiante
Média
Depuis 1996[68], le campus dispose d'une radio qui émet 24 heures sur 24, Radio Campus Rennes. Gérée par des étudiants, elle diffuse ses programmes sur le 88.4 MHz sur toute l'agglomération rennaise[69]. En 1998, celle-ci hérite du SUED un studio d'enregistrement propre[28], avant d'aménager dans le bâtiment EREVE en 2004 et d'y trouver de nouveaux locaux. La radio dispose par ailleurs d'un studio de production au Diapason sur le campus de Beaulieu.
L'université dispose aussi d'un journal depuis 2008[70]. Le 2 est publié par l'université et s'adresse aux personnes fréquentant l'université, étudiants comme personnel.
La même année, l'université a lancé sa webTV, L’Aire d’U[71]. Celle-ci fonctionne sous la forme de la VOD, et dispose d'un fond de plus de 300 documents créé depuis 1987, puis numérisé à partir de 2004. Celui-ci comporte des documents créés dans le cadre des activités de recherches et d'enseignements de l'université, mais aussi issu de partenariats avec d'autres institutions régionales ou nationales[72].Associations étudiantes
Avec ses quelques 50 associations étudiantes[73], Rennes 2 est l'une des universités françaises qui compte le plus grand nombre d'associations par étudiant. Par leurs réseaux et leurs activités, certaines favorisent l'intégration professionnelle de leurs membres. Depuis début 2005, et l'inauguration du bâtiment EREVE, elles disposent d'un espace dédié à leurs activités et intégré dans l'espace de l'université. Cependant, la plupart d'entre elles continuent d'être disséminées dans les différents bâtiments du campus.
Liste des associations de filière - AES bien raisonnable
- ADEMAP Association des étudiants en management public
- AKA Association Kollective Artistique
- Archaiotes
- Arkefact
- ARPHE 3
- BDE Comice
- CLEAR
- Declic
- eSigat
- Etudiant guide interprète national
- Fazhong Youyi
- GéoZH
- German connection (ex Der Die Das)
- Hej Tomte !
- Histoire de...
- Inti Luna
- IPCA
- Kejadenn
- Lusitania
- Manag'sport
- Masscarade
- Musée d'application
- Nakayoshi
- NESS New English Students' Society
- Oecrasso
- Paulette
- Psychadelick
- REMOU
- Sociopâtes
- Solidar' Moess
- STAT & CO
- Thalassoporos
D'autres associations sont aussi présentes sur le campus. Nationales comme Genepi, ou plus locales, elles sont centrées sur des projets se déroulant à l'intérieur comme à l'extérieur du campus. Liste des associations généralistes :- AFEV
- Afrikentraide
- Ar Vuez
- Association sportive de l'université Rennes 2
- BLINK
- Chœur de l'université de Rennes 2 : Anacrous
- Clair Obscur
- Commune vision
- D'Art-H-Pié
- Dièse plus 6
- Docabilly
- D2R2
- electroni(k)
- En toute complicité
- Fédé Rennes 2
- Genepi
- Handi-Sup Bretagne
- L'arène-théâtre
- Manag'sport
- Melting notes
- Paroles traverses
- Radio Campus Rennes
- Scèn'art
- SUD Étudiant Rennes
- UNEF Rennes
- Urbana sauce (ex Danse Attitude)
- USETIC
- Woezo Togo
Vie culturelle
Plusieurs festivals rythment la vie du campus. La plupart sont développés par des étudiants de l'université et couvrent une variété de domaines très large. Certains peuvent évoluer et se développer hors des murs de l'université au point de devenir autonome, comme le festival Electroni(k), dernière exemple en date. L'université accueille aussi d'autre évènementiels de la ville grâce à ses équipements comme l'auditorium du Tambour. En 2008, sept festivals se sont tenus sur le campus de Villejean[27]:
Parmi les festivals issus de l'université, on compte K-barré qui sert d'espace de création et de représentation de créations scéniques étudiantes. Roulements de tambour, porté par les étudiants en musicologie, réunit lui diverses créations musicales. les Tubas d'or enfin sont une compétition qui vise depuis 2005 à faire découvrir des talents dans le monde des courts-métrages.
D'autres festivals qui se sont autonomisés continuent à se tenir sur le campus[74]. Travelling, principal festival cinématographique rennais, est né à Rennes 2 de l'association Clair-Obscur. Il s'est développé à partir de l'université à partir de 1990, avant de s'étendre à l'ensemble de l'agglomération. Electroni(k)[75], festival spécialisé en musique électronique, arts et technologies est présent dans d'autres villes bretonnes. Mythos[76], le festival des arts de la parole, existe depuis 1996. Il compte plusieurs sites dans la ville de Rennes en plus du campus.
D'autres festivals comme Jazz à l'Ouest[77], festival de jazz de l'agglomération rennaise, et représenté sur le campus en plus de manifestations sur différents sites de Rennes. Par ailleurs, d'autres festivals comme les Transmusicales sont issus de l'environnement de l'université[78],[74].Mouvements sociaux
Depuis la création de Rennes 2 peu avant 1968, des mouvements sociaux d'étudiants ont fréquemment marqué l'histoire du campus. Ils ont souvent montré leur mécontentement par rapport aux réformes liées au système universitaire ou à l'emploi. La durée des mobilisations, qui peuvent se traduire par des blocages, sont variables mais peuvent parfois durer plusieurs mois. Parmi les mouvements récents ayant provoqué des blocages, l'opposition au Contrat d'Insertion Professionnelle[79] en 1994, contre la sélection à l'entrée de l'université[80],[81] en 1995, contre le plan 3UM[82] en 1998, contre la réforme dite du LMD[83] en 2003, contre le Contrat première embauche[84] en 2006, contre la Loi relative aux libertés et responsabilités des universités[85] en 2007, ou encore en 2009 contre la masterisation des concours d'enseignement[86] sont les plus notables.
Des graffitis reflétant ces mouvements sont visibles à différents endroits du campus. Ils se trouvent sur le bâtiment « B » entre le toit et le linteau des fenêtres du 2e étage. Citons : « Vive la dictariat du prolétature » do coté rue, ou encore « Poirier, moustaches assymétric = Sale flic » du coté agora.
Évolution démographique
Évolution démographique
1969-1970 1986-1987 1992-1993 1996-1997 1999-2000 2001-2002 2003-2004 2005-2006 2006-2007 2007-2008 6 613[8] 13 000[19] 18 500[12] 21 000[87] 20 151[88] 20 162[89] 21 434[90] 21 475[91] 18 937[92] 17 380[2] A partir de 1995, les chiffres des campus de Vannes et Lorient ne sont plus pris en compte suite à la création de l'UBS Personnalités liées à l'université
Anciens étudiants
Voir aussi la liste des anciens étudiants de l'universitéPlusieurs anciens étudiants de l'université ont eu une visibilité nationale ou internationale.
Dans le domaine de la musique, des chanteurs comme Étienne Daho[8], chanteur pop ayant remporté plusieurs disques d'or ou de platine, Muriel Laporte, chanteuse du groupe Niagara, Denez Prigent[8], chanteur traditionaliste breton, Philippe Katerine[93], ou encore Leïla[94], finaliste de l'émission la Nouvelle Star 2009, comptent parmi les anciens étudiants de l'université.
Dans le domaine politique, Bernadette Malgorn, haute fonctionnaire française et actuellement conseiller maître à la Cour des comptes, Jean Brihault, vice président de la Fédération européenne de handball et ancien président de l'université, ou encore Gaël Roblin[95], militant indépendantiste Breton, comptent parmi les anciens de l'université.
Dans le monde des arts, Hélène Delavault[8], artiste lyrique, Christophe Honoré, scénariste, écrivain, et réalisateur de Les Chansons d'amour, film en sélection officiel au festival de Cannes, ou encore Gustave Parking, humoriste, sont des anciens de l'institution.
Sur le plan des média, Valérie Heurtel, Présentatrice TV dans le groupe France télévision, ou Germain Lechaussée[96], Présentateur TV à CCTV-F[97] sont eux-aussi d'anciens étudiants de l'université.Enseignants
Voir aussi la liste des enseignants de l'universitéL'université a comptée des professeurs reconnus dans différents domaines dans ses rangs:
Des universitaires:
- Jacques Bompaire (1924), helléniste, président de l'Université Paris IV-Sorbonne.
- Jean Bousquet (1912), archéologue, directeur de l'École normale supérieure.
- Jean Delumeau (1923), historien, élu à l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, le 26 février 1988
- Bernard Miège (1941), président de l'Université Grenoble 3
Des hommes politiques:
- Henri Fréville, député, sénateur, ancien maire de Rennes
- Jean-Yves Le Drian[8] (1947), Député, Président de la région Bretagne.
- Mario Soares[98] (1924), Président du Portugal, enseigna la langue et la civilisation portugaise lors de son exil en France, entre 1971 et 1973.
- Gonzalo García Núñez, (1947), directeur de la banque centrale du Pérou, invité par l'IDA en 2007-2008.
- Louis Le Pensec[8], (1937), ministre à plusieurs reprises.
Des artistes:
- Dominique Fernandez[2] (1929), prix Médicis 1974, prix Goncourt 1982, Élu à l’Académie française, le 8 mars 2007, au fauteuil de Jean Bernard (25)
- Anne F. Garréta[2] (1962), écrivain, membre de l'Oulipo, prix Médicis 2002
- Milan Kundera[99] (1929), écrivain, prix Médicis 1973
- Robert Merle[2] (1908-2004), écrivain, prix Goncourt 1949
- Juan José Saer (1937-2005)[100], écrivain, prix Nadal 1987
En italique sont mentionnés les enseignants exerçant toujours à l'université.
Docteurs Honoris Causa
L'Université Rennes 2 Haute Bretagne compte 15 Docteurs Honoris Causa:[101]:
Des universitaires:
- Jean-Pierre Wallot[102], Président de la Société royale du Canada de 1999 à 2001
- Robert Leaper[102], professeur émérite d'anglais à l'Université d'Exeter
- Radu Toma
- Jules Wilmet[103], Professeur émérite de géographie de l'Université Catholique de Louvain
- Paul L. Harris[104], professeur de psychologie à l'Université Harvard.
Des hommes politiques:
- Mário Soares[98], Président du Portugal de 1986 à 1996
- Mary Robinson, Présidente de la République d'Irlande de 1990 à 1997
- Alpha Oumar Konaré[105], Président de la République du Mali de 1992 à 2002
- John Hume[104] , Prix Nobel de la Paix 1998
Des artistes:
- Richard Ford, prix Pulitzer 1996
- Mario Vargas Llosa[106], Prix Cervantes 1994. «Ma Parente d'Arequipa», l'allocution qu'il prononça lors de la remise de son doctorat Honoris Causa, fut par la suite publié[107].
- Miguel Angel Estrella, pianiste argentin, ambassadeur de l'Argentine à l'UNESCO
- Jorge Edwards[103], Prix Cervantes 1999
- Abdellatif Laâbi[104], poète et écrivain marocain.
- Jorge Semprun[104], Prix Fémina, membre de l'Académie Goncourt.
L'université dans les œuvres de fiction
Le film « Brocéliande » (2003) réalisé par Doug Headline avec Cédric Chevalme et Elsa Kikoïne. L'histoire se déroule sur le campus de Villejean mais la seule référence à l'université est la courte séquence où l'on voit une carte d'étudiant « Rennes 2 » orange de 2001-2002.
Sources
Notes et références
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Bibliographie
: Source utilisée pour la rédaction de l'article
Comité national d'évaluation des établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel, L'Université Rennes II, Rapport d'évaluation, 2002
Agence d'évaluation de le recherche et de l'enseignement supérieur, Rapport d'évaluation de l'Université de Haute Bretagne - Rennes II, 2008
François Lebrun et Louis Pape, Entre Fidélité et modernité, l'université Rennes 2 - Haute Bretagne, Presses Universitaires de Rennes, 1994 (ISBN 2-86847-115-3 )
Gérard Emptoz (dir.), Histoire de l'Université de Nantes , 1460-1993, Presses Universitaires de Rennes, 2002 (ISBN 2-86847-725-9)Annexes
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel de l'Université Rennes 2
- Site officiel de l'Université Européenne de Bretagne
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