- Bogotá
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Bogotá Drapeau Blason Pays Colombie Département Cundinamarca Coordonnées
- Latitude:
- Longitude
4º 39' Nord
74° 3' OuestSuperficie 1 732 km2 Altitude 2 640 m Population
- Total (2005)
- Densité
6 778 691 hab.
3 912 hab./km²Date de Fondation 6 août 1538 Gentilé Bogotano Maire Clara López Obregón Site http://www.bogota.gov.co/ Carte des districts de Bogotá Bogotá, officiellement Bogotá Distrito Capital (ou Bogotá D. C[1],[2].), prononciation espagnole [boɣoˈta]), anciennement Santa Fé de Bogotá Distrito Capital, est la capitale de la Colombie et également celle du département de Cundinamarca. Elle a été fondée le 6 août 1538 par l'espagnol Gonzalo Jiménez de Quesada. Elle suit l’organisation d’un District de Capitale unitaire et décentralisé et jouit de l'autonomie lui permettant la gestion de ses intérêts dans les limites imposées par la Constitution et la loi[2],[3]. Composée de 20 districts, elle est le centre administratif, économique et politique du pays.
Bogotá se situe au centre de la Colombie, dans une zone naturelle dénommée Savane de Bogotá (Sabana de Bogotá), qui, à son tour fait partie de l’Altiplano Cundiboyacense, plateau situé dans la Cordillière Orientale, une ramification de la Cordillère des Andes. En termes de superficie, Bogotá est la plus grande ville en Colombie et son altitude, 2 640 mètres, fait d'elle la troisième plus haute capitale dans le monde, après La Paz et Quito.
En 2011, la population de Bogotá comptait 8 262 000 habitants[4] pour la ville de Bogotá et sa métropole, qui inclut les municipalités telles que Chía, Cota, Soacha, Cajicá et La Calera. La projection de la population donnait 9 474 108 habitants pour 2011 [5]. Elles s'étend sur 33 km du nord au sud et sur 16 km, d'est en ouest[6]. En tant que capitale du pays, elle héberge les organes politiques les plus importants de la branche exécutive (Casa de Nariño), législative (Congrès de la République de Colombie) et judiciaire : Cour suprême (Corte Suprema de Justicia), Cour constitutionnelle (Corte Constitucional), Conseil d'État (Consejo de Estado) et le Conseil Supérieur de la Judicature (Consejo Superior de la Judicatura). Sur le plan économique elle se distingue comme un centre économique et industriel important[7].
Bogotá D. C. est la ville la plus grande et la plus peuplée du pays, en plus d'être le principal centre industriel, économique, culturel et touristique[8] du pays. Pour ces mêmes titres, elle constitue également une place prépondérante d’Amérique Latine.
L’offre culturelle importante se traduit par la présence d’un grand nombre de musées, de théâtres et de bibliothèques, certains d'entre eux figurant parmi les plus importants du pays. De plus, des festivals de renommée nationale et internationale y ont lieu, qui attirent du public venant du monde entier. Elle se distingue sur le plan académique grâce aux universités qui y siègent, dont certaines figurent parmi les plus importantes du pays. On peut également signaler que l’UNESCO lui a accordé le titre de Capitale mondiale du livre de l’année 2007. Son surnom est d’ailleurs l’ « Athènes sud-américaine ».
La ville se classe 54e à l'indice Global Cities de 2010 [9] et est considérée comme une ville globale de type Beta+ par le GaWC[10].
Sommaire
Toponymie
Bogotá découle du nom Bacatá donné par les indigènes Chibcha. Au centre de leur civilisation avant la conquête espagnole, elle abritait une importante population. Le chroniqueur Juan de Castellanos affirma que le sens originel de Bacatá en langue indigène était «la fin des champs»[11]. Le lieu où se situe actuellement la ville avait reçu de nom de Muequetá ("champ ou savane des cultures") et le district du Zipa (le prince Chibcha le plus important) avait reçu celui de Funza ("homme puissant"). C’est précisément dans le territoire de l’actuelle municipalité de Funza, une banlieue de Bogotá, et probablement un peu aux alentours, que l’on peut rencontrer la source de la population de Bacatá, la ville la plus importante du peuple chibcha, un des groupes indiens les plus avancés qui rencontrèrent les espagnols à leur arrivée aux Indes occidentales ; mais le Prince Chibcha était éduqué dans l’actuelle municipalité de Chía.
Au fil de l’histoire, Bogotá et ses alentours ont porté différents noms. En muisca (la langue parlée par les indiens Chibcha), le nom d’origine du lieu dans lequel les espagnols ont fondé la cité, était Thybzacá ou Teusacá, d’où vient le nom de Teusaquillo. En 1538, quand le conquistador Gonzalo Jiménez de Quesada fonda la cité, il lui donna le nom de Nuestra Señora de la Esperanza. Cependant, une année plus tard, en 1539, lors de la «fondation juridique de la ville», le nom changea en Santafé ou Santa Fe («Sainte Foi»).
Le nom Santafé de Bogotá (ou Santa Fe de Bogotá) ne fut pas officiel durant l'époque coloniale, mais son utilisation devint commune de par la nécessité de la distinguer des autres Santafé, et du fait que Bogotá était le nom indien de la région. A cette époque on nommait aussi Bogotá le district actuel de Funza. Après avoir obtenu son indépendance en 1819, Santafé reçut derechef le nom indien de l’ancienne capitale Chibcha : Bogotá (nom que portait à l'époque la population actuelle de Funza et de ce fait elle fut renommée de cette façon). En fait, son nom officiel a toujours été Santafé de Bogotá mais on l’appelait communément seulement Santafé pour la distinguer de l’actuelle Funza.
La Constitution de 1991 a indirectement changé le nom de la capitale pour celui de Santafé de Bogotá. La polémique générée par ce changement a conduit à une réforme constitutionnelle du 18 août 2000 pour supprimer les mots «Santafé de», lui redonnant finalement le nom de Bogotá[12].
Histoire
Époque précolombienne
À partir de 10500av. J.‑C., des groupes humains de chasseurs-cueilleurs habitaient la zone. Dès 3500av. J.‑C., on remarque l’existence d’activités horticoles, de poterie et de la domestication du cochon d’Inde, par des groupes qui dépendaient pourtant de la chasse et de la cueillette. En 500av. J.‑C., la culture du maïs et de la pomme de terre était déjà largement diffusée. Jusqu'en l'an 800 de notre ère, les muiscas (la peuplade indigène la plus importantes de la famille Chibcha habitaient la zone, résultat d'une migration d'origine Chibcha, provenant d'autres territoires (probablement d'Amérique Centrale), qui s'était mélangée avec la population déjà présente.
Il manquait à la culture Chibcha l’écriture. C’est pourquoi les chroniqueurs ont reconstitué l'histoire aborigène en recueillant des récits oraux qui remontent à 1470, date à laquelle le zipa Saguanmachica gouvernait Bogotá[13]. Tout en haut de l’échelle sociale se trouvait le monarque absolu (le Zipa), suivi par l’ordre religieux des sages et des moines. Puis il y avait les guerriers (ou güechas), suivi par les artisans, les commerçants, les paysans etc.
On pense que les Chibchas ont peut-être eu coutume de sacrifier des jeunes filles capturées à la guerre ou achetées à d’autres tribus[13]. Il n’en existe toutefois aucune preuve solide ou vérifiable. Ils ont également élaboré un calendrier d’une grande précision et une structure juridique complexe[13], connue sous le nom de «Code de Nemequene». En outre, les monuments chibchas furent érigés avec des matériaux périssables, ce qui les empêcha pas de rester debout après l’arrivée des conquistadors européens[13].
Il faut également souligner que, même s'il est possible d'identifier des traits indigènes dans la population bogotaine, comme Bogotá a longtemps reçu des migrants de tout le pays, on peut rencontrer des phénotypes d'une grande diversité : couleur de peau, de cheveux et d’yeux, ce qui l’a converti en une cité multiraciale.
Période coloniale
Arrivé avec plus de 500 hommes de son expédition depuis Santa Marta, il n'en restait plus que 70 après la victoire de Gonzalo Jiménez de Quesada sur les Muiscas et la conquête de la Savane de Bogotá. Il annonça la "fondation de facto" de la cité. La cérémonie eût lieu le 6 août 1538, en même temps que la construction de douze huttes et d’une chapelle dans le site appelé Thybzaca (aujourd’hui Teusaquillo)[14]. On suppose que l’événement se produisit sur l’actuelle Plazoleta del Chorro de Quevedo, bien qu’il n’existe aucun document le confirmant[15]. Le 22 avril 1539, Jiménez de Quesada procéda aussi à la fondation juridique de Santafé en compagnie de Nikolaus Federmann et de Sebastián de Belalcázar[16]. Appelée initialement Nuestra Señora de la Esperanza, lors de la fondation juridique, la ville changea son nom en Santafé.
Le brevet royal de l’empereur Charles Quint éleva Santafé au rang de ville le 27 juillet 1540[17]. Le Conseil Municipal de Santafé avait déjà été établi en 1539, et en 1548 l’empereur lui octroya le titre de "très noble, très loyal et ville très ancienne du Nouveau Règne, avec pour armes, un blason [18] sur lequel figure un aigle noir sur fond or avec une grenade dans chaque serre, entouré de rameaux d’or sur fond bleu[19].
À partir du moment où,en 1538, Jiménez donna à Santafé et aux territoires alentour le nom de Nouveau Royaume de Grenade, Santafé fut durant toute la période coloniale le siège du gouvernement de l'Audience du Nouveau Royaume de Grenade (créée en 1550) et la capitale de celle-ci, dépendante de la Vice-royauté du Pérou. En 1717, la cité devint la capitale de la Vice-royauté de Nouvelle-Grenade, accueillant les vice-rois, après avoir disputé les siège vice-royal à Carthagène_des_Indes[20]. En 1783, le vice-roi créa une commission scientifique, dirigée par José Celestino Mutis, qui commença ses recherches sur les collines de Santafé, premiers pas de ce qui plus tard sera connu comme l’Expédition Botanique[21]. Alexander von Humboldt visita Bogotá au début du XIXe siècle, attiré par ses institutions culturelles et scientifiques, parmi lesquelles ont pouvait compter le premier observatoire astronomique d’Amérique, qui avait été promu par Mutis[22].
Quelques uns des créoles les plus influents de la Vice-royauté (haut-personnages comparables à Policarpa Salavarrieta et Antonio Nariño) habitaient la ville. C’est en grande partie là que le mouvement indépendantiste se produisit, auquel se rattachent les faits connus sous le nom de «El Florero de Llorente». Les frères Francisco et Antonio Morales, recevaient à dîner un fonctionnaire du roi arrivé d’Espagne. En quête d'un fleuriste pour demander la décoration de salle où était prévu cet évènement, ils interrogèrent un commerçant espagnol, José González Llorente, qui tenait boutique au coin nord-est de ce qui s'appelle actuellement la Place Bolívar. Ils furent rejetés par celui-ci de façon qu'ils jugèrent inappropriée. Ceci fut le prétexte d'une rixe qui dégénéra en désordre populaire. Ce fait marque le début de la lutte et du Cri pour l’Indépendance. En définitive, bien que le territoire eût été reconquis en 1816 par les espagnols, il obtint l’indépendance définitive en 1819.
Période républicaine
La ville devint la capitale de la Grande Colombie jusqu’à 1830[23], quand la dissolution de cet état premit de générer ceux qui sont aujourd'hui l'Équateur, le Venezuela et la Colombie (le Panama s'en sépara en 1903). Jusqu'à la fin de ce siècle, l’histoire de la Colombie ne fut qu’une suite de guerres civiles, parmi lesquelles la plus notoire fut la guerre des Mille Jours, au cours de laquelle les factions du parti conservateur et du parti libéral massacrèrent la population depuis la fin du XIXe jusqu'au début du XXe siècle.
En 1876 le Conseil de la ville établit une nomenclature et une numérotation des rues, en changeant leur nom traditionnel par des nombres consécutifs, comme c'est le cas aujourd'hui[24]. Pendant l’existence des États-Unis de Colombie de 1863 à 1886, Bogotá reçut le titre de Capitale Fédérale et ses quelques quartiers, peu nombreux, furent élevés au rang de cantons.
En 1889 fut inaugurée la première ligne de chemin de fer reliant Bogotá depuis San Victorino jusqu'à Facatativá[25], laquelle, terminée vers la fin du 19° siècle et comptant plus de 100 km de voies ferrées, permettait avec des correspondances de voyager dans certaines zones du pays, y compris jusqu’à la Mer des Caraïbes. En 1884, le service de tramway de la ville commença à fonctionner de la Plaza de Bolívar jusqu'à Chapinero. Il était tiré par des mules. De 1910 à 1940 un système de tramways électriques s’étendit à de nombreuses lignes autour de la ville et de ses banlieues. Avec le train, ces moyens de transport ont été les piliers du développement de cette ville dont la population en 1912 dépassait à peine 120 000 habitants[26]
Dans les années 1920, on inaugura à Bogotá le premier aéroport d’Amérique Latine et la ville commença à être approvisionnée en énergie électrique permanente, avec la construction d’une centrale électrique à la Cascade du Tequendama, toujours en service. La décennie suivante vit l'élaboration des premiers projets urbanistiques en l’honneur du quatrième centenaire de la fondation de la ville : un complexe urbanistique au quartier de Teusaquillo, la Cité Universitaire , le Parque Nacional "Enrique Olaya Herreraet le Stade Nemesio Camacho El Campín.
Cette floraison fut néanmoins assombrie par l'assassinat de Jorge Eliécer Gaitán, le 9 avril 1948, qui fut suivie par la destruction et le pillage d'une partie de la ville, lors des évènements baptisé Bogotazo. Une des conséquences fut que les familles des nantis, qui avaient jusque là habité dans le centre de la ville, commencèrent progressivement à déménager vers d’autres secteurs comme Chapinero et El Chicó, et parfois même jusqu’à des localités de banlieues comme Usaquén ou Suba[25].
Au cours de la 9e Conférence Panaméricaine organisée dans la ville en 1948, le Pacte de Bogotá fut signé qui engendra la création de l’Organisation des États Américains[27] (OEA). La dictature militaire du milieu des années 1950, dirigée par le Général Gustavo Rojas Pinilla, contribua au développement de la cité, grâce à la construction de l’Autopista Norte (autoroute du Nord), du nouvel Aéroport international El Dorado et la reconstruction de l'avenue reliant le centre de la ville (Calle 26), et le Centro Internacional de Bogotá près duquel avait été inauguré l'Hôtel Tequendama des années plus tôt. En 1961, on entreprit la construction du quartier Ciudad Kennedy conformément au programme de l'Alliance pour le Progrès, dirigée par le gouvernement américain.
En 1955, on créa le Distrito Especial, en tant qu’Aire Métropolitaine de Bogotá, dans lequel sont intégrées les municipalités de Bosa, Engativá, Fontibón, Suba, Usme et Usaquén; ainsi le hameau de Chapinero est intégré au périmètre de la capitale et devint la première commune mineure de la ville, suivie par Puente Aranda en 1964 et Ciudad Kennedy en 1967. Cinq ans plus tard on divisa la ville en seize communes mineures, incluant des municipalités annexes. Les nouvelles communes furent les trois secteurs traditionnels du centre : Santafé, Teusaquillo y Los Mártires. On créa en 1977 la commune mineure de la Candelaria, et en 1983, du fait du chaos généré par les invasions au sud, Ciudad Bolívar devint une des autres communes de la ville. Avec la Constitution de 1991, le District Spécial se transforma en District de Capitale, les communes furent élevées au rang de districts. La ville est alors divisée en 20 districts
Divers événement se sont déroulés dans le cadre du conflit armé en Colombie, commencé dans les années 1960. Parmi les plus frappants, on note : la prise de l’ambassade de la République Dominicaine, l’assaut contre le Cantón Norte, la prise du Palais de Justice, l’attentat terroriste contre le Club El Nogal, de même que l’attentat contre le bâtiment du DAS (Departamento Administrativo de Seguridad) perpétré par les trafiquants de drogues.
À partir du premier mandat d’Antanas Mockus comme Maire en 1994, la ville a subi d’importants changements[28]. Au développement du système de transports en commun TransMilenio s’ajoute la récupération d’espace piétonniers auquel s'ajoute la construction d’un réseau de bibliothèques publiques et de pistes cyclables. On peut y ajouter l’implémentation de projets comme le Pico y placa, un programme de restrictions véhiculaires, la Hora zanahoria, une règlementation des heures de fermetures des débits de boissons, et d’autres programmes sociaux comprenant la création de restaurants communautaires et l’augmentation de la couverture éducative pour la population à bas revenus.
Politique
Le maire de Bogotá est le chef du pouvoir exécutif et de l'administration de la ville, il est le représentant légal du Distrito Capital. Il est démocratiquement élu depuis 1988[29]. La fonction est exercée actuellement par Clara Eugenia López Obregón, en attendant la passation le 1er janvier du nouveau maire, Gustavo Petro.
Criminalité
Dans les années 1990, les chiffres de la municipalité faisaient état d'une criminalité endémique : 84 homicides par an pour 100 000 habitants.
En 2009, le taux d'homicides était de 18 pour 100 000 habitants[30]. Le taux de criminalité a chuté de 42 % entre 2000 et 2009.
Découpage politico-administratif
Les districts (localidades) de Bogotá sont :
- Puente Aranda
- La Candelaria (Centro Histórico)
- Rafael Uribe Uribe
- Ciudad Bolívar
- Sumapaz
Les districts (localidades) se subdivisent à leur tour en "unités de planification zonale" (Unidades de Planificación Zonal) appelées "UPZ" ou simplement "zones" (Zonas). Ces zones regroupent plusieurs quartiers (barrios) et parfois des "ilots" (veredas).
Création du District
Administration de Bogotá D. C.
Division administrative
Géographie
Bogotá se trouve à une altitude de 2 640 m au-dessus du niveau de la mer, dans la Cordillère orientale des montagnes du nord des Andes ; elle est située sur un plateau, au pied d’une chaîne de montagnes dont les collines les plus fameuses s'appellent Guadalupe et Monserrate, sur les crêtes desquelles se situent deux imposantes églises.
Plusieurs petits cours d'eau, dont le San Francisco, traversent la ville jusqu'à l'extrémité sud-ouest du plateau, et rejoignent le Río Bogotá, qui plonge finalement au bord du plateau à Tequendama, dans l'une des plus importantes attractions touristiques de Bogotá : une magnifique chute d'eau perpendiculaire, d'à peu près 145 m. Le climat est doux et tempéré, la température moyenne annuelle est d'environ 14 °C, et les précipitations importantes, environ 960 mm (en comparaison, à Paris, le total annuel est d'environ 600 mm).
La ville a un plan en damier ou hippodamien avec de nombreuses carreras (avenues orientées nord-sud) aux intersections des calles (rues, orientées est-ouest). Elle comporte de nombreux parcs et jardins, dont le parc Simon Bolívar — à ne pas confondre avec la Plaza de Bolívar, où sont situés plusieurs édifices publics importants et églises.
Bogotá est reliée par route aux côtes Pacifique et Atlantique de la Colombie, respectivement au nord et à l'ouest, ainsi qu'aux deux autres villes majeures de Colombie. La route panaméricaine et l'autoroute Simón Bolívar traversent la ville.
Climat
Relevé météorologique de Bogotá mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. Température minimale moyenne (°C) 3 5 6 7 8 8 8 7 7 7 7 6 Température maximale moyenne (°C) 20 19 18 18 18 18 17 17 17 17 18 19 Précipitations (mm) 58 66 102 147 114 61 51 56 61 160 119 66 Source : IDEAMDiagramme climatique J F M A M J J A S O N D 58203661951021861471871141886118851178561776117716017711918766196Temp. moyennes maxi et mini (°C) • Précipitations (mm) Démographie
En 2010, la ville avait une population de 7.363.782 habitants et 7.347.795 dans la zone métropolitaine, 1 avec une densité de population d'env. 4146 habitants par kilomètre carré, selon les chiffres présentés par le Département national des statistiques administratives (DANE). Seules 15 987 personnes sont situés dans les zones rurales du district de la capitale. 47,8% de la population sont des hommes et des femmes 52,2%. La ville a le plus faible taux d'analphabétisme dans le pays avec seulement 3,4% dans la population âgée de plus de 5 ans.
Historiquement, la population de la ville n'est pas connu une croissance importante et dans le vingtième siècle, quand elle avait 100.000 habitants. Mais les années 1940, 1960 et 1970 ont vu les hausses les plus importantes de la population qui étaient disproportionnés par rapport aux ressources disponibles dans la ville, ce qui est exprimé principalement dans la couverture du transport, services publics et des possibilités d'emploi[31].
Ordre social
Dans les dernières décennies, les maires de Bogotá a été consacré à créer des campagnes pour le bien-être des citoyens et la criminalité réduire (comme ce fut Antanas Mockus.). Selon un rapport officiel de la «surveillance de district», dans les dix dernières années est passé de 89,4 décès pour 100.000 violents population en 1996 à 37,9 en 2005., Ce qui représente une réduction de 57, 6%, en tenant compte du fait que durant la même période la population a augmenté de plus de 25%. Cependant, Bogotá a le taux de criminalité plus bas que ceux des autres capitales du monde.
Économie
L'économie de Bogota est basé principalement dans le secteur des services, commerciaux et financiers et d'affaires. La capitale de la Colombie est la huitième ville pour faire des affaires en Amérique latine en 2008. En 2009 a enregistré un PIB de 62 446 millions de dollars, l'équivalent de 8332 $ dollars par habitant[32].
Bogota est le principal centre économique de la Colombie, la plupart y convergent des capitaux dans d'autres villes à être l'objet de commerce dans le pays en raison de sa grande population. Recevoir les investisseurs à travers la Colombie et ailleurs. De même, en 2008, la ville classée comme la quatrième centre financier le plus influent en Amérique latine. Dans la période 2003-2006, le PIB commerciale (produit intérieur brut) à Bogotá ont augmenté de 10,3% par an, soit 25,3% du PIB national du commerce, il est compté à partir des actifs de placement des autres villes le pays dans la ville et les nombreuses entreprises multinationales, 47 étant supérieur au PIB de l'Uruguay, cependant, le taux de chômage atteint 11,3% et 31,6 pour cent de sous-emploi. D'autre part, le coût de la vie est plus bas que la moyenne des 40 grandes villes américaines Bogota Latina[33]. En outre, le moyen terme est projeté comme l'une des destinations d'affaires les plus importants au monde.
Bogota, classé sixième parmi les 50 villes en Amérique latine pour ses normes de qualité de vie, un fort potentiel pour faire des affaires, et un excellent développement professionnel, en fonction de l'échelle établie par l'Amérique économie niveau Intelligence. A nationale, l'importation de marchandises capital a été encouragé par le gouvernement, spécialement bénéficié Bogota participe avec 24,4% de l'industrie nationale (2003). Cela est dû en partie à sa situation géographique, ce qui rend la ville un point stratégique en termes de logistique, puisque le transport des marchandises à d'autres parties du pays est relativement rapide.
La ville est aussi l'un des ports les plus importants de l'air en Amérique latine, il se déplace d'un grand nombre de charge pour l'ensemble du continent[34].
- Economía de Bogotá
- Compañía Colombiana Automotriz, basé à Bogotá.
- Avianca
- Avenida Chile (Bogotá) [35]
Transports
Transport de Bogota est le résultat des interactions des différents systèmes de transport. Le système de transport de Bogota est proche le plus grand et exécuté (2008) de la Colombie à 12,2 diarios.1 mllones de voyage 22% d'entre eux sont fabriqués dans les transports publics (bus traditionnel), 22% des voitures particulières, 12 de marche%, 11% dans le système de BRT TransMilenio, 3% en taxi, 23% et 2% à vélo moto.
Historique
En 1881 la première ligne de chemin de fer reliait Bogotá à Facatativá.
En 1884 le premier tramway hippomobile fut construit jusqu'au quartier de Chapinero. Il est remplacé par le tramway électrique en 1910.
Une ancienne voie ferrée traverse la ville du nord au sud. Elle est utilisée de manière anecdotique pour le transport de marchandise et pour le tourisme. Le train touristique est à vapeur et propose une promenade d'une demi-journée aux alentours de la ville.
Transports publics
En début des années 1990, après le démantèlement du service Trolley Bogotá, le système de transport de la ville était sur le point de s'effondrer. Pendant des décennies, ont discuté de la construction d'un réseau de transport métropolitain, mais n'a jamais eu le soutien du gouvernement national, selon la règle et de reporter plusieurs projets visant à construire un système de métro. Un tel projet, en charge de la société "Metrobus" et autres investisseurs étrangers, a été annulée en raison de l'opposition des transporteurs et des problèmes locaux afordable, mais a servi de semences pour le TransMilenio système actuel.
Il projette de construire de nouvelles autoroutes interurbaines par des concessions privées, périphériques travers la ville sur ses rails surélevés et de moderniser tout le réseau routier de la ville et la région métropolitaine, avec le terminal international a proposé de nouvelles de fret aérien de Bogota, prévoit de nouvelles autoroutes qui relient la nouvelle logistique et les centres industriels sont construits à la périphérie de la ville, réduisant le niveau de pollution et la congestion dans la ville, tout cela est complété par des terminaux terrestres de fret nouveaux qui sont possibles Merci à l'amélioration des routes en Colombie. Vous illustrent les travaux finis à la 26e rue relie l'aéroport au centre-ville.
Systeme TransMilenio
Le réseau principal de transport public, le TransMilenio est un réseau moderne d'autobus articulés en site propre, dont de nombreux "express" permettent un déplacement rapide. Ce système de transport, réputé pour sa sécurité mais critiqué pour sa complexité, date de 2000[36]. Il transporte près de 1 400 000 voyageurs par jour, et s’inspire des transports en commun de Curitiba. Il s'articule majoritairement autour de l'Avenida Caracas, mais il y a d'autres lignes autour de l´Avenida Suba, la Calle 80 et l´autoroute du nord qui est une extension de l´Avenida Caracas. Un nouveau développement est prévu autour de la 7e Avenue, et aussi de la Calle 26, pour connecter l´aéroport international au centre-ville.
Le réseau secondaire de transport public est composé de nombreuses lignes d'autobus plus vétustes, appelés buseta, colectivo ou ejecutivo en fonction de leur capacité.
Depuis 1998, le maire de la ville de Bogotá, Enrique Peñalosa, pour faire face à la pollution et à l'engorgement de la circulation, a décidé de développer les alternatives au tout automobile, en développant les voies cyclables (en) et les rues piétonnes interconnectées aux réseaux publics de transport. Il en a résulté une baisse du nombre de morts de la circulation, et une augmentation de la vitesse moyenne de déplacement[37]. Le ciclorrutas (réseau de piste cyclable avec pistes principales et secondaires) est un projet en cours. De nombreux segments ne sont pas encore connectés au réseau principal. Ainsi, dans certaines régions, ils sont placés sur le trottoir d'une manière qui met les piétons et les cyclistes en compétition. Cependant, depuis la construction de la ciclorutas, l'utilisation du vélo a quintuplé dans la ville, et l'on estime qu'il y a entre 300 000 et 400 000 déplacements quotidiens à Bogotá en vélo.
Transport interurbain
La ville a une Bogotá Transport Terminal, situé dans la ville de l'Ouest salpêtre dans la ville de Fontibon. Ce terminal est le point de départ de tous les déplacements interurbains. Il est divisé en cinq modules terminaux plus petits: Jaune (1): Itinéraires vers le sud. Bleu (2): Itinéraires vers l'est et l'ouest. Rouge (3): Itinéraires au nord du pays et dans toute l'Amérique du Sud. Vert (4): service de taxi interurbain et interministériels. Violet (5): l'arrivée des passagers et embarquement des autobus et des taxis de service urbain.
Exploite également un lieu où par satellite jusqu'à la North Portal TransMilenio pour des destinations au nord du pays et de certaines municipalités (Cundinamarca, Boyacá et Santander) et une autre à la hauteur de la station Americas Carrera 53 A, avec à destination des municipalités de l'Ouest métropolitaine de la ville.
Transport aérien
Au niveau aérien, la ville de Bogotá possède deux principaux aéroports :
- l'aéroport international El Dorado est le plus grand aéroport commercial du pays, situé dans le quartier de Fontibón. Il a ouvert en 1959. Tous les vols commerciaux utilisent ce terminal ;
- l´Aéroport régional du Guaymaral est essentiellement utilisé pour les vols privés et ceux de la police.
Santé
Éducation
Culture
Bogotá abrite le festival ibéro-americain de théâtre, l'un des événements culturels les plus importants de la ville et de tout le pays.
Précédé par Bogotá Suivi par Turin Capitale mondiale du livre 2007 Amsterdam Bogotá est depuis longtemps un centre artistique, culturel et universitaire majeur du nord de l'Amérique du Sud. Parfois appelée l'Athènes d'Amérique du Sud.
- Voir le Festival du film de Bogotá.
Architecture et infrastructure
Dans le District de la Capitale des infrastructures est très diversifiée, allant des bidonvilles que l'on appelle dans le sud et l'ouest de la ville, à travers ses maisons coloniales dans le centre historique et la ville de La Candelaria, même les bâtiments modernes dans la rue 26. La ville a soi-disant "quartiers" qui sont des maisons à 4 étages, utilisé comme logement pour la classe inférieure. Enfin, certaines collines de la ville il ya des maisons qui ont un titre d'envahir le domaine, car ces territoires ont été occupés illégalement au début de 1970.
Morphologie urbaine et la typologie des bâtiments coloniaux de Bogota ont été maintenus, même la fin du XIXe siècle, longtemps après l'indépendance de la Colombie (1810). Le tracé urbain correspondait au plan en damier mis en œuvre par les lois indiennes depuis le milieu du XVIe siècle. Cette persistance de l'architecture coloniale est visible, qui fait maintenant partie de La Candelaria, le centre historique de Bogota. Aussi jusqu'à la fin du XIXe siècle, les maisons coloniales est resté plus de deux étages, avec une cour centrale, toits à pignons, des balcons et de tuiles soufflées.
Architecture républicaine a été le style qui prévalait entre 1830 et 1930. Bien qu'il y ait eu des tentatives pour construire une langue moderne, et non pas jusqu'à la construction de la City University ou de la Ville Blanche de l'Université nationale de Colombie (1936 - 1939) a été réalisée à cet effet . Bogota a près l'architecture des tendances à l'Art déco, l'expressionnisme et de l'architecture organique. Cette dernière tendance a été accueilli par les architectes Bogota dans la seconde moitié du XXe siècle comme Rogelio Salmona, architecte colombien considéré comme le meilleur jamais.
En 2006, Bogota a reçu "Le Lion d'Or" à l'Exposition Internationale d'Architecture de la Dixième la Biennale de Venise, en reconnaissance de "leurs efforts en faveur de l'inclusion sociale, l'éducation, le logement et l'espace public, en particulier grâce à des innovations dans les transports ".
Activité littéraire, bibliothèques et archives
Universités
La ville abrite plusieurs universités, dont :
- l'Université nationale de Colombie (fondée en 1867)
- l'université des Andes (fondée en 1948)
- l'université Militaire Nueva Granada (1982)
- l'Université Notre-Dame du Rosaire (1653)
- l'université pontificale Javeriana (fondée en 1622)
- l'université Santo Tomás (fondée en 1580)
- l'université Externado de Colombie (1886)
- l'université de La Sabana.
- l'Université catholique de Colombie (1970)
- l'École colombienne d'ingénierie (fondée en 1972)
- l'Université du district Francisco José de Caldas (fondée en 1948)
Musées
On trouve également à Bogotá :
- le musée de l'Or, entièrement rénové en 2008, qui possède la plus vaste collection mondiale d'objets façonnés en or précolombiens ; il abrite quelque 36 000 pièces d'orfèvrerie précolombiennes.
- la Casa de la Moneda dans laquelle sont exposées maintes œuvres latino-américaines, une énorme quantité de peintures, sculptures et objets colombiens dont une grande collection de Botero offerte par lui-même, mais encore quelques œuvres (notamment beaucoup de dessins) de peintres européens classiques incluant des membres de la famille Brueghel, et puis surtout un riche ensemble de tableaux et sculptures des plus grands artistes européens modernes, tous y sont ou presque : Monet, Sisley, Salvador Dalí, Bacon, Ernst, Beckmann, Picasso... ;
- enfin le Musée National est le plus grand de Colombie. Y est résumée toute l'histoire du pays et sont présentés moult objets d'art aussi bien précolombiens que coloniaux, modernes et contemporains ; la salle consacrée à Botero est dotée de la collection d'œuvres de ce peintre probablement la plus intéressante, puisque elle retrace absolument toute sa vie artistique depuis l'époque même où il ne peignait pas encore les formes volumineuses qui sont sa marque de fabrique ;
- un musée d'histoire naturelle (consacré en partie aux explorations sud-américaines de Alexander von Humboldt), un planétarium ;
- le musée d'Art Colonial agrémenté d'un admirable cloître et plusieurs galeries d'art moderne.
Parcs
Arts scéniques
Moyens de communication
Gastronomie
A Bogota, vous trouverez des restaurants typiques, internationaux et spécialisés dans différentes parties de la ville. Les principaux secteurs de restaurants internationaux sont Usaquén, Zone G, La Candelaria, le Centre international. Dans ces endroits, il est également facile de trouver des restaurants spécialisés dans la cuisine d'autres régions de la Colombie. À Bogotá les plats typiques que vous pouvez mettre en évidence le "Ajiaco santafereño" qui est une soupe faite avec du poulet de pommes de terre de variétés, le maïs et guascas (une épice), il est généralement ajouté à la crème et câpres et accompagnée de l'avocat (Divers (1991), El menú diario Colombiano. club, Bogota. ISBN 978-958-08-0097-9, pp.14B-15B).
Il est également très traditionnel repas "Chocolat et tamal", le tamal colombienne est une pâte de farine de maïs avec de la viande ou du poulet, des pois chiches, les carottes et les épices, enveloppé dans des feuilles de bananier et cuit à la vapeur. Bien sûr, personne ne peut aller sans la dégustation de Bogota de l'omniprésente "tinto" (café) à des plats préparés avec toutes les infinies 100% colombien café.
En outre, les desserts principale de la ville sont les figues au caramel, fraises à la crème, crème dessert, collations, et caillebotte "Melao" (canne à sucré). "Le canelazo" est une boisson de l'Altiplano Cundiboyacense préparé avec de l'eau sucrée, le brandy et la cannelle, et mangé chaud. À la périphérie de la ville sont situés pour profiter de lieux de rencontre pandeyucas, Pandebono et beignets, des muffins qui sont de semoule de maïs, qui cumulande avec du fromage blanc ou fromage. Le "Changua" est une soupe avec des oeufs au lait avec du sel et quelques épices, est un petit déjeuner traditionnel Bogota et Cundinamarca. Boissons typiques: Avoine, "chicha et Masato" (dérivé du maïs fermetación.).
Religion
Sport
Symboles de la ville
Le drapeau de Bogota a son origine dans le mouvement de rébellion contre les autorités coloniales qui ont éclaté juillet 20, 1810. Les rebelles ont commencé à porter le jour de l'avant-bras une rosette aux couleurs jaune et rouge, qui sont celles du drapeau de l'Espagne alors en vigueur pour le Nouveau Royaume de Grenade. Après 142 années par le décret 555 du octobre 9, 1952, l'insigne de patriote a finalement été adopté comme drapeau officiel de Bogota.
Signification des couleurs:
- Le jaune représente la justice, la miséricorde, la vertu et de bonté.
- Le rouge symbolise la liberté, la santé et la charité.
Ce drapeau a été le même utilisé par les Patriots de la guerre d'indépendance du 20 juillet 1810[38].
Les armoiries accordées à la ville de Santa Fe (maintenant Bogota) a été accordée par l'empereur Charles Quint par le Royal Warrant donnée à Valladolid le 3 décembre, 1548 et dans sa partie pertinente: «... e. par ce que nous méritions et nous souhaitons que, désormais, et le commandement agora et la dite province du Nouveau Royaume de Grenade et les villes ont des armes e della sont connus pour un bouclier qui a été au milieu d'un aigle noir couronné rampante toute d'or dans chaque main une grenade a rouge sur une bordure d'or et une grenade dorée sur le terrain des bouquets est aussi peinte en bleu et au sens figuré »(repris textuellement de l'Ancien espagnol) Charles Quint le donna à l'Nouveau Royaume de Grenade. L'aigle symbolise la force, les neuf (9) des grenades représentent le courage et l'intrépidité
Tourisme
Bogota a une grande variété de lieux touristiques où vous pouvez voir le contraste entre les bâtiments de l'ère coloniale et moderne. Les attractions dans la ville incluent: La Candelaria district avec plusieurs musées, lieux culturels et des expositions d'art. La Plaza de Bolívar, entouré par des bâtiments gouvernementaux représentant divers styles et époques. Parmi les nombreuses églises sont de Santa Clara, San Francisco, San Ignacio, la cathédrale de la Colombie, située dans la Plaza de Bolívar, La Tercera San Diego et la chapelle de Monserrate. La ville a un large éventail culturel a augmenté considérablement au cours des dernières décennies.
Expositions, théâtre, festivals internationaux, des concerts, des foires, des réunions de diverses disciplines, des festivals dans les parcs et autres activités ont pris pour gagner le nom de «l'Athènes de l'Amérique du Sud." Les événements importants qui ont lieu à Bogota et sont internationalement reconnus sont, entre autres, Festival du film de Bogotá, Festival de théâtre ibéro-américain, Capitale mondiale du livre, Expoartesanías, ArtBo, différentes versions du Festival Park[39].
Autres lieux de Bogotá
- Arènes de Santamaría
- Jardin botanique José Celestino Mutis
- Stade Nemesio Camacho El Campín
- Tour Colpatria
Personnalités
Peintres bogotains
Jumelages et accords d'amitiés
La ville de Bogotá est jumelée avec 25 villes[40],[41] :
- Asunción (Paraguay)
- Athènes (Grèce)
- Buenos Aires (Argentine)
- Caracas (Venezuela)
- Chicago (États-Unis)
- Guatemala (Guatemala)
- La Havane (Cuba)
- La Paz (Bolivie)
- Lima (Pérou)
- Lisbonne (Portugal)
- Madrid (Espagne)
- Managua (Nicaragua)
- Mexico (Mexique)
- Miami (États-Unis)
- Montevideo (Uruguay)
- Navi Mumbai (Inde)
- Panamá (Panamá)
- Quito (Équateur)
- Rio de Janeiro (Brésil)
- San José (Costa Rica)
- San Juan (Porto Rico)
- San Salvador (Salvador)
- Santiago du Chili (Chili)
- Saint-Domingue (République dominicaine)
- Tegucigalpa (Honduras)
Références
- (es) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en espagnol intitulé « Bogotà » (voir la liste des auteurs)
- Bogotá D.C., 2009
- Organización del Distrito Capital (Organisation du District Capital), 2009
- Información General de Bogotá (Informations générales sur Bogotá, 2010
- People and society :: COLOMBIA, 2011
- http://www.sdp.gov.co/section-2117.jsp
- Censo 2005-2006 (recensement 2005-2006), 2007
- Contribución por regiones, áreas metropolitanas y ciudades (contribution sur les régions, les aires métrpoitaines et les villes), 2007
- http://www.eltiempo.com/colombia/bogota/ARTICULO-WEB-PLANTILLA_NOTA_INTERIOR-7296975.html
- The Global Cities Index 2010, foreignpolicy.com
- The World According to GaWC 2008 (Le Monde, selon le GaWC 2008) », lboro.ac.uk GaWC, «
- Historia de Bogotá, Tomo I: Conquista y Colonia, Bogotá, Salvat-Villegas Editores, 1998
- Acto Legislativo 1 de 2000 », 18 août 2000 Régimen Legal de Bogotá, «
- Historia de Bogotá (Histoire de Bogotá)
- De las 12 chozas a una ciudad con metro (Des douze huttes à une ville avec métro)
- Atractivos Arquitectónicos - Históricos
- Senado de la República de Colombia (1989). Municipios colombianos. Bogotá: Pama Editores Ltda, pp.172-175
- Real Cédula por la cual se concede el título de ciudad al pueblo de Santafé (Brevet royal de concession du titre de ville au village de Santafé)
- Escudo de Bogotá (Blason de Bogotá
- Blason_de_Bogotá« D'or, à l'aigle couronnée de sable tenant dans chaque patte une grenade de gueules, à la bordure d'azur neuf grenades d'or » Voir
- El Caribe colombiano en la república andina
- Historia de los Humedales de Bogotá
- José Celestino Mutis
- Carta de Panamá, p. 3
- De la Rosa, Moisés (1938). Calles de Santafé de Bogotá, homenaje en su IV centenario. Bogotá: Ediciones del Concejo, pp.21-23
- De paso por la capital
- Algunos datos históricos
- Tratado americano de soluciones pacificas
- Planeamiento urbano en Bogotá 1994-2007. La construcción de un modelo
- Maires de Bogotá (en espagnol)
- (fr) Week-end sanglant à Caracas : 67 tués, Le Monde, 13 mars 2010
- http://es.wikipedia.org/wiki/Demograf%C3%ADa_de_Bogot%C3%A1
- http://es.wikipedia.org/wiki/Econom%C3%ADa_de_Bogot%C3%A1
- http://www.larepublica.com.co/noticia.php?id_notiweb=44623&id_subseccion=89&template=noticia&fecha=2005-10-25
- http://es.wikipedia.org/wiki/Anexo:Aeropuertos_de_Colombia/Estad%C3%ADsticas
- http://eikovaimagen.wordpress.com/2011/03/21/zona-financiera-en-bogota-ejemplo-de-globalizacion-e-imperialismo/
- Del tranvía al transmilenio (en espagnol)
- (fr) bogota, un modele de revolution urbaine sur http://carfree.free.fr
- http://www.bogotaturismo.gov.co/datos-de-bogota/Bandera, Escudo e Himno de Bogotá
- http://www.bogotaturismo.gov.co/datos-de-bogota
- Jumelage entre capitales
- Villes jumelées avec Miami
Voir aussi
(en) « Bogotá », dans Encyclopædia Britannica, 1911 [détail de l’édition] [lire en ligne]
- Curitiba pour les transports en commun
- Rock al parque, festival
Bibliographie
Liens externes
- Bogota Brilliance - Guide complet sur Bogotá
- La información más completa sobre la candelaria y su comunidad
- (es) Photos de Bogotá
- (es) Web Page of Living Bogotá
- (fr) Les 22 endroits à visiter à Bogotá | Le guide de voyage de Bogotá
- (fr) Quelques photos de Bogotá
- (en)Your Bogotá
Sites web officiels de la ville
Autres
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