Élevage du cheval en France

Élevage du cheval en France
Article principal : élevage équin.
Cheval sur une estive en Ariège.

L'élevage du cheval en France est une pratique très ancienne, remontant peut-être à l'époque celte. Il est géré par les haras nationaux, créés sous Louis XIV par Colbert. Différentes races de chevaux sont présentes sur le territoire français, qu'elles soient d'origine autochtone, importées, ou nées de croisements et d'une sélection par l'homme. Elles sont catégorisées en trois types : les chevaux de selle ou chevaux légers, les chevaux de trait ou chevaux lourds, et les poneys, définis par une taille au garrot ne dépassant pas 1,47 m au garrot. L'histoire de ces races dépend étroitement des activités humaines et des besoins de chaque époque qui a pu voir émerger ou disparaître des races spécifiques en fonction des usages et des besoins. L'organisation de l'élevage des races de chevaux et la création des registres ou stud-book, ne date que de la fin du XIXe siècle. En 1913, le cheptel équin atteint son apogée sur le territoire français, avec 3 222 080 têtes[1]. La motorisation et les progrès de l'agriculture font largement reculer l'élevage des chevaux et il y aurait environ 500 000 têtes au début du XXIe siècle. Certaines races sont reconnus par les haras nationaux, qui vérifient la bonne tenue des stud-books et registres d'élevage et se chargent de la gestion des papiers d'identification de chaque animal, d'autres ne sont pas reconnues et gérées uniquement par des associations qui tentent de les promouvoir.

Sommaire

Histoire

Le statut du cheval en France est commun à toute l'Europe de l'Ouest, la maîtrise de l'animal témoignant de la supériorité d'une classe sociale, notamment la noblesse et la chevalerie.


Préhistoire et Antiquité

Les Celtes, peuple cavalier, ont probablement été les premiers à pratiquer l'élevage du cheval sur le territoire français, bien qu'en l'absence de documents écrits, cela reste impossible à prouver.

Moyen Âge

Au VIIe siècle, le royaume mérovingien a toujours gardé au moins un centre d'élevage de chevaux en activité[2]. La France produit alors de bons chevaux de guerre, certains chercheurs attribuant ce succès à la société féodale[3], mais également à l'influence historique des traditions romaines en matière d'élevage de chevaux, préservées par les Mérovingiens[2]. Des bêtes de grande valeur, au sang espagnol et oriental, sont peut-être capturées suite à la victoire de Charles Martel sur l'Islam des Omeyyades, envahisseurs à la bataille de Poitiers en 732, et ajoutées au cheptel[4]. Par la suite, les croisés côtoient des chevaux turcs et arabes et les ramènent en France, tandis que des routes d'importation de ces chevaux se créent avec l'Espagne[5].

Les Carolingiens commencent à augmenter leurs effectifs en cavalerie lourde, ce qui aboutit à la saisie de terres (pour la production fourragère), et à un changement dans les tributs prélevés pour financer l’élevage des chevaux de guerre destinés à être utilisés pour protéger les vassaux[6]. Cet élevage par les puissants (la possession d'un cheval et d'armes étant alors indissociable de la noblesse) conduit à des abus. Au IXe siècle, ils passent souvent à travers champs sur leurs chevaux, dévastant les prés et les cultures. Il n'est pas rare que ces mêmes nobles réclament ensuite aux paysans du fourrage pour leurs chevaux une fois l'hiver venu[7]. A partir du XIIIe siècle, des chevaux dits « Norrois » sont importés de Frise[8]. À la fin du Moyen Âge, l'Auvergne est une importante région d'élevage, et exporte sa production vers la Méditerranée[9].

Temps modernes

  • Création des haras nationaux

Époque contemporaine

Cheval navarrin, lithographie rehaussée à l'aquarelle

Depuis la fin du XVIIIe siècle, une grande rivalité existe entre le milieu cavalier français et l'anglais, chacun revendiquant être une nation cavalière. Les Anglais parviennent, au cours du siècle suivant, à imposer le Pur Sang comme la race chevaline la plus utile en France, mais pas leurs loisirs tels que la chasse au renard[10]. Il en résulte, à la fin du XIXe, la création de dizaines de races issues de croisements entre les souches autochtones françaises et le Pur Sang, dites demi-sang. L'histoire du cheval de selle est étroitement liée aux déplacements individuels avant l'amélioration des routes au début du XIXe, ce qui a généralisé l'utilisation des attelages et de la traction hippomobile, nécessitant des chevaux carrossiers et des chevaux de trait. De nombreuses races de selle disparaissent, faute d'usage et d'intérêt à les élever. Le cheval navarrin (navarin, navarrois, bigourdin ou tarbais), qui était surtout élevée dans les plaines des Pyrénées près de Tarbes, ainsi qu'en Bigorre, dans les Hautes-Pyrénées, disparaît ainsi dans les croisements avec les Pur Sang à partir de 1833. Le cheval limousin disparait aussi.

La fin de la cavalerie et de l'utilisation de la cavalerie légère et de la cavalerie de ligne font que l'élevage du cheval de selle s'oriente vers les sports équestres. Les races demi-sang Angevin, Anglo-normand, Charentais, Charolais, Demi-sang de l'Ain, Demi-sang du Centre et Vendéen sont toutes fusionnées en 1958 dans la race Selle français.

Règlementations

En France, le registre d'élevage et le stud-book servent à recenser, comptabiliser et gérer les populations d'équidés domestiques présentes sur le territoire. Tous deux sont tenus et gérés par les haras nationaux. Depuis 2007, tous les chevaux présents sur le sol français sont soumis à une obligation de puçage électronique[11].

Les stud-books, ou livres des origines, sont destinés aux races équines et asines, les [[registres d'élevage répertorient les produits issus de croisements et non-reconnus en tant que races[12]. Pour être inscriptible à un registre des haras nationaux, un équidé doit être issus d'une saillie déclarée et effectuée par un étalon ou un baudet approuvé. Sa naissance doit être déclarée et son signalement relevé sous sa mère avant le 31 décembre de son année de naissance.

Il existe aussi des registres pour les chevaux n'appartenant pas à une race. Le registre du « cheval de selle » répertorie les poulains et pouliches nés en France, et issus soit de deux reproducteurs eux-mêmes inscrits au registre cheval de selle, soit de deux reproducteurs appartenant à une race de selle ou au Pur Sang, soit d'un trotteur ou d'un pur-sang anglais croisé avec un reproducteur d'une race de selle[12]. Le registre « poney » fonctionne de la même manière, il est destiné aux poulains et pouliches nés en France de deux reproducteurs inscrits comme poneys ou appartenant à une race de poney, ou alors issu du croisement entre un reproducteur poney et un reproducteur arabe. Une fois adulte, le poney ne doit pas dépasser la taille de 1,47 m ferré, auquel cas il est considéré comme un cheval de selle. Les épreuves sportives pour les poneys sont organisées par la Fédération française d'équitation et ouvertes à tous les équidés quelle que soit leur race. La répartition des épreuves se fait en fonction de la taille du poney. Le registre « trait » est dédié aux poulains et pouliches nés en France de deux reproducteurs trait ou de races de trait, et non inscriptible à un Stud-book. Enfin, le registre « trotteur étranger » est destiné aux poulains et pouliches nés en France destinés aux courses de trot et non inscriptibles au stud-book d'une race de trotteur. L'un des parents au moins ne doit pas être un Trotteur français.

Il existe aussi des registres du même type pour les ânes, les bardots et les mules.

Le registre « Origines constatées » est pour les équidés nés en France à compter du 1er janvier 2007, non inscriptibles à un autre stud-book ou registre et qui n'entrent dans aucune des autres catégorie. Les O.C. sont souvent issus du croisement entre deux reproducteurs de types différents, par exemple d'un étalon d'une race de cheval de selle reconnue avec un poney; ou alors sont issus de la saillie d'un étalon ou d'un baudet non approuvé. La naissance doit être déclarée et le signalement relevé sous la mère avant le 31 décembre de l'année de naissance. Le poulain fait l’objet d’un contrôle de filiation compatible par génotype[12].

Le registre « Origine étrangère » est pour les équidés introduits ou importés qui ne sont pas inscrits dans un stud-book reconnu par les haras nationaux. Enfin, sont « Origine non constatée » les équidés qui n'entrent dans aucune des autres catégories.

Races reconnues en France

Deux races sont actuellement gérées par des associations qui œuvrent pour leur reconnaissance, le cheval Barraquand et le cheval d'Auvergne. L'AQPS est un registre spécifique aux chevaux de course qui ne sont pas des Pur Sang.

Races originaires du sol français

Les races chevalines natives de France sont définies comme autochtones du sol français, si des croisements avec des races étrangères sont très fréquemment attestés, il s'agit essentiellement de races de souche française, descendantes d'animaux déjà présents sur ce territoire.

Chevaux de selle
Anglo-arabe
Article détaillé : Anglo-arabe.
Camargue
Article détaillé : Camargue (cheval).
Camargue en liberté.

Ce petit cheval de selle rustique de couleur grise est originaire de la région de Camargue dans le delta du Rhône, qui couvre une partie des départements du Gard et des Bouches-du-Rhône. Il vit traditionnellement en liberté dans ses marais d'origine et sa généalogie reste mystérieuse. Mentionné durant l'antiquité, il est occasionnellement monture de bât et de guerre jusqu'au XIIe siècle, et de tous temps utilisé comme un animal utilitaire et de travail par les habitants de la Camargue. Les haras nationaux instaurent dès leur création de nombreux programmes d'élevage visant à augmenter sa taille par des croisements pour en faire une monture de guerre, programmes qui sont tous des échecs. Le cheval camarguais est l'un des symboles forts de sa région d'origine, il est toujours traditionnellement élevé dans des manades en semi-liberté et demeure la monture exclusive des gardians qui l'utilisent pour le travail du bétail et de nombreuses fêtes folkloriques. Il bénéficie d'une grande notoriété grâce à l'équitation camarguaise et à sa forte image de tradition et de liberté née de sa présence dans les arts, notamment dans l'histoire de Crin-Blanc.

Cheval castillonnais
Article détaillé : Cheval Castillonnais.

Le cheval Castillonnais, ou cheval de Castillon, est une ancienne race de petit cheval de selle rustique portant une robe noire pangarée ou baie foncée, et vivant principalement à l'extrémité sud-ouest de l'Ariège, dans les Pyrénées, soit dans la vallée de Biros près de Saint-Girons. Connu au début du XXe siècle, ce petit cheval a failli disparaître avec la venue de la motorisation et fut sauvé de justesse par quelques passionnés. Il est très proche du Mérens avec lequel il partage de nombreuses caractéristiques, mais nettement moins connu, la race n'ayant été reconnue par les haras nationaux qu'en 1996, avec de très faibles effectifs. Une association d'éleveurs et le haras national de Tarbes se mobilisent pour sauvegarder et préserver la race. C'est un bon cheval de loisir qui peut être monté en randonnée et attelé avec succès.

Henson
Article détaillé : Henson (cheval).
Mérens
Nickel de Vives, étalon Mérens pure race

Le cheval de Mérens, Mérens ou mérengais, encore parfois nommé poney ariégeois, est un petit cheval de selle rustique à la robe noire, originaire de la vallée de l'Ariège, dans les Pyrénées centrales, près de l'Espagne et de l'Andorre. D'origine très ancienne, il présente de nombreuses ressemblances physiques avec les chevaux représentés par les magdaléniens il y a 13 000 ans, et demeura très longtemps l'animal de travail des paysans ariégeois dans la région de Foix. La motorisation des transports et de l'agriculture mit la race en péril dès le milieu du XXe siècle, mais ce cheval fut sauvé de la disparition par Lucien Lafont de Sentenac, puis par des communautés utopistes, avant l'engouement pour le poney et les loisirs équestres dans les années 1970, qui relança son élevage. Le Mérens reste néanmoins assez rare. C'est un bon cheval de randonnée, d'attelage et de voltige, également utilisé pour l'entretien écologique des régions montagneuses, grâce à son pied sûr et sa rusticité. Ces dernières années, deux types d'élevage tendent à se distinguer au sein de la race, l'un concerne le petit cheval massif et rustique traditionnellement élevé en semi-liberté dans les montagnes pyrénéennes, l'autre l'animal moderne et léger, également plus sportif, issu d'une sélection entamée dans les années 1980.

Article détaillé : Mérens (cheval).
Selle français
Marque du Selle Français
Article détaillé : Selle français.
Trotteur français
Article détaillé : Trotteur français.
Chevaux de trait
Article connexe : Cheval de trait.

Les races de chevaux de trait françaises reconnues sont au nombre de neuf, ce qui constitue un record dans l'union européenne. L'une des raisons invoquée pour le succès de leur sauvetage est le soutien des haras nationaux à l'hippophagie et à la production de viande alors que la motorisation anéantissait l'élevage du cheval de trait dans les années 1970.

Ardennais
Article détaillé : Ardennais (cheval).

L'ardennais est une très ancienne race rustique à la robe généralement baie ou rouanne. Il est principalement et historiquement élevé dans la région des Ardennes qui lui a donné son nom, et par extension dans tout le quart nord-est de la France. Connu et mentionné depuis l'antiquité romaine où il servait à la remonte des armées, il est réputé jusqu'au début du XIXe siècle comme l'une des meilleurs races de chevaux de selle et de trait léger pour la traction du matériel d'artillerie militaire. Sous l'empire napoléonien, les ardennais sont réputés pour avoir survécu à la campagne de Russie, où 13 000 chevaux trouvèrent la mort.

De nombreux croisements et une sélection rigoureuse des éleveurs orientée vers les travaux agricoles dès le milieu du XIXe siècle en font peu à peu un cheval de trait lourd et puissant. Destiné à la traction du matériel agricole, l'ardennais est aussi un grand améliorateur de races durant l'âge d'or du cheval de trait. La fin de la traction hippomobile et l'utilisation du tracteur entrainèrent le déclin de son élevage et une réduction drastique de ses effectifs. Cantonné au rôle presque unique d'animal de boucherie durant deux décennies, l'ardennais bénéficie d'un nouvel engouement dû au côté écologique de son utilisation pour l'entretien des espaces verts, le débardage en forêt et les loisirs en général, mais aussi à son habileté sur toutes sortes de terrains. En France en 2009, il est la quatrième race de cheval de trait la plus représentée en matière d'effectifs. En raison de son lien historique avec sa région d'origine, fertile en légendes, l'ardennais est assimilé à la monture héroïque des quatre fils Aymon, le cheval Bayard.

Auxois
Article détaillé : Auxois (cheval).

L'Auxois est un grand cheval de trait, parfois considéré comme une variété de l'Ardennais et du trait du Nord puisqu'il est créé pour les travaux agricoles par croisement entre la jumenterie locale de l'Yonne, de la Saône-et-Loire et du nord de la Nièvre avec des étalons de ces deux races. Il était traditionnellement élevé dans la région de Bourgogne, où ce cheval de traction lourde fut l'auxiliaire des agriculteurs qui lui faisaient effectuer divers travaux des champs avant la généralisation de la motorisation. Devenu un animal de boucherie et alourdi pour la production de viande à l'instar d'autres races de trait, il fut menacé de disparition durant les années 1970 et retrouve aujourd'hui une certaine place dans les activités écologiques et de loisir, comme la culture de la vigne, le débardage et l'attelage de loisir. L'Auxois est néanmoins l'une des races de trait françaises aux plus faibles effectifs, avec le poitevin mulassier et le trait du Nord.

Boulonnais
Article détaillé : Boulonnais (cheval).
Bambou, étalon boulonnais de deux ans

Le Boulonnais est originaire des côtes de la Picardie et du Pas-de-Calais.

Breton

Le Breton ou trait breton, dont on trouve deux types, est originaire de Normandie.

Article détaillé : Breton (cheval).
Cob normand
Article détaillé : Cob normand.

Le Cob normand est un cheval de trait léger originaire de Normandie, issu du carrossier normand amélioré par le pur-sang anglais et le trotteur Norfolk. La race est gérée par le Syndicat national des éleveurs et utilisateurs de chevaux cob normand qui tient le studbook et qui cherche à fixer les caractéristiques originelles de la race. Principalement répandu dans la région de Saint-Lô, son effectif a été relativement stable ces dernières années. La qualité de ses allures, son courage et sa franchise en font un excellent cheval d'attelage, mais il est aussi très agréable sous la selle.

Comtois

Le Comtois est originaire de Franche-Comté.

Article détaillé : Comtois (cheval).
Percheron

Le Percheron est originaire du Perche.

Article détaillé : Percheron.
Poitevin mulassier

Le Poitevin mulassier est originaire du Poitou.

Article détaillé : Poitevin mulassier.
Trait du Nord
Article détaillé : Trait du Nord.

Le trait du Nord, autrefois nommé Ardennais du Nord et Ardennais de type Nord, est une race de grand cheval de trait français à sang froid originaire de la région du Hainaut, et sélectionnée spécifiquement pour les travaux agricoles. Longtemps confondu avec le cheval ardennais, le trait du Nord fut dissocié de ce dernier quand son propre registre d'élevage fut ouvert en 1903. Il a également participé à l'exploitation des mines dans sa région d'origine et travaillait au fond des galeries avant que l'électrification et la motorisation de l'agriculture n'entrainent sa quasi-disparition, faute de demandes pour les éleveurs. L'hippophagie permit la sauvegarde de ce cheval avant le renouveau de l'attelage de loisir et de travail. Aujourd'hui, des associations organisent sa reconversion dans l'équitation de travail, comme le débardage, et dans les loisirs équestres, comme l'attelage, mais les nouvelles naissances chez la race sont néanmoins en diminution constante depuis de nombreuses années, ce cheval emblématique de la région du Nord-Pas-de-Calais possédant l'un des plus faibles effectifs parmi les neuf races de chevaux de trait français.

Poneys
Poney français de selle
Article détaillé : Poney français de selle.
Poney landais
Article détaillé : Poney landais.
Pottok
Article détaillé : Pottok.

Races étrangères élevées sur le sol français

Des races d'origine étrangère peuvent être élevées en France, à condition que leur stud-book soit reconnu auprès des haras nationaux. Il ne s'agit, dans tous les cas, pas de races chevalines originaires du sol français, bien que des lignées françaises puissent apparaitre, comme dans le cas du Pur Sang. Les cas du Pur Sang et du Cheval Arabe (et demi-sang Arabe) sont en effet particuliers car ces races, bien que d'origine étrangère, sont élevées sur le sol français depuis des siècles.

Les races étrangères reconnues incluent l'Akhal-Téké, l'Appaloosa, le Barbe, le Cheval crème, le Frison, l'Islandais, le Lipizzan, le Paint Horse, le Lusitanien, le Pure race Espagnole, le Quarter Horse, le Shagya et le Trakehner pour les chevaux de selle.

Les races de trait étrangères reconnues sont au nombre de deux, le Cob irlandais et le Franches-Montagnes.

Les poneys étrangers reconnus sont le Connemara, le Dartmoor, le Fjord, l'Haflinger, le Highland, le New Forest, le Shetland et le Welsh.

Notes et références

  1. www.cairn.info/article.php?ID_REVUE=TT&ID_NUMPUBLIE=TT_009&ID_ARTICLE=TT_009_0143 L'hippophagie en France sur Cairn.info
  2. a et b Nicolle 1999, p. 267
  3. Gies et Gies 2005, p. 88
  4. (en) Percheron British Horse Society. Histoire de la société britannique Percheronne. Percheron British Horse Society. Consulté le 14 août 2008.
  5. de Blomac et Barrière 2006, p. 40-41
  6. Bennet, Bradbury et DeVries 2005, p. 71-72
  7. Michel Mollat, Les Pauvres au Moyen Âge, volume 11 de Historiques, Bruxelles, Éditions Complexe, 2006, (ISBN 9782804801113), 389 pages, p. 48
  8. Prévot et Ribémont 1994, p. 57
  9. de Blomac et Barrière 2006, p. 46
  10. Le cheval et l’homme : travail et noblesse, conférence de Daniel Roche dans Les Lundis du Collège de France par Christine Goémé, 30 juillet 2011, 22h05-23h04, sur France Culture Écouter en ligne
  11. [PDF]Sylvie Brunel et Bénédicte Durand Le cheval, une énergie d'avenir ? rapport d'une conférence du festival international de géographie à Saint-Dié-des-Vosges, 2007
  12. a, b et c [PDF]Races gérées en France

Annexes

Articles connexes

Liens externes

Bibliographie


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