- Saint-Laurens de l'Isle
-
Saint-Laurent (Haute-Garonne)
Pour les articles homonymes, voir Saint-Laurent.Saint-Laurent Administration Pays France Région Midi-Pyrénées Département Haute-Garonne Arrondissement Arrondissement de Saint-Gaudens Canton Canton de L'Isle-en-Dodon Code Insee abr. 31494 Code postal 31230 Maire
Mandat en coursAndré Clerc
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes des Portes du Comminges Site internet saintlaurentsursave.fr Démographie Population 160 hab. (2006) Densité 19 hab./km² Gentilé Saint-Laurentais Géographie Coordonnées Altitudes mini. 211 m — maxi. 341 m Superficie 8,39 km² Saint-Laurent est une commune française, située dans le département de la Haute-Garonne et la région Midi-Pyrénées. Elle est couramment appelée par son nom d'usage : Saint-Laurent-sur-Save.
Ses habitants sont appelés les Saint-Laurentais et les Saint-Laurentaises.
Sommaire
Géographie
Saint-Laurent sur Save se situe dans le Comminges à mi-chemin entre Toulouse et les Pyrénées à 70km au sud-ouest de Toulouse en passant par l'autoroute A64 ( 21 Boussens et 18 Saint-Gaudens), à 30 km au nord de Saint-Gaudens par la RD17, et à 7km de L'Isle-en-Dodon. Le centre du village est traversé par les routes départementales RD81 et RD84.
La commune de Saint-Laurent se situe dans la vallée de la Save, dans un paysage typique des Coteaux de Gascogne, composé de vallées dissymétriques et de coteaux en lanières. Avec les vallées de la Gesse et de la Gimone, la Save fait partie de ce que l'on nomme Le Chevelu Gascon. Ces coteaux présentent d'une part, un versant relativement abrupt et boisé, servant le plus souvent à l'élevage bovin et, d'autre part, un versant assez plat sur lequel les exploitants agricoles pratiques des cultures céréalières irriguées (maïs,…).
Les ruisseaux de la Houytère et du Mahourat, ainsi que Le Canal des 3 moulins parcourent le village. Lors des forts épisodes pluvieux, ces ruisseaux sont souvent la source d'inondations au centre du village (crue majeure du 8 juillet 1977).
Source: Météo France Histoire
Sur un site occupé dès la préhistoire, Roger de Nuro, évêque du Comminges, fonde en 1151 le prieuré de Saint-Laurent, par l'intermédiaire du prieuré de Boulaur, qui appartient à l'ordre de Fontevraud, rassemblant les religieuses et religieux. Au XIIIe siècle, les deux communautés, voisines mais séparées, sont à l'origine de la formation du village[1].
Au XIVe siècle, la Pancarte du diocèse de Comminges énumère les droits et les revenus du couvent qui portent sur les paroisses de Saint-Laurent, Montbernard, Montesquieu-Guittaut, Puymaurin, Saint-André, Cassagnabère-Tournas, l'Isle-en-Dodon, Agassac et Mirambeau. Le prieuré est détruit au XVIe siècle par des inondations et des incendies. Un nouveau monastère remplace les constructions de brique par des bâtiments de pierre et de terre.
Au XVIIe siècle, le « couvent », qui suit la règle des franciscaines, connaît son apogée. Il est protégé par la maison mère de Fontevraud, par le roi et par le pape. La commune se nomme alors Saint-Laurent des Religieuses. Au XVIIIe siècle, la communauté reçoit en pension les filles de famille de la région. Pendant la Révolution, les religieuses sont dispersées et leurs biens sont vendus. Le village de Saint-Laurent de l'Isle (ou Saint-Laurens de l'Isle[2]) est alors gouverné par les consuls, puis par les maires et prend le nom révolutionnaire de Bellerive sur Save en 1789, puis de Saint-Laurens en 1793. Le nom de la commune Saint-Laurent est officiellement utilisé à partir de 1801.
Composée de petits et de moyens propriétaires, de nombreux artisans et de brassiers, la population est au XIXe siècle active, sinon prospère, jusqu'au XXe siècle où débute le déclin démographique commun à tous les villages du Comminges. Les deux guerres mondiales font respectivement 15 et 2 morts parmi la jeunesse locale.
Le village dispose d'une ancienne gare sur la ligne ferroviaire de Toulouse à Boulogne-sur-Gesse, qui a fonctionné à partir du 1er août 1901. Cette ligne, exploitée par la Compagnie des Chemins de Fer du Sud Ouest, permettait en 1902 de rejoindre Toulouse en 4h00 (vapeur), puis en 2h00 (autorail électrique). Devant la concurrence de l'automobile, cette ligne de 98km ferme le 31 décembre 1949[3] et a été remplacée par la ligne 65 du réseau des bus Arc-en-ciel du département de la Haute-Garonne, effectuant le trajet dans un temps similaire[4].
A partir de 1982, la population de la commune augmente à nouveau. La qualité de vie au sein de ce village, ainsi que son école et sa boulangerie, attirent de plus en plus de jeunes couples.
De 2000 à 2007, de nouvelles constructions et rénovations d'habitations, permettent à Saint-Laurent de totaliser 160 habitants.
Administration
Liste des maires successifs Période Identité Parti Qualité mars 1985 2001 Guy Barousse sans étiquette Agriculteur mars 2001 2008 Didier Oléron sans étiquette Moniteur mars 2008 2014 André Clerc sans étiquette Adjoint du Patrimoine Toutes les données ne sont pas encore connues.
Lors de l'élection municipale du 9 mars 2008, la liste "Pour l'avenir de Saint-Laurent" a été élue au 1er tour[5].La commune fait partie du canton de L'Isle-en-Dodon (Conseiller Général actuel : Jean Larrieu, UDF) et de la Huitième circonscription de la Haute-Garonne (Député actuel : Jean-Louis Idiart, PS).
Pays
En 2002, la commune adhère au Pays Comminges Pyrénées qui regroupe 236 communes Commingeoises afin d'engager une réflexion participative pour l'élaboration d'un projet de développement durable de leur territoire.
Intercommunalité
En 2007, la commune de Saint-Laurent adhère à la Communauté de Communes des Portes du Comminges afin d'engager des projets communs avec 13 autres communes du canton de L'Isle-en-Dodon : Agassac, Anan, Boissède, Fabas, L'Isle-en-Dodon, Labastide-Paumès, Lilhac, Mirambeau, Molas, Montbernard , Montesquieu-Guittaut, Puymaurin et Saint-Frajou. Dans le cadre de la compétence "Aménagement du territoire" transférée à la communauté de communes, la commune de Saint-Laurent a prescrit en décembre 2008, l'élaboration d'un document d'urbanisme sous la forme d'un Plan local d'urbanisme (PLU).
Démographie
Sources: Cassini de 1793 à 1962, RGP de l'INSEE de 1968 à 1999 et INSEE, Recensement de la population 2006 . L'Enquête annuelle de recensement de l'INSEE réalisée en 2007, avait comptabilisé 160 habitants.
Histogramme
(élaboration graphique par Wikipédia)Économie
Saint-Laurent présente les caractéristiques principales d'une petite commune rurale du XXIe siècle. Le positionnement en vallée de la commune a permis depuis de nombreuses décennies de développer une vie agricole importante, essentiellement basée sur la culture céréalière.
En 2000, le recensement agricole ne comptabilise plus que 3 exploitations agricoles majeures sur la commune. L'activité principale est orientée autour de la polyculture (maïs, tournesol, soja, blé, colza,...) et l'élevage bovin-viande.
Le témoignage de ce passé riche se retrouve dans le patrimoine communal laissé par les anciens meuniers, à savoir :
- Le canal et ses 3 moulins
- L'ancien moulin du couvent
- L'ancien moulin à vent
- La bascule publique
- La boulangerie
La boulangerie-épicerie-tabac reste aujourd'hui le seul commerce du village, qui disposait au XXe siècle de 2 cafés, d'un bureau de poste et d'une perception.
Lieux et monuments
- Église inscrite au patrimoine des Monuments historiques, le 30 avril 2001 :
L'église de Saint-Laurent est bâtie de briques et de pierres au début du XIVe siècle selon les techniques de construction de l’époque gothique. Le chevet constitue un vestige de cette première période. L’église est restaurée à l'identique dans les années 1870-1880. Les piliers et les murs de la nef ne sont pas d'aplomb mais penchent vers l'extérieur en s'élevant, corrigeant ainsi l'effet de rétrécissement dû à la perspective Au XXe siècle, elle est garnie d'un mobilier art-déco en ferronnerie : chaire à prêcher et grille des fonts baptismaux dues aux ferronniers du village Pierre et Paul Desbarax (père et fils), datant de 1935. Elle reçoit également un ensemble de peintures dues à René Gaston-Lagorre : en 1938, les panneaux du chœur représentant la Sainte Trinité et la Sainte Famille ; en 1940, le Martyre de Saint-Laurent au revers du mur de façade ; en 1942, les peintures au-dessus des autels latéraux[6].
Site naturel inscrit le 17 juillet 1944, au titre de la loi du 2 mai 1930 sur la protection et la conservation de la qualité des monuments naturels et des sites d'intérêt artistique, historique, scientifique, légendaire ou pittoresque[7].
- Couvent du XIIe siècle :
Fondé en 1151, le prieuré Fontevriste de Saint-Laurent a été un point central dans le développement du village. Jusqu'à la Révolution, celui-ci comptait près de 100 religieux. En 1797, le prieuré et l'église sont vendus à un entrepreneur qui détruit cette dernière pour tirer profit des briques. Adossé au couvent, qui servira de maison d'habitation, le mur ouest de l'église sera sauvé.
En juillet 1977, les crues de la Save ravagent la région et inondent le couvent inhabité qui tombe en ruine.
Quelques années plus tard, en 1989, la municipalité et une association de villageois bénévoles et motivés (Saint Laurent Patrimoine) décident d'entreprendre des travaux de rénovation pour enfin remettre à jour ce trésor du passé. Les travaux s'achèvent en 1991, laissant place à des vestiges d'un autre âge, un lieu agréable, calme et fleuri, où les boulistes des après-midi d'été se retrouvent pour une partie de pétanque. Le site aujourd’hui sauvegardé met en valeur un grand mur de brique du XIIe siècle et un portail du XVIe siècle.
Le mur ouest de l’ancienne église abbatiale est percé de deux baies romanes. Cette maçonnerie doit son état de conservation à la qualité du mortier, obtenu avec une chaux vive de première qualité à laquelle sont ajoutés des œufs. Ce mortier résiste notamment à une immersion prolongée.
Le portail était l'entrée principale du second couvent, appuyé sur les ruines du premier établissement. Les bâtisseurs manquant de chaux, les maîtres murs sont en pierres tout-venant liées au mortier d'‘’agasso’’ (mortier de pie), c'est-à-dire de l'argile à laquelle est ajouté un sable dit ‘’de mine’’, silico-calcaire local. La porte est réalisée, sans assemblage, à partir de madriers entrecroisés, assujettis par de forts clous à large tête.
- Le canal et ses 3 moulins :
Le prieuré de Saint-Laurent possède son moulin ‘’bladié’’, c'est-à-dire à blé, installé sur le ruisseau de la Houytère, dont le débit est insignifiant et ne peut fonctionner qu'à ‘’l'éclusée’’. Au XVIIe siècle, l'abbesse entreprend, en accord avec l'évêque de Comminges, la construction d'un barrage ou ‘’pachère’’ sur la Save, ce qui permet l'alimentation régulière d'un canal dit ‘’des trois moulins’’. Le premier de ces établissements est dit ‘’de Montamat’’, du nom de ses derniers meuniers, et se situe au plus près du couvent. Au XIXe siècle, sans cesser de moudre, il actionne une filature de laine.
Le deuxième moulin, dit ‘’petit moulin’’, est rapidement transformé en foulon, système mécanique servant à fouler les étoffes de laine.
L’évêque de Comminges se réserve, selon un écrit de 1673, le troisième moulin de Saint-Laurent, le ‘’Moulin Neuf’’ (qui fonctionne alors à plein régime). Au Moulin Neuf, les trois meules sont encore à leur place d'origine, bien que dépouillées de leur habillage de bois. Trois prises d'eau distinctes sont dirigées chacune sur une turbine, ou rouet, qui tourne indépendamment.
Dès le XVIIe siècle, les trois moulins, disposés successivement sur le même canal, sont l’objet de conflits entre leurs propriétaires respectifs.
Désolé de voir chaque été la Save presque complètement asséchée, le meunier Montamat acquiert, au sommet du coteau, un terrain sur lequel s'élève en 1823 un moulin à vent qui domine le paysage. L'ensemble a depuis été restauré et converti en habitation.
- La Maison Haute de la Coutère et le Château de Benqué :
En 1686, le seigneur de La Tour habite dans sa ‘’maison haute’’ de La Coutère. Il possède ‘’ruralement’’ 168 sétérées pour une imposition de 18 livres, allivrement dont il est affranchi en 1693 par un édit de Louis XlV. En 1781, c'est Pierre de Lartigue qui occupe la demeure de La Coutère. A la Révolution, ce dernier propriétaire noble émigre et ses biens sont vendus.
En 1686, le cadastre fait état d'un propriétaire laboureur qui dispose de seize sétérées, un patrimoine considérablement développé par ses descendants. L'un d'eux, Bernard, en tant qu'élu de la période révolutionnaire, se porte ainsi acquéreur de biens nationaux, en particulier des terres et vignes du sieur Lamalathie, prêtre déporté de Montesquieu. Ayant installé dès 1817 une ‘’maison haute’’, la production et le commerce des vins prospérant, les Benqué y ajoutent en 1904 une tour qui transforme le corps de logis en château, affichant l’entrée de la famille dans la haute bourgeoisie rurale.
- Le bâtiment Mairie-Ecole :
Bâti de brique en 1901, il est flanqué du logement des maîtres aux deux extrémités, avec la mairie au milieu. Ce long bâtiment sépare nettement les classes des garçons de celles des filles.
- Vestiges archéologiques :
La crue de 1977, qui emporte sur certains champs la couche de terre arable, favorise la mise au jour de vestiges archéologiques. Dans des labours proches de la Save, sur la terrasse immédiate de la rivière, trois vestiges portent l'évident témoignage de l'occupation du site de Saint-Laurent par l'homme à l'époque de la pierre polie :
Deux outils en pierre polie (grès) du Néolithique (11,2 x 5,5 cm), dont le plus grand est une herminette ou une houe selon qu'on le destine au travail du bois ou de la terre. Le second est une hache.
Une hache du Chalcolithique en bronze (9,2 x 2,7 cm), qui aurait pu être utilisée comme monnaie par les populations nomades circulant de l'Ibérie vers la Scandinavie pour faire des échanges avec les agriculteurs sédentaires donc ils traversent le domaine.
Vie locale
Boulangerie, école, nombreux artisans, maisons fleuries, couvent du XIIe siècle, le bord de Save.
Éducation
L'école de Saint-Laurent accueille aujourd'hui une vingtaines d'élèves dans les 3 sections de maternelle (petite, moyenne et grande section). Elle fait partie d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) associant les communes voisines de Montesquieu-Guittaut et de Montbernard, soit une soixantaine d'enfants.
Le local de l'école est le bâtiment central du village. Il s'agit d'un bâtiment édifié en 1901 par la municipalité, et comprenant en son centre l'actuelle mairie, ainsi que 2 bâtiments d'habitation, 2 salles de cours (École des filles et École des garçons) et 2 préaux. La salle de cours actuelle se situe dans l'ancienne école des garçons. La cantine est depuis une quinzaine d'années installée dans l'ancienne école des filles.
Après leur cursus en classe maternelle et élémentaire, les enfants de la commune sont pour la majorité orientés vers le collège Léon Cazeneuve de L'Isle-en-Dodon, puis vers les Lycées de Saint-Gaudens.
Associations
- Comité des Fêtes de Saint-Laurent sur Save
Depuis sa création le 28 juin 1965, le Comité des Fêtes organise chaque année un certain nombre de manifestations, dont la plus connue est bien évidemment la fête locale. Généralement située autour du week-end du 10 août (jour de la Saint-Laurent), celle-ci réunit tous les âges. Du village ou des environs, tout le monde vient participer au fameux concours de pétanque, boire un verre entre amis à la buvette, ou bien encore danser sur des airs de disco ou d'accordéon, selon les goûts. On ne peut mentionner la fête locale sans parler des succulents repas, et de la célèbre sérénade (appelée localement "La Quête"). Depuis quelques années, la Refête est organisée au mois d'avril.
Le Comité des Fêtes est depuis toujours géré par une poignée de jeunes fêtards de la commune, de 15 à 30 ans, mais souvent aidé par le reste du village lorsqu'il s'agit de travaux plus physiques (montage d'estrade, de buvette, de luminaires,...).
- Saint-Laurent Patrimoine
Créée à la suite de l'inondation de juillet 1977 qui causa de nombreux dégâts dans le village, cette association s'intéresse aujourd'hui à conserver, mettre en valeur et faire revivre le patrimoine historique et culturel de la commune. Sa réalisation la plus importante fût la restauration de l'ancien couvent du XIIe siècle en 1991.
Cette association édite également de nombreux ouvrages concernant le village, le Comminges,... et organise des sorties de découvertes du patrimoine des communes voisines. Chaque année, des visites commentées de l'église sont organisées lors des Journées du Patrimoine.
- ACCA de Saint-Laurent
L'Association de Chasse réuni les chasseurs du village lors des battues qui sont organisées sur le territoire de la commune (sanglier, chevreuil). Elle organise également un repas annuel réunissant les amateurs de gibier du village.
- AP3E : Association des Parents d'élèves des 3 Écoles
L'AP3E réunis les parents des enfants scolarisés dans les 3 écoles du RPI, afin d'organiser des manifestations telles que le Loto annuel ou le Feu de Saint-Jean. Les bénéfices de ces journées permettent de participer à l'équipement des écoles et à l'organisation de voyages scolaires.
- Les anciennes associations
L'Avant Garde de la Save est le nom de l'ancienne équipe de football de Saint-Laurent. Créée officiellement en 1923, cette équipe au maillot bleu et blanc porta les couleurs du village pendant une quarantaine d'années.
La Clique de Saint-Laurent fût également créée par la jeunesse locale pour accompagner l'équipe de football et les soirées de la fête locale dans les années 1920-30.Dans les années 1920, le village voit également la naissance d'une petite troupe théâtrale, qui sous la direction de l'instituteur du village, se produit à de nombreuses reprises dans le canton et dans le Comminges. Devant ce succès, le Conseil Municipal de l'époque décide la création d'une salle de spectacle qui sera inaugurée le 30 juillet 1933. Cette salle, qui est aujourd'hui appelée Salle des Fêtes, a été rénovée dans les années 1990 grâce au concours d'une architecte du village.
Personnalités liées à la commune
- René Gaston-Lagorre (° 1913 - † 21 février 2004) : Artiste-peintre français ayant réalisé les peintures de l'église entre 1938 et 1942.
Voir aussi
Liens externes
- Saint-Laurent sur le site de l'Institut géographique national
- Site officiel de la commune de Saint-Laurent-sur-Save
Notes et références
- ↑ Le patrimoine des communes de la Haute-Garonne par Jacques Ducos, Yves Breton, Gabrielle Odon, et al. - Paris : Flohic, 2000 (45-Malesherbes : Impr. Partenaires-livres). - 2 vol. (1789 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 25 cm. - (Collection Le patrimoine des communes de France), (ISBN 2842340817), p.816 à 819
- ↑ Saint-Laurent (Saint-Laurens de l'Isle) sur la carte de Cassini de 1770 - Bibliothèque Nationale de France
- ↑ Historique de la ligne de train Boulogne-Toulouse, exploitée par la Compagnie des Chemins de Fer du Sud-Ouest
- ↑ Horaires des bus Arc-en-ciel - ligne 65
- ↑ Résultat des élections municipales 2008 à Saint-Laurent sur Save
- ↑ Base Architecture - Mérimée du Ministère de la Culture et de la Communication
- ↑ Cartographie du site naturel inscrit d'après la DIREN Midi-Pyrénées
- Portail de la Haute-Garonne
- Portail de la région Midi-Pyrénées
Catégorie : Commune de la Haute-Garonne
Wikimedia Foundation. 2010.