- Massacres perpétrés par les Allemands en France durant la Seconde Guerre mondiale
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Massacres perpétrés par les Allemands en France durant la Seconde Guerre mondiale
Les troupes alllemandes et leurs auxiliaires commirent de nombreux massacres en France, de l'invasion à la libération. Les victimes de ces tueries furent de natures diverses : hommes, femmes et enfants, civils, résistants blessés ou prisonniers (Mont-Mouchet, Vassieux-en-Vercors, Grotte de la Luire), otages, Juifs (Saint-Genis-Laval, Bron, Savigny-en-Septaine) et non-Juifs...
Si dans la mémoire collective et la littérature historique, le massacre d'Oradour-sur-Glane, avec ses 642 victimes, occupe une place prépondérante, il ne peut occulter l'importance et la sauvagerie d'assassinats collectifs comme ceux commis à Maillé, Tulle, Ascq, Buchères, la Saulx[1] et de toutes les autres exactions des troupes allemandes qui firent plusieurs milliers de victimes.Généralement attribués à la Waffen-SS, ces massacres furent aussi perpétrés par des unités de la Wehrmacht, de la Kriegsmarine, de la Gestapo, du SIPO-SD et par leurs auxiliaires français. Cette brutalisation s'intensifia début 1944, avec les instructions concernant la répression données, le 3 février 1944, suite à une intervention personnelle d'Adolf Hitler, par le général Hugo Sperrle, puis après le débarquement de Normandie, transposant en France la sauvagerie pratiquée sur le front de l'Est et dans les Balkans.
Sommaire
Liste chronologique
Janvier 1944
- Le 5
- Mérenvielle : meurtres le 5 janvier et le 2 juin 1944 [2].
- Le 14
Février 1944
- Le 16
- Beyssenac : 34 maquisards sont exécutés par deux compagnies allemandes au Pont Lasveyras, et 5 autres mourront en déportation.
Mars 1944
- Le 26
- Brantôme : après des tirs de résistants contre la voiture du général Walter Brehmer, ayant causé la mort de deux policiers, des membres du Sipo-SD exécutent 25 détenus de la prison de Limoges, dont des Juifs[3], ainsi qu'un jeune habitant de la commune.
- Allemans : des soldats allemands, incendient une ferme dont les 3 occupants meurent carbonisés [3].
- La Jemaye : les mêmes abattent un habitant et incendie sa ferme[3].
- Echourgnac : les mêmes abattent une habitante et brûlent sa maison[3].
- Le 27
- Sainte-Marie-de-Chignac : 25 autres détenus des prisons de Limoges et Périgueux, principalement des Juifs, sont fusillés au lieu-dit Rivières-Basses, par des membres du Sipo-SD [3]. Deux blessés parviennent à s'enfuir [4].
- Le 31
- Rouffignac : le village est entièrement détruit, 3 hommes sont exécutés, 12 civils et 4 gendarmes (qui ne survivront pas) sont déportés en Allemagne [5].
Avril 1944
- Le 1er et le 2
- Ascq : 86 habitants sont fusillés par des hommes de la 12e Panzerdivision SS Hitlerjugend à la suite d’un acte de sabotage contre un train[6].
- Le 6
- Tarnac : une compagnie d'une division allemande partant vers la Normandie, fusille quatre Juifs [7].
- Bugeat : 4 habitants du village sont fusillés par des soldats allemands.
- Le 30
- Aussonne : meurtres et destructions [2].
- Cornebarrieu : meurtre [2].
Mai 1944
- Le 2
- Montpezat-de-Quercy : des membres de la 2e division SS Das Reich tuent 5 personnes et en déportent 15. Le village est pillé et incendié.
- Le 7
- Miremont : exécutions les 7, 9 et 14 mai par des membres de la 2e division SS Das Reich puis le 2 juin [2].1944).
- Les 11 et 12
- Lauzès, Orniac, Blars, Grèzes, Latronquière, Sousceyrac, Cardaillac, Gorses, Molières, Le Bourg, Lacapelle-Marival, Terrou, Saint-Céré, Figeac, Lunan et Saint-Félix : dans cette même région, les SS font plusieurs centaines de victimes et déportés.
- Le 17
- Le 21
- Frayssinet-le-Gélat : 3 femmes sont pendues et 11 hommes fusillés par les SS.
- Le 23
Juin 1944
- Le 1er
- Limogne-en-Quercy, Cadrieu et Frontenac : 9 civils sont tués par les SS.
- Le 2
- Le 3
- Linac, Viazac et Bagnac-sur-Célé : 19 habitants sont fusillés par les SS.
- Chaum : assassinat [2].
- Le 5
- Le 6
- Le 7
- Castelculier : 2 résistants sont tués et 4 otages civils sont exécutés. Le château de Laclotte et la ferme de la famille Afflatet sont brûlés par les Allemands.
- Saint-Pierre-de-Clairac : 11 patriotes français sont fusillés et massacrés par la gestapo d'Agen et des éléments de la 2e division SS Das Reich [11]
- Saint-Germain-la-Blanche-Herbe : 11 soldats canadiens prisonniers sont exécutés ce jour et 7 autres le lendemain dans les jardins du château de l'Abbaye d'Ardenne[12].
- Le 8
- Issendolus : 44 personnes sont massacrées par les SS et 70 autres déportées.
- Saint-Floxel : un soldat tue 8 femmes et enfants cachés derrière un abreuvoir[13].
- Rouffilhac et Carsac-Aillac : 29 habitants dont des femmes et des enfants, sont massacrés par les SS.
- Le 9
- Tulle : 99 hommes sont pendus, puis, dans les jours qui suivent 149 sont déportés dans les camps de concentration nazis. Au total, l'action de membres de la 2e panzerdivision SS Das Reich et du SD fait 213 victimes[14].
- Argenton-sur-Creuse : 56 habitants dont des femmes et des enfants, et des membres des FFI sont massacrés dans les rues en fin d’après-midi par des membres d'une compagnie du régiment Der Führer de la 2e panzerdivision SS Das Reich et 11 sont fusillés le lendemain[15] , [16]
- Janaillat : 31 jeunes maquisards sont exécutés au lieu-dit poteau de Combeauvert par un bataillon du 4e régiment de Panzergrenadier Der Führer appartenant à la Panzerdivision Das Reich [17].
- Le 10
- Oradour-sur-Glane : 642 habitants, dont 247 enfants, sont abattus ou brûlés vifs par les hommes du 1e bataillon du 4e régiment Der Führer de la 2e panzerdivision SS Das Reich[18].
- Issoudun : 11 personnes sont tuées.
- Marsoulas et Mazères-sur-Salat : 32 civils dont 6 femmes et 12 enfants sont tués par les SS.
- Betchat : 2 civils sont tués, un FFI fait prisonnier est exécuté, plusieurs maisons sont incendiées le 10 puis dans les jours suivants [19]
- Bagnères-de-Bigorre, Pouzac et Trébons : du 10 au 12 juin, 57 habitants dont des femmes et des enfants, sont massacrés par un bataillon du régiment Deutschland de la 2e panzerdivision SS Das Reich[20] .
- Mont-Mouchet: les 10 et 11 juin, environ 100 civils et 238 résistants furent tués pas les troupes nazies.
- Ruynes-en-Margeride, Clavières : 36 civils sont victimes des troupes d'un Sicherungsbataillon de la Wehrmacht et du 19e SS-Polizieregiment[21].
- Laffite-Toupière : assassinat commis par des éléments de la 2e panzerdivision SS Das Reich [2].
- Martres-Tolosane : exécutions et massacres le 10 juin commis par des éléments de la 2e panzerdivision SS Das Reich puis nouveaux assassinats les 8 et 18 août [2].
- Saint-Michel : crimes de guerre, exécutions commis par des éléments de la 2e panzerdivision SS Das Reich [2].
- Le 11
- Mussidan : des membres du SD de Périgueux[20] fusillent 52 personnes à Mussidan parmi lesquelles, Raoul Grassin, le maire de la commune en représailles à une tentative de sabotage de la voie ferrée par la résistance[22].
- Orville : 10 habitants sont fusillés.
- Le 12
- Valréas : des membres du groupe de combat Unger de la 9e division blindée de la Wehrmacht[21] tuent 26 civils et 27 résistants.
- Jeu-les-Bois : 17 hommes sont tués.
- Murat : 4 otages sont fusillés sur le bord de la route, par le SS Hugo Geissler, qui sera mitraillé, en représailles, par des maquisards
- Saint-Lys, Bonrepos-sur-Aussonnelle et Saiguède : 9 maquisards sont tués et 12 civils sont exécutés par ces unités de la 2e division SS Das Reich [23].
- Le 13
- Revin : 105 résistants capturés après l'encerclement du maquis des Manises (encadré par Jacques Pâris de Bollardière), sont exécutés [24].
- Le 15
- Le 21
- Mouleydier : le village est pillé et incendié par les SS. 22 maquisards sont fusillés.
- Boulogne-sur-Gesse : meurtres le 21 juin puis le 17 août [2].
- Le 24
- En représailles, de l'exécution de Hugo Geissler, 115 Muratais sont raflés et déportés à Neuengamme par la Légion des Tatars de la Volga de la Brigade Jesser.
- Le 25
- Thauvenay : 16 civils dont 6 jeunes et un enfant de sept ans, sont abattus et vingt-trois habitations incendiées.
- Le 26
- Dun-les-Places : 27 civils sont tués par les SS. Les maisons sont ensuite pillées et incendiées les 27 et 28 juin.
- Le 27
- Castelmaurou : assassinats le 27 juin puis le 16 juillet [2].
- Le 28
- Villemur-sur-Tarn : meurtres, incendies, pillages et crimes de guerre le 28 juin 1944 puis le 1, 3, 7, 20, 21, 24, et 27 juillet et le 20 et 21 août 1944 [2].
- La Magdelaine-sur-Tarn : meurtre [2].
- Le Born : meurtres [2].
- Montastruc-La-Conseillère : crimes de guerre [2].
Juillet 1944
- Le 2
- Le 6
- Bazus : assassinats, incendies et vols, le 6, 7 et 15 juillet puis le 20 et 21 août [2].
- Bessières : crimes de guerre [2].
- Le 7
- Le Cheylard : la Wehrmacht tue entre 30 et 50 civils lors d’une opération contre un centre de résistance.
- Le 8
- Portes-lès-Valence : 32 personnes sont fusillées.
- Magnac-Laval : 19 personnes sont massacrées par des miliciens.
- Le 9
- Ramonville-Saint-Agne : assassinats [2].
- Le 10
- Bélâbre : 46 hommes dont plusieurs maquisards de Chauvigny, sont massacrés.
- Montréjeau : meurtres le 10 juillet puis le 7 août [2].
- Le 11
- Dompierre-sur-Mont : 22 habitants sont fusillés.
- Du 12 au 22
- Dortan : 25 habitants de Dortan et d’Oyonnax furent torturés et tués, des femmes violées et le village incendié par la Wehrmacht.
- Le 15
- Bourg Lastic : une colonne Jesser fait 23 fusillés, 28 déportés
- Verrières une autre colonne Jesser assassine 3 résistants (balles dans le dos)
- Alleyrat et La Rochette situés à quelques kilomètres au nord d’Aubusson sont incendiés par le groupement Coqui.
- Marcy déportation de 6 personnes après un accrochage avec la 238e compagnie FTP .
- Le 20
- Vif : En représailles à une embuscade, les Allemands exécutent 11 otages.
- Cormelles-le-Royal : les six membres d'une famille ayant décidé de rentrer chez eux malgré l'ordre d'évacuation allemand sont retrouvés et fusillés par les SS[25].
- Le 21
- Vassieux-en-Vercors : 82 habitants dont des femmes, des enfants et des vieillards, et 120 combattants des FFI, sont massacrés et le village est détruit à 97%.
- Seyssinet-Pariset : 10 polonais et français, raflés à Grenoble par la milice et la Gestapo, sont fusillés.[26]
- Le 24
- Savigny-en-Septaine : 36 Juifs de Saint-Amand-Montrond dont 8 femmes, sont jetés vivants ou tués par balles, dans un puits par la Gestapo.
- Le 27
- Saint-Germain-du-Salembre : 29 maquisards et la quasi-totalité des habitants du hameau sont massacrés par les nazis.
- Grotte de la Luire : 35 blessés du maquis du Vercors sont assassinés.
- La Chapelle-en-Vercors : Le village est incendié et bombardé par l'armée allemande. Seize jeunes otages sont exécutés dans la cour d'une ferme (qui s'appelle aujourd'hui la Cour des Fusillés).
- Lyon : la Gestapo fusille 5 résistants place Bellecour.
- Chard : le village est attaqué par le groupement Coqui qui tue 6 FFI et fait 17 prisonniers qu’il fusille et achève.
- Le 28
- Auterive : meurtre [2].
- Rouffiac-Tolosan : meurtres [2].
- Le 31
- Bellegarde-Sainte-Marie : assassinats et destructions [2].
Août 1944
- Le 4
- Le Vigeant : 12 jeunes résistants de Millac sont fusillés par des nazis et des miliciens.
- Saint-Pol-de-Léon : 25 hommes dont le maire et un adolescent de 17 ans, sont massacrés par la Wehrmacht[27].
- Le 5
- Quimper : les nazis incendient un commerce de Gourvily et fusillent les membres de la famille qui tentent de s’en échapper, Jean-Louis Lejeune, 67 ans ; son épouse Anna, 64 ans ; Marie-Renée Le Quillec, épouse Lejeune, 33 ans, qui attend un enfant, et Marianne Le Jeune, épouse Le Toullec, 32 ans[28].
- Le 7
- Gouesnou : des hommes de 3e la brigade antiaérienne de la Kriegsmarine massacrent 42 habitants dont des femmes et des enfants, au lieu-dit de Penguerec.
- Le 9
- Saint-Julien-de-Crempse : 17 civils de 18 à 80 ans, ainsi que 11 maquisards sont massacrés par les SS.
- Le 10
- Saint-Gaudens : exécutions, crimes de guerre et destructions le 10 et du 19 au 21 août [2].
- Le 11
- Herran : meurtres [2].
- Le 12
- Longny-au-Perche : 5 otages pris au hasard dans le village sont fusillés.
- Villenouvelle : vols, incendies et meurtres le 12 et du 16 au 21 août [2].
- Le 13
- Tourouvre : 18 habitants sont massacrés et une cinquantaine de maisons sont détruites par des SS.
- Montlaur : vols et massacres le 13, 15, 18, 20 et 21 août commis par des éléments de la 2e panzerdivision SS Das Reich [2].
- Le 14
- Grenoble : 20 maquisards du Vercors sont fusillés.
- Le 15
- Longeville : les troupes allemandes tuent 6 maquisards au combat et ils achèvent et brûlent 7 autres maquisards.
- Boussens : meurtres le 15 puis le 18 août [2].
- Le 16
- L'Isle-en-Dodon : meurtre commis par des éléments de la 2e panzerdivision SS Das Reich [2].
- Le 17
- Sainte-Radegonde : 30 personnes sont fusillées.
- Pointis-de-Rivière : assassinat [2].
- Villefranche-de-Lauragais : meurtres, incendies et vols du 17 au 21 et le 28 août [2].
- Le 18
- Saint-Michel-de-Livet : une famille de 7 personnes est assassinée par des SS.
- Nérondes : une douzaine d’habitants sont massacrés et plus de trente maisons brûlées.
- Le 19
- Plaisance du Touch : arrestation et assassinats le 19 et le 21 août [2].
- Le 20
- Saint-Genis-Laval : 110 Juifs sont assassinés par les nazis.
- Saint-Astier : 21 otages sont fusillés le soir, au lieu-dit les Quatre-Routes, en représailles à des combats qui ont opposé des résistants aux allemands. 3 autres personnes sont exécutées dans les environs.
- Villaudric : assassinats et vols le 20 et 21 août [2] 15 civils et 4 FFI sont tués, 8 personnes sont blessées [29].
- Le 21
- Bron : 109 Juifs sont massacrés par les nazis.
- Comblanchien : Dans la nuit du 21 au 22 août 1944, 52 maisons sont brûlées et 8 habitants sur 530 sont tués et 9 hommes déportés.
- Bouloc: meurtres [2].
- Fronton : meurtre et vols [2].
- Le 22
- Creney-près-Troyes : 49 détenus de la maison d'arrêts de Troyes sont exécutés par la Gestapo dont plusieurs Français de la Gestapo de Rennes[30].
- Vaux et Maurens (Haute-Garonne) : meurtres et vols [2].
- Le 24
- Buchères : 68 civils dont 35 femmes, 10 enfants de moins de 10 ans, des bébés de 6 à 18 mois, 5 vieillards de plus de 70 ans sont assassinés par les SS et le village est incendié par deux compagnies de la 51e brigade blindée de grenadiers SS[20].
- Le 25
- Maillé : 124 habitants, âgés de 3 mois à 89 ans, sont massacrés, vraisemblablement par des hommes du Feld-Erstatz-Bataillon (bataillon de réserve) de la 17e Panzer Grenadier Division SS Götz Von Berlichingen[31].
- Châtillon-sur-Indre : des maquisards et des civils sont fusillés,
- Cerizay : bombardement par une colonne allemande. 5 victimes civiles et 173 maisons incendiés.
- Le 26
- Le 27
- Col du Petit Saint-Bernard : 28 hommes des villages de la Tarentaise sont fusillés par la Wehrmacht en repli vers l'Italie.
- Ligueil : 3 maquisards faits prisonniers sont fusillés par l’armée allemande et, le lendemain, un autre maquisard prisonnier, son épouse et ses 3 enfants de 11 à 15 ans, sont exécutés.
- Le 29
- Massacre de la vallée de la Saulx : 86 hommes sont tués par des Allemands de la 3e division de Panzer-Grenadiers, une unité de la Wehrmacht lors de leur passage dans les villages de Couvonges, Robert-Espagne, Beurey-sur-Saulx, Mognéville dans le département de la Meuse[20].
- Bengy-sur-Craon : 8 personnes sont fusillées et des fermes sont incendiées.
- Le 30
- Tavaux-et-Pontséricourt : 20 habitants, femmes, vieillards, enfants, sont massacrés par les SS. 86 maisons sont pillées et incendiées [33][34].
- Le 31
- Plomion : 14 habitants de 16 à 72 ans sont fusillés par les SS.
Septembre 1944
- Le 2
- Etreux : au hameau du Gard, suite à une embuscade de la Résistance, les Allemands arrêtent et fusilllent 36 hommes et brûlent de nombreuses maisons [35][36][37].
- Le 8
- Autun : 27 résistants sont fusillés par les Allemands, dans les jardins d'une école de la ville, rue aux Raz.
- Les 20 et 21
- Basse-sur-le-Rupt : 86 maquisards sont fusillés par les nazis.
- Le 27
- Étobon : 39 habitants sont fusillés par les SS et 27 autres sont emmenés puis, pour 9 d’entre eux, fusillés près de Belfort, et les 18 autres, déportés.
Références
- ↑ La répression en France à l'été 44 - massacres les plus conséquents
- ↑ a , b , c , d , e , f , g , h , i , j , k , l , m , n , o , p , q , r , s , t , u , v , w , x , y , z , aa , ab , ac , ad , ae , af , ag , ah , ai , aj , ak , al , am , an , ao , ap et aq Crimes de guerre en Haute-Garonne communes par communes
- ↑ a , b , c , d et e Carnets de guerre en Charente par Francis Cordet
- ↑ http://judaisme.sdv.fr/carnet/recherch/dujaner.htm
- ↑ www.perigord.tm.fr
- ↑ Guido Knopp, Les SS, un avertissement de l'histoire, Paris, Presses de la Cité, 2006, p. 320
- ↑ Jeudi Saint de Jean-Marie Borzeix
- ↑ Stèle des fusillés 1939-1945
- ↑ Plaque à la mémoire des 87 fusillés du 6 juin 1944, à la prison de Caen
- ↑ Massacres nazis en Normandie: les fusillés de la prison de Caen par Jean Quellien, Jacques Vico
- ↑ Rapport rédigé par la P.J de Bordeaux, concernant la fusillade de Saint Pierre de Clairac
- ↑ Page du site des anciens combattants canadiens
- ↑ Actes du colloque organisé par la Fondation de la Résistance et la ville de Saint-Amand-Montrond, page 62
- ↑ cf., Bruno Kartheuser, Walter, SD à Tulle : la tragédie du 9 juin, t. 3, Les pendaisons de Tulle, Neundorf, Krautgarten, 2004, 560 p.
- ↑ Mémorial du 9 juin 1944
- ↑ Peter Lieb, « Répression et massacres. L’occupant allemand face à la résistance française, 1943-1944 », in Gaël Eismann et Stefan Maertens (dir.), Occupation et répression militaires allemandes, 1939-1945, éd. Autrement, coll. « Mémoires/Histoire », Paris, 2006, p. 179
- ↑ Guide des lieux de mémoire: champs de bataille, cimetières militaires par Dominique Auzias, Pascaline Ferlin, Jean-Paul Labourdette, page 165
- ↑ cf. Jean-Jacques Fouché, Oradour, éd. Liana Levi, Paris, 2001, 288 p. (ISBN 2-86746-271-1 et ISBN 978-2867462719)
- ↑ Rapport de la Commission de recherches des crimes de guerre pour Betchat
- ↑ a , b , c et d P. Lieb, op. cit.., p. 179
- ↑ a et b P. Lieb, op. cit.., p. 180
- ↑ Journal Sud Ouest, édition Périgueux, du 16 juin 2009
- ↑ Page du site de Saint-Lys
- ↑ Pages sur le maquis des Manises
- ↑ Histoire de Cormelles-le-Royal
- ↑ www.memorial-genweb.org et [ http://www.mairie-seyssinet-pariset.fr/IMG/pdf/p.2_a_p.8.pdf /www.mairie-seyssinet-pariset.fr]
- ↑ P. Lieb, op. cit.., p. 184
- ↑ Article dans Ouest France le jeudi 12 février 2004
- ↑ Page sur "la tragédie du 20 Aout 1944 à Villaudric
- ↑ 1944, le temps des massacres, de Roger Bruge
- ↑ P. Lieb, op. cit.., p. 178
- ↑ Jean-Henri Calmon, Occupation, Résistance et Libération dans la Vienne en 30 questions, Geste éditions, coll. « 30 questions », Jean-Clément Martin (dir.), La Crèche, 2000, 63 p. (ISBN 2-910919-98-6), p 54
- ↑ Tavaux 30-31 août 1944. Histoire d’une tragédie, d’Alain Nice
- ↑ Page Internet Le village de Tavaux a reçu la Médaille de la Résistance
- ↑ 2 septembre 1944 - Les martyrs du Gard d'Etreux, par Annick Morel, 1994, (ISBN 2-84126-087-9)
- ↑ Description du monument d'Etreux
- ↑ page Internet sur Le massacre du Gard d'Etreux
Liens Internes
Liens externes
- Répression et persécution en France occupée de 1940 à 1944 (Thomas Fontaine, avril 2008).
- Carnage de Maillé (1) : un des nombreux massacres nazis de 1944
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