- Alexandre Dumas, père
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Alexandre Dumas
Alexandre Dumas Portrait de Dumas par Etienne CarjatActivité(s) Romancier Naissance 24 juillet 1802
Villers-Cotterêts (Aisne)Décès 5 décembre 1870 (68 ans)
Puys (Seine-Maritime)Langue d'écriture Français Genre(s) Roman historique Œuvres principales - Les Trois Mousquetaires (1844)
- Le Comte de Monte-Cristo (1845-46)
- La Reine Margot (1845)
- La Dame de Monsoreau (1846)
Compléments - Père de l'écrivain Alexandre Dumas (1824-1895)
Alexandre Dumas est un écrivain français, né le 24 juillet 1802 (5 thermidor an X) à Villers-Cotterêts (Aisne) et mort le 5 décembre 1870 à Puys, près de Dieppe (Seine-Maritime).
Il est le fils du général Thomas Alexandre Dumas et le père de l'écrivain Alexandre Dumas (1824-1895) dit Dumas fils, auteur en particulier de La Dame aux camélias.
Sommaire
Biographie
Dumas naît le 24 juillet 1802 rue de Lormet à Villers-Cotterêts. Son père est Thomas Alexandre Davy-Dumas de la Pailleterie, général pendant la Révolution qui fit une brillante carrière dans les armes et sa mère est Marie Labouret, fille de Claude Labouret, aubergiste à l'Écu d'or à Villers-Cotterêts.[1]
« Je suis lié à Villers-Cotterets, petite ville du département de l'Aisne, située sur la route de Paris à Laon, à deux cents pas de la rue de la Noue, où mourut Demoustiers, à deux lieues de la Ferté-Milon, où naquit Racine, et à sept lieues de Château-Thierry, où naquit la Fontaine. »[2]
L'enfant a pour marraine sa sœur, Aimée-Alexandrine Dumas (son ainée de neuf ans) et pour parrain le maréchal Brune.
Le général Dumas meurt le 26 février 1806, quatre ans après la naissance de son fils. Alexandre Dumas a pour aïeul[3] un marquis désargenté qui immigra en 1760 à l'île de Saint-Domingue et une esclave noire du nom de Marie-Cessette Dumas.
Dumas étant quarteron, il fut souvent en butte aux sarcasmes racistes de ses contemporains.
« Au fait, cher Maître, vous devez bien vous y connaître en nègres ?
- Mais très certainement. Mon père était un mulâtre, mon grand-père était un nègre et mon arrière-grand-père était un singe. Vous voyez, Monsieur : ma famille commence où la vôtre finit. »[4],[5]Il a neuf ans lorsqu'il entre au collège de l'abbé Grégoire à Villers-Cotterêts. Il y reçoit les bases de l'instruction primaire[6]. Il y restera élève jusqu'en 1813.
À treize ans, le petit Alexandre ne sait presque rien, il a pour seule éducation ses lectures de la Bible, de récits mythologiques, de l'Histoire naturelle de Buffon, de Robinson Crusoé et des Contes des mille et une nuits. Cependant, sa calligraphie est exceptionnelle. Il est engagé comme coursier dans une étude de notaire, celle de maître Mennesson. « Il fut donc décidé que, le lundi suivant, j'entrerais chez maître Mennesson : les gens polis disaient en qualité de troisième clerc, les autres en qualité de saute-ruisseau. »[7].
Alexandre fera la connaissance d'Adolphe de Leuven qui l'initiera à la poésie moderne. Ils auront également l'occasion d'écrire ensemble des vaudevilles.
En 1822, il se trouve une place de clerc de notaire et part pour Paris avec un collègue. Là-bas, il découvre la Comédie-Française. C'est le début d'une vie nouvelle pour Alexandre lorsqu'il fait la rencontre d'un grand acteur de l'époque, Talma. L'année suivante, grâce à la protection[8] du général Foy il travaille dans les bureaux du secrétariat du duc d'Orléans et peut enfin faire venir sa mère à Paris.
Un an après, le 27 juillet 1824, c'est la naissance d'Alexandre son fils, fruit de sa liaison avec Laure Labay[9], couturière et sa voisine de palier place des Italiens[10]. L'enfant est illégitime jusqu'à ce que Dumas le reconnaisse[11] le 17 mars 1831, quelques jours après la naissance de sa fille Marie-Alexandrine (le 5 mars 1831) qu'il a de Belle Kreilssamer.
Cette même année, Dumas se remet au vaudeville avec de Leuven et La Chasse et l'Amour connaît un grand succès. C'est aussi la période où Dumas découvre les « Romantiques » et va beaucoup au théâtre. Il écrit son premier drame historique, Henri III et sa cour en 1828. Bien que qualifiée de « scandale en prose » (en référence à Hernani, la pièce de Victor Hugo qualifiée de « scandale en vers » à sa création), la pièce présentée à la Comédie-Française connaît un énorme succès.
C'est un auteur prolifique, avec l'aide notoire de « nègres » et en particulier d'Auguste Maquet qui a participé à la plupart de ses réalisations. Il signe des grandes fresques historiques telles Les Trois Mousquetaires ou Le Comte de Monte-Cristo en 1844. La même année, Dumas achète un terrain à Port-Marly et fait bâtir le « château de Monte-Cristo », une bâtisse de style composite, à la fois Renaissance, baroque et gothique.
En 1846, il fait construire son propre théâtre à Paris, boulevard du Temple, qu'il baptise « Théâtre-Historique ». Le théâtre est inauguré en 1847 et accueille les pièces de plusieurs auteurs européens (Shakespeare, Goethe, Calderon, Schiller) avant de faire faillite en 1850.
En 1848, il est candidat malheureux aux élections législatives qui suivent la révolution. Il soutient ensuite Louis-Eugène Cavaignac contre Louis-Napoléon Bonaparte.
Ruiné par la faillite de son théâtre, Dumas est obligé de vendre aux enchères son château qu'Honoré de Balzac admirait tant[12]. En 1851, poursuivi par plus de 150 créanciers, Dumas doit s'exiler un temps en Belgique.
Il ne ralentit pas pour autant sa production littéraire. Fin gourmet, il est même l'auteur d'un Grand dictionnaire de cuisine.
« Alexandre Dumas partageait son temps, comme d'habitude, entre la littérature et la cuisine; lorsqu' il ne faisait pas sauter un roman , il faisait sauter des petits oignons. »[13]
En septembre 1870, après un accident vasculaire qui le laisse à demi paralysé, Dumas s'installe dans la villa de son fils à Puys, quartier balnéaire de Dieppe. Il y meurt le 5 décembre 1870. Sa dépouille est transférée au Panthéon de Paris le 30 novembre 2002, à l'occasion du bicentenaire de sa naissance.[14]
Œuvres
- La Chasse et l’Amour (théâtre), 1825
- La Noce et l’Enterrement (théâtre), 1826
- Henri III et sa cour (théâtre), 1829
- Christine, ou Stockholm, Fontainebleau et Rome (théâtre), 1830
- Napoléon Bonaparte ou Trente Ans de l’Histoire de France (théâtre), 1831
- Antony (théâtre), 1831
- Charles VII chez ses grands vassaux (théâtre), 1831
- Teresa (théâtre), 1831
- La Tour de Nesle (théâtre), 1832
- Souvenirs d’Anthony, 1835
- Chroniques de France : Isabel de Bavière, 1835
- Kean (théâtre), 1836
- Caligula (théâtre), 1837
- Mademoiselle de Belle-Isle (théâtre), 1837
- Acté, 1837
- La Salle d’armes / Pauline, (roman), 1838
- Le Capitaine Paul, 1838
- Le Capitaine Pamphile, 1839
- Crimes célèbres, 1839-1841
- Napoléon, 1840
- Othon, l’archer, 1840
- Les Stuarts, 1840
- Maître Adam le calabrais, 1840
- Le Maître d’armes, 1840-1841
- Praxède, 1841
- Aventures de Lydéric, grand-forestier de Flandre, 1841
- Nouvelles Impressions de voyage (Midi de la France), 1841
- Excursions sur les bords du Rhin, 1841
- Souvenirs de voyage : Une année à Florence , 1841
- Jeanne la pucelle, 1429-1431, 1842
- Le Speronare, 1842
- Le Capitaine Arena , 1842
- Le Chevalier d'Harmental, 1842 – Son premier succès de romancier
- Le Corricolo, 1843
- Des demoiselles de Saint-Cyr (théâtre), 1843
- Filles, Lorettes et Courtisanes, 1843
- Georges, 1843
- L'Orfèvre du roi, ou Ascanio, 1843
- Sylvandire, 1844
- Fernande, 1844
- Les Trois Mousquetaires, 1844
- Le Château d’Eppstein, 1844
- Cécile, 1844
- Gabriel Lambert, 1844
- Louis XIV et son siècle, 1844
- Vingt ans après, 1845
- Le Comte de Monte-Cristo, 1845 – 1846
- Une fille du régent, 1845
- La Reine Margot, 1845[15]
- Les Médicis, 1845
- Les Frères corses, 1845
- Le Chevalier de Maison-Rouge, 1845-1846
- La Dame de Monsoreau, 1846
- Le Bâtard de Mauléon, 1846
- Joseph Balsamo, 1846 – Inspiré de la vie de Giuseppe Balsamo
- Les Deux Diane, 1846
- Impressions de voyage : De Paris à Cadix, 1847
- Les Quarante-Cinq, 1847
- Catilina, 1848
- Le Vicomte de Bragelonne ou l'Homme au masque de fer, 1848
- Les Mille et Un Fantômes, 1849
- Le Collier de la reine, 1849 – Inspiré de l'affaire du collier de la reine
- La Femme au collier de velours, 1850
- La Tulipe noire, 1850
- Le Trou de l’enfer, 1850
- La Colombe, 1850
- Montevideo ou Une nouvelle Troie, 1850
- Le Drame de quatre-vingt-treize, 1851
- Impressions de voyage : Suisse, 1851
- Ange Pitou, 1851
- Olympe de Clèves, 1851
- Histoire de la vie politique et privée de Louis-Philippe, 1852
- La Maison de Savoie, depuis 1555 jusqu'à 1850, 4 vol., 1852-1856.[16]
- Tome 1 : Emmanuel Philibert (1852)
- Tome 2 : Léone-Léona (1853)
- Tome 3 : Mémoires de Jeanne d’Albert de Luynes, comtesse de Verrue, surnommée la Dame de Volupté (1855)
- Tome 4 : De Victor Amédée III à Charles Albert (1856)
- La Comtesse de Charny, 1853
- Le Pasteur d’Ashbourne, 1853
- Isaac Laquedem, 1853
- Les Drames de la mer, 1853
- Ingénue, 1853
- La Jeunesse de Pierrot, 1854
- Une vie d’artiste, 1854
- Catherine Blum, 1854
- Saphir, 1854
- Vie et Aventures de la princesse de Monaco, 1854
- Les Mohicans de Paris, 1854-1855
- Souvenirs de 1830 à 1842, 1854
- La Jeunesse de Louis XIV (théâtre), 1854
- La Dernière Année de Marie Dorval, 1855
- Marie Giovanni, journal d’une parisienne, 1855
- Le Gentilhomme de la Montagne (El Salteador), 1855
- Le Page du duc de Savoie, 1855[17]
- Les Grands Hommes en robe de chambre : César, Henri IV, Richelieu, 1855 –1856
- Madame du Deffand, 1856
- Les Compagnons de Jéhu, 1856
- Les Crimes célèbres, 1856
- Le Fils de la nuit ou Le Pirate (théâtre), 1856 – En collaboration avec Gérard de Nerval, Bernard Lopez et Victor Séjour[18]
- L’Homme aux contes, 1857
- Charles le Téméraire, 1857
- Le Meneur de loups, 1857
- La Dame de volupté, 1857
- Les Louves de Machecoul, 1858
- De Paris à Astrakan, 1859
- Jane, 1859
- Histoire d’un cabanon et d’un chalet, 1859
- La Maison de glace, 1860
- La Route de Varennes, 1860
- Mémoires de Garibaldi, 1860
- Une aventure d’amour, 1860
- Le Père Gigogne, contes pour les enfants, 1860
- La Marquise d’Escoman, 1860
- Une nuit à Florence sous Alexandre de Médicis, 1861
- Les morts vont vite, 1861
- Bric-à-brac, 2 vol. 1861
- Recueil de courts textes publiés dans différents journaux (Le Pays, La Presse, Le Mousquetaire, Le Monte-Cristo, etc.) entre 1853 et 1858. Le deuxième tome a été réédité en 1877 sous le titre Propos d'art et de cuisine[19].
- La Princesse Flora, 1863
- La San-Felice, 1863
- La Boule de neige, 1863
- La Dame de volupté ou Mémoires de Jeanne d’Albert de Luynes, 1863[20]
- Les Deux Reines, 1864[20]
- Lady Hamilton, 1865
- Les Blancs et les Bleus, 1867
- Les Hommes de fer, 1867
- La Terreur prussienne, souvenirs dramatiques, 1868
Publications posthumes : - Ali Pacha, 1862
- Chronique inachevée parue dans L’Independente, en novembre et décembre 1862 et publiée en version intégrale en 2009.
- Création et Rédemption, 1863
- La Fille du marquis, 1863
- Le Prince des voleurs, 1863
- Robin Hood le proscrit, 1863
- L’Île de feu, 1863
- Le Comte de Moret, 1865
- Paru en feuilleton dans Les Nouvelles. Première édition en livre en 1946 dans une version abrégée puis en version intégrale sous le titre Le Sphinx rouge en 2008.
- Le Chevalier de Sainte-Hermine, 1869
- Ce dernier roman, publié initialement sous forme de feuilleton en 1869, a été exhumé des fonds de la Bibliothèque nationale de France et publié pour la première fois en 2005.
- Grand dictionnaire de cuisine, 1873
- En mars 1870, Dumas remet son manuscrit à l'éditeur Alphonse Lemerre. Il ne le verra pas publié : il meurt le 5 décembre de la même année. Après la guerre et la Commune, Lemerre confie à Leconte de Lisle et au jeune Anatole France la direction éditoriale de l'ouvrage, qui paraît en 1873. Ce sont d'ailleurs vraisemblablement ces deux écrivains qui ont signé L.T. l'avant-propos « Alexandre Dumas et le Grand dictionnaire de cuisine »[21]. À l'appui supplémentaire de cette hypothèse, l'hommage appuyé à Charles Baudelaire, qu'admiraient tant les poètes parnassiens[22]. On doit peut-être à Leconte de Lisle la part importante qui y est donnée aux épices et aux recettes exotiques.
L’édition originale contient plus de 3000 recettes ; en 1882, Lemerre publie une version condensée constituée uniquement de recettes sous le titre Petit dictionnaire de cuisine ; dans les années 1960, une seconde version Mon dictionnaire de cuisine réintègre une grande partie des anecdotes biographiques, références historiques et récits de voyage de la version originale.
- En mars 1870, Dumas remet son manuscrit à l'éditeur Alphonse Lemerre. Il ne le verra pas publié : il meurt le 5 décembre de la même année. Après la guerre et la Commune, Lemerre confie à Leconte de Lisle et au jeune Anatole France la direction éditoriale de l'ouvrage, qui paraît en 1873. Ce sont d'ailleurs vraisemblablement ces deux écrivains qui ont signé L.T. l'avant-propos « Alexandre Dumas et le Grand dictionnaire de cuisine »[21]. À l'appui supplémentaire de cette hypothèse, l'hommage appuyé à Charles Baudelaire, qu'admiraient tant les poètes parnassiens[22]. On doit peut-être à Leconte de Lisle la part importante qui y est donnée aux épices et aux recettes exotiques.
- Le Roman de Violette
- Roman érotique longtemps attribué à Alexandre Dumas (mais aussi à Guy de Maupassant), publié en 1883 à Bruxelles puis en 1992 au Mercure de France[23]. Lors de sa publication aux éditions La Musardine en 1999[24], Jean-Jacques Pauvert dévoila le véritable auteur : la marquise H. de Mannoury d'Ectot.
Adaptations cinématographiques
Entre 1921 et 2006, on compte une quarantaine de films directement inspirés de l'œuvre de Dumas et une quinzaine d'adaptations télévisées.[25]
Bibliographie
- Œuvres de Dumas
- Œuvres complètes, 301 vol., Michel Lévy, Paris, 1860.
- La plupart des romans de Dumas sont disponibles séparément en éditions de poche (Phébus, Folio, Éditions de l'Aube) ou groupées (Omnibus)
- La Royale Maison de Savoie (4 vol., inédit), Fontaine de Siloé, Paris, 1998-2001
- Histoire de mes bêtes, Phébus, Paris, 2000, 304 p. (ISBN 285940614X)
- Viva Garibaldi ! Une odyssée en 1860. (inédit), Fayard, Paris, 2002
- Madame Lafarge (inédit), éditions Pygmalion, Paris, 2005
- Le Chevalier de Sainte-Hermine (inédit), Phébus, Paris, 2005, 1088 p. (ISBN 2752900961)
- Mémoires d’Horace (inédit), Les Belles Lettres, Paris, 2006
- Lettres à mon fils, Mercure de France, Paris, 2008
- Le Sphinx rouge (Le Comte de Moret), éditions Kryos, Paris, 2008, 721 p. (ISBN 9782915518078)
- Grand dictionnaire de cuisine, Phébus, Paris, 2000, 616 p. (ISBN 2859406840)[26]. Également disponible en version abrégée sous le titre Mon dictionnaire de cuisine, coll. 10/18, Paris, 1998.
- Le Trou de l'Enfer et Dieu dispose, Phébus, 2008, 1008 p. (ISBN 99782752903532) – Version inédite
- Ali Pacha (inédit), Phébus, coll. Libretto, Paris, 2009, 240 p. (ISBN 99782752904157)
- Livres sur Dumas
- Charles Grivel (dir.), Les Vies parallèles d’Alexandre Dumas, Revue des Sciences Humaines, Lille, 2008
- Jean Lacouture, Alexandre Dumas à la conquête de Paris, éditions Complexe, 2005
- Henri Troyat, Alexandre Dumas, le cinquième mousquetaire, Grasset, 2005
- Réginald Hamel et Pierrette Méthé, Dictionnaire Dumas, Index analytique et critique des personnages et des situations dans l'œuvre du romancier, Éditions Guérin Littérature, Montréal, 1990-2004
- Bernard Fillaire, Alexandre Dumas et Associés, Bartillat, Paris, 2002
- Daniel Zimmermann, Alexandre Dumas le Grand, Julliard, Paris, 1993. Réédition Phébus, 2002.
- Dominique Fernandez, Les Douze Muses d'Alexandre Dumas, Grasset, Paris, 1999
- Charles Dantzig (dir.), Le Grand Livre de Dumas, Les Belles lettres, Paris, 1997.
- Claude Schopp, Alexandre Dumas, le génie de la vie, Fayard, Paris, 1997.
- Claude Schopp, Le Salut de l'Empire. Hector de Sainte-Hermine, Phébus, Paris, 2008, 736 p. (ISBN 99782752902795) – « Suite » du Chevalier de Sainte-Hermine
- André Maurois, Les Trois Dumas, Hachette, Paris, 1957.
Collaborateurs de Dumas
Liens internes
Liens externes
- M. Alexandre Dumas moraliste, article d’Anatole France sur Wikisource
- (fr) Œuvres de Alexandre Dumas sur le projet Gutenberg (texte et HTML)
- (fr) Société des Amis d'Alexandre Dumas (biographie, dictionnaire des œuvres et textes intégraux en ligne)
- (fr) Œuvres d'Alexandre Dumas en format PDF en téléchargement libre
- (fr) Alexandre Dumas, suites, plagiats, pastiches et hommages : les romans et bandes dessinées dérivés de l'œuvre d'Alexandre Dumas
Sources
- Alexandre Dumas, Mes mémoires, éd. Calmann Lévy, 1863.
Notes et références
- ↑ Acte de mariage des parents d'Alexandre Dumas.
- ↑ A. Dumas, Mes mémoires, chap. I, p.3;
- ↑ Biographie de Dumas sur Alliance Haiti
- ↑ Daniel Zimmermann, Alexandre Dumas le grand, éd. Juillard, 1993.
- ↑ C. Biet, J.P. Brighelli, J.L. Rispail, Alexandre Dumas ou les Aventures d'un romancier, éd. Gallimard, coll. Découverte, 1986.
- ↑ A. Dumas, Mes Mémoires, chap. XXVII.
- ↑ A. Dumas, Mes Mémoires, chap. XLVI.
- ↑ Youjun Peng, La Nation chez Alexandre Dumas, éd. L'Harmattan, 2003.
- ↑ Société des Amis d'Alexandre Dumas
- ↑ André Maurois, Les Trois Dumas, éd.Hachette, 1957.
- ↑ Paul Guth, Histoire de la littérature française, éd. Flammarion, 1981.
- ↑ Honoré de Balzac, Lettres à l'étrangère, tome V, A. 303, coll. Charles de Spoelberch de Lovenjoul, pp. 529-530.
- ↑ Charles-Pierre Monselet, Alexandre Dumas en tablier blanc, éd. Adamant Media Corporation, 2001.
- ↑ Dossier complet (entretiens et discours).
- ↑ Pour le personnage historique et les films, voir La Reine Margot
- ↑ Publié exclusivement en Italie et réutilisé en partie dans Le Page du duc de Savoie (1855), La Dame de volupté (1863) et Les Deux Reines (1864). Article détaillé sur La Maison de Savoie.
- ↑ Réutilise des extraits de La Maison de Savoie (1852).
- ↑ Le Fils de la nuit sur Dumaspere.com.
- ↑ Détail des textes sur Dumaspere.com.
- ↑ a et b Réutilise des extraits de La Maison de Savoie (1852).
- ↑ « L. » pour Leconte de Lisle et « T. » pour Thibault, le vrai nom de France
- ↑ Source : Daniel Zimmermann, Grand dictionnaire de cuisine, éd. Phébus, 2000.
- ↑ (ISBN 2715217455)
- ↑ (ISBN 9782842710521) Site des éditions La Musardine
- ↑ « Alexandre Dumas au cinéma » sur Cinéma et Cie.
- ↑ Éditions précédentes : Lemerre, 1873 ; Pierre Grobel, 1958 ; Tchou, 1965 ; Henry Veyrier, 1973 ; Edit-France, 5 vol., 1995-96.
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