Berre-l'Étang

Berre-l'Étang
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43° 28′ 36″ N 5° 10′ 07″ E / 43.4766666667, 5.16861111111

Berre-l'Étang
Armoiries
Détail
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d'Azur
Département Bouches-du-Rhône
Arrondissement Istres
Canton Berre-l'Étang
Code commune 13014
Code postal 13130
Maire
Mandat en cours
Serge Andréoni
2008-2014
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Salon-Étang de Berre-Durance
Site web http://www.berre-l-etang.fr/mairie/
Démographie
Population 13 805 hab. (2007)
Densité 316 hab./km²
Gentilé Berratins / Berrois
Géographie
Coordonnées 43° 28′ 36″ Nord
       5° 10′ 07″ Est
/ 43.4766666667, 5.16861111111
Altitudes mini. 0 m — maxi. 146 m
Superficie 43,64 km2

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Voir la carte administrative

Berre-l'Étang (en occitan provençal Bèrra de l'Estanh selon la norme classique ou Berro de l'Estang selon la norme mistralienne) est une Commune française située dans le département des Bouches-du-Rhône, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Elle fait partie de la communauté d'agglomération Salon - Étang de Berre - Durance, dite Agglopole Provence.

Sommaire

Géographie

Situation

Berre-l'Etang est situé sur une plaine alluviale formée par l'embouchure de la rivière Arc. La ville est située en bordure de l'étang de Berre, sur la face est d'une pointe avancée qui sépare le petit étang de Vaïne de l'étang principal. Toute la rive droite de l'Arc est agricole, alors que la rive gauche est largement occupée par les installations pétrochimiques qui entourent la ville. À l'exception d'une ligne de collines allant de la tour de Bruni à la colline des Barjaquets (altitude 145 mètres) à l'est, la quasi-totalité du territoire communal est à moins de 40 mètres d'altitude, et plus de la moitié à moins de 20 mètres[1].

Le climat, de type méditerranéen, est plutôt doux, mais le mistral est souvent présent et les gelées possibles en hiver. Les terres alluviales, bien drainées par des canaux, sont particulièrement propices aux cultures (Berre est le premier producteur français de fruits et de légumes sous serre).

Communications

La pointe de Berre est quelque peu à l'écart des axes de circulation, mais est proche :

La gare de Berre n'est desservie que par quelques TER Marseille - Miramas, mais de la gare d'Aix-en-Provence TGV, à 20 kilomètres de Berre, on joint Paris (gare de Lyon) en 3 heures, Toulouse en 3h30, ou Lille-Europe en 4h20.

Climat

Le tableau ci-dessous indique les températures et les précipitations pour la période 1971-2000 :

Mois J F M A M J J A S O N D année
Températures maximales (°C) 11,2 12,6 15,3 17,7 22,2 26,1 29,5 29,2 25,3 20,3 14,7 12,0 19,7
Températures moyennes (°C) 7,1 8,3 10,7 13,1 17,4 21,1 24,1 24,0 20,4 16,0 10,8 8,1 15.1
Températures minimales (°C) 3,0 3,9 6,0 8,5 12,6 16,0 18,7 18,7 15,5 11,6 6,8 4,1 10,5
Précipitations (hauteur en mm) 54 44 40 58 41 25 13 31 61 85 51 52 554,5
Source: Météo France[2] / Station de Marignane

Histoire

Faits historiques

  • Christianisation de Marignane et de Berre l'étang
  • « Berra », cité au XIe siècle.
  • Aux XIIe et XIIIe siècles, la seigneurie appartenait à la famille des Baux dont l'un des membres accorda l'établissement de foires et marchés en 1291.
  • Érigée en baronnie au XVe siècle en faveur de Charles du Maine.
  • Lors des guerres de Religion, la ville fut assiégée par le duc de Savoie de mars 1589 à août 1591.
  • Un procès opposera la communauté de Berre au couvent royal des Dominicains de Saint-Maximin de 1608 à 1688 sur les revenus d'une bourdigue (sorte de vivier permettant la pêche des poissons)
  • Passant au XVIIe siècle au duc de Beaufort auquel succéda le duc de Villars en 1715, elle demeura dans les mains des Galliffet de 1770 à la Révolution.

Héraldique

Armes de Berre-l'Étang

Les armes peuvent se blasonner ainsi :

« De gueules, à un lion d'or, tenant de sa pâte dextre une fleur de lys du même; et un chef, parti au 1er, d'azur, semé de fleurs de lis d'or, brisé d'un lambel de gueules, et au 2ème, aussi d'azur, semé de fleurs de lis d'or, brisé d'une bordure de gueules » [3]

Léon-Paul DESVOYES, dans son ouvrage "BERRE, SES BARONS, SA COMMUNE ET SES ARMOIRIES", publié en 1882, décrit avec beaucoup de précisions et documents, l'origine et l'évolution du blason de Berre. De gueules, au lion d'argent, la queue fourchue, armé, lampassé et couronné d'or, portant sur l'épaule une moucheture d'hermine de sable tirée des armes de Bretagne; au chef parti: au 1° d'azur semé de fleurs de lys d'or, au lambel à trois pendant de gueules, qui est d'Anjou Ancien; au 2° d'azur semé de fleurs de lys d'or, à la bordure de gueules, qui est d'Anjou Moderne. L'écu surmonté d'une couronne murale d'argent soutenue d'un filet au naturel, les cordes et les lièges d'or, se rattachant à une rame du même.

Les armoiries, dont l'usage ne remonte pas au-delà du XIe siècle, furent d'abord employées par les grands feudataires, chefs de légions dans les guerres saintes et se généralisèrent dans les siècles suivants. Elles ornèrent la bannière des communes comme celle des chevaliers, et formèrent avec elle, un signe de ralliement qui était en même temps la personnification de la patrie. C'est à ce titre que nous devons respecter et conserver ces vieilles reliques de nos pères pour qui elles étaient aussi sacrées que le sont, pour nous, nos couleurs nationales.

Les armes de la ville de Berre ont une origine et un caractère historiques d'une authenticité qui se rencontre rarement dans les annales de cité plus importantes. Elles ont été octroyées par des lettres patentes de la reine Marie de Blois, données à Paris le 25 février 1396, et confirmées par le roi Louis II, son fils, en 1399.

Voici la traduction de ce texte en latin:

Marie, par la grâce de Dieu, reine de Jérusalem et de Sicile, duchesse d'Apulie, princesse de Capoue, duchesse d'Anjou, comtesse de Provence et de Forcalquier, du Maine et du Piémont, gardienne, tutrice et administratrice de notre illustre et très cher fils, Louis, par la même grâce roi du royaume, duc des duchés et comtes des duchés ci-dessus désignés, à tous ceux tant présents que futurs qui ces présentes lettres verront: Il est d'usage que la faveur royale satisfasse ses fidèles sujets selon leurs mérites et accède avec empressement à leurs prières lorsqu'ils ont rendu de gracieux services et que leur fidélité s'est affirmée. Prenant donc en considération, de notre propre mouvement, dont la communauté et les habitants de notre ville royale de Berre ont fait preuve à l'égard de notre autorité souveraine à l'époque surtout où, déclarant vouloir rester à jamais sous notre pouvoir à l'exclusion de tout autre, ils arborèrent l'étendard royal au milieu de sympathiques et joyeuses acclamations. En échange de ce mouvement, ils sollicitent notre royale gratitude ainsi qu'une part d'honneurs; et nous, accédant bien volontiers à leurs supplications, nous avons, par grâce spéciale et de science certaine, notre conseil entendu, concédé et concédons, par les présentes, à la Communauté et aux gens des susdits, les armes désignés et figurées ci-dessous, qu'ils pourront, d'ailleurs, conserver et porter librement et paisiblement sur leurs bannières, enseignes, pennons et sceau. La désignation de ces armes est comme suit:

Champ rouge vulgairement appelé de gueules, avec un lion rampant d'argent, la queue fourchue, couronné et onglé d'or, portant sur l'épaule une hermine des armes de Bretagne, et un chef parti des armes royales de Sicile et d'Anjou.

En témoignage de quoi et afin que le présent privilège soit un souvenir durable en même temps qu'une garantie pour la Communauté et les gens de Berre susdits, nous avons ordonné de revêtir la présent charte du grand sceau pendant de notre Majesté. Donné à Paris par honnorable et noble homme Francisque de François, seigneur de Fontiana, maître rational de notre grande cour royale, et notre féal et conseiller royal lieutenant par notre ordre, du grand juge des comtés susdits l'an de la nativité du seigneurs mil trois cent quatre-vingt-seize, le vingt-cinquième jour du mois de février, quatrième indiction, onzième année du règne du roi notre fils.

Par la reine, présents le chancelier Francisque de François, Jean Drogoul et Antoine Isnard.

Chacune des pièces composant les armoiries concédées par cette charte a sa signification et leur ensemble résume parfaitement la reconnaissance du prince et la fidélité de la population.

Le lion et sa queue fourchue devait représenter la force de ses doubles murailles, la couronne, son titre de communauté domaniale et la moucheture d'hermine, placée sur l'épaule du lion, était un témoignage d'affection particulière de la reine Marie de Blois. Celles du comte de Provence, placées en chef, sont également une concession exceptionnelle, car elles ne se retrouvent, en Provence, que sur l'écusson de la ville d'Aix auquel elles n'ont été ajoutées qu'en 1423.

La couronne et le filet sont de simples ornements extérieurs attributs d'une petite ville maritime dont la pêche est la principale industrie.

Un seul document reproduit les armes de Berre telles qu'elles sont blasonnées dans l'acte de concession. C'est le dessin fait à la plume, en 1610, par M. Boët, premier consul en exercice, sur le titre du 10° registre des délibérations du conseil communal.

Depuis ces armes, par suite de circonstances inexpliquées: effacement du souvenir, négligence ou ignorance, ont subi diverses modifications.

Après la découverte, en 1871, des lettres patentes de Marie de Blois, il a été demandé à M. A. de Pincé, peintre héraldique parisien du plus grand mérite, de peindre sur un panneau de chêne, les armoiries telles qu'elles ont été octroyées et doivent être maintenues. Hommage a été fait de ces armoiries au Conseil Municipal qui a bien voulu les accepter par une délibération du 12 juin 1872, et les a fait placer dans la grande salle de l'hôtel de ville.

Ces glorieuses empreintes d'un passé six fois séculaires, rappellent les libertés et franchises communales, conquêtes de nos aïeux. Elles sont marquées au coin du respect et notre devoir de citoyens est de les maintenir dans leur intégralité et dans perpétuer le souvenir.

Politique et administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1949 1983 Roger Martin PCF
1983 1989 Maurice Guiou PCF Conseiller général (1974-1992)
mars 1989 Serge Andréoni PS Sénateur des Bouches du Rhône (depuis 2008)
Toutes les données ne sont pas encore connues.

Population et société

Démographie

Évolution démographique
(Sources : CASSINI[4])

1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 630 1 069 1 374 1 622 1 871 1 928 1 926 1 905 1 883
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 930 2 091 1 980 1 918 2 036 1 922 1 811 1 695 1 570
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 938 1 976 1 725 2 376 2 355 4 611 5 998 5 859 7 922
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007  
10 327 11 588 12 069 12 562 12 672 13 414 13 953 13 805[5]  

Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes


Manifestations culturelles et festivités

Personnalités liées à la commune

  • Albert Samson, résistant, fusillé le 19 juillet 1944 à Chatillon d'Azergues (69). Titulaire de la Légion d'Honneur, Croix de la Vaillance (Pologne), Croix de guerre tchécoslovaque, Croix de la Libération. Son nom a été donné au port de plaisance.
  • Alex Métayer, 1930-2004, comédien, est né à Berre-l'Etang.
  • Jean Mermoz vécut dans la base aéronavale.
  • Albert Emon, entraîneur de l'OM, est né sur la commune de Berre-l'Etang, le 24 juin 1953.
  • Jean Claude Durant, joueur de l'OM, et champion de France a été formé au C.O.Berrois et a vécu sur la commune de Berre-l'Etang.
  • David Vuillemin, pilote de motocross, est né le 18 octobre 1977 à Berre l'Etang. Il fait carrière aux États-Unis.
  • Louis Bayet, auteur de « Le petit monde de l'étang de Berre : historique et poétique »
  • Adel Taarabt, joueur de football RC Lens, Spurs Tottenham, QPR, international marocain (2009)
  • Armelle Deutsch, comédienne, a fait partie du Théâtre d'Astromela troupe de Berre l'Etang, durant son adolescence.
  • Eric Mairone, agriculteur maraicher sur la commune de Berre l'Etang est pilote de moto. Il participe aux 24 heures du Mans.

Économie

Shell-Berre

La construction de la raffinerie de Berre par la Cie des Produits Chimiques et Raffineries de Berre, filiale de Saint-Gobain, a commencé en 1929. La première unité de distillation est mise en service en 1931. L'année 1932 voit l'ouverture de l'étang de Berre aux navires de haute mer. En 1937, la capacité de distillation de la raffinerie était de 600 000 tonnes/an. Sorties pratiquement intactes de la période 1939-45, les installations de la Compagnie reprirent rapidement leur rythme d'avant-guerre. En 1947, création de la Compagnie de raffinage Shell Berre avec la fusion de la Société des Pétroles Jupiter et la Cie des Produits Chimiques et Raffineries de Berre. Le premier directeur en est l'ingénieur André Loizillon.

Les installations de Shell se sont progressivement étendues tout autour de la ville, et couvrent aujourd'hui quelque 800 hectares. Avec 1500 salariés, Shell-Berre est devenu le principal employeur de la ville. Ses activités vont de l'importation de pétrole à la fabrication de polypropylène et de polyéthylène, en passant par le raffinage et le stockage des produits pétroliers et dérivés. Un important embranchement ferroviaire sur la ligne classique Paris - Marseille dessert les unités de traitement.

À partir de 1998, « la Shell » a entrepris de se désengager de ses activités de chimie, et a vendu des unités de production à Dow Chemicals, Arkema et au Texas Facific Group. En août 2007, le groupe a annoncé la reprise de l'ensemble du site par le groupe néerlandais Lyondell Basell, lui-même contrôlé par le fonds américain Access Industries de Len Blavatnik. Cette cession est effective depuis le 1er avril 2008. Shell stoppera son unité de solvants d'ici fin 2009, et envisage de se retirer d'Infineum (production d'additifs pour carburants). Selon le plan de sauvegarde de l'emploi annoncé, 300 postes devraient disparaître sans licenciements. La nouvelle société quant à elle se propose de développer la production de polymères pour les plastiques, où elle est leader mondial, et de biocarburants[6].

Culture et patrimoine

Monuments laïques

  • Vestiges de l'époque romaine ; sépultures avec mobilier.
  • Tour Carrée, vestige du mur d'enceinte qui protégeait la ville dès l'an mil
  • Maison des Lions, ancien hôtel seigneurial.
  • Château de Bruni, bastide du XVIe sur le site pétrochimique, ancienne propriété de la maison de Bruny, barons de la Tour d'Aygues. Le roi Louis XIV est venu chasser dans les bois de Bruny, lors d'un séjour à Aix-en-Provence, en 1660.
  • La Base d'Aéronautique Navale, qui fut l'une des plus importantes pendant l'entre-guerre : de nombreuses escadrilles s'y succédèrent de 1919 à 1942. Jean Mermoz y a préparé son record de vitesse et le record mondial de distance qu'il a effectué en 1936 avec 4 308 km en 30h25 sur un Latécoère 228[7]. L'un des deux anciens hangars restauré abrite la piscine municipale Claude Jouve depuis août 1997.
  • La coopérative vinicole, construite en 1923 par l'architecte Hourst. Intéressante par sa conception symétrique et monumentale ainsi que par sa décoration : chaînage d'angle et décor en céramique. Du point de vue esthétique, cette coopérative constitue la réalisation la plus accomplie de l'architecte Hourst.

Monuments religieux

  • Église paroissiale Saint-Césaire, romano-gothique. Elle comprend une première nef de style roman avec deux travées, une coupole carrée sur angles arrondis, particularité rare pour une église paroissiale et une abside en pierre de Calissanne. (XI° s) Lors des extensions entre 1470 et 1520, une troisième travée de style gothique tardif a été rajoutée ainsi qu'une tour octogonale gothique (XVe s). La façade restaurée au 19° est sans caractère. Fonts baptismaux en pierre sculptée du XVIII°s, classés aux monuments historiques. Une huile sur toile "L'adoration des bergers" est attribuée à Joseph Blaÿ, vers 1780.

L'église de St-Césaire, paroisse de la commune depuis 1041, fut agrandie plusieurs fois au XVe s. jusqu'à presque doubler son importance. Clocher dominant la ville, récemment reconstruit.

  • Chapelle Notre-Dame-de-Caderot, construite dès le IIIe siècle sur les fondations d'un temple païen, détruite lors des guerres de Religion, réédifiée au XVIIe siècle, but d'un pèlerinage jusqu'au milieu du XIXe siècle):longue de 32 mètres, abrite un magnifique retable en bois polychrome XVIe siècle avec statue de la Vierge en marbre de Carrare, stalles sculptées, ainsi qu'un autel et tabernacle sculptés. Egalement, un ex-voto "Sauvetage en mer" attribué à Joseph Blaÿ en 1777.
  • Nécropole de Saint-Estève. Des campagnes de fouilles archéologiques en 1999 ont permis de mettre à jour un édifice religieux à vocation funéraire. Une chapelle à nef unique (VII°-X°) de surface importante ainsi que 137 sarcophages.
  • Couvent des Dominicains de St Maximin bâti à partir de 1715 succédant à la citadelle dont il a conservé un épais pan de muraille
  • Chapelle de La Cité.

Patrimoine culturel

Patrimoine naturel

Les hivers 2006, 2007, 2008, un Héron vert Butorides virescens a été identifié dans le port de plaisance ; c'était la deuxième observation en France de cet oiseau très occasionnel, originaire du continent américain. Cette observation a interpellé la communauté des ornithologues de par sa rareté d'abord, puis par l'habitude qu'avait cet oiseau d'estiver dans une roselière bien déterminée près d'Amsterdam, comme il hivernait avec régularité dans le port Samson de Berre-l'Etang.

Notes et références

  1. source IGN, carte Top 25 au 1/25000e n° 3144OT
  2. http://france.meteofrance.com/france/climat_france?48043.path=climatstationn%252F13054001
  3. Louis J S. de Bresc, Armorial des communes de Provence, Librairie Bachelin-Deflorenne, Paris, 1866 [lire en ligne] 
  4. http://cassini.ehess.fr/cassini/fr/html/fiche.php?select_resultat=3843
  5. Recensement de 2006 des communes des Bouches-du-Rhône
  6. source : journal La Provence, 2 avril 2008
  7. source : office de tourisme de Berre-l'Etang

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes



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