- Villers-Saint-Frambourg
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Villers-Saint-Frambourg
Place principale de la communeAdministration Pays France Région Picardie Département Oise Arrondissement Senlis Canton Senlis Code commune 60682 Code postal 60810 Maire
Mandat en coursJean-François Tulliez
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes Cœur Sud Oise Démographie Population 605 hab. (2008) Densité 62 hab./km² Gentilé Frambourgeois Géographie Coordonnées Altitudes mini. 81 m — maxi. 215 m Superficie 9,72 km2 Villers-Saint-Frambourg est une commune française, située dans le département de l'Oise et la région Picardie. Ses habitants sont les frambourgeois et les frambourgeoises.
Sommaire
Géographie
Localisation
La commune de Villers-Saint-Frambourg est située entre la lisière sud-est de la Forêt d'Halatte et la limite nord-ouest de la plaine agricole du Valois, sur l'ancienne route nationale 32, l'actuelle D 932a, entre Senlis et Compiègne. Les deux chef-lieux d'arrondissement sont éloignés de 8 et 25 km respectivement, par la D 932 a. Le bourg de Verberie, sur l'Oise, est à 10,5 km.
Villers-Saint-Frambourg compte sept communes limitrophes. Au sud, le village touche au hameau de La Roue-Qui-Tourne de la commune d'Ognon, situé au carrefour de RD 932a et RD 120. La limite avec la commune de Pontpoint, en pleine forêt d'Halatte, représente une longueur de moins d'un kilomètre. De même, Villers-Saint-Frambourg et Chamant se côtoient sur 1,1 km seulement, également en pleine forêt d'Halatte[1].
Relief et hydrographie
Avec Pontpoint et Villeneuve-sur-Verberie, Villers-Saint-Frambourg se partage le mont Pagnotte, point culminant du département. Seul le versant sud-ouest est cependant situé sur la commune. Les trois communes se rencontrent au poteau du mont Pagnotte, où une place de pique-nique et un belvédère ont été aménagés ; c'est le point culminant de Villers-Saint-Frambourg à 215 m au-dessus du niveau de la mer. Le sommet du mont Pagnotte est à une altitude de 220,6 m. Le village lui-même se situe à une altitude de 100 m environ, à l'instar de beaucoup d'autres villages voisins de la plaine du Valois. Les cours d'eau permanents sont absents sur le territoire communal, qui est par contre exposé à un important risque de coulées de boue depuis les versants de la forêt d'Halatte. Des fossés de récupération existent pour faire face à ces écoulements. Villers-Saint-Frambourg se situe dans le bassin versant de l'Aunette, et, par extension, de la Nonette[2].
Accès et transports
La RD 120e relie Villers-Saint-Frambourg à la RD 324, axe ouest-est entre Senlis et Crépy-en-Valois, ainsi qu'à la RD 1017 près de Pont-Sainte-Maxence. Les autres routes ne sont que d'intérêt local : la D 26e pour la commune voisine de Brasseuse, et le chemin vicinal n° 2 pour Fleurines. - L'autoroute A1 passe à 2 km au sud-est du bourg, en dehors du territoire communal ; la sortie la plus proche est celle de Senlis, à une distance routière de 7,5 km. La capitale est à une distance autoroutière de 52 km. Villeneuve ne dispose d'aucune gare. Les transports en commun se réduisent aux transports scolaires ainsi qu'à des cars pour le marché de Senlis, le mardi et vendredi (aller-retour dans la matinée)[3].
Sites naturels protégés et sentiers de randonnée
La commune entre dans le périmètre du Parc naturel régional Oise-Pays de France pour la totalité de son territoire. La Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) type 1 n° national 220005064 « Massif forestier d'Halatte »[4] couvre à Villers-Saint-Frambourg la forêt d'Halatte et deux petits bois privés au nord du village, à l'exclusion des autres parties de la commune. Sur la commune, la zone protégée au titre de la ZNIEFF correspond au site naturel classé de la forêt d'Halatte et de ses glacis agricoles (classement par décret du 5 août 1993), à l'exception des deux petits bois privés mentionnés ci-dessus[5]. En outre, l'ensemble de la commune de Villers-Saint-Frambourg fait partie du site naturel inscrit de la vallée de la Nonette (inscription par décret du 6 février 1970)[6]. Ce site inscrit à préfiguré le Parc naturel régional, son découpage étant à peu près identique avec la partie du Parc située dans l'Oise. - Le GR 12 en tronc commun avec le GR 655 traverse le territoire communal à l'ouest, dans un sens nord-sud, venant de Pont-Sainte-Maxence et se dirigeant à Senlis par Fleurines. En outre, les routes forestières et chemin ruraux adaptés à la randonnée pédestre sont nombreux ; il est toutefois à noter que certains parmi eux ont été coupés : des routes forestières s'arrêtant à la lisière de la forêt, et trois chemins ruraux au nord et nord-est s'arrêtant à la fontaine Aubert, respectivement au dernier champ desservi.
Toponymie
Le déterminatif « Saint-Frambourg » désigne le collateur de la paroisse qui était le chapitre de la collégiale Saint-Frambourg de Senlis. En effet, en 1210, une nouvelle paroisse est créée suite à un démembrement de la paroisse voisine d'Ognon au profit du chapitre de cette chapelle royale. Le village constitue alors un front de défrichement en direction de l'actuelle forêt d'Halatte, ce qui a donné le nom « Les Essarts » à l'un des lieux-dits de la commune[7].
Histoire
La dénomination officielle des rues date de 1965. L'objectif était de « faciliter les communications et la remise des correspondances »[8].
Deux places sont créées la place de la Mairie et la place Paul Darras (maire de 1925 à 1959). La rue de la République remplace la rue de la Ruelle. La rue Colin conserve son ancienne dénomination, tout comme la rue de la Croix Dupille et la rue de Fleurines. Quant à la rue de Pont, elle devient rue Vieille de Pont. Elle permet d'accéder à Pont-Sainte-Maxence par la forêt d'Halatte, tout comme la rue de la Forêt qui remplace l'ancien nom de rue de la Mare. Les maisons sont désormais numérotées.
Administration
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité au moins 1880 mai 1884 Pierre Zéphyrin Darras - Cultivateur mai 1884 mai 1892 François Colin - Cultivateur mai 1892 juillet 1906 Jean-Baptiste Zéphyrin Darras - Cultivateur juillet 1906 décembre 1919 Paul Carron - Cultivateur décembre 1919 mai 1925 Jean-Baptiste Zéphyrin Darras - Cultivateur mai 1925 mars 1959 Paul Darras - Cultivateur mars 1959 mars 1971 Marcel Le Pon - mars 1971 mars 1989 Henri Leclère - Cultivateur mars 1989 mars 2001 Dominique Noël - mars 2001 en cours Jean-François Tulliez - Artisan Toutes les données ne sont pas encore connues. Population et société
Évolution démographique
En 2008, Villers-Saint-Frambourg comptait 605 habitants (soit une augmentation de 4 % par rapport à 1999). La commune occupait le 14 269e rang au niveau national, alors qu'elle était au 13 591e en 1999, et le 256e au niveau départemental sur 693 communes.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués à Villers-Saint-Frambourg depuis 1793.
Au début du XXIe siècle, les modalités de recensement ont été modifiées par loi du 27 février 2002, dite loi de démocratie de proximité[9], afin de permettre, après une période transitoire courant de 2004 à 2008, la publication annuelle de la population légale des différentes circonscriptions administratives françaises.
Pour les communes dont la population est inférieure à 10 000 habitants, les enquêtes sont exhaustives et ont lieu chaque année par roulement au cours d'une période de cinq ans[10]. Pour Villers-Saint-Frambourg, le premier recensement a été fait en 2007[11], les suivants étant en 2012, 2017, etc. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au 1e janvier 2009 et correspond au recensement de l’année 2006, qui, pour Villers-Saint-Frambourg, est une évaluation intermédiaire[12].
Le maximum de la population a été atteint en 1831 avec 674 habitants.
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (19,5 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois supérieur au taux départemental (17,5 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51,7 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 48,3 % d’hommes (0 à 14 ans = 18,1 %, 15 à 29 ans = 16,4 %, 30 à 44 ans = 18,8 %, 45 à 59 ans = 28,3 %, plus de 60 ans = 18,4 %) ;
- 51,7 % de femmes (0 à 14 ans = 20,4 %, 15 à 29 ans = 11,8 %, 30 à 44 ans = 20,8 %, 45 à 59 ans = 26,5 %, plus de 60 ans = 20,4 %).
Lieux et monuments
Monument historique
Article détaillé : Église Saint-Médard de Villers-Saint-Frambourg.Villers-Saint-Frambourg ne compte qu'un seul Monument historique.
L'église paroissiale Saint-Médard, place de la Mairie (classée Monument historique en totalité par arrêté du 12 juillet 2004, le chœur et le clocher ayant déjà été classés en 1913[18]) : Le bâtiment est orienté sud-sud-est - nord-nord-ouest. Le chevet avec un chœur à pans coupés est parallèle à la rue de la croix Dupille, tandis que la façade principale sud-est donne sur la place de la Mairie. La façade nord-est donne sur l'étroite venelle du Choléra, ancienne fosse commune[19]. L'église se compose de trois éléments distincts, issues de trois campagnes de construction. Le clocher, placé à l'extrémité nord-ouest du transept, représente la partie la plus ancienne de l'église et date de la fin du XIIe siècle. Il est roman et comporte deux étages, dont le deuxième est percé de baies gemellées abat-son de chaque côté. Ces baies plein cintre sont encadrées par deux rangées de colonettes et surmontées d'archivoltes à triple voussure, avec des tores comme unique décor. La flèche en pierre est un rajout postérieur. Le chœur du XIVe siècle avec ses deux chapelles latérales à chevet plat forme une unité avec le transept, c'est-à-dire les absides sont établies en prolongement direct des croisillons. Cette unicité est par ailleurs soulignée par des pignons communes à ces deux éléments, sur la façade principale et sur la façade arrière. Le toit entre ces deux pignons est donc perpendiculaire au toit de la nef. Une particularité est l'envergure inégale des croisillons nord-est et sud-ouest, résultant de la position du clocher qui n'est pas intégré dans le croisillon sud-ouest, sans doute pour des raisons de stabilité. Les baies du chœur et du transept sont flamboyantes. Quant à la nef aveugle avec ses deux bas-côtés, elle a été rebâtie au milieu du XVIe siècle et se compose de trois travées, de grande envergure. Le portail principal se situe sur la deuxième travée ; il est de style Renaissance, avec une porte basse sous plein cintre encadrée par deux pilastres de chaque côté. Une fenêtre de hauteur réduite a été placée au-dessus du portail ; elle est ornée par une niche sculptée et par des volutes de chaque côté. Cette disposition du portail et la situation particulière du clocher ont conduit à une répartition inégale des trois fenêtres plein cintre de la façade principale de la nef. La façade de la troisième travée est de largeur réduite, car en partie obturée par un contrefort du clocher : ici, la fenêtre se trouve directement cernée par deux contreforts, alors que les trumeaux à côté de la fenêtre de la première travée sont assez larges. La sacristie a été accolée à la base du clocher, du fait du manque d'espace sur les autres façades. Un autre élément utilitaire encombre la façade principale ; il s'agit d'une tourelle d'escalier au milieu du pignon du transept, permettant d'accéder aux combles[20].
Autres éléments du patrimoine
- Le dolmen de Chancy ou « le Cheval-Blanc » , en forêt d'Halatte, à l'ouest du carrefour de la chaussée Pontpoint avec le chemin du Cheval-Blanc, parcelle 102 : Il ne s'agit en réalité que d'un vestige d'un ancien dolmen ou d'une allée couverte, consistant de l'une des dalles disposées verticalement et en partie enterrées, ayant initialement supporté le « tablier ». Cette dalle mesure 2,8 m sur 1,5 m et est peu épaisse. L'origine du nom du mégalithe est inconnue[21].
- Les fermes Darras et Leclère à proximité de l'église, particulièrement bien conservées et caractéristiques des grandes exploitations agricoles de la région. La ferme Darras est l'ancienne exploitation du chapitre Saint-Frambourg de Senlis, construite en 1750 et vendu comme bien national après la Révolution. Le logis a été rehaussé en briques en 1900 et agrandi en 1920 avec des combles mansardés. Un hangar a été construit en 1980 ; sinon, tous les bâtiments sont encore d'origine. Sur la cour, subsistent un abreuvoir ; un puits ; une vieille pompe ; un colombier carré, accolé à l'un des bâtiments d'exploitation ; ainsi qu'un four à pain (il s'agit du bâtiment à droite de la grande grange). La ferme élevait des vaches laitières jusqu'en 1958 ; depuis, elle se consacre uniquement à l'culture[22].
- La fontaine Aubert, chemin rural n° 6 dit de la fontaine Aubert, à 1,7 km au nord du centre du village dans un petit bois à proximité de la forêt d'Halatte : Cette fontaine a été aménagée comme lavoir pendant la première moitié du XIXe siècle.
- La fontaine Blanche dans la forêt d'Halatte, parcelle 128, une dizaine de mètres au nord de la route des Dames, au sud-est du poteau des Dames[23].
- Les croix Saint-Rieul, à la fourchette de la chaussée Pontpoint avec la route du mont Pagnotte dans la forêt d'Halatte (parcelle 168 de la forêt d'Halatte), St-Pierre (parcelle 201, à l'orée du bois), Dupille (au bout de la rue de la Croix Dupille), ainsi que le calvaire à l'est du village. - La croix Saint-Rieul était initialement une croix en bois accroché à un hêtre. Menacée de disparaître, l'actuelle croix en fer forgé sur un socle en pierre n'a été construit qu'en 1996 par des membres de l'association des amis des forêts d'Halatte, Ermenonville et Chantilly[24].
Personnalités liées à la commune
Notes et références
- Geoportail. Consulté le 22 juillet 2011. Distances mesurées par l'outil proposé dans le mode de visionnage en 3D. Communes limitrophes et autres renseignements topographiques selon la carte topographique 1 : 25 000e « TOP 25 » de l'IGN, consultable en 3D sur le site
- Collectif, Étude urbaine de Villers-Saint-Frambourg, Orry-la-Ville, PNR Oise-Pays de France, 2009, 88 p. [lire en ligne (page consultée le 22 juillet 2011)] ; p. 6 et 22-23. Cf.
- Horaires sur Oise Mobilité. Consulté le 9 juillet 2011. Cf.
- Présentation de la znieff Massif forestier d'Halatte sur le site DREAL Picardie - Recherche par commune des zonages du patrimoine naturel et paysager de Picardie. Consulté le 22 juillet 2011. [PDF]
- Forêt d'Halatte et es glacis agricoles sur le site DREAL Picardie - Recherche par commune des zonages du patrimoine naturel et paysager de Picardie. Consulté le 22 juillet 2011. [PDF]
- Vallée de la Nonette sur le site DREAL Picardie - Recherche par commune des zonages du patrimoine naturel et paysager de Picardie. Consulté le 22 juillet 2011. [PDF]
- « Défrichement et villeneuves. L'occupation du sol en région senlisienne au Moyen Âge », dans Mémoires de la Société d'histoire et d'archéologie de Senlis, 1990-1994, p. 235 [texte intégral (page consultée le 1er mai 2010)]
- Source : Registre des délibérations communales
- Loi no 2002-276 du 27 février 2002 relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V "des opérations de recensement".
- INSEE : Les grandes étapes : 2002 – 2009
- Calendrier des recensements des communes du département de l'Oise sur www.insee.fr, Insee. Consulté le 24 juillet 2011
- Par convention dans Wikipédia, et afin de permettre une comparaison correcte entre des recensements espacés d’une période de 5 ans, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 d’afficher dans le tableau des recensements : la population 2006, première population légale connue post-1999, les populations légales suivantes correspondant aux années réelles de recensement et enfin la dernière population légale publiée par l’INSEE. Dans le graphique sont par contre représentés l’ensemble des populations légales connues
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur site de l'École des hautes études en sciences sociales. Consulté le 24 juillet 2011
- Évolution et structure de la population (de 1968 à 2007) sur Insee. Consulté le 24 juillet 2011
- Recensement de la population au 1er janvier 2008 sur Insee. Consulté le 24 juillet 2011
- Évolution et structure de la population à Villers-Saint-Frambourg en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 24 juillet 2011
- Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 24 juillet 2011
- Notice no PA00114959, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- Cf. Étude urbaine de Villers-Saint-Frambourg, op. cit., p. 74.
- Raymond Poussard, « Halatte : deux mille ans d'art et d'histoire autour d'une forêt royale : 2de partie : Autour de la forêt : Aumont, Beaurepaire, Chamant, Fleurines, Ognon, Pontpoint, Pont Sainte Maxence, Roberval, Senlis, Verneuil en Halatte, Villeneuve sur Verberie, Villers St Frambourg », dans Bulletin du G.E.M.O.B., Beauvais, Groupement d’Étude des Monuments et Œuvres d’art de l’Oise et du Beauvaisis (GEMOB), vol. 92-94, 1er octobre 1999, p. 40-41. Cf.
- Raymond Poussard, « Halatte : deux mille ans d'art et d'histoire autour d'une forêt royale : 1re partie : La forêt », dans Bulletin du G.E.M.O.B., Beauvais, Groupement d’Étude des Monuments et Œuvres d’art de l’Oise et du Beauvaisis (GEMOB), vol. 84-85, 1er juillet 1998, p. 51-52.
- Cf. Étude urbaine de Villers-Saint-Frambourg, op. cit., p. 82.
- Cette fontaine est marquée comme « source » sur la carte IGN 1 : 25 000e, et non par son nom, comme c'est le cas de quatre autres fontaines du même type (du Lis, du Pied Dufaux, Bertrand, Saint-Barthélémy).
- Cf. Raymond Poussard Halatte : deux mille ans d'art et d'histoire autour d'une forêt royale, op. cit., p. 53.
Bibliographie
- Raymond Poussard, « Halatte : deux mille ans d'art et d'histoire autour d'une forêt royale : 2de partie : Autour de la forêt : Aumont, Beaurepaire, Chamant, Fleurines, Ognon, Pontpoint, Pont Sainte Maxence, Roberval, Senlis, Verneuil en Halatte, Villeneuve sur Verberie, Villers St Frambourg », dans Bulletin du G.E.M.O.B., Beauvais, Groupement d’Étude des Monuments et Œuvres d’art de l’Oise et du Beauvaisis (GEMOB), vol. 92-94, 1er octobre 1999 ; 119 p.
Voir aussi
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