Rhuis

Rhuis

49° 18′ 28″ N 2° 41′ 55″ E / 49.3078, 2.6986

Rhuis
L'église romane de Rhuis, dont la construction a commencé au XIe siècle ; vue sur le chœur.
L'église romane de Rhuis, dont la construction a commencé au XIe siècle ; vue sur le chœur.
Administration
Pays France
Région Picardie
Département Oise
Arrondissement Arrondissement de Senlis
Canton Canton de Pont-Sainte-Maxence
Code commune 60536
Code postal 60410
Maire
Mandat en cours
Gisèle Doublet
2001-2008
Intercommunalité Communauté de communes des Pays d’Oise et d’Halatte
Démographie
Population 131 hab. (2007)
Densité 49 hab./km²
Géographie
Coordonnées 49° 18′ 28″ Nord
       2° 41′ 55″ Est
/ 49.3078, 2.6986
Altitudes mini. 30 m — maxi. 120 m
Superficie 2,7 km2

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Rhuis est une commune française, située dans le département de l’Oise et la région Picardie.

Sommaire

Géographie

La commune est située au pied du versant nord du plateau du Valois multien dans la vallée de l'Oise, entre Pont-Sainte-Maxence à l'ouest, et Verberie à l'est. Ces deux bourgs sont éloignés de sept, respectivement trois kilomètres. Le chef-lieu d'arrondissement de Senlis, au sud-ouest, est distant de quinze kilomètres par les RD 100 et 923a, et celui de Compiègne, au nord-ouest, de dix-sept kilomètres par les RD 123 et 932a. La capitale est à une cinquantaine de kilomètres au nord. L'autoroute A1 passe près de la commune, à l'ouest, dans un sens nord-sud. L'échangeur le plus proche est l'échangeur n° 9 « Pont-Sainte-Maxence » sur le territoire de Longueil-Sainte-Marie, à six kilomètres par la route[1]. Rhuis n'est pas desservi par les transports en commun en dehors des jours scolaires[2]; la gare la plus proche est celle de Pont-Sainte-Maxence.

Rhuis se caractérise par la forme dispersée de son habitat, qui s'organise autour d'une petite butte-témoin de 88 m de haut, le mont Catillon. Le village de Rhuis est situé au nord-est de la colline, avec les maisons implantées traditionnellement le long de la Grande rue orientée dans un sens est-ouest, parallèle à la RD 123. À partir du dernier tiers du XXe siècle, le village s'est étendu le long de la route de Roberval au sud, qui contourne la butte à l'est. Dans le prolongement ouest de la Grande Rue, avant sa rencontre avec la RD 123, se trouve le hameau des Racques. En se rendant ensuite en direction de Roberval par le chemin de Catillon qui contourne le mont Catillon à l'ouest, l'on arrive au moulin du Joncquoy, qui constitue également un hameau avec trois autres propriétés. Puis, encore plus au sud, en direction de Roberval, se situe le hameau de Bacouël. Outre le village et les trois hameaux mentionnés, repartis donc tout autour du mont Catillon, la commune compte deux autres lieux-dits habités : le moulin de la Plaine, au nord-est de la RD 123, et les Osiers, une maison à l'ouest du moulin du Joncquoy le long d'un chemin communal menant vers le hameau de Guidon de la commune de Roberval.

La limite nord de la commune est représenté par le milieu de la rivière Oise. Aucun chemin ne relie en effet Rhuis à sa commune limitrophe de Longueil-Sainte-Marie, de l'autre côté. Le point le plus bas de Rhuis se situe sur l'Oise, à 31 m au-desssus du niveau de la mer, mais la plaine fluviale allant jusqu'à la RD 123 dépasse à peine cette côte. Le point culminant de la commune ne correspond pas au mont Catillon mentionné ci-dessus, mais se trouve en haut du versant est du vallon du Rouanne (mont Marauzet), sur le plateau du lieu-dit « la Montagne ». Atteignant une altitude de 116,4 m dans sa partie boisé, il s'agit en fait de l'extrémité nord-ouest du plateau du Valois. Les surfaces agricoles sur ce plateau sont accessibles ddepuis la vallée par deux chemins ruraux escarpés. Quant au versant ouest de la vallée du Rouanne, il ne se situe déjà plus sur le territoire communal, de petite dimension avec seulement 2,7 km². Jusqu'à son entrée dans le parc du château de Roberval, le Rouanne correspond par ailleurs à la limite avec la commune de Roberval. La limite avec la commune de Villeneuve-sur-Verberie se trouve dans un court vallon adjacent, appelé cavée dans la région, et portant le nom du « Fond de Noël ». Aucune route ne relie directement Rhuis et Villeneuve ; il faut passer par Roberval pour rejoindre la commune voisine[3].

Rhuis entre dans le Parc naturel régional Oise-Pays de France pour la totalité de son territoire. La ZNIEFF type 1 n° national 220005064 « Vallons de Roberval et de Noël-Saint-Martin » protège les parties boisées du territoire communal à l'est de la vallée du Rouanne[4]. Une partie de cette ZNIEFF entre en même temps dans le site naturel inscrit de 15 ha du parc du château de Roberval, ainsi que le secteur est de ce parc qui se situe en effet sur la commune de Rhuis[5]. En outre, l'ensemble de la commune de Rhuis fait partie du vaste site inscrit de la vallée de la Nonette (inscription par décret du 6 février 1970)[6]. Ce site inscrit à préfiguré le Parc naturel régional, son découpage étant à peu près identique avec la partie du Parc située dans l'Oise. - D'est en ouest, la commune est traversée par le Sentier de grande randonnée GR 12 en tronc commun avec le GR 655, reliant Verberie à Senlis avec un grand détour par Fleurines. Dès l'arrivée au village en provenance de Verberie et jusqu'à la forêt d'Halatte, ce sentier emprunte toutefois des routes ouvertes à la circulation, dont la RD 100.

Histoire

Administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001   Gisèle Doublet    
Toutes les données ne sont pas encore connues.

Population et société

Évolution démographique

D’après le recensement Insee de 2007, Rhuis compte 131 habitants (soit une augmentation de 56 % par rapport à 1999). La commune occupe le 30 928e rang au niveau national, alors qu'elle était au 33 588e en 1999, et le 649e au niveau départemental sur 693 communes.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués à Rhuis depuis 1793. Le maximum de la population a été atteint 1841 avec 169 habitants.

Années 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
Population 123 155 163 152 162 166 169 149 143
Années 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
Population 126 133 135 139 126 116 119 117 105
Années 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
Population 96 113 118 107 98 93 91 99 83
Années 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 -
Population 82 71 62 62 63 84 125 131 -
Notes, sources, ... Sources : base Cassini de l'EHESS pour les nombres retenus jusqu'en 1962[7], base Insee à partir de 1968 (population sans doubles comptes puis population municipale à partir de 2006)[8],[9]

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (11,2 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51,7 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

  • 48,3 % d’hommes (0 à 14 ans = 27,5 %, 15 à 29 ans = 10,1 %, 30 à 44 ans = 31,9 %, 45 à 59 ans = 20,3 %, plus de 60 ans = 10,1 %) ;
  • 51,7 % de femmes (0 à 14 ans = 28,4 %, 15 à 29 ans = 14,9 %, 30 à 44 ans = 24,3 %, 45 à 59 ans = 20,3 %, plus de 60 ans = 12,2 %).
Pyramide des âges à Rhuis en 2007 en pourcentage[10]
Hommes Classe d'âge Femmes
0,0 
90  ans ou +
0,0 
1,4 
75 à 89 ans
2,7 
8,7 
60 à 74 ans
9,5 
20,3 
45 à 59 ans
20,3 
31,9 
30 à 44 ans
24,3 
10,1 
15 à 29 ans
14,9 
27,5 
0 à 14 ans
28,4 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[11]
Hommes Classe d'âge Femmes
0,2 
90  ans ou +
0,8 
4,5 
75 à 89 ans
7,1 
11,0 
60 à 74 ans
11,5 
21,1 
45 à 59 ans
20,7 
22,0 
30 à 44 ans
21,6 
20,0 
15 à 29 ans
18,5 
21,3 
0 à 14 ans
19,9 

Lieux et monuments

Monuments historiques

  • L'église romane Saint Gervais et Protais de Rhuis (classée Monument historique par arrêté du 20 septembre 1894[12]) : construite en deux étapes au milieu et à la fin du XIe siècle, avec plusieurs remaniements ultérieurs, elle se présente de nouveau dans son austérité de la période romane depuis la restauration des années 1970. Une stèle funéraire de l'époque mérovingienne remployée dans une fondation et de nombreuses sépultures découvertes dans le sous-sol indiquent une occupation très ancienne du lieu. La nef non voûtée comporte deux bas-côtés à quatre travées, dont seulement la quatrième travée est voûtée. Les bas-côtés s'ouvrent sur la nef par des arcades dont les impostes simplement décorées de motifs de ligne brisée représentent les seuls éléments sculptés de l'intérieur. En effet, il n'y a ni colonnes, ni chapiteaux. Au-dessus de chaque travée, la nef comporte une fenêtre en plein cintre, tandis que les bas-côtés ne sont pourvus que de deux fenêtres chacun. Le chœur s'ouvrant par un arc triomphal est nettement désaxé par rapport à la nef. Il se compose d'une première travée carrée qui correspondant au chœur primitif, et d'une abside en hémicycle ajoutée à la fin du XIe siècle. À la même époque, les quatrièmes travées des bas-côtés furent voûtées pour recevoir les clochers, dont l'église était initialement dépourvue (ressemblant alors à l'église de Sarron). Seul le clocher nord subsiste ; quant au clocher sud, dont l'existence ne peut être prouvée, il a dû disparaître vers 1125/1130. (Par ailleurs, une abside a été construite dans le prolongement orientale du bas-côté nord au milieu du XIIe siècle ; elle a disparu également. La sacristie, probablement du XVIIIe siècle, occupe sa place.) Le clocher carré donne une impression d'élégance et de légèreté ; ses trois étages de baies au-dessus du rez-de-chaussée sont construits en pierres d'appareil et coiffés par une pyramide de pierre. Le premier étage ne présente qu'une seule grande baie plein cintre de chaque côté, alors que les étages supérieurs sont percés de baies gemellées. Les contreforts s'arrêtent dès la fin du second étage, permettant de décorer les angles du dernier étage de colonettes. - Le portail, sur la façade occidentale, est le plus ancien portail à gable conservé dans le nord de la France. Le tympan sous l'arc de décharge est nu ; il est surmonté par une archivolte décoré de trois tores. Les angles internes des piedroits sont formés en colonettes couronnées par des chapiteaux assez simples[13].
  • Menhir dénommé « la Demoiselle de Rhuis » ou « la Pierre de Rhuis » non loin de l'Oise, dans un champ, près du GR 12 (inscrit Monument historique par arrêté du 16 septembre 1982[14]) : cette pierre levée de trois mètres de haut est la dernière rescapée d'un ensemble mégalithique connu comme « les Demoiselles de Rhuis », ayant compté au moins six exemplaires, d'après des témoignages de 1764. Seulement deux menhirs subsistaient à la Révolution, dont un fut cassé en 1793[15].
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Autres éléments du patrimoine

  • L'ancien moulin à huile du Joncquoy, au carrefour du chemin de Catillon avec le chemin du Joncquoy vers la RD 100 : Autour du calvaire au carrefour des chemins, se regroupait jadis un hameau qui, au début du XVIIIe siècle, était aussi grand que le hameau de Rhuis (Ruy) de lors. Tandis que le village s'est agrandi depuis, le hameau du Joncquoy s'est réduit à trois maisons en plus de l'ancien moulin[16]. Alimenté par le ruisseau du Rouanne avec deux autres moulins sur la commune, l'ancien moulin et ses bâtiments annexes sont bien conservés et ont peu évolué depuis la transformation en habitation. L'utilisation comme moulin à huile remonte au moins jusqu'en 1690 ; auparavant, on y extrayait la filasse du chanvre[17].
  • Le kiosque du belvédère du mont Catillon, au sommet de la butte : Petit bâtiment ruiné de la forme d'un temple rond, construit en calcaire. Huit colonnes supportent une coupole. C'est un endroit romantique qui a attiré de nombreux visiteurs quand la vue fut encore dégagée, mais aujourd'hui, la végétation a envahi toute la butte et le kiosque avec[18].
  • Les calvaires au Joncquoy (croix en pierre) et sur la petite place de Rhuis (monument en pierre avec croix en fer).

Personnalités liées à la commune

Notes et références

  1. Distances mesurées à la base des cartes topographiques 1 : 25 000e de l'IGN « TOP 25 », en utilisant l'outil proposé dans le mode de visionnage en 3D sur le site Geoportail - IGN. Consulté le 10 juillet 2011.
  2. Horaires consultables sur le site Horaires sur Oise Mobilité. Consulté le 6 juillet 2011.
  3. Pour la géographie de Rhuis, cf. [PDF] Collectif, Commune de Rhuis : Étude urbaine, Orry-la-Ville, PNR Oise-Pays de France, 2009, 142 p. [lire en ligne (page consultée le 15 juillet 2011)], p. 4 .
  4. Cf. Présentation de la znieff Vallons de Roberval et de Noël-Saint-Martin sur le site DREAL Picardie - Recherche par commune des zonages du patrimoine naturel et paysager de Picardie. Consulté le 13 juillet 2011.
  5. [PDF] Roberval - Rhuis : château, son parc et ses abords sur le site DREAL Picardie - Recherche par commune des zonages du patrimoine naturel et paysager de Picardie. Consulté le 13 juillet 2011.
  6. [PDF] Vallée de la Nonette sur le site DREAL Picardie - Recherche par commune des zonages du patrimoine naturel et paysager de Picardie. Consulté le 13 juillet 2011.
  7. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur site de l'École des hautes études en sciences sociales. Consulté le 25 octobre 2010
  8. Évolution et structure de la population (de 1968 à 2007) sur Insee. Consulté le 25 octobre 2010
  9. Recensement de la population au 1er janvier 2006 sur Insee. Consulté le 25 octobre 2010
  10. Évolution et structure de la population à Rhuis en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 25 octobre 2010
  11. Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 25 octobre 2010
  12. Notice no PA00080210, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  13. Cf. Dominique Vermand, « L'église de Rhuis, sa place dans l'architecture religieuse du bassin de l'Oise au XIe siècle », dans Revue archéologique de l'Oise, no 11, 1978, p. 41-62 [texte intégral (page consultée le 11 juillet 2011)] .
  14. Notice no PA00114838, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  15. Cf. Commune de Rhuis : Étude urbaine, op. cit., p. 8.
  16. Cf. Commune de Rhuis : Étude urbaine, op. cit., p. 14, 72.
  17. Cf. Louis Bardon, « Esquisse d'une histoire de Rhuis », dans Revue archéologique de l'Oise, no 11, 1978, p. 32 [texte intégral (page consultée le 11 juillet)] .
  18. Cf. Commune de Rhuis : Étude urbaine, op. cit., p. 91, 93.

Bibliographie

  • Louis Bardon, « Esquisse d'une histoire de Rhuis », dans Revue archéologique de l'Oise, no 11, 1978, p. 26-33 [texte intégral (page consultée le 11 juillet)] 
  • Marc Durand, Jean-Claude Malsy et Hervé Margot, « Les fouilles archéologiques dans l'église de Rhuis », dans Revue archéologique de l'Oise, vol. 11, 1978, p. 34-40 [texte intégral (page consultée le 15 juillet 2011)] 
  • Annie Jaussaud-Journa, « La population de Rhuis au XVIIe et jusqu'au milieu du XVIIIe siècle », dans Revue archéologique de l'Oise, no 11, 1978, p. 63-71 [texte intégral (page consultée le 11 juillet 2011)] 
  • Morel (abbé), « Le dénombrement de la terre de Rhuis et de Saint-Germain-lès-Verberie (Oise) vers 1390 », dans Comité Archéologique de Senlis, Comptes-rendus et Mémoires, Senlis, Imprimerie de Ernest Payen, 2e série, vol. VIII, 1882-1883, p. 139-210 [texte intégral (page consultée le 15 juillet 2011)] 
  • Jean-Marc Popineau, « L'homme et le hameau dans le Val du Rouanne (Oise) : La formation d'un paysage au bâti semi-dispersé, de l'Antiquité à la fin du Moyen Âge », dans Revue archéologique de Picardie, Senlis, Société archéologique de Picardie, vol. 24 « Numéro spécial », 2007 (ISSN 1272-6117)  ; 292 p.
  • Dominique Vermand, « L'église de Rhuis, sa place dans l'architecture religieuse du bassin de l'Oise au XIe siècle », dans Revue archéologique de l'Oise, no 11, 1978, p. 41-62 [texte intégral (page consultée le 11 juillet 2011)] 

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