- Larmor-Plage
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Larmor-Plage
Vue aérienne de la villeAdministration Pays France Région Bretagne Département Morbihan Arrondissement Lorient Canton Ploemeur Code commune 56107 Code postal 56260 Maire
Mandat en coursVictor Tonnerre
2008-2014Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Lorient Site web Site officiel de la Ville Démographie Population 8 415 hab. (2007[1]) Densité 1 157 hab./km² Aire urbaine 184 853 hab. () Gentilé Larmorien, Larmorienne Géographie Coordonnées Altitudes mini. 0 m — maxi. 39 m Superficie 7,27 km2 Larmor-Plage, An Arvor en breton (prononcé [naˈʁoːʁ]), est une commune française, membre de la Communauté d'agglomération du Pays de Lorient (Cap l'Orient), située dans le département du Morbihan et la région Bretagne.
Sommaire
Toponymie
Larmor-Plage est le nom donné à la commune lors de sa création en 1924, l’ajout de « plage » au nom du village de Larmor est dû à la présence de Larmor-Baden, autre commune du Morbihan. Le village de Larmor devant son nom à celui de l’ancienne écriture du nom de la chapelle de pèlerinage « Notre-Dame de l’Armor », qui à l’origine s’élevait seule sur ce promontoire en bord de mer. Le nom breton An-Arvor reprend également cette origine, la transcription bretonne du nom de la chapelle étant « Itron Varia an Arvor ».
Géographie
Situation
Larmor-Plage située, en Bretagne sud, au sud-ouest du département du Morbihan, face à l’île de Groix, à l’entrée sud de la rade de Lorient qui marque la confluence du Blavet et du Scorff. Face à l’océan Atlantique.
Le territoire de la commune se prolonge à l’intérieur de la rade de Lorient, permettant une vue sur la presqu’île de Gâvres, la citadelle de Port-Louis et Lorient avec notamment le port de Pêche (halieutique), le port de commerce et l’ancienne Base de sous-marins où l’on trouve notamment un pôle de course au large (Nautisme à la voile) et la cité de la Voile Éric Tabarly; il pénètre dans les terres en longeant les rives du Ter.
Le littoral est riche et varié, alternant côte rocheuse, plages de sable fin (Kerguélen, Locqueltas, Port Maria, Toulhars, …), cordon dunaire avec ses marais (anse de Kerguélen, parc océanique), la zone urbaine côtière avec ses villas anciennes et contemporaines, le centre bourg entourant l’église et sa tour clocher fortifiée qui répondait au salut des navires militaires passant dans le chenal d'accès de la rade par une volée de cloches.
Climat
Larmor-Plage, commune côtière littorale, bénéficie des caractéristiques de la zone océanique sud du pays de Lorient qui favorisent les activités balnéaires et touristiques. Elle est soumise aux dépressions océaniques et à un régime de brises l’été. Elle bénéficie d’un ensoleillement élevé, supérieur à 2 000 heures par an. La température atteint une moyenne annuelle de 12 °C. Les précipitations y sont relativement faibles, de l’ordre de 800 mm. Malgré cela les sécheresses sont rares.[réf. nécessaire]
Histoire
Préhistoire et Antiquité
Bien que réduit en surface, le territoire de Larmor contient des sites permettant de confirmer la présence de groupes d'hommes à différentes époques. Les restes d'un Dolmen sur le site de Kerguélen, et d'autres traces sur le littoral, font remonter sa présence au néolithique, des fouilles effectuées à Quehello-Congard attestent d'une implantation gallo-romaine[2].
Moyen Âge
La tradition fait remonter au VIe siècle la construction d'une chapelle, par Gildas dit le Sage, sur le site de l'actuelle église Notre-Dame. Au IXe siècle elle est détruite par des Vikings installés, sans doute entre 820 et 940, dans un camp fortifié à Locqueltas. Sa reconstruction a peut-être eu lieu pendant le règne réparateur du duc Geoffroi Ier (992-1008). De cette époque « de légendes » rien n'est certain, les textes relatant ces faits étant postérieurs, néanmoins la paroisse de Ploemeur, dont dépend la chapelle, est ancienne comme l'indique son nom de Ploemeur ou Plou Meur, utilisant le toponyme plou, indice d'une implantation bretonne précoce.
Époque moderne
Les tempêtes et un incendie en 1502 provoquèrent sa destruction. L’église actuelle porte une inscription situant le début de sa construction en 1506, et c'est en 1615 que fut édifiée la tour-cloche : la coutume voulait que les cloches répondent aux 3 coups de canons émis par les navires de guerre sur le départ. On hissait alors les couleurs nationales d’où la devise inscrite sur l’ancien blason de la commune : « Bon vent à qui me salue ».
Époque contemporaine
Larmor est devenue commune indépendante en 1924, elle prend le nom de Larmor-Plage, validé par le conseil municipal le 3 février 1924, afin d’éviter la confusion avec Larmor-Baden. Petit port sardinier, il y a eu jusqu’à cinq usines de traitement de la sardine. La dernière conserverie ferme ses portes à Toulhars avant la Seconde Guerre mondiale.
Le 28 juin 1940, l’amiral Karl Dönitz choisit Lorient comme base principale des sous-marins allemands. Le 11 novembre 1940 il installe son poste de commandement dans les villas de Kernével. Depuis 1945 la villa Kerlilon est le lieu de résidence de l’amiral commandant l’arrondissement maritime de Lorient. Après la guerre, Larmor-Plage est dotée, au titre de commune sinistrée pour fait de guerre, d’un premier plan d’aménagement et de reconstruction approuvé en juin 1949.
Depuis, l'urbanisation devenue continue le long des voies, proches du rivage, s'est étalée sur les terres agricoles par lotissements successifs à partir des années 1960 au point d'exclure le dernier agriculteur au début du XXIe siècle, les règles de l'urbanisme ne permettant que récemment d'éviter la disparition totale des zones naturelles et humides déjà entamées sur leurs abords.
Blasonnement
Les armoiries de Larmor-Plage se blasonnent ainsi :
D’azur à une tour-clocher d’or maçonnée de sable et pavillonée de tricolore au niveau de sa terrasse à senestre ; au chef cousu, parti de gueules à neuf mâcles d’or posées trois, trois et un, et d’hermine.
Devise « Bon vent à qui me salue ».
Conc. L. Ermoy.Économie
Tourisme
Larmor-Plage est aujourd’hui une station balnéaire[3], adoptée par les touristes et les promeneurs locaux pour ses plages, son port de plaisance[4], ses restaurants (au bourg, sur le port, le long de la promenade de Port Maria), son marché traditionnel sur la place du bourg le dimanche matin et ses lieux de promenades avec vue sur l’île de Groix et la rade de Lorient. Les deux campings (le camping les Algues et le camping de la Fontaine[5]) offrent une solution d'hébergement à de nombreux touristes spécialement venus à l'occasion du Festival Interceltique de Lorient).
En période hors saison, lorsque les plages ont été libérées par les baigneurs et qu'il y a du vent et des vagues (en fonction de la direction du vent et de la houle), les plages sont le paradis des pratiquants de sports de glisse : planche à voile, funboard, surf, kitesurf. Le centre nautique de Kerguélen (première école de voile française)[6] permet aussi l'initiation et la pratique de la voile en toutes saisons.
Administration
Liste des maires successifs depuis la création de la commune Période Identité Étiquette Qualité 2001 Victor Tonnerre DVD Ancien voilier 1989 2001 Georges Jégouzo PS Conseiller général 1977 1989 Edmond Le Coz DVD 1965 1977 Eugène Rémilly 1957 1965 Louis Hervé 1948 1957 Jules Le Guen 1945 1948 Maurice Le Mercier 1935 1945 Louis Edelin Union des Gauches 1925 1935 Adolphe Coutillard Toutes les données ne sont pas encore connues. Démographie
Culture
Patrimoine architectural
Architecture religieuse
L’église Notre-Dame de Larmor, classée monument historique, est l’ancienne chapelle de pèlerinage Notre-Dame de L'Armor, construite avant la création de la commune de Larmor-Plage, sur la paroisse de Ploemeur. L'édifice est construit sur un promontoire proche du rivage : sa situation face aux intempéries impose de régulières restaurations. On y trouve des éléments architecturaux significatifs des XIV, XVI, et XVIIe siècles[9]. L'église contient des objets remarquables, certains sont classés notamment :
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- la plaque commémorative, en granit, de la construction de la chapelle portant l'inscription 1506[10];
- dans le porche nord, 12 statues de pierre du début du XVIe siècle représentant les douze Apôtres[11];
- un groupe sculpté en pierre représentant une « Vierge de Pitié », formé de 6 figures, de la première moitié du XVIe siècle[12];
- une statue en bois du XVIe siècle figurant un Christ de pitié[13];
- un groupe sculpté en pierre de la première moitié du XVIe siècle représentant Saint Roch et son chien[14];
- deux statuettes en bois du milieu du XVIe siècle représentant Sainte Barbe et Sainte Efflam [15];
- une statuette en bois du XVIIIe siècle représentant Salomé [16];
- Notre-Dame-des-Anges : statue en bois polychrome du XVIe siècle, Vierge avec longues tresses, une robe rouge et un manteau bleu. Elle porte avec le bras droit un enfant qui tient un livre[17];
- un ex-voto maquette du navire « Le Saint-Jean ». Frégate portant troits mâts carré. La carène est peinte en vert, le dessus en noir avec une ligne blanche pour la batterie. Hauteur 66 cm, longueur 92 cm[18]. Deux autres ex-voto maquettes plus récentes sont présentes dans la nef de l'église.
- un retable appelé "l'autel des Juifs" composé de trente huit figurines en triangle daté du début du XVIe siècle ;
- un ensemble de menuiseries de la fin du XVIIe siècle, restauré, composé de 3 retables et 3 autels : retable du chevet avec comme toile centrale, la Vierge à l'Enfant entourée de têtes d'angelots et les donateurs. Dans les niches latérales sont placées les statues de saint Efflam et sainte Barbe. L'autel, orné de colonnes torses, conserve dans les niches la statue du Bon Pasteur et celles des quatre Évangélistes.
- un devant d’autel en toile peinte dont le médaillon central représente à la Vierge à l'Enfant ;
- les retables des bas-côtés du chœur comportant une niche centrale flanquée de pilastres, avec au sommet, un tableau représentant le Père Éternel. Retable Sud décoré d'une statue de saint Jean le Baptiste et devant d'autel en bois sculpté avec guirlandes de fleurs. Retable Nord avec la statue de la Vierge à l'Enfant et devant d'autel sur toile peinte figurant Saint Roch. On peut y voir des inscriptions : Armoiries : armoiries des donateurs, René Leziart et Suzanne de Trelan, sa femme (tableau du retable du chœur, en bas). Armoiries : armoiries de Louis II de Rohan-Guémené, mort en 1508, et de Louise de Rieux, sa femme (niches latérales du retable du chœur).
- Fontaine Notre-Dame du XVIIIe siècle
Située au bourg, rue Beg-Tal-Men, elle a été légèrement déplacée lors de travaux routiers[19].
- Croix monumentale du XVIe siècle
Située au village de Kergoulédec, datée de 1558[20].
Architectures civile et militaire
- Fort du Kernevel
Cette redoute est construite au XIIXe siècle, face à la citadelle de Port-Louis, pour compléter le système défensif de l'entrée de la rade de Lorient. Le fort en étoile du Kernevel construit en 1761 a été largement remanié au cours du temps, notamment pendant l'occupation allemande de la seconde guerre mondiale[21]. La marine française s'y établit en 1932, elle récupère le fort après 1945. N'en n'ayant plus directement l'utilité, elle signe le 14 avril 2000 une convention d'utilisation avec l'association le « Cercle de la Mer » qui doit « l'animer et l'ouvrir ». Des conférences ouvertes à tous y ont lieu, sur le thème du domaine maritime[22].
- Ensemble de blockhaus du Kernevel
La pointe du Kernevel comprend un ensemble de blockhaus parmi les plus importants du système de défense mis en place par les Allemands pour la rade de Lorient. Aujourd'hui ces bunkers existent toujours : certains sont totalement à l'abandon ; d'autres servent de locaux à des associations de plaisanciers ; d'autres encore sont situés sous des habitations[21]. Le seul aménagé pour des visites lors des Journées du patrimoine se trouve sous le jardin de la villa Kerlilon.
- Villas du Kernevel
Cet ensemble de trois bâtiments de villégiature est construit à la fin du XIXe siècle ; il est aussi appelé « Château des sardines » en lien avec Augustin Ouizille, banquier lorientais, industriel et conservateur sardinier au Kernevel. La légende locale voulant qu'il ait construit les trois villas pour ses filles n'est pas exacte, puisqu'il meurt alors qu'il n'existe que la villa Kerozen. Néanmoins les villas sont construites puis utilisées par des membres de la famille Ouzille jusqu'à l'arrivée de l'armée allemande, qui les réquisitionne lors de la seconde Guerre mondiale. Les propriétaires refuseront d'y retourner après la guerre[21]. Aujourd'hui une passerelle en bois permet aux piétons de passer du terre-plein du vieux port à celui du port de plaisance en longeant les enceintes des trois villas.
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- Villa Kerozen: au début du XIXe siècle Augustin Gillet, y construise sa maison et une conserverie, puis Augustin Ouizille développe cette industrie sardinière, et devient propriétaire de l'ensemble compris entre la rue de la Frégate, la rue de la Brise et la place du Commerce. Il fait construire le terre-plein et la cale qui est utilisée par les sardiniers et pour l'accostage du bateau transportant les voyageurs allant vers Lorient et Port-Louis. Lorsqu'il décède en 1881, Kerozen revient à sa fille Rosalie qui la reçoit en héritage en 1899[21]. Elle est aujourd'hui propriété de l'État (Ministère de la Marine) comme sa grande voisine la villa Kerlilon.
- Villa Kerlilon, dite aussi « l'Amirauté » : la plus grande des trois villas, plusieurs fois remaniée, est construite, en 1899 ou 1901, par l'architecte Armand Charier pour Auguste Ouizille (fils d'Augustin) qui habite Lorient. En 1940, la villa est réquisitionnée par l'armée allemande, et devient le PC du contre-amiral Doenitz en juin 1940. Elle est utilisée pour la conduite des sous-marins lors de la bataille de l'Atlantique. Des bunkers sont construits sous et autour de la villa pour se protéger des bombardements alliés. À la reddition de la poche de Lorient, elle est occupée par le capitaine de vaisseau Charrier des Forces navales de la France libre. Auguste Ouzille vend Kerlilon à la Marine le 3 juillet 1956 ; elle est aujourd'hui utilisée comme résidence du Commandement de Marine (C0MAR)[23]. La villa Kerlilon est parfois ouverte au public lors des Journées du patrimoine ; la visite comprend le bunker poste de commandement allemand des sous-marins situé sous le jardin.
- Villa Ker Margaret : cette troisième villa, construite en 1896 par Georges Ouizille et sa femme Françoise Marguerite née Boulaire, est utilisée comme centre de vacances, avant d'être rachetée par Cap l'Orient. Elle abrite la capitainerie du nouveau port avant de devenir un bar, fréquenté notamment par les plaisanciers, après la construction des bâtiments du terre-plein du port de plaisance[21].
- Théâtre de l’océan
Entre la plage de Locmaria et de Locquéltas l’ancien bunker de 1940 est devenu un théâtre en plein air face à l’île de Groix.
- Pointe des blagueurs
Situé sur le petit port près du bourg de Larmor, une plaque de céramique rappelle l’activité sardinière du village. La pointe des blagueurs était au XIXe et au début du XXe siècle un lieu de rendez-vous pour les marins pêcheurs, les marchands de poissons et les habitants de Larmor.
Patrimoine naturel
Sites naturels protégés
- Parc océanique de Kerguélen
Espace dunaire de l'anse de Kerguélen, organisé autour de deux anciens marais littoraux, bordant une plage plein sud de 1,5 km de long. Il abrite 82 hectares de faune et de flore maritimes placés sous le contrôle du Conservatoire du littoral.
Jumelages
Larmor-Plage est jumelée avec:
Vie quotidienne et services
Transports publics
- La commune est desservie par les lignes d'autobus de la CTRL [1]
- En saison estivale, des bateaux-bus assurent une liaison maritime supplémentaire entre le port de plaisance de Kernével et Port-Louis. [2]
- La gare SNCF de Lorient est située à 15 minutes.
- L'aéroport de Lorient Lann-Bihoué est accessible en moins de dix minutes.
- Il est également possible de réserver des bateaux-taxis pour rejoindre l'île de Groix par exemple.
Personnalités liées à la commune
- Adolphe Beaufrère, peintre et graveur français (1876-1960).
- Alain Gautier, navigateur français.
- Ronan Le Crom, footballeur français.
- Jacques Vincent, navigateur français.
- Guénane, poétesse française
- Henri Paul, chef de la sécurité du Ritz, décédé dans l'accident de la princesse Diana.
Notes et références
- données officielles 2007 sur le site de l’INSEE
- lire (consulté le 18/09/2009). « Le site gallo-romain de Quehello-Congard en Larmor Plage », bulletin annuel : travaux année 1975, Société Lorientaise d'Archéologie et Benoît Jacques, Nouvelles découvertes à Quéhello-Congard en Larmor-Plage, n° 15, 1981
- Par décret en date du 24 février 2009, la commune de Larmor-Plage est classée comme station balnéaire.
- http://www.ports-paysdelorient.fr/port-du-kernevel.html
- http://www.campingdelafontaine.fr
- http://www.sellor-nautisme.fr Centre nautique de Kerguelen
- lire (consulté le 18/09/2009). Commune créée en 1924, recensement 1926 Cassini
- Larmor-Plage sur le site de l'Insee
- lire (consulté le 17/09/2009). Patrimoine de France, église Notre-Dame à Larmor-Plage (56), notice : PA00091359
- lire (consulté le 17/09/2009). Patrimoine de France, Plaque commémorative de la construction de la chapelle à Larmor-Plage (56), Référence : PM56000490
- lire (consulté le 17/09/2009). Patrimoine de France, Statues (12) : douze apôtres (les) à Larmor-Plage (56), Référence : PM56000491
- lire (consulté le 17/09/2009). Patrimoine de France, Groupe sculpté : Vierge de Pitié à Larmor-Plage (56), Référence : PM56000492
- lire (consulté le 17/09/2009). Patrimoine de France, Statue : Christ de pitié à Larmor-Plage (56), Référence : PM56000493
- lire (consulté le 17/09/2009). Patrimoine de France, Groupe sculpté (statuette) : saint Roch à Larmor-Plage (56), Référence : PM56000494
- lire (consulté le 17/09/2009). Patrimoine de France, Statues (2) (statuette) : sainte Barbe, saint Efflam à Larmor-Plage (56), Référence : PM56000495
- lire (consulté le 17/09/2009). Patrimoine de France, Statue (statuette) : Salomé à Larmor-Plage (56), Référence : PM56000496
- lire (consulté le 17/09/2009). Patrimoine de France, Statue dite Notre-Dame-des-Anges : Vierge à l'Enfant à Larmor-Plage (56), Référence : PM56001467
- lire (consulté le 17/09/2009). Patrimoine de France, Maquette, ex-voto (maquette votive) : saint Jean (le) à Larmor-Plage (56), Référence : PM56000498
- lire (consulté le 17/09/2009). Patrimoine de France, Fontaine Notre-Dame à Larmor-Plage (56), notice : PA00091360
- lire (consulté le 17/09/2009). Patrimoine de France, Croix datée de 1558 située à Kergouldec à Larmor-Plage (56), notice : PA00091358
- lire (consulté le 14/06/2011). Région Bretagne, base Glad : Espace portuaire et défensif de Kernevel
- lire (consulté le 17 septembre 2009). Cercle de la Mer, Historique
- lire (consulté le 14/06/2011). Région Bretagne, base Glad : Maison de villégiature Kerlilon, actuellement édifice logistique
Bibliographie
- Jean Jurbert, Jacques Soteras, Michel Manivel, L'Église Notre-Dame de Larmor, commission patrimoine, Office municipale d'action culturel de Larmor-Plage, 1992, 24 p. (disponible médiathèque de Larmor-Plage).
Voir aussi
Articles connexes
- Communauté d'agglomération du Pays de Lorient (Cap l'Orient)
Liens externes
- Site officiel de la Ville
- Visite Virtuelle 360° de Larmor Plage en 80 vues
- Larmor-Plage sur le site de l'Institut géographique national
- Larmor-Plage sur le site Patrimoine de France
- Larmor-Plage sur le site Tchinggiz - Bretagne
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