Journalisme en France

Journalisme en France

Le journalisme en France trouverait son origine dans La Gazette de Théophraste Renaudot, créée en 1631 sous Louis XIII. La liberté de la presse s'impose progressivement contre la censure royale, avant d'être proclamée dans la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789, et institutionnalisées par la loi du 29 juillet 1881, sous la Troisième République, qui fournit encore aujourd'hui le cadre juridique de son exercice.

Sommaire

Histoire du journalisme en France

La Bataille des « Confetti » sur les boulevards; Scène du Carnaval de Paris 1896, Le Petit Parisien.

A la veille de la guerre de 1914-18, les quatre plus grands quotidiens français sont Le Petit Parisien, Le Matin, et Le Journal et Le Petit Journal, devenu célèbre en exploitant l'affaire Troppmann en 1869, ce qui en fait rapidement le principal concurrent du Figaro, fondé en 1826. L'Humanité, lancée en 1904 par le socialiste Jean Jaurès, devient l'organe de presse du PCF.

A la Belle Époque et durant l'entre-deux-guerres, la presse, dont une partie est financée par la publicité (un tiers des recettes avant 1914 pour Le Matin, propriété du sulfureux Maurice Bunau-Varilla [1]), publie aussi des feuilletons (Gaston Leroux, etc). D'autres journaux apparaissent pendant l'entre-deux-guerres, tel Paris-Soir, édité par Jean Prouvost, qui recrute de grands noms (Pierre Lazareff, Paul Gordeaux, Blaise Cendrars, Joseph Kessel, Georges Simenon, Antoine de Saint-Exupéry, etc.). Un journal satirique, Le Canard enchaîné, est fondé en 1915 pour protester contre la censure gouvernementale.

Tous les journaux ayant paru sous l'Occupation, dont Le Matin et Le Temps, sont interdits de parution à la Libération puis expropriés en 1946 par le GPRF. Le Petit Parisien est remplacé par Le Parisien libéré, ancêtre du Parisien, tandis que Le Monde de Hubert Beuve-Méry hérite de l'infrastructure du Temps.

Dans les années 1970, alors que l'ORTF réglemente la radio et la télévision, Robert Hersant rachète Le Figaro et parvient à constituer un empire de presse, le groupe Hersant. C'est à la même époque qu'un petit groupe de maos, protégés par Jean-Paul Sartre, fondent Libération, qui devient progressivement l'un des principaux quotidiens de gauche non-communiste. En 1974, la loi cressard définit les droits des journalistes pigistes.

Déontologie

Article détaillé : Déontologie du journalisme.
La rédaction du Pré-Botté à Rennes, ancien siège de Ouest-France, l'un des plus gros quotidiens de la PQR française.

Les journalistes sont en principe tenus à des règles déontologiques dont l'interprétation est sujette à polémique. Une Charte des devoirs des journalistes a été rédigée en juillet 1918, et révisée en 1938. Celle-ci est néanmoins contestée. Ainsi, un débat récent a eu lieu concernant l'émission Les Infiltrés, diffusée depuis octobre 2008 sur France 2, certains journalistes (dont Jean-Michel Aphatie, de RTL) la qualifiant de vol d'images. Ainsi, on oppose implicitement à celle-ci un article de cette Charte, qui stipule qu'« un journaliste digne de ce nom [...] s’interdit d’invoquer un titre ou une qualité imaginaires, d’user de moyens déloyaux pour obtenir une information ou surprendre la bonne foi de quiconque ». Pourtant, le journalisme d'investigation doit régulièrement recourir à de telles méthodes, et prendre cet article au pied de la lettre serait signer la fin de ce type d'enquêtes [2].

La création de la Commission de la carte d’identité des journalistes professionnels, en mai 1936, qui donne pour la première fois un statut professionnel aux journalistes, pouvait laisser croire que la profession se dotait d'un organisme comparable à l'Ordre des avocats et habilité à juger du respect des règles déontologiques. Le rapporteur de la loi promulguée le 29 mars 1935, le député de l’Aube Émile Brachard, un radical, affirmait alors que « l'établissement de la carte d'identité aidera puissamment à l'organisation méthodique d'une profession longtemps demeurée dans l'anarchie »[3].

La loi ne prévoyant pas ce rôle à la commission, le texte de 1918 est resté d'actualité jusqu'en janvier 1938, date à laquelle il a été révisé et complété. Une version modernisée, intitulée « Déclaration des devoirs et des droits des journalistes », a été adoptée en 1971 par les fédérations de journalistes de la Communauté européenne, de Suisse et d’Autriche, et de plusieurs organisations internationales de journalistes. C'est ce texte qui sert de référence aux journalistes français, et que les syndicats de journalistes proposent de faire figurer en préambule de la convention collective des journalistes.

Les attaques sexistes de certains journalistes, en particulier, en 1991, contre le Premier ministre Édith Cresson, dépeinte par Le Bébête show comme la panthère Amabotte, soulève l'indignation des milieux féministes [4],[5],[6],[7].

Il existe aussi des codes informels ou des chartes déontologiques propres à certains organes de presse ou groupes audiovisuels (comme notamment en France avec le journal Le Monde et France Télévisions), qui reprennent et complètent la charte adoptée par les syndicats et les représentants des journalistes.

Censure et protection des sources

La liberté de la presse et la déontologie de la presse sont indissociables d'un autre enjeu, celui de la censure, ainsi que du secret des sources, plusieurs fois mis à mal dans des affaires récentes, souvent au titre de la violation présumée du secret de l'instruction, ce qui a valu à la France plusieurs condamnations par la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) [8] (on peut citer l'affaire Guillaume Dasquié [9],[10],[11]; perquisition au Canard enchaîné à l'été 2007 dans le cadre de l'affaire Clearstream [12], audition en 2005 de journalistes du Berry républicain [13], perquisition au Point et à L'Équipe en 2004-05 suite à la publication d'articles sur l'affaire de dopage Cofidis [14],[15], etc.).

Une loi dite de « protection du secret des sources des journalistes » a été adoptée le 4 janvier 2010 [16]. La gauche a voté contre cette loi, jugée insuffisante [17],[18],[19],[8]. Le Syndicat national des journalistes (SNJ) s'est inquiété notamment des exceptions apportées par la loi à la protection des sources [20], qualifiée par la CEDH de « [pierre angulaire] de la liberté de la presse » [21].

Critiques sur la représentativité politique

L'hebdomadaire Marianne dans son N° 209 de la semaine du 23 au 29 avril 2001 s’était intéressé à l’opinion des journalistes français et en particulier à leur penchant politique. La conclusion était la suivante : « Les journalistes sont, à une écrasante majorité de gauche[22],[23]. »

L'étude révélait les intentions de vote des journalistes à la présidentielle de 2002, dans cet ordre de préférence : Lionel Jospin (32 %), Noël Mamère (13 %), Jean-Pierre Chevènement (8 %), Arlette Laguiller (5 %), Robert Hue (5 %) – soit un sous-total de 63 % pour la gauche –, Jacques Chirac (4 %), Alain Madelin (1 %) et François Bayrou (1 %) – soit un sous-total de 6 % pour le centre et la droite –, Jean-Marie Le Pen ne recueillant aucune intention de vote[23],[24].

« N’est-il pas étonnant au sein d’une démocratie, notait Philippe Cohen en analysant ce sondage, que 6 % seulement des journalistes osent se déclarer électeurs de droite, quand on estime qu’au moins 50% des Français votent ainsi ? Ou que 87 % des journalistes s’affirment favorables à la régularisation automatique de tous les "sans-papiers" ? Il faudrait être quelques peu naïf, après cela, pour s’étonner du fossé, abyssal, qui se creuse entre la caste journalistique et la population[23]. »

Seulement 27% des Français font confiance aux médias d'après une étude d’opinion réalisée en 2009 par l'institut TNS Sofres pour le Cevipof[25]. Le baromètre annuel de confiance dresse une grave perte de crédibilité des journalistes français auprès de la population[26].

Économie des médias

Article détaillé : Presse en France.
Locaux actuels, boulevard Auguste-Blanqui, du Monde, successeur du Temps après-guerre et l'un des journaux de « référence » français.

Le paysage médiatique français se caractérise par l'importance de la presse quotidienne régionale (PQR), des journaux comme Ouest-France tirant à près de 800 000 exemplaires [27]; la surreprésentation des magazines relativement aux quotidiens nationaux; enfin, la faiblesse relative de l'indépendance des journalistes à l'égard des pouvoirs politiques et économiques, en comparaison avec d'autres pays, dont notamment les États-Unis. Cette faible indépendance est partiellement compensée par la présence d'organes satiriques, dont Le Canard enchaîné, qui bénéficient d'une protection particulière de la liberté de la presse en vertu de la jurisprudence concernant la diffamation.

Les principaux quotidiens nationaux sont, à droite, Le Figaro, au centre, Le Monde, et à gauche Libération, fondé en 1973 sous l'égide de Jean-Paul Sartre. Outre ces trois grands organes, L'Humanité et La Croix ont aussi une diffusion conséquente.

Les hebdomadaires incluent notamment Marianne, L'Express, Le Nouvel Observateur, Le Point et Politis, ainsi que des journaux satiriques tels que Charlie Hebdo et le Canard enchaîné.

Enfin, les mensuels d'information incluent notamment Le Monde diplomatique, fondé en 1954 par Hubert Beuve-Méry, qui fut aussi le fondateur du quotidien du soir Le Monde.

Récemment, Internet a été investi par des journaux électroniques créés par des équipes de journalistes venus des titres papiers les plus prestigieux: Rue89, fondé par des anciens de Libé (Pierre Haski, etc.), Bakchich, créé par des anciens du Canard (Nicolas Beau, etc.), Mediapart, dont les créateurs Edwy Plenel, Laurent Mauduit et François Bonnet sont d'anciens dirigeants du quotidien Le Monde, partis après l'arrivée dans le capital de Arnaud Lagardère.

Les deux pôles médiatiques principaux sont le Groupe Lagardère qui détient par ailleurs l'entreprise d'armement EADS, et la Socpresse, détenue par l'industriel spécialisé dans la vente d'armes Serge Dassault.

A travers Hachette Filipacchi Médias, Lagardère détient 49% des Nouvelles messageries de la presse parisienne (NMPP), qui distribuent la grande majorité des titres de presse en France, ainsi que nombre de magazines (Elle, Paris Match, etc.) et de quotidiens (Paris-Normandie, etc.).

La Socpresse, quant à elle, est l'héritière du Groupe Hersant fondé par le magnat de la presse Robert Hersant (1920-1996), qui avait racheté dans les années 1970 Le Figaro, le quotidien national conservateur, et s'associa avec un autre magnat, Silvio Berlusconi, en 1987, pour créer La Cinq, première chaîne de télévision privée. En 1985, le Groupe Hersant se divise en effet en deux entités juridiques afin de contourner une loi sur la concentration de la presse (loi Fillioud-Mauroy), la Socpresse et France Antilles (aujourd'hui Groupe Hersant Média).

Outre Le Figaro, la Socpresse détient une quinzaine de titres régionaux (Le Midi Libre, Les Dépêches, près de deux-tiers de La Voix du Nord, etc.). Le Groupe Hersant Média, quant à lui, détient aussi des parts dans le paysage médiatique régional, avec notamment La Provence ou Nice-Matin.

Enfin, le Groupe Ouest-France s'est étendu dans la PQR et détient 50% de l'édition française du quotidien gratuit 20 minutes.

Cartes de journalistes distribuées en 2006
Titulaires Hommes Femmes Total
Journalistes mensualisés 15 342 10 328 25 670
Journalistes rémunérés à la pige 2 818 2 760 5 578
Demandeurs d’emploi 790 713 1 503
Directeurs (anciens journalistes) 429 77 506
Journalistes stagiaires mensualisés 1 141 1 264 2 405
Journalistes stagiaires rémunérés à la pige 585 762 1 347
Total général 21 105 15 904 37 0091

1. dont 2162 premières demandes

(source : Commission de la Carte d'Identité des Journalistes Professionnels - 2 janvier 2007)

Fiscalité

Pour des raisons historiques, les journalistes français qui détiennent une carte de presse bénéficient d'une fiscalité particulière. En 1934, le gouvernement leur concède un abattement forfaitaire de 30 % destiné à compenser leurs dépenses professionnelles que les entreprises de presse ne remboursaient pas[28]. Cette mesure a été renouvelée au lendemain de la Seconde Guerre mondiale pour des raisons économiques, l'État aidant de cette manière les entreprises de presse dont la santé financière ne permettait pas de rémunérer suffisamment les journalistes. Dans les années 1970, l'abattement est alors plafonné à 50 000 francs (7 600 €).

Depuis 1998, l'abattement de 30 % a diminué régulièrement pour disparaître définitivement en 2001. En contrepartie, le gouvernement Jospin a accordé une « allocation pour frais d'emploi » aux journalistes, qui leur permettait, en 2006, de diminuer de 7 650 euros le montant de leurs revenus imposés[29]. Cette réduction constitue une niche fiscale.

Les formations en journalisme

En France, aucun diplôme précis n'est indispensable pour devenir journaliste. La Convention collective nationale de travail des journalistes souhaite néanmoins « que les débutants aient reçu un enseignement général et technique aussi complet que possible »[30].

Ainsi, treize formations sont reconnues en 2009 par la profession, via la Commission paritaire nationale de l'emploi des journalistes (CPNEJ), composée de représentants des syndicats d'éditeurs et des syndicats de journalistes[30] :

Un professionnel diplômé de l'une de ces formations accède au statut de journaliste titulaire deux fois plus rapidement[30].

Au total, quelque 83[31] formations au journalisme, pour la plupart donc non reconnues par la profession, existent en France. Un premier classement des principales écoles de journalisme est publié en 2011.

Références

  1. Dominique Pinsolle, Le Synthol, moteur de l’histoire..., Le Monde diplomatique, août 2009
  2. André Rouillan, Les infiltrés: journalisme déboussolé, Paris Art n°260, 18 décembre 2008
  3. Rapport Brachard N° 4516 remis à la Chambre des députés - 1935 [PDF]
  4. Rone Tempest, Culture - Edith Cresson's Answer to TV Spoof: Hush Puppet! - * France's brutally frank premier says her caricature on one of the nation's most popular shows is sexist, unfair., Los Angeles Times, 23 juillet 1991
  5. Annie Collovald, « Le Bébête Show, idéologie journalistique et illusion critique », Politix, 1992, vol. 5, n° 19, pp. 67-86. doi : 10.3406/polix.1992.1529
  6. Philippe Goulliaud, Bébête show - Guignols : le duel des marionnettes cathodiques, Le Figaro, 10 août 2009
  7. Annick Cojean, La rage des "chiennes de garde", Le Monde, 12 février 2000, republié sur le site des Chiennes de garde
  8. a et b Protection de sources : loi adoptée, Le Figaro, 15 mai 2008
  9. Augustin Scalbert et David Servenay, Dasquié en garde à vue: tes sources ou la taule!, Rue89, 7 décembre 2007
  10. Augustin Scalbert, Eric Fottorino, le patron du Monde, entendu par la DST, Rue89, 11 juin 2008
  11. Reporters sans frontières dénonce le placement en garde à vue du journaliste Guillaume Dasquié par le contre-espionnage, 6 décembre 2007, site de RSF
  12. Augustin Scalbert, Auto Plus perquisitionné pour avoir "espionné" Renault, Rue89, 15 juillet 2008
  13. RSF, Nouvelle atteinte au secret des sources lors de la Journée internationale de la liberté de la presse , 4 mai 2005
  14. RSF, Le secret des sources encore mis à mal, 15 décembre 2004
  15. RSF, Perquisitions au Point et à L’Equipe : une nouvelle violation du droit à la protection du secret des sources, 13 janvier 2005
  16. LOI n° 2010-1 du 4 janvier 2010 relative à la protection du secret des sources des journalistes (1), JORF n°0003 du 5 janvier 2010 page 272 texte n° 1. NOR: JUSX0803885L
  17. Protection des sources : le projet de loi voté dans une ambiance tendue, Le Nouvel Observateur, 13 juin 2008
  18. Protection des sources des journalistes : la loi piège de Sarkozy, Bakchich, 19 juin 2008
  19. Journalistes en semi-liberté, Les Mots ont un sens, 22 décembre 2009
  20. Syndicat national des journalistes, Protection des sources : une loi imparfaite, communiqué du 22 décembre 2009
  21. CEDH, Financial Times LTD et autres c. Royaume-Uni (Cour EDH, 4e Sect. 15 décembre 2009, Req. n° 821/03)
  22. 6% des journalistes français sont de droite, Eric Brunet, 06 mai 2010.
  23. a, b et c Marianne, 23 avril 2001.
  24. Jean Sévilla, Le terrorisme intellectuel, éditions Perrin, 2004.
  25. Partis et médias au plus bas du « baromètre de la confiance », Rue89, 17 janvier 2010.
  26. Les Français dans l'ère de la défiance, Slate, 15 janvier 2010.
  27. Tirage et diffusion quotidienne d'Ouest-France d'après l'OJD
  28. Historique de la fiscalité des journalistes sur le site du SNJ
  29. Lexique pour remplir la déclarations des revenus 2006, Syndicat national des journalistes
  30. a, b et c (fr) « Les formations reconnues » sur le site officiel du Syndicat national des journalistes, consulté le 22 juin 2009
  31. Les représentations collectives des formations initiales en journalisme et leur efficacité en question par Rémy le Champion in Les Cahiers du Journalisme [1]

Voir aussi


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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Journalisme en France de Wikipédia en français (auteurs)

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