Histoire de l'Essonne

Histoire de l'Essonne

Lhistoire du département de l'Essonne commence le 1er janvier 1968, lorsquil est créé en application de la loi du 10 juillet 1964.

Sommaire

Histoire

Articles détaillés : Chronologie de l'Essonne, Histoire de l'aviation dans l'Essonne et Anciennes communes de l'Essonne.

Avant lEssonne

Le territoire de lactuel département de lEssonne fut occupé de façon certaine dès le Néolithique, comme en témoignent les découvertes en divers points du département de silex taillés et lélévation de menhirs comme dans la forêt de Sénart à Brunoy. À lépoque gauloise, le territoire était à la frontière entre les domaines des Parisii au nord, des Carnutes au sud-ouest et des Sénons au sud-est. Des premières villes commencèrent alors à se démarquer, dont Dourdan, réputée pour son activité de poterie. Linvasion romaine permit lédification dune multitude de villa rustica sur les plateaux dominant les riches vallées, comme en témoignent les résultats de fouilles archéologiques à Orsay. Dautres villages se transformèrent en oppidum à la croisée des routes, tel Arpajon.

Limposant château royal dÉtampes illustré dans le livre Les Très Riches Heures du duc de Berry, musée Condé, Chantilly, ms.65, f.8v, vers 1411-1416.

Au VIe siècle sacheva lévangélisation du territoire, avec lédification dès lan 600 dune première église à Corbeil-Essonnes et le développement à Palaiseau dun abbaye sous limpulsion de sainte Bathilde et saint Wandrille. En lan 604 se déroula la première bataille dÉtampes entre Clotaire II, roi de Neustrie et Thierry II, roi de Bourgogne allié de Théodebert II, roi dAustrasie. À partir du VIIIe siècle, la plupart du territoire était intégré au domaine royal français, les rois disposant des lieux et distribuant les terres à leurs vassaux. Commença alors au Xe siècle lédification de châteaux forts contrôlant les routes commerciales, comme celui de Montlhéry, ou pour arrêter les raids Vikings à Corbeil-Essonnes et La Ferté-Alais. À partir du XIe siècle, la basilique Notre-Dame-de-Bonne-Garde à Longpont-sur-Orge devint la première étape du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle depuis Paris.

Les révoltes des nobles locaux entraînèrent lintégration complète du territoire dans le domaine royal, Robert II de France construisant le château d'Étampes, Louis VI de France démantelant le château de Montlhéry au XIIe siècle et réduisant à néant la puissante famille de Montlhéry, Philippe II de France construisant le château de Dourdan au XIIIe siècle. En 1131 se déroula le concile dÉtampes qui se prononça en faveur du futur pape Innocent II. En 1258 fut scellé le traité de Corbeil, fixant les limites territoriales entre le royaume de France et le royaume d'Aragon. Le domaine dÉtampes fut érigé en comté en 1298, créant alors la lignée des comtes puis ducs dÉtampes. De cette époque se fixèrent les deux composantes principales de léconomie locale, lagriculture pour alimenter la capitale et lindustrie utilisant la force motrice des nombreux cours deau. Au XIIe siècle, les Grands moulins de Corbeil devinrent « moulins du Roi ».

À partir du XIVe siècle sinstallèrent dans la région dimportantes commanderies templières à Étampes, Longjumeau, Chalou-Moulineux, Auvernaux, organisant de vaste domaines agricoles prospères. En 1305 fut signé le traité d'Athis-sur-Orge qui intégrait au royaume de France les villes de Lille, Douai et Béthune. En 1326 intervint le second traité de Corbeil, renouvelant lAuld Alliance avec lÉcosse. En 1346, Philippe VI de France signa lordonnance de Brunoy, considérée comme le premier acte juridique en français ayant trait au développement durable. Survint alors la guerre de Cent Ans, causant des ravages et des massacres sur le territoire, comme lincendie en 1360 de léglise Saint-Clément dArpajon par les troupes dÉdouard III d'Angleterre, brûlant vifs huit cent habitants. En 1371, ce fut au tour de Milly-la-Forêt dêtre ravagée par le « prince noir » Édouard de Woodstock. Entre 1353 et 1355, Paris frappé par la peste noire utilisa les coches des bateliers de Corbeil, les corbeillards pour évacuer les cadavres, donnant ainsi naissance au mot corbillard. En 1465 eut lieu la bataille de Montlhéry entre Louis XI de France et Charles le Téméraire.

Le début de la Renaissance vit le développement commercial de la région, avec lédification de halles à Milly-la-Forêt au XVe siècle puis Dourdan, Arpajon et Méréville au XVIe siècle. Dans le même temps, la fixation du pouvoir royal à Paris puis Versailles, deux villes proches, et lhabitude que les rois prirent doffrir des villes et domaines à leurs favorites Anne de Pisseleu et Gabrielle d'Estrées (respectivement Dourdan et Étampes), entraînèrent létablissement de châteaux, construits par les courtisans et les magistrats parisiens. En 1568 fut signée la paix de Longjumeau, concluant la deuxième guerre de religion. En 1590, au début du siège de Paris, ce fut encore Corbeil, prise par Alexandre Farnèse qui permit le ravitaillement de Paris, bloqué par les troupes dHenri IV de France. En 1628, la ville dEssonnes fut ravagée par un incendie, provoqué par une nouvelle explosion du moulin à poudre. En 1652, en pleine Fronde, la seconde bataille dÉtampes mena à la victoire de Turenne qui avait stationné ses troupes à Arpajon.

Le terminus dArpajon sur la ligne du tramway.

Le XVIIIe siècle vit la région séquiper de plusieurs hôtels-Dieu à Milly-la-Forêt, Dourdan et Arpajon, de relais de poste sur les routes de Fontainebleau et Orléans. Il sacheva par la Révolution française, modifiant relativement peu le quotidien des habitants. Un fait-divers marqua cependant cette période troublée, lassassinat à Étampes du maire Jacques Guillaume Simoneau, entraînant la création par lAssemblée législative dune « Fête de la Loi » sur tout le territoire. Relativement peu touché par les conflits en dehors des occupations prussiennes en 1815-1818 et en 1871-1873, le territoire profita du XIXe siècle pour bénéficier dune modernisation importante, avec la création de plusieurs lignes de chemin de fer, la ligne de Sceaux en 1854, la ligne Brétigny - Tours en 1867, la ligne de Grande Ceinture en 1882, plusieurs villages devenant alors un lieu de villégiature pour les riches bourgeois parisiens et les artistes. Louverture de la ligne de tramway de lArpajonnais en 1894 permit une nouvelle montée en puissance des débouchés agricoles de la région, offrant un accès direct et rapide aux halles de Paris. Lindustrie lourde fit aussi son apparition avec louverture des usines Decauville à Évry-Petit-Bourg et des papeteries Darblay à Essonnes, faisant entrer cette riche famille essonnienne dans le cercle des « deux cents familles ».

Les élèves de lécole daviation Blériot dÉtampes en 1910.

Le début du XXe siècle vit une nouvelle révolution pour le département, qui devint un des berceau de laviation, Viry-Châtillon accueillant en 1909 le premier aéroport organisé du monde à Port-Aviation, en 1910 Louis Blériot et Maurice Farman ouvraient des écoles sur laéroport d'Étampes-Mondésir, Brétigny-sur-Orge disposait dès 1938 de la base aérienne 217, lieu de nombreux records. Autre site emblématique de la course à la vitesse, lautodrome de Linas-Montlhéry créé en 1924 resta le lieu des plus célèbres courses automobiles jusque dans les années 1960. Relativement épargné par les deux conflits mondiaux, malgré la présence du camp de concentration de Linas-Montlhéry construit en 1940 par les nazis pour lenfermement des Tsiganes, le futur département connut dès les années 1950 une forte poussée démographique, touché comme ses voisins par lédification de bidonvilles aux portes de Paris, situation plus tard aggravée par la nécessité dhéberger les nombreux rapatriés dAlgérie venus sinstaller dans la région. Ces bouleversements démographiques allaient entraîner le redécoupage administratif.

Création et organisation dun nouveau département

Au milieu des années 1960, la région Île-de-France était le théâtre de tractations politiques importantes. Le pouvoir central de la jeune Cinquième République, représenté par le président général De Gaulle et le premier ministre Michel Debré, décida de la réorganisation de la région capitale. Ainsi, la loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne[1] prévoyait de supprimer les départements de Seine-et-Oise et de la Seine pour en créer six nouveaux, dont le département de lEssonne comprenant la presque totalité de larrondissement de Corbeil-Essonnes, larrondissement de Palaiseau et une partie de lancien arrondissement de Rambouillet. Le 25 février 1965, le décret no 65-142 fixait le chef-lieu du département à Évry-Petit-Bourg[2], précédemment officieusement installé à Corbeil-Essonnes. Le 2 juin 1966, un nouveau décret no 66-339 prévoyait le découpage administratif du département[3] avec la création de larrondissement d'Évry en remplacement de celui de Corbeil-Essonnes (cette commune conservant cependant son statut de sous-préfecture) et modifiait les limites de larrondissement de Palaiseau. Le même jour, le décret no 66-340 créait larrondissement d'Étampes[4]. Le 20 juillet 1967, le décret no 67-589 portait création officielle des vingt-sept cantons du département[5] : Arpajon, Athis-Mons, Bièvres, Brétigny-sur-Orge, Brunoy, Corbeil-Essonnes, Dourdan, Étampes, Étréchy, Évry, Juvisy-sur-Orge, La Ferté-Alais, Limours, Longjumeau, Massy, Mennecy, Méréville, Milly-la-Forêt, Montgeron, Montlhéry, Orsay, Palaiseau, Ris-Orangis, Saint-Chéron, Sainte-Geneviève-des-Bois, Savigny-sur-Orge et Viry-Châtillon.

Le 19 septembre 1967, le décret no 67-792[6] fixait à la date du 1er janvier 1968 lentrée en vigueur de la loi du 10 juillet 1964, prévoyant effectivement la création du nouveau département. Ainsi, le département de lEssonne fut officiellement créé le 1er janvier 1968, les élus du nouveau conseil général désignés lors des élections de 1967 entraient en fonction à cette date. Il fallut cependant attendre 1969 pour lentrée en fonction du préfet Michel Aurillac. Le 21 novembre 1969 un décret détacha les communes de Châteaufort et Toussus-le-Noble qui sont rattachées au département voisin des Yvelines. Le 30 septembre 1974, un décret actait la fusion des communes dAngerville et Dommerville, cette dernière quitte alors le département dEure-et-Loir pour intégrer lEssonne. Le 25 novembre 1975 intervient un redécoupage administratif, le décret no 75-1116 portant le nombre de cantons à trente-cinq[7] en ajoutant les cantons de Chilly-Mazarin, Draveil, Gif-sur-Yvette, Morsang-sur-Orge, Saint-Germain-lès-Corbeil, Saint-Michel-sur-Orge, Vigneux-sur-Seine, Villebon-sur-Yvette et Yerres et en supprimant le canton de Juvisy-sur-Orge. Le 17 février 1977, le préfet de lEssonne Paul Cousserand signait larrêté portant création dune nouvelle commune, Les Ulis. Le 23 janvier 1985, un nouveau décret no 85-83[8] modifiait encore les limites administratives en portant le nombre de cantons du département à quarante-deux par lajout des cantons de Corbeil-Essonnes-Est, Épinay-sous-Sénart, Évry-Nord, Grigny, Juvisy-sur-Orge, Massy-Est et Les Ulis.

En parallèle de cette mise en place administrative, les autorités religieuses décidèrent de suivre le mouvement en créant le 9 octobre 1966, à partir du vaste diocèse de Versailles, le nouveau diocèse de Corbeil-Essonnes. La collégiale Saint-Spire de Corbeil-Essonnes fut alors élevée au rang de cathédrale, avant lédification à partir de 1991 de la nouvelle cathédrale de la Résurrection à Évry, conformément au changement de nom intervenu en 1988.

Développement de lEssonne

La Grande Borne à Grigny, symbole de lurbanisation moderne du département.

Depuis la création du département, sa morphologie sest considérablement modifiée, créant deux paysages radicalement différents entre le Nord urbanisé et le Sud rural du territoire. Lexplosion démographique entraînant une forte demande de logements, a entraîné comme ailleurs dans la région de grands travaux et la construction de grands ensembles, certains villages devenant en dix ans des grandes villes. Cas typique, Grigny qui ne comptait que 1 700 habitants en 1962 en comptait plus de 25 000 en 1975, en grande partie logés dans la nouvelle cité dhabitat social de La Grande Borne. Le chef-lieu du département, Évry connu la même évolution sur une période plus longue, passant de 5 000 habitants en 1962 à plus de 50 000 en 2006. Cette dernière fut, en même temps que se forgeait le nouveau territoire, intégrée dès 1965 au grand programme de Paul Delouvrier qui ambitionnait dy construire une ville nouvelle, menant à la création en 1969 de létablissement public daménagement de la ville dÉvry. Cette ville nouvelle dépassait largement les limites de la petite commune dÉvry-Petit-Bourg puisquelle englobait aussi Bondoufle, Courcouronnes et Lisses avec lobjectif daccroître le pôle urbain que constituait déjà Corbeil-Essonnes, sétait élevée la vaste cité des Tarterêts. De fait, presque toutes les villes moyennes, quasiment chaque chef-lieu de canton ou leurs périphéries, virent leurs territoires lotis, par des barres dimmeubles, des tours ou des pavillons individuels. Palaiseau, Étampes, Massy, Longjumeau, Sainte-Geneviève-des-Bois, Vigneux-sur-Seine, Épinay-sous-Sénart, Athis-Mons, Saint-Michel-sur-Orge, Brétigny-sur-Orge devinrent des villes de banlieue typiques. Autre exemple de cette course à la construction, Les Ulis, commune créée en 1977 sur les champs de blé du plateau de Courtabœuf et qui atteint plus de 28 000 habitants en 1982.

Cette nouvelle concentration de résidents fut concomitante du développement de la société de consommation qui se manifesta avec louverture en 1963 du premier hypermarché de France sous lenseigne Carrefour à Sainte-Geneviève-des-Bois, puis la création des centres commerciaux, Ulis 2 en 1973, Évry 2 en 1975, La Croix-Blanche dans les années 1980, Villebon 2 en 1988, Villabé A6 en 1992. Les besoins en transports en commun entraînèrent la création entre 1962 et 1979 du réseau express régional d'Île-de-France avec louverture dans le département de la ligne B en 1977, la ligne C en 1979 et la ligne D en 1987, le percement de nouvelles voix rapides, dont lautoroute A6 ouverte en 1960 depuis Paris jusquau Coudray-Montceaux, lautoroute A10 ouverte progressivement entre 1960 et 1973 depuis Wissous et la route nationale 104 aménagée dans les années 1980. Laéroport Paris-Orly, dont laérogare Sud fut inaugurée en 1961 marquait lavènement de la modernité, mais il fut cependant vite à létroit, à cause de lurbanisation rapide de ses abords, entraînant dès 1968 la première décision dinstaurer un couvre-feu de 23h00 à 6h00.

Les travaux du Synchrotron Soleil en 2005.

De façon concomitante, de nombreuses institutions et entreprises simplantèrent dans le département. La création en 1960 du parc d'activités de Courtabœuf permit larrivée dentreprises de renom comme Hewlett-Packard qui y ouvrit son centre de recherche européen en 1968, imitée en 1983 par Microsoft. Sur le plateau de Saclay voisin, limplantation en 1975 de lécole supérieure d'électricité et en 1976 de lécole polytechnique renforçait limportance prise par le secteur depuis louverture en 1971 de luniversité Paris-Sud 11 à Orsay et complétait le commissariat à l'énergie atomique ouvert en 1952. Lest du département suivit plus tard le même développement, porté par la ville nouvelle, avec limplantation en 1972 du centre national d'études spatiales, en 1979 de lécole Télécom SudParis (ex-Télécom INT) & Télécom École de Management (ex-INT Management), en 1980 du groupement Arianespace, louverture en 1991 de luniversité d'Évry-Val d'Essonne et en 1998 la création du Génopole. En 2006, linauguration à Saint-Aubin du Synchrotron soleil marquait la poursuite du programme de développement économique et scientifique du département.

Des équipements structurants de niveau départemental furent bientôt développés, le théâtre de lAgora dÉvry ouvert en 1975, la base de plein air et de loisirs d'Étampes en 1977, lopéra de Massy en 1993, Le Grand Dôme en 1994 à loccasion des jeux de la Francophonie. La décision de créer en 2006 lopération d'Intérêt National de Massy Palaiseau Saclay Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines, couvrant presque un quart du nord-ouest du département sur vingt-sept communes relance aujourdhui les perspectives de développement économique et daménagement du territoire. En 2009, la réorganisation des services de l'État entraîna la suppression de la sous-préfecture de Corbeil-Essonnes[9].

Pour approfondir

Articles connexes

Bibliographie

Sources


Wikimedia Foundation. 2010.

Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Histoire de l'Essonne de Wikipédia en français (auteurs)

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