Forêt des Landes

Forêt des Landes
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Forêt des Landes
Pinus pinaster.jpg
Piste cyclable dans la forêt
Localisation
Coordonnées 44° 30′ Nord
       0° 40′ Ouest
/ 44.5, -0.667
44°30′N 0°40′W / 44.5, -0.667
Pays Drapeau de France France
Région Aquitaine
Départements Gironde
Landes
Lot-et-Garonne
Géographie
Superficie environ 1 000 000 ha
Longueur 220 km
Largeur 130 km
Altitudes mini. 1 m — maxi. 164 m
Compléments
Statut Forêt privée française,
Forêt domaniale
Essences pin maritime

Géolocalisation sur la carte : France

(Voir situation sur carte : France)
Forêt des Landes

La forêt des Landes de Gascogne (en gascon las Lanas) est un massif forestier du sud-ouest de la France. Occupant une superficie de près d'un million d'hectares[1], il est le plus grand d'Europe occidentale.

Principalement privée, elle comprend quelques parties domaniales situées près du cordon littoral.

Sommaire

Noms régionaux

  • Pinhadar (prononcer "pignada") : massif de pins plantés en langue gasconne (masculin).

Géographie

Article détaillé : Landes de Gascogne.
Carte des Landes de Gascogne

La forêt des Landes (appelée Landes de Gascogne, et autrefois Landes de Bordeaux) s'étend sur une grande partie des départements français des Landes et de la Gironde. Elle déborde également sur le département de Lot-et-Garonne. Le massif des Landes donne naissance à quelques fleuves (la Leyre, le Boudigau, etc.) et des rivières (le Ciron, le Gat mort, etc.).

Les villes importantes se situant à proximité sont Bordeaux, Mont-de-Marsan, Dax et Bayonne. Le massif forestier est baigné à l'Ouest par l'océan Atlantique (golfe de Gascogne) . Le littoral ainsi constitué porte le nom de Côte d'Argent.

Essences

Pins maritimes

Les plantations sont principalement constituées de pins maritimes. Ils couvrent actuellement une superficie de 950 000 ha environ[2].

Contrairement à beaucoup d'autres forêts européennes, elle est presque entièrement constituée de forêt plantée et exploitée industriellement. La plantation massive de pins a été amorcée en Pays de Buch pour stopper la progression des sables mobiles et assainir le sol dès le XVIIIe siècle. Ces plantations se traduisent par des caractéristiques très observables et des conséquences mesurables :

  • On peut observer des parcelles où tous les arbres ont été plantés simultanément et ont donc le même âge et la même taille (contrairement à une forêt primaire).
  • Les parcelles sont parcourues de larges coupes et de chemins (destinés à limiter la propagation des incendies et à faciliter l'approche des troupes de pompiers) qui quadrillent la forêt sur des kilomètres. Ces larges coupes et ces chemins sont appelés des pare-feux.
  • En se promenant dans cette forêt, on trouve des traces multiples des coupes d'éclaircie, des coupes rases (en particulier, des stocks de bois coupé en bordure de chemin).

Chênes

D’autres essences cohabitent cependant avec le pin, parmi lesquelles le chêne, présent sous plusieurs formes[3] :

Dangers

Incendies

Un Pare-feu à Hourtin
  • On trouve des équipements spécifiques de lutte contre les incendies de forêt : tours d'observation, bassins de stockage d'eau, chemins, etc.
  • Le nombre d'incendies et leur gravité a considérablement décru depuis les dernières catastrophes des années 1950 et 1960, notamment grâce à la mise en place de pare-feux. Les pare-feux sont des trouées censées créer des barrières naturelles contre la propagation des flammes. Leur largeur doit être supérieure à la longueur de deux pins couchés, de façon à ne pas transmettre les flammes en cas d'incendie. Un vaste réseau de pare-feux a été mis en place dans le massif forestier à la suite des grands incendies des années 1950 au cours desquels plus de 300 000 ha de forêts ont été ravagés.

Santé des forêts

Les forêts monospécifiques sont plus fragiles face aux aléas climatiques et aux risques de pullulation d'espèces invasives ou déprétatrices (champignons, insectes...). La forêt fait l'objet d'expertises biotiques régulièrement mises à jour, sous l'égide de la DSF (Direction de la santé des forêts) [4] et d'expérimentation visant à complexifier le boisement pour en augmenter la résilience écologique[5].

Tempêtes

La tempête Klaus traverse le sud-ouest de la France le samedi 24 janvier 2009, entraînant de gros dégâts matériels. Tout juste remise de la tempête Martin (décembre 1999), les sylviculteurs voient à nouveau leurs pins maritimes et autres essences déracinés ou sectionnés. Ainsi, selon les estimations de l'Inventaire Forestier National (IFN), 26% de la forêt landaise connaît plus de 40% de dégâts en superficie[6]. Un inventaire cartographique sur le massif landais est réalisé par l'IFN[7].

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Impacts économiques

Cette sylviculture industrielle perturbée par des tempêtes rapprochées dans le temps a vu remettre en cause sa rentabilité. Elle coûte également cher à la collectivité par les subventions accordées pour sa survie.[réf. nécessaire]

Impacts écologiques

Sachant que les racines d'un hectare de pins maritimes aspirent 45 tonnes d'eau de la nappe phréatique par 24 heures, (cette eau étant ensuite évapo-transpirée par la partie aérienne de l'arbre) la disparition d'une partie de ces cultures forestières intensives pourrait restaurer certaines zones humides et l'écosystème qui va avec.

Article détaillé : zone humide.

Une minorité des zones de landes sont naturelles. D'après les dépôts de pollens retrouvés, ces zones étaient couvertes d'arbres. Un défrichage ancien, puis des techniques de culture peu judicieuses, amena la désertification donc l'abandon de ces terres. La résilience de l'ancien écosystème forestier ayant été dépassée, seule la lande put s'implanter[8].

Sur ces sols ruinés, la culture des pins paraît la plus intéressante, puisque ces arbres s'implantent facilement et le délai d'exploitation est très rapide[9].

Cependant, comme toutes les cultures mono-spécifiques, celles de pins est judicieuse économiquement à court terme, au prix d'un bilan écologique néfaste[10] :

La forêt de résineux est la seule pouvant s'implanter dans des zones où les conditions sont trop extrêmes pour les forêts de feuillus ou mixte. La monoculture de résineux dans tous les autres endroits est donc contre nature. Elle amène la podzolisation du sol, c'est-à-dire une stérilisation de la couche arable du sol par le lessivage systématique des substances nutritives qui s'y trouvent[11]. À une certaine profondeur, les substances emportées se concentrent et forment de l'alios, le sol y est dur et imperméable comme de la pierre[10]. Comparée aux autres types de forêts, celles composées uniquement de conifères ont une biodiversité très pauvre, car leur litière est toxique[12]. Un pin possède une croissance rapide. Il est une source de matière organique rapidement rentable pour l'industrie : il est exploitable à partir de 40 ans[13].

Dans la nature, la forêt de résineux offre un couvert qui permet, quand le climat est favorable, l'établissement de feuillus acidophiles (une forêt mixte s'installe)[14]. C'est pour cela que l'on appelle aussi les résineux des plantes pionnières. Or, contrairement aux résineux, la litière des feuillus est non toxique, ce qui attire une extraordinaire biodiversité. L'activité biologique du sol, donc la remontée et le maintien des substances nutritives dans la couche arable du sol, s'intensifie au point de la fertiliser au fil des années[15].

Pour restaurer ces sols, les feuillus sont incontournables[11].

Histoire

Le gemmage au "crot" avant le boisement du plateau landais

Une partie de la forêt des Landes est d'origine naturelle. Certaines zones du littoral Gascon étaient déjà boisées il y a deux mille ans et occupaient près de 200 000 ha. On retrouvait ces massifs à proximité de Lacanau, Arcachon, La Teste de Buch, Biscarrosse et en Marensin. Les premières techniques de gemmage ont été mises au point dans ces forêts très semblables à celles que l'on connaît aujourd'hui. Le pin maritime, espèce endémique, était l'essence largement majoritaire.

Cependant, la plus grande partie du territoire aujourd'hui occupée par la forêt des Landes était une zone humide habitée et travaillée, voire possédée en commun jusqu'au XIXe siècle par une population d'éleveurs ovins. Les photos des derniers paysans de cette région tel le berger landais perché sur ses échasses, sont témoins de ce mode d'existence, alors viable pour le plus grand nombre : le système agro-pastoral permettait de nourrir les familles en tirant un profit des terres de la lande, et fut pratiqué jusqu'à l'implantation massive des pins. Celle-ci signa l'expropriation et la disparition de ces populations, qui se recyclèrent tant bien que mal dans l'industrie du bois et du gemmage. (Après plusieurs essais infructueux de "valorisation" alternative de ces terres pourtant déjà exploitées, c'est finalement au pin maritime, parfaitement adapté à ces régions alors présentées comme des "colonies de l'intérieur", que l'Etat confiera la tâche de peupler le plateau landais en instaurant des semis en grand nombre, sorte de "grands travaux" de l'époque.)[16]

Berger dans la lande

La volonté d'implanter la forêt est due à plusieurs raisons qui ont émergé à la même époque durant le XIXe siècle. La première était de fixer les dunes mobiles du littoral qui menaçaient les villages. Un exemple célèbre existe, l'ensevelissement de l'église de Soulac. Les Captaux de Buch ont entrepris des travaux de fixations à La Teste, mais l'argent fit rapidement défaut à ces petits seigneurs locaux qui ne purent étendre leur système de fixation à l'ensemble du territoire. L'ingénieur des Ponts et Chaussées Nicolas Brémontier prit connaissance des travaux entrepris sur la côte, qu'il reprit à son compte.

Article détaillé : fixation des dunes en Aquitaine.

Fort de son influence à Paris, et écouté par de gros investisseurs (les dérivés de la résine seraient indispensables dans la révolution industrielle) il sut convaincre le gouvernement de la nécessité de planter des pins maritimes dans les Landes. Finalement, la loi du 19 juin 1857 sonna le glas du système agro-pastoral, et donna naissance à la grande forêt des Landes que nous connaissons aujourd'hui.

Article détaillé : loi du 19 juin 1857.

Publiquement, la plantation de pins maritimes dans l'intérieur des terres était présentée comme indispensable pour "assainir les marécages et améliorer les conditions d'hygiène" disait-on à l'époque. Cela ne faisait pas l'unanimité mais la population de l'époque n'a jamais été consultée.

La première génération de pins de la seconde moitié du XIXe siècle est arrivée à maturité au début du XXe siècle. Le procédé de gemmage s'est étendu à toute la Gascogne landaise, et s'est modernisé et industrialisé. On exploitait désormais des milliers d'hectares de pins pour extraire "l'or blanc" des Landes de Gascogne, servant à produire de l'essence de térébenthine et de la colophane.

Article détaillé : gemmage.
Pin gemmé

Mais cette forêt a été plantée au coup par coup, sans cohérence globale à l'échelle du territoire. Les pièces de pins sont immenses, très denses et les arbres répartis de façon aléatoire. Fatalement, le feu a dévasté la forêt landaise au milieu du XXe siècle. Un des exemple les plus célèbre, est l'incendie d'août 1949 qui a dévasté des milliers d'hectares entre Bordeaux et Arcachon. En 1950, près de 50% de la forêt a disparu en fumée.

Aussitôt replantée, la seconde génération de plantations sera bien différente de la première. Les plantations sont rationalisées, les pins sont plantés en ligne et de grands pare-feux permettent d'éviter la propagation du feu d'une parcelle à l'autre et d'accéder au cœur des pièces de pins en cas d'incendie. La forêt prend le visage qu'on lui connaît aujourd'hui sur le plateau landais.

Parallèlement le gemmage disparaît peu à peu, face à la concurrence des pays où la main d'œuvre est moins chère et surtout à la concurrence des produits pétroliers qui se substituent à la colophane et à l'essence de térébenthine. En 1990, le gemmage disparaît définitivement de la forêt des Landes, après plus de 2000 ans d'existence. La forêt landaise, gérée par des procédés mécaniques, ne génère plus qu'une fraction minime des emplois qu'elle avait créés au XIXe siècle (d'où le dépeuplement du département des Landes entre le XIXe et le XXIe siècle. Les grands sites de transformation du bois se trouvent à Facture/Biganos, Mimizan et Tartas.

Article détaillé : Sylviculture.
La forêt des Landes
La forêt des Landes

Dans les années 1970, certaines parties de la forêt ont cédé la place localement à des exploitations agricoles intensives (en particulier pour la culture du maïs, grand consommateur d'eau).

En 2009, La tempête Klaus a créé des chablis coûteux à résorber et propices à la propagation des incendies. Elle a donné lieu au déblocage de sommes importantes pour soutenir la filière bois et les communes forestières des Landes de Gascogne, à une remise en cause de certaines orientations de la sylviculture (mode de culture notamment) [17], voire de la sylviculture elle-même : devant la perspective de devoir replanter des parcelles qui ne deviendront bénéficiaires qu'au bout d'une cinquantaine d'années, certains propriétaires tentent de reconvertir leurs terrains (agriculture intensive, production d'énergie solaire…)

Aujourd'hui, la forêt des Landes de Gascogne est à cheval sur trois départements (Landes, Gironde et Lot-et-Garonne). Sa surface actuelle est évaluée à environ un million d'hectares, dont les 9/10 sont constitués de pins maritimes. Mais il existe localement au sein de la forêt des vestiges du boisement post-glaciaire de cette partie du Sud-Ouest : le pin y côtoie le chêne, l'aulne, le bouleau, le saule, le houx. On les trouve principalement au bord des cours d'eau, terrains particulièrement biens drainés. (Cette forêt-souche était vraisemblablement plus étendue jusqu'au milieu du Moyen Âge, époque à partir de laquelle la mise en place d'un climat plus humide et frais et surtout les défrichements liés à l'extension de l'activité pastorale et au besoin en bois de construction vont entraîner le recul des zones forestières entre le XIVe siècle et le XVIIIe siècle).

Industrie

La coupe rase illustre le terme de forêt papier
Bois stocké en bordure de route

Après avoir connu pendant la première partie du XXe siècle un essor important, les industries du bois et du papier sont devenues des acteurs notables de l'économie régionale.

Une filière économique complète est organisée autour du bois :

Au contraire, la récolte de la gemme (résine du pin recueillie sur l'arbre), qui reposait sur une collecte exigeant de la main-d'œuvre, a presque totalement disparu au profit de technologies chimiques plus courantes. On trouve ainsi des entreprises de transformation/distillation chimique comme DRT qui utilisent les sous-produits de l'exploitation du pin.

Avant le milieu du XIXe siècle, seul l'élevage extensif des brebis dans la lande, permettait la production d'un engrais (soutrage) qui permettait la culture du seigle principalement en culture sur billons, pour limiter l'influence de l'humidité pendant l'hiver. La disparition de la lande par un semis généralisé de pin a entraîné la disparition de cette culture et des bergers sur échasses qui en sont le stéréotype. La prochaine image landaise aura été le gemmeur et son hapchot.

Littérature

Théophile Gautier a écrit en 1840 un poème intitulé « Le Pin des Landes », publié dans le recueil España.

Dans Le Nœud de vipères de François Mauriac, la famille du protagoniste s'est notablement enrichie par le boisement de landes incultes à la fin du XIXe siècle.

Notes et références

Bibliographie

  • Francis Dupuy, Le pin de la discorde: Les rapports de métayage dans la Grande Lande, Paris, Maison des Sciences de l'Homme, 1996
  • François Sargos, "Forêt des landes de Gascogne, une nature secrète" Editions Sud Ouest, Bordeaux, 2008
  • Christian Maizeret, Les Landes de Gascogne, Delachaux et Niestlé, Paris, 2005
  • Jacques Sargos, Histoire de la Forêt landaise - Du désert à l'âge d'or, Bordeaux, L'horizon chimérique, 1997, rééd. en 2004.
  • Massif des Landes de Gascogne - Inventaire forestier 1998 1999 2000, IFN
  • L'Ours Pécheur, de Philippe Cougrand. Bordeaux : Pleine Page Editeur, 2008, 312 p. (collection Rouge nuit). ISBN 978-2-913406-58-2

Références

  1. Centre régional de la propriété forestière d'Aquitaine [PDF]
  2. La transformation du pin maritime en Aquitaine, situation et perspectives [PDF]
  3. L'Almanach du Landais 2008, Éditions CPE
  4. Dominique Piou (DSF) – Hervé Jactel (INRA) ; Rapport d'expertise sur l'évaluation des risques biotiques, L'avenir du massif forestier des Landes de Gascogne ; DRAAF Aquitaine - Mars 2010. GIP ECOFOR [PDF]
  5. Programme de recherche "biodiversité et gestion forestière" - Projet ISLANDES - Evaluation de la méthode des îlots de feuillus en mélange pour restaurer la biodiversité de l'écosystème simplifié de pin maritime des Landes de Gascogne et améliorer sa résistance aux insectes ravageurs et champignons pathogènes [PDF]
  6. Estimations pour le pin maritime, IFN
  7. Inventaire cartographique
  8. Histoire naturelle de France et d'Europe, édition Arthaud (1994)
  9. Pin maritime, laricio et taeda, CRPF Poitou-Charentes
  10. a et b Effet de la diversité des essences forestières sur le pin, thèse Bordeaux I, Anne-Maïmiti Dulaurent, 2010 [PDF]
  11. a et b Lessivage et podzolisation, Revue forestière française [PDF]
  12. Claude Bourguignon, Le sol, la terre et les champs: pour retrouver une agriculture saine, éditions Ellebore, 2008, 223 p. (ISBN 286985188X) [lire en ligne] 
  13. Pin maritime, CRPF Poitou-Charentes [PDF]
  14. Mélange feuillus et résineux, CRPF, Observatoire de la forêt méditerranéenne [PDF]
  15. Aggradation et restauration des sols, Gilles Lemieux, Université de Laval, Canada, 2000 [PDF]
  16. Francis Dupuy, Le pin de la discorde: Les rapports de métayage dans la Grande Lande, Paris, Maison des Sciences de l'Homme, 1996
  17. Rapport parlementaire sur les conséquences de la tempête du 24 janvier 2009 dans le Sud-Ouest [1]

Voir aussi

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