D'Allemagne

D'Allemagne

Claude Dallemagne

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Claude d'Allemagne
Claude d'Allemagne
Surnom Dallemagne
Naissance 8 novembre 1754
Peyrieu en Bugey
Décès 24 juin 1813 59 ans)
Nemours
Origine France France
Allégeance Royaume de France Royaume de France
Drapeau français Royaume de France
Drapeau français République française
Drapeau de l'Empire français Empire français
Arme Infanterie
Grade Général de division
Service 1773 - 1813
Conflits Guerre d'indépendance américaine
Guerres de la Révolution française
Guerres napoléoniennes
Commandement Général en chef et
Gouverneur militaire de Rome (1798)
Faits d’armes Bataille du pont de Lodi,
siège de Mantoue (1796-1797),
Bataille de Lonato,
Bataille de Castiglione,
Ehrenbreitstein
Distinctions Légion d'honneur
(Commandeur)
Ordre royal et militaire de Saint-Louis
(Chevalier)
Hommage Nom gravé sous l'Arc de triomphe de l'Étoile
Autres fonctions Député de l'Ain
Famille Dallemagne

Claude d'Allemagne, alias Dallemagne (8 novembre 1754 - Peyrieu en Bugey24 juin 1813 - Nemours), était un général de division français des XVIIIe et XIXe siècles.

Sommaire

Biographie

Ses origines

La famille d'Allemagne est originaire de Provence, selon des traditions familiales cependant non confirmées. Au XVIe siècle, une de ses branches se fixa en Bugey, alors savoyard. C’est de ce rameau qu’est issu Claude d’Allemagne. Il naquit en 1754 à Peyrieu, près de Belley et grandit à la Commanderie d'Accoyeux avant de poursuivre des études au collège de Belley. En 1773, après la mort de son père, il décide subitement de s'engager et rejoint le régiment de Hainaut alors stationné à Embrun et Montdauphin. À son arrivée, Claude d’Allemagne est incorporé dans la compagnie d'Escorbiac. Selon l'usage, il lui faut choisir un surnom. Notre jeune recrue prend alors le nom de guerre de Dallemagne (SHAT 1YC394), origine historique de la variation orthographique du patronyme familial.

Sa carrière

Avec un bataillon de son régiment, il prend part à la guerre d’indépendance américaine. Embarqué en 1777 à Toulon sur l'escadre de d'Estaing, il combat à la Dominique, à Saint-Vincent et participe à la prise de la Grenade. À Sainte Lucie, il est blessé d'un coup de feu au genou droit. Il est au siège de Saint-Christophe et à Savannah.

De retour en France, il suit son régiment à Grenoble, Sarrelouis et Montmédy. Cette unité fait partie en 1790 des troupes désignées pour réprimer les régiments mutinés de Nancy et placées sous les ordres du général marquis de Bouillé. Ce dernier, qui avait probablement déjà remarqué Dallemagne en Amérique, le nomme sous-lieutenant de grenadiers le 15 septembre 1791 en raison de sa conduite exemplaire dans cette affaire, et lui fait donner la croix de Saint-Louis le 10 juin 1792.

Son régiment est alors intégré à la 99e demi-brigade envoyée à l’armée d’Italie. Claude d'Allemagne, promu capitaine, s’illustre à la bataille du Moulinet où il est blessé. Puis il participe au siège de Toulon en 1793. Il est nommé général de brigade.

De retour en Italie, il est chargé de la prise du col de Tende (1794) puis de sa garde. En 1796, il accompagne Bonaparte, nouveau commandant en chef, dans sa campagne contre les Autrichiens. Il est blessé au passage du et à celui de l'Adda, décida la victoire à la bataille de Lodi et mérita d'être cité avec éloge dans les rapports de Napoléon Bonaparte, au siège de Mantoue et à la bataille de Lonato. « Le succès fut quelque temps incertain,  » dit le général en chef en parlant de cette dernière action, « mais j'étais tranquille, la brave 32e demi-brigade, commandée par Dallemagne, était là. »

Général de division en août 1796, il est nommé par Bonaparte gouverneur de la Lombardie : ses qualités de probité et d’autorité ainsi que ses talents d’organisateur y font merveille.

Sa santé s’étant altérée, il bénéficie d’un congé de quelques mois pour se reposer à Belley. Puis il est affecté à l’armée d'Angleterre en 1798. Le Directoire ayant, comme on le sait, abandonné l’idée d’une attaque contre les Britanniques, le général est rappelé par Berthier en Italie pendant que Bonaparte débarque en Égypte. Il participe donc à la conquête de Rome, accompagnée de pillages et d’exactions telles qu’elles révoltèrent vainqueurs et vaincus. C’est dans ce contexte que le général Dallemagne se trouve désigné par la troupe pour prendre la place de Masséna comme gouverneur de Rome. Une fois de plus, dans cette position délicate, il fit preuve de ses qualités de fermeté et de justice.

Il est ensuite appelé à l’armée de Mayence où il conduit avec succès le difficile siège de la place d’Ehrenbreitstein (Coblence), clef de l’Allemagne.

A 45 ans, il obtient enfin une mise à la retraite qu’il sollicitait depuis longtemps en raison de son état de santé. Mais à peine est-il rentré à Belley, qu’il est nommé au Corps législatif dont il devient vice-président en 1805, puis questeur an l'an XI. Il est commandeur de la Légion d'honneur en l'an XII.

En 1807 le général Dallemagne reçoit la croix de commandeur de l'ordre de la Couronne de fer, il est remis en activité à la Grande Armée à Berlin; au mois de mars 1809 il commande la 23e division militaire à Wesel, puis la 1e division de l'armée de Hollande qui fut opposée aux troupes britanniques commandées par lord Chatam. Il répondit encore en cette circonstance difficile à la confiance de l'Empereur.

Il se retire définitivement du service en 1810, avant d’être à nouveau nommé au Corps Législatif en 1812. Créé baron de l'Empire en 1813, il meurt épuisé la même année au cours d’un dernier déplacement de Paris à Belley. Décédé à Nemours, il y est enterré.

Son nom figure sur l’Arc de Triomphe de l’Etoile à Paris.

Vie familiale

Seul fils du légitime mariage de Balthazar d’Allemagne (7 mai 1710 - Peyrieu1772 - Peyrieu) et de Marie Lasalle (1731 ✝ 20 fructidor an VII : 6 septembre 1799), Claude épouse à Belley (Buget) le 30 pluviôse an VIII (19 février 1800) Jeanne Christine Gaudet (29 juillet 1785 - Belley31 janvier 1849 - Belley) qui lui donnera deux enfants :

  1. Clément (18019 mai 1825 - Belley), 2e baron d'Allemagne, sans alliance ;
    Claudius (1801 - Belley14 avril 1867 - Belley), 3e baron d'Allemagne.

Autres personnalités des familles d'Allemagne (en Bugey et en Provence)

Famille d'Allemagne, du Bugey

  • Abel, baron d'Allemagne (alias Dallemagne), (1830 – 1910), avocat, Chevalier de l’Ordre d’Isabelle la Catholique (Espagne), aîné des petits fils du général baron d'Allemagne, chef de nom et d’armes à l’extinction de la branche aînée, consacra sa vie à la défense de la cause d’Henri V. Il fut longtemps collaborateur au journal légitimiste L’Union avec son cousin Henri, comte de Mayol de Lupé, dont il avait épousé la sœur,
  • Paul Anthelme, baron d'Allemagne, (1832 – 1923), frère cadet d’Abel, s’attacha à propager le culte de Jeanne d’Arc. Officier de cavalerie, il fut camérier secret de SS Léon XIII, Grand Croix de l’Ordre de St Grégoire le Grand, Grand officier des ordres de Pie IX et du Saint Sépulcre, Commandeur de l’ordre de Saint Sylvestre, épouse en premières noces Marie Émilie Maupetit (1846 – 1892), fille de Christophe baron Maupetit, et de Louis Ludivine Gaultier de Coutance ; en secondes noces (1895), Anne Elisa d’Abbadie d’Arrast
  • Léon d'Allemagne(alias Dallemagne) (1837 – 1907) peintre paysagiste de la Bresse et du Bugey, élève de Viot et Français, exposa au Salon de Paris de 1865 à 1872. Certaines de ces toiles sont aux musées de Bourg en Bresse ou Dijon.
  • Abel, baron d’Allemagne eut deux fils, André et Marcel qui seront également d’ardents défenseurs de la cause catholique et royale. Ainsi, Marcel, gentilhomme d’honneur de SAR le Prince Xavier de Bourbon, animera pendant de longues années la Pieuse Union de Saint Mayol avec le concours de son cousin germain Mgr Jean de Mayol de Lupé, chevalier de l’ordre constantinien de Saint Georges. Marcel, baron d’Allemagne, a été membre de la Société des Cincinnati de France dès sa reconstitution au début du XXe siècle. Son neveu, le baron Pierre d’Allemagne, fils d’André, lui succèdera au siège du général baron d’Allemagne. Quant au baron André Dallemagne, il fut maire de Belley de 1925 à 1943, puis maire honoraire. Il est l'auteur d’une « Histoire de Belley »
  • André d'Allemagne, petit fils du précédent, figure de proue de l'indépendantisme québécois moderne, il était du petit groupe qui, en 1960, fonda le RIN (Rassemblement pour l'indépendance nationale). Théoricien politique au style limpide, André d'Allemagne est l'auteur d'un livre capable encore de nous éclairer sur bien des points trente-cinq ans plus tard, "Le colonialisme au Québec".

Famille d'Allemagne, de Provence

  • Nicolas Marc Antoine du Mas, baron d'Allemagne. Il se rendit célèbre pendant les guerres de religions tant par ses talents militaires que par sa cruauté ; il s'empara de Fréjus en 1585. Le général de l'armée catholique, M. de Vins, vint mettre le siège devant le château d'Allemagne, où la baronne se trouvait seule avec sa garnison. Elle résista 16 jours et donna ainsi à son mari le temps d'accourir avec l'armée protestante renforcée de celle de Lesdiguières, son cousin. D'assiégeante, l'armée catholique se trouva assiégée et prise entre deux feux. La bataille se livra sous les murs du château et se termina par la défaite des catholiques qui perdirent 1200 hommes et 18 drapeaux. Mais un des derniers coups d'arquebuse frappa Marc Antoine à la tête et le tua sur le pont de son château. Sa veuve, Jeanne de Grasse, présida à ses funérailles et ne voulant pas le céder à son mari, même en cruauté, fit exécuter sur sa tombe onze gentilshommes qui étaient tombés entre ses mains.
  • Alexandre du Mas d'Allemagne, ayant eu une querelle en 1612 avec Annibal de Forbin, un duel s'ensuivit où les adversaires, dos à dos, un bras lié, se poignardèrent mutuellement en se retournant. Les biens des deux duellistes furent saisis par le Roi, mais la Reine Régente donna ceux d'Alexandre à son frère Jean Louis qui les remit à sa nièce Gabrielle du Mas que ruinait la confiscation. Alexandre et Jean Louis du Mas étaient fils de Nicolas du Mas
  • Jean Louis, baron d'Allemagne, s'étant attaché au service du duc de Savoie, fut général des galères de ce prince. Il passa du service du roi de France à celui de Charles Emmanuel 1er, pour la raison suivante : le baron d'Allemagne et le bailli de Forbin étaient dans l'escadre des galères de France sous les ordres de Pierre de Gondi, général de ces galères et Lieutenant Général du Roi dans les mers du Levant. Gondi à qui appartenait le droit de choisir son Lieutenant Général choisit Forbin. Le baron d'Allemagne réclama, prétendant le pas sur le bailli dont le brevet de capitaine était, disait-il, postérieur au sien. Gondi ne jugea pas cette réclamation fondée et conserva Forbin (…) doublement approuvé par Richelieu. Ne voulant pas servir sous un officier qu'il regardait comme son cadet, d'Allemagne se retira et demanda au Roi la permission d'aller commander les galères du duc de Savoie. Le baron d'Allemagne ne bouda pas longtemps la France. Il quitta le service d'Emmanuel II de Savoie, revint en Provence et de là à la Cour où, en 1635, le Cardinal lui confia le commandement de l'armée navale qu'il préparait contre les Iles de Lerins. Il y eut encore un choc, du Mas se trouva en présence du bailli de Forbin (les deux rivaux étaient encore une fois opposés l'un à l'autre, il y eut un second duel courtois entre eux, sous lequel était peut-être le souvenir du duel fatal de 1612). En 1646 (archives de la Marine) le baron d'Allemagne reçut 32 000 livres pour l'entretien ordinaire d'une galère commandée ci devant par le sieur Seguiras. État de 1636 : la galère d'Allemagne est portée avec cette note : "Capitaine, le baron d'Allemagne", cette galère existait encore en 1646. (in Dictionnaire critique de biographie et d'histoire –article Allemagne- pages 26-27-28 par A. JAL
  • Joseph François de Varages, baron d'Allemagne (1760-1822), officier du régiment d'Angoumois, aide de camp du général de Villeneuve, il est blessé à Toulon en défendant la ville en 1793. Puis il émigra et vit ses biens saisis. Il ne rentra en France, ruiné, qu'à la Restauration.
  • Alexandre de Varages-Allemagne, baron d'Allemagne (1815-1890), dernier représentant de la branche restée en Provence, voulu laisser ses archives et souvenirs de famille aux petits fils du général baron d'Allemagne et de l'Empire pour perpétuer le souvenir de leur commune origine provençale. De ce fait, ils reprirent les armes des Varages-Allemagne (d’azur à deux lions affrontés d’or soutenant une étoile du même). Il est depuis de tradition d’écarteler les armes des d'Allemagne du Bugey avec celles des Varages d'Allemagne, soit « écartelé, aux 1 et 4 d’azur à deux lions affrontés d’or soutenant une étoile de même (qui est Varages) aux 2 et 3 mi parti coupé, au 1er d’azur à la tour d’or ouverte et ajourée de sable, surmontée de trois étoiles rangées en chef d‘argent, au 2e des barons militaires (de gueules à l’épée haute d’argent), au 3e d’or au pont de sable à quatre arches terrassé de sinople » (qui est d'Allemagne).

État de service

Campagnes

Faits d'armes

Blessures

Atteint d’un coup de feu au genou droit à Sainte-Lucie, il est blessé le 9 octobre 1779 à la bataille de Savannah, puis à la bataille du Moulinet et plusieurs fois au cours de la campagne d'Italie (1796-1797) notamment au passage du et de l’Adda.

Décorations

Titres

Hommage, Honneurs, Mentions,...

Autres fonctions

Pensions, rentes, etc...

Réglement d'armoiries

Figure Nom du Baron et blasonnement
Blason Claude Dallemagne (1754-1813).svg Armes du Baron Dallemagne et de l'Empire

Coupé : au I, parti a) d'azur, à la tour d'or maçonnée, ajourée et ouverte de sable, surmontée de trois étoiles d'argent rangées en fasce (la forteresse d'Ehrenbreitstein), b) de gueules, à l'épée haute d'argent ; au II, d'or, au pont de sable de quatre arches ajouré du champ, terrassé de sinople (le pont de Lodi).[1][2][3]

Blason à dessiner.svg Armes modifiées en 1817 :

Coupé au premier parti, à dextre d'azur à la tour d'or ouverte ajourée et maçonnée de sable, surmontée de trois étoiles en fasce d'argent, à senestre d'argent à l'épée de sable en pal ; au deuxième d'or au pont de quatre arches de sable soutenu d'une rivière en champagne de sinople.[3]

Seules les armes de l'Empire sont aujourd'hui portées.

Blason fam fr d'Allemagne.svg Famille d'Allemagne

écartelé, aux 1 et 4 d'azur à deux lions affrontés d'or soutenant une étoile du même ; aux 2 et 3 coupé mi parti en chef a) d'azur à la tour d'or ouverte ajourée et maçonnée de sable, surmontée de trois étoiles d'argent rangées en fasce, b) de gueules à l'épée haute d'argent ; c) d'or au pont à quatre arches de sable terrassé de sinople, qui est des barons de l'Empire.


Blason fam fr d'Allemagne de Provence.svg

Il s'agit d'un écartelé entre les armes de la famille de Varages (D'azur à deux lions affrontés d'or soutenant une étoile du même) et celles du Baron Dallemagne.


Annexes

Articles connexes

Liens externes

Bibliographie

  • « Dallemagne (Claude, Baron) », dans Adolphe Robert, Edgar Bourloton et Gaston Cougny, Dictionnaire des parlementaires français (1789-1891), XIXe siècle [détail de l’édition] (Wikisource) ;
  • André Chagny Dallemagne et Sibuet. Le Bugey militaire Belley, Montbarbon, 1923
  • « Dallemagne (Claude, Baron) », dans Charles Mullié, Biographie des célébrités militaires des armées de terre et de mer de 1789 à 1850, 1852 [détail de l’édition] (Wikisource) ;
  • Emmanuel de Las Cases, Mémorial de Sainte Hélène, Éditions du Seuil, coll. « L'Intégrale », Paris, 1823 (réimpr. 1968), in-4°, 735 p., « chap. 6 - Fragments de la guerre d'Italie », p. §§5 à 9  ;
  • L’Arc de Triomphe. Sous la direction de J.L. Belin, tome II. Paris 1847 ;
  • Notice sur la vie et les campagnes du Général d’Allemagne de C.J. Dufay Bourg 1867 ;
  • Dictionnaire des généraux de la Révolution et de l'Empire, Georges Six
  • Armorial Du Premier Empire ; Titres, Majorats Et Armoiries Concédés Par Napoléon Ier, de Albert Révérend, publié au Bureau de l'annuaire de la noblesse, Alphonse Picard, 1894-1897.

Notes et références

  1. Source : Armorial de J.B. RIETSTAP - et ses Compléments sur www.euraldic.com et Nobiliaire de Provence, de René Borricand ; Armorial du Premier Empire - Révérend ; Grand Armorial de France - Jouglas de Morena ; Armorial général de Lyonnais, Forez, Beaujolais, Franc Lyonnais et Dombes - André Steyert (Waltenier 1842)
  2. Source : lesapn.forumactif.fr, Les Amis du Patrimoine Napoléonien
  3. a  et b Source : Fiche de Claude d'Allemagne sur roglo.eu
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