- Cléden-Poher
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Cléden-Poher
Calvaire du XVIe siècle.Administration Pays France Région Bretagne Département Finistère Arrondissement Châteaulin Canton Carhaix-Plouguer Code commune 29029 Code postal 29270 Maire
Mandat en coursJacques Quiltu
2001-2014Intercommunalité Communauté de communes du Poher Site web Site officiel de Cléden-Poher Démographie Population 1 062 hab. (2008[1]) Densité 36 hab./km² Aire urbaine 14 136 hab. () Gentilé Clédinois, Clédinoise Géographie Coordonnées Altitudes mini. 53 m — maxi. 155 m Superficie 29,81 km2 Cléden-Poher, une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France.
Le terme Poher - nom du pays environnant - a été ajouté au nom de la commune afin de distinguer celle-ci de Cléden-Cap-Sizun, autre commune du Finistère.
Sommaire
Géographie
Cléden-Poher, comme son nom l'indique, fait partie du Poher. la commune est dans le centre-est du Finistère, à l'ouest de Carhaix située à 8 kilomètres, à 40 km au sud-est de Morlaix. Située au sud du Parc naturel régional d'Armorique distant d'une douzaine de kilomètres, la commune est traversée par l'Aulne et son affluent l'Hyères, donc par le canal de Nantes à Brest, certes désaffecté, qui emprunte le tracé de ces cours d'eau dont les vallées sont encaissées d'une cinquantaine de mètres par rapport au plateau avoisinant.
Le finage communal est compris entre 155 mètres et 53 mètres d'altitude, l'essentiel du territoire communal étant aux alentours de la centaine de mètres.
Histoire
Étymologie et origines
Cléden-Poher fit partie de la paroisse primitive de l'Armorique de Poullaouen, puis, celle-ci démembrée, elle engloba la trève de Kergloff. La mention la plus ancienne de Cléden se trouve dans le cartulaire de Redon et date de 1108 sous le nom de Parrochia Cleven. Au XIIe siècle, le lieu est dénommé Roc'h Cletguenn avant d'être mentionnée Cetguen Pochër dans le cartulaire de Quimper en 1363, le nom provenant du saint breton "Cleden" ou "Cletguen" (en gallois "Clydwyn"), et du nom de la région Poucaër (devenu Poher, c'est-à-dire la région de Carhaix)[3]. Les vestiges de cette forteresse se trouvent sur une plate-forme dominant l'Aulne et consistent en un camp triangulaire et une motte féodale. Dans le pouillé de l'évêché de Cornouaille de 1368, la paroisse est dénommée Cletguen Pocher. En 1793, la commune est dénommée Cléden-Pohef lors de sa création (erreur typographique ?).
Antiquité
La voie romaine allant d'Alet à la Pointe du Raz, pour sa section entre Carhaix (Vorgium) et Douarnenez passait à Coatmeur-Ty-Creis, au sud de La Haye et de La Roche, à Kermorvan, puis au bourg de Landeleau pour se diriger vers Châteauneuf en passant par Keryvon et Pont-Pol.
Gilles de Kerampuil (1530-1578)
Gilles de Kerampuil, de son vrai nom Gilles de Saisy de Kerampuil, est né vers 1530, fils de Jean I de Kerampuil et de Marie de Kerprigent. De vieille famille noble carhaisienne, mais orphelin jeune, il fit probablement des études à Paris et, entré dans les ordres, devint chanoine de la collégiale Saint-Trémeur de Carhaix où sa présence est attestée en 1568 et 1569. Il fut ensuite recteur de Cletguen (Cléden-Poher), de Motreff et de Tréaugan (Tréogan). On lui doit probablement le calvaire, les bas-reliefs du chœur et du grand autel, sans doute aussi le clocher de l'église. Il a aussi acquis des terres, entre autres en 1572 « le manoir et terre noble de La Haye » situés à Cléden-Poher.
Il part à Paris et écrit vers 1570 "Heures bretonnes", ouvrage qui se trouve à la Bibliothèque nationale, traduit en breton le catéchisme de Canisius et le Pater[4] . Revenu à Cléden-Poher, il tombe malade alors qu'il était reparti vers Paris et alors qu'il venait juste d'être nommé à l'évêché de Vannes. Cinq jours avant sa mort, il rédige son testament où il fait don de ses biens répartis entre de nombreuses personnes et paroisses de la région[5]. Il prévoit à sa mort de donner« troys mullons de bled » (blé) déjà battu « aux croyement pauvres et mandians de la dicte paroisse de Cletguen (Cléden-Poher), Kerahès (Carhaix) et Kergloff, scavoyr de la moictyé à Kerahes, et l'aultre moictyé aux deux aultres, et leur estre renduz en leurs maisons »[6]. Son testament prévoit aussi que « toute la filiacze (fillasse) qu'il a en la dicte paroisse de Cletguen ordonne estre distribuée à tous les pauvres d'ycelle, à chacun deux livres ».
Il est enterré dans le couvent de Bonne Nouvelle à Rennes, ville où il est mort le 29 septembre 1578.
Les guerres de la Ligue
Entre 1589 et 1598, comme tout le Poher, Cléden-Poher fut concernée par les guerres de la Ligue : en Bretagne à l'époque, les Ligueurs sont dirigés par Philippe Emmanuel de Lorraine, duc de Mercœur et gouverneur de la province. Carhaix et les paroisses voisines dont Cléden-Poher, sont alors sous l'influence des Ligueurs. En représailles, le procureur du Roi Jan de Kerampuil décide de lever un impôt aux paroisses de la juridiction de Carhaix qui auront adhéré « aux ennemis de Sa Majesté et émancipées de son obéissance, du nombre desquelles il a présentement nommez estre ladite ville de Carhaix avec ses faubourgs, la paroisse de Plouguer, Moustoir, Trébrivan, Plévin, Motreff, Quelen(Locarn), Duault, & Landugen, Le Loc’h, Tréogant , Spézet, Mael-Pestivien, Botmel & Callac, Plusquellec, Calanhel, Plourach, Carnoët, Scrignac & Bolazec, Poulaouen, Plounévézel & Kergloff »[7] , entre autres pour « le payement de la garnison de Quintin » . Cléden-Poher ne figure donc pas dans la liste des paroisses devant paye en tout 3000 écus mais la trève de Kergloff qui dépendait alors de Cléden-Poher, est citée et condamnée à acquitter 100 écus. On ne sait pas si ces sommes furent effectivement versées[8].
En 1652 et à nouveau en 1679, le célèbre prédicateur Julien Maunoir prêche des Missions à Cléden-Poher[9]. C'est le curé de Cléden-Poher, Falchier, qui prononça son oraison funèbre fin janvier 1683 à Plévin.
La Révolte des Bonnets rouges
Cette commune est connue pour des faits liés à la Révolte des Bonnets Rouges en 1675, conduite par Sébastien Le Balp, originaire de la trève de Kergloff.
Article détaillé : Révolte des Bonnets rouges.Article détaillé : Sébastien Le Balp.Vie rurale traditionnelle
« Ce territoire, plein de coteaux, vallons et montagnes, est très-peu cultivé; la mauvaise qualité du sol, qui est pierreux et plein de rochers, ne pourrait pas dédommager les cultivateurs des peines qu'ils prendraient à cet égard » écrit Ogée en 1780, en parlant de Cléden-Poher.
En 1843, selon Marteville et Varin[10], pour une superficie totale de 2984 hectares, les terres labourables occupent 1456 ha, les prés et pâturages 173 ha, les bois 127 ha, les landes et incultes 1019 ha. Les moulins sont alors au nombre de 5 (du Glas, du Staër, de Cabornès , à eau)[11].
Le XXe siècle
En 1901, une épidémie de dysenterie sévit à Cléden-Poher[12].
Le comte du Laz, maire de Cléden-Poher, adresse en 1902 la lettre suivante au Préfet du Finistère : « Regrettant profondément la laïcisation de notre école de filles qui a été ordonnée sans nous consulter et très reconnaissants aux sœurs du Saint-Esprit de leur dévouement désintéressé depuis quarante-quatre ans, nous avons le regret de vous adresser notre démission »[13]. Le maire fut suspendu puis révoqué pour avoir émis cette protestation[14]. Il fut réélu ainsi que les membres de sa liste lors des élections municipales qui furent organisées en novembre 1902 obtenant 373 voix pour 374 votants[15].
Le 22 octobre 1907, la foudre tombe sur le clocher de l'église qui s'écroule ; les cloches ont en partie fondu. Une maison voisine a également été détruite[16].
Le Pardon de Cléden-Poher était encore très fréquenté vers 1950[17]
Administration
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité avant 1902 1902 comte de Laz mars 2001 2008 Jacques Quiltu SE Toutes les données ne sont pas encore connues. Démographie
Selon Ogée, vers 1780, la paroisse avait 2000 "communiants"[18], mais elle englobait alors la trève de Kergloff.
Évolution démographique[19]: 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1054 1055 1111 1158 1397 1469 1497 1521 1607 1537 1569 1520 1444 1566 1684 1756 1716 1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2007 1775 1747 1899 1807 1793 1734 1629 1486 1451 1161 1125 1064 1011 1118 1130 1047 1046 Nombre retenu à partir de 1968 : Population sans doubles comptes[19] Commentaire : Après une augmentation régulière de sa population dans la première moitié du XIXe siècle (gain de 553 habitants en 48 ans entre 1793 et 1851), La commune enregistre un léger déclin démographique pendant le troisième quart du XIXe siècle ( - 163 habitants en 21 ans entre 1851 et 1872) avant enregistrer une nouvelle croissance démographique entre 1872 et 1906 ( + 455 habitants en 34 ans) qui culmine en 1906 avec 1899 habitants. La population décline de manière continue pendant la majeure partie du XXe siècle, perdant 888 habitants en 69 ans de 1906 à 1975. Les décennies récentes montrent par delà de modestes fluctuations peu significatives une stabilisation de la population à un niveau légèrement supérieur à 1000 habitants. En 2005, la commune restait un moins moins peuplée qu'en 1793. La densité reste modeste, autour de 35 habitants par km².
L'examen des soldes naturel et migratoire illustre la stabilisation de la population communale: selon le dernier recensement de l'INSEE[20], pour la période 1999-2007, ils sont tous les deux nuls (0 %) alors qu'ils étaient tous les deux légèrement négatifs pour l'intervalle intercensitaire précédent. Des logements neufs sont toutefois désormais construits en nombre non négligeable : 42 logements supplémentaires en 2007 par rapport à 1999.
La structure par âges de la population montre toutefois une population assez âgée : en 2007, les 65 ans et plus forment 24,1 % de la population alors que les moins de 15 ans ne représentaient que 16,2 %.
Lieux et monuments
- Monuments religieux :
- l'Église Notre-Dame-de-l'Assomption, église paroissiale[21], date du XVIe siècle et a probablement été construite par les seigneurs de Tymeur en Poullaouen pour remplacer une église antérieure mentionnée en 1363. Elle a subi des transformations depuis, particulièrement en 1689 et 1907 à la suite de la destruction du clocher par la foudre le 20 octobre 1907. L'église, formée d'une nef à vaisseau avec cinq travées, a un clocher à balustrade et un porche saillant.
- Une inscription se trouve sur le troisième pilier nord : « Cette église ayant auparavant été restaurée et agrandie fut dédiée et consacrée en même temps que le Maître-autel et les autels du St-Esprit et du St-Rosaire par le très illustre prince de l'Église François de Coëtlogon, évêque et comte de Cornouaille, le 1er jour du mois de mai 1694. »
- Le maître-autel date de 1880 mais des tableaux plus anciens y sont intégrés, certains d'inspiration flamande (XVIe siècle) comme les panneaux représentant des scènes de la Passion et d'autres, du XVIIe siècle illustrant les divers Sacrements et le retable des XVIe siècle-XVIIe siècle dont les scènes principales représentent la Nativité, l'Adoration des Mages, la Circoncision, la Crucifixion, la montée au Golgotha et la Mise au tombeau.
- Les autels latéraux portent aussi des retables dont l'un illustre la Pentecôte (il s'inspire d'un tableau de Charles Le Brun daté de 1656 qui se trouvait dans la chapelle du séminaire de Saint-Sulpice[22] à Issy-les-Moulineaux et désormais au Musée du Louvre) et un autre la Confrérie du Rosaire représente la remise du Rosaire par la Vierge Marie et l'Enfant-Jésus à sainte Catherine de Sienne et à saint Dominique ; des médaillons représentent les 15 mystères du Rosaire subdivisé en 5 mystères joyeux, 5 mystères douloureux et 5 mystères glorieux.
- Les fonts baptismaux, à baldaquin supporté par des cariatides, sont ornés d'un bas-relief illustrant le baptême du Christ.
- Deux petits retables, situés le long de piliers de la nef, représentent l'un saint Laurent, diacre et martyr, l'autre saint Pierre bénissant, avec une clef dans la main gauche.
- La chaire à prêcher est du XVIIIe siècle et est décorée de scènes religieuses, dont au centre l'Immaculée Conception ; sa rampe est décorée de feuillages.
- Les stalles sont du XIXe siècle et de style néogothique.
- La voûte lambrissée de la nef présente des scènes de la vie de la Vierge peintes par Herbault en 1750 et les voûtes des bas-côtés des angelots.
- Une statue représentant la Vierge à l'Enfant, datant du XVIIIe siècle, se trouve à droite du maître-autel.
- Le Christ en Croix est du XVIIe siècle : la hampe et la traverse s'achèvent par des Fleurs de lys.
- L'église possède aussi de nombreuses statues dont celles de sainte Catherine de Sienne, de saint Dominique, de saint François d'Assise et de Notre-Dame de Cléden[4]. Le côté ouest montre un squelette tenant un phylactère et une faux, et le côté est un ange avec un phylactère. On voit dans l'église les blasons des familles De Saisy de Kérampuil et Du Laz.
- Deux sacristies jumelées, accolées de chaque côté du chevet de l'église, ont un plan carré et un toit à l'impériale.
- l'enclos paroissial possède un ossuaire du XVIe siècle de style gothique et renaissance, un calvaire en kersanton[23] daté de 1575 et dû à la générosité de Gilles de Kerampuil (avec plusieurs groupes statuaires représentant la Flagellation, le Portement de Croix, Dieu le Père tenant son Fils inerte, les deux Larrons, etc..)[24] et une croix datée du XVIe siècle.
- l'Église Notre-Dame-de-l'Assomption, église paroissiale[21], date du XVIe siècle et a probablement été construite par les seigneurs de Tymeur en Poullaouen pour remplacer une église antérieure mentionnée en 1363. Elle a subi des transformations depuis, particulièrement en 1689 et 1907 à la suite de la destruction du clocher par la foudre le 20 octobre 1907. L'église, formée d'une nef à vaisseau avec cinq travées, a un clocher à balustrade et un porche saillant.
L'église et l'enclos paroissial avec son mur de clôture, le calvaire et l'ossuaire ont été classés Monuments historiques[25] par arrêté du 20 janvier 1983. Le cimetière de l'enclos paroissial a été transféré à l'extérieur du bourg en 1960.
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- La chapelle Sainte-Anne est située dans l'enceinte du manoir de Pratulo.
- la chapelle Notre-Dame du Mur date du XVIIe siècle; à plan rectangulaire terminé par un chevet à trois pans, elle a un petit clocher à dôme et lanternon. Son mobilier intérieur est en assez mauvais état. La sacristie date de 1749[26].
- des chapelles ont disparu : la chapelle Saint-Roc'h, détruite vers 1930, dominait la vallée de l'Hyère face au hameau du Moulin-du-Roi ; la chapelle Saint-Candide (honorant en fait saint Languis, confondu localement avec saint Candide).
- d'autres croix et calvaires existent sur le territoire communal comme le calvaire de Botaval[23], daté de 160, mais mutilé.
- Monuments civils :
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- la motte féodale de La Roche date du XIe siècle[27].
- le château de Pratulo[28]. L'ancien manoir avait été reconstruit sous le règne de Louis XV. Un nouveau château fut construit dans la deuxième moitié du XIXe siècle (incendié partiellement en 1944). La propriété appartint par le passé à la seigneurie de Châteaugal en Landeleau et passa au XIXe siècle dans la famille Jegou de Laz.
- le manoir de Langantec date des XVIe siècle et XVIIIe siècle, la façade principale datant au moins partiellement de 1719[29].
- la fontaine due au sculpteur Le Goarnig
- La maison éclusière de Pont-Triffen a été transformée en "Centre d'interprétation du canal" et propose une exposition sur la partie finistérienne du canal de Nantes à Brest[30].
Usine de méthanisation
Le 27 juillet 2011 est annoncé un projet d'usine de méthanisation d'une puissance de 2 MW, la plus importante en France [31] .
Personnalités liées à la commune
- Gilles de Kerampuil (voir plus haut)
- Émile Gaocolou, né le 1er mars 1924 à Cléden-Poher (29), décédé le 10 mars 1945 au camp de concentration de Mauthausen (Source JO: 248-24 octobre 1993)
- Joseph Le Bris, né le 24 mai 1907 à Cléden-Poher, a été déporté en 1944 à Erfurt.
Notes et références
- Populations légales 2008 de la commune : Cléden-Poher sur le site de l'Insee
- (fr)Tout sur la commune sur www.annuaire-mairie.fr. Consulté le 10 décembre 2010 .
- (fr)Sur la route des calvaires bretons sur www.zizitop.net. Consulté le 10 décembre 2010.
- (fr)Cléden-Poher sur www.infobretagne.com. Consulté le 8 décembre 2010.
- consultable Bulletin de la Société archéologique du Finistère, Société archéologique du Finistère, année 1895,
- consultable Testament de Messire Gilles de Kerampuil, sieur du Bigodou (près de Morlaix), chanoine de Kerahès,.. daté du 24 septembre 1578, cité par la Comtesse du Laz dans "Généalogie de la maison de Saisy de Kerampuil, suivie de pièces justificatives et complémentaires", 1896,
- Dom Hyacinthe MORICE, « Mémoire pour servir de preuves »( 9 mars 1591),Preuves, Tome 3
- http://joseph.lohou.perso.sfr.fr/Callac-de-Bretagne/poherligue.html Bulletin du Centre généalogique et Historique du Poher, Kahier ar Poher ("Cahiers du Poher") n° 21, juin 2008, consultable
- http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5624088k/f274.image.pagination.r=Cl%C3%A9den-Poher.langFR R.P.G. Le Roux, "Recueil des vertus et des miracles du R. P. Julien Maunoir", L. Prud'homme, 1848, consultable
- Marteville et Varin, continuateurs, commentateurs et critiques d'Ogée,1843
- http://marikavel.com/bretagne/cleden-poher/accueil.htm Cité par
- Journal Le Temps n°14473 du 25 janvier 1901
- La Presse" n° 3758 du 13 septembre 1902,
- Bulletin des congrégations du 12/10/1902
- Bulletin des congrégations du 23/11/1902
- L'Humanité" n°1284 du 23 octobre 1907
- Photo du pardon de Cléden-Poher dans les années 1950
- Jean-Baptiste Ogée, "Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne", 1780
- notice communale
- Évolution et structure de la population en 2007 sur www.recensement.insee.fr. Consulté le 12 décembre 2010.
- patrimoine religieux sur marikavel.com. Consulté le 12 décembre 2010.
- http://www.issy.com/index.php/fr/la_ville/histoire_et_patrimoine/patrimoine_de_la_ville/seminaire_de_saint_sulpice
- Commune de Cléden-Poher sur www.croix-finistere.com. Consulté le 12 décembre 2010.
- calvaire sur fr.topic-topos.com. Consulté le 12 décembre 2010.
- Eglise Notre-Dame de l'Assomption sur www.annuaire-mairie.fr. Consulté le 12 décembre 2010.
- Chapelle Notre Dame du Mur sur fr.topic-topos.com. Consulté le 12 décembre 2010.
- Motte féodale à Cleden-Poher sur fr.topic-topos.com. Consulté le 12 décembre 2010.
- le château de Pratulo sur patrimoine.region-bretagne.fr. Consulté le 12 décembre 2010.
- Le manoir de Langantec sur fr.topic-topos.com. Consulté le 12 décembre 2010.
- Maisons éclusières - Lennon, Saint Hernin et Cleden Poher (29) sur www.centre-ouest-bretagne.org. Consulté le 12 décembre 2010.
- Méthanisation : construction d'une unité de 2 MW, Le Moniteur du 19 juillet 2011
Voir aussi
Bibliographie
- Chanoine Jean-Marie Abgrall, "L'église de Cléden-Poher" (B.S.A.F. 1895). Inventaire Général Bretagne : Canton de Carhaix-Plouguer (1969).
Article connexe
Liens externes
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