- Lévis (Québec)
-
Lévis
Pour les articles homonymes, voir Lévis (homonymie).Lévis
DétailAdministration Pays Canada Province Québec Comté ou équivalent Chaudière-Appalaches Statut municipal Ville Arrondissements Desjardins, Chaudière-Est, Chaudière-Ouest Fondateur
Date de fondationMgr Joseph-David Déziel
18 mai 1861Constitution 2002 Maire
Mandat en coursMme Danielle Roy-Marinelli
2005 - 2009Site Web http://www.ville.levis.qc.ca Démographie Population 129 521 hab. (2006) Densité 291.9 hab./km2 Gentilé Lévisien, Lévisienne Langue(s) officielle(s) Français Géographie Coordonnées
géographiquesAltitudes mini. m — maxi. m Superficie 443 65 km2 Fuseau horaire -5 Indicatif +1-418 Code géographique 24 25213 Lévis est une ville québécoise détenant également les obligations légales d'une municipalité régionale de comté dans la région administrative Chaudière-Appalaches dont elle est le chef-lieu. La ville est située sur la rive sud du fleuve Saint-Laurent en face de Québec, entre Beaumont et Saint-Antoine-de-Tilly. Sa population était de 130 006 en 2008, sa superficie de 444 km² est 10% urbanisée, 48% cultivée, 36% sous couvert forestier alors que les milieux humides comptent pour 6% du territoire[1].
Lévis est aussi le nom d'un des dix quartiers de la Ville de Lévis dans l'arrondissement Desjardins qui comprend le Vieux-Lévis.
Lévis présente le plus grand centre industriel de la région de Chaudière-Appalaches, dans le quartier Saint-Romuald. La raffinerie Ultramar, la plus grosse à l'Est du Canada, se situe aussi dans ce secteur. À l'est de la ville, dans le secteur Lauzon, on retrouve le chantier maritime Davie Québec Inc. et également l'usine Frito-Lay Canada, faisant partie de la multinationale PepsiCo (issu d'un partenariat entre Pepsi-Cola et Frito-Lay). Le Mouvement Desjardins, fondé à Lévis en 1900 par Alphonse Desjardins, y représente également l'un des plus gros employeurs de la grande région de Québec. De plus, Lévis a été nommée ville de l'année 2005 pour son développement économique.
Histoire
Introduction à l'histoire de la ville de Lévis
La ville de Lévis est issue de la fondation du premier village de la Rive-Sud nommé Saint-Joseph-de-la-Pointe-Lévy qui était situé dans le secteur est de la seigneurie de Lauzon à l'époque de la Nouvelle-France. C'est en 1861 que fut fondé officiellement la ville de Lévis quelques années après la fondation de la paroisse Notre-Dame-de-la-Victoire (ne pas confondre avec celle de Québec) par Mgr Joseph-David Déziel. Les premiers villages et municipalités de la Rive-Sud de Québec ont fusionné avec Lévis en 2002 pour former un territoire qui correspond presque aux dimensions territoriales de l'ancienne seigneurie de Lauzon (1636-1836).
Article détaillé : Histoire de la Ville de Lévis.Cet article détaillé est une chronologie historique qui présente les grands événements qui ont marqué la naissance de la Rive-Sud de Québec, incluant le développement de la Ville de Lévis depuis 1861. En particulier, la fondation de la seigneurie de Lauzon en 1636, sa colonisation en 1647 et la naissance des anciennes municipalités environnantes au milieu du XIXe siècle.
Naissance de la Rive-Sud de Québec, création de la seigneurie de Lauzon et des premières municipalités
Le territoire de la Rive-Sud de Québec reçut diverses dénominations avant sa colonisation officielle par Guillaume Couture en 1647. Sa première appellation territoriale européenne fut le Cap de Lévy en 1629 par Samuel de Champlain. Le Cap de Lévy situé à la grève Jolliet (près du chantier maritime Davie) devint par la suite le lieu de départ de la seigneurie de Lauzon en 1636. Cette seigneurie appartenait à Jean de Lauzon (Lauson), qui fut gouverneur de la Nouvelle-France de 1651 à 1656. Dès les débuts de sa colonisation en 1647, le territoire reçut le toponyme Pointe-de-Lévy et il fut adopté par la paroisse-mère St-Joseph-de-la-Pointe-Lévy. La seigneurie sera démantelée en 1836 lors de la faillite de Sir John Caldwell et de là va naître plusieurs petites municipalités et villages sur la Rive-Sud de Québec. La Ville de Lévis est née officiellement le 18 mai 1861. Les autres municipalités voisines de Lévis vont se développer au milieu du XIXe siècle. Notamment le village de Lauzon en 1867 et en particulier Saint-Romuald en 1876, grâce au commerce du bois et ses secteurs maritimes, dont Chaudière-Bassin, ainsi que les secteurs anglophones de New Liverpool et Hadlow Cove. Sans oublier le secteur de Breakeyville qui s'est développé par la présence de ses moulins à scie. La municipalité de village de Bienville a connu une existence éphémère, de 1863 à 1924[réf. nécessaire]: elle fut finalement annexée partiellement à Lauzon et partiellement à Lévis.
Guillaume Couture: premier colon français de la Pointe-Lévy et de la seigneurie de Lauzon
Guillaume Couture est né le 14 janvier 1618 à Saint-Godard-de-Rouen en Normandie. Charpentier de métier et héros méconnu de la Nouvelle-France, il fut un coureur des bois, un donné des jésuites et un interprète auprès des tribus amérindiennes (notamment les Hurons et les Iroquois). Il fut interprète pour la signature du premier traité de paix (réunissant les Français et les Iroquois) dans la région de Trois-Rivières en 1645. Le 15 mai 1647, il fut récompensé par le gouverneur de la Nouvelle-France, Charles Jacques Huault de Montmagny, qui lui accorda une terre à la seigneurie de Lauzon (inoccupée) à la côte de Lauzon (secteur Est de la Ville de Lévis). En 1663, il découvrit le Lac Mistassini et en 1690, à titre de capitaine de la milice, il repoussa les troupes de l'amiral William Phips à la Pointe-Lévy. Il avait alors 72 ans. Il est décédé à l'Hôtel-Dieu de Québec, le 4 avril 1701, mais on ne connaît pas le lieu de sa sépulture[2].
Histoire de St-Joseph-de-la-Pointe-Lévy : Le premier village de la seigneurie de Lauzon avant la naissance de Lévis
( à venir ... )
- Liste des admistrateurs de la municipalité de paroisse du village de St-Joseph-de-la-Pointe-Lévy de 1845 à 1867.
Présence militaire importante à la Pointe-Lévy (de Lauzon à St-David-de-l'Auberivière)
Lieu de deux importantes batailles dans l'histoire du Canada :
- 1690 : Invasion de la Pointe-Lévy par les troupes anglaises de l'amiral William Phips, du 16 au 24 octobre, lors de la bataille de Québec (1690).
- 1759 : Invasion de la Pointe-Lévy par les troupes britanniques du major-général James Wolfe, le 30 juin, sous le commandement du général Robert Monckton et du lieutenant-colonel Ralph Burton. Québec sera bombardé pendant 70 jours à partir des falaises de Pointe-Lévy par les canons du lieutenant-colonel Ralph Burton. Précisément sur le terrain de l'École Marcelle-Mallet (le couvent des soeurs de la charité).
Le 13 septembre 1759, le corps de Wolfe fut temporairement déposé dans l'église St-Joseph (secteur Lauzon) qui fut réquisitionnée par les Britanniques à titre d'hôpital militaire. On procéda à son embaumement sur place et le corps fut déposé dans un tonneau de bière pour être conservé, afin d'être rapatrier en Grande-Bretagne.
Le 14 septembre 1759, à 11h00 du matin, le corps embaumé de Wolfe fut transporté à bord du navire amiral, le Royal William, pour être rapatrié à Londres[3]. Le navire arriva au port de Portsmouth le 18 novembre. La dépouille de Wolfe fut transportée à Londres pour être déposée à l'église St-Alfege de Greenwich (district londonien)[4].
La région la plus protégée militairement au Canada entre 1865 et 1945 :
Lévis possède plusieurs forts et installations militaires qui devaient protéger le fleuve St-Laurent, et la ville de Québec, en cas d'une invasion américaine ou européenne.
- Trois forts britanniques : numéro un, numéro deux (démoli au milieu des années 1960) et numéro trois (partiellement démoli en 1940). Ces forts ont été construits dans les années 1860, après la guerre de Sécession américaine pour protéger la ville de Québec et son port.
- Le Fort de la Martinière : un complexe militaire composée en deux parties (Upper et Lower) construites en 1907 et utilisées lors de la Première Guerre mondiale et la Seconde Guerre mondiale.
- Le camp militaire de Lauzon (incluant le Parc de la Paix) : Il s'agit d'un camp militaire qui fut construit par les ingénieurs royaux lors de la construction du fort numéro un. Le camp englobait tout le secteur au sud du cap du terrain des religieuses Jésus-Marie, jusqu'à la rue Paquet et l'actuel centre de ski. Un champ de pratique militaire (aujourd'hui le Parc de la Paix) fut utilisé à l'époque la Nouvelle-France et par les militaires britanniques et canadiens jusqu'à la Seconde Guerre mondiale[5].
Le Parc de la Paix (anciennement le Parc des anciens combattants)
Il s'agit de l'emplacement du site d'entraînement militaire qui faisait partie du camp militaire de Lauzon. Le secteur fut aussi utilisé dès le Régime français, à l'époque de la Nouvelle-France, comme centre d’entraînement pour les soldats et les miliciens. Il fut utilisé notamment par les ingénieurs royaux britanniques et les soldats canadiens entre 1865 et 1945. Jusqu’à la fin des années 1920, ce site accueillait annuellement des soldats qui y résidaient pour s'entraîner. Le petit lac fut nommé « mare à pompon » à la suite de la noyade de l’un des soldats dans l’étang. Son béret (muni d’un pompon rouge) fut aperçu flottant sur l’eau. La « mare à pompon » fut agrandie en 1980. Ce parc est géré par la Fondation du Mémorial des militaires, fondée à la fin des années 1970, par le lieutenant-colonel Gabriel Louis Taschereau MBE, ED, CD du Régiment de la Chaudière et les vétérans de la région de Lévis.
Création du 17ième bataillon d'infanterie de milice en 1862
Le premier bataillon fut fondé par l'honorable Joseph-Godéric Blanchet, premier commandant (gradé lieutenant-colonel) du bataillon de 1862 à 1884. Ce bataillon s'est distingué sur les champs de bataille en repoussant les Fenians en 1866 et en 1870-1871. En 1885, un certain nombre de soldats servirent lors de la rébellion de Louis Riel, et d'autres furent envoyés en Égypte et en Afrique du Sud, lors de la Guerre des Boers de 1899 à 1902. Au déclanchement de la Première Guerre mondiale, les soldats et les officiers de Lévis de la milice furent par la suite affectés dans d'autres unités. Le 17ième bataillon deviendra le Régiment de Lévis en 1920. En 1954, ce régiment sera fusionné avec le Régiment de la Chaudière.
Quartier-général du Régiment de la Chaudière et du 6e Régiment d’artillerie de campagne
Le Régiment de la Chaudière est né le 15 décembre 1936, de la fusion du Régiment de Dorchester du Régiment de Beauce et du 5th Machine Gun Battalion. Sa devise, « Aere Perennius » (plus solide que l'airain) fut proposée par le major Gavan Powers. Ce régiment est reconnu pour sa participation au débarquement de Normandie, le 6 juin 1944. Il est basé au Manège militaire de Lévis (édifice construit en 1911). Le 6e Régiment d'Artillerie de campagne est une unité militaire canadienne constituée le 1er août 1899. Il est composée de deux sous-unités, soit la 57e Batterie basée à Lévis, la 58e Batterie d'Artillerie anti-aérienne basée à Valcartier et la 59e Batterie basée à Montmagny.
Création du plus gros chantier maritime du Canada par la famille Davie en 1825
Depuis 1825, les chantiers Davie (A.C. Davie, Georges T. Davie & sons et Davie Shipbuildings Co. (actuellement Davie Québec inc.) ont construit plusieurs types de navires pour le transport naval, la marine militaire (notamment des sonars), ainsi que des plates-formes de forage. La compagnie gestionnaire du chantier naval Davie Québec inc. se nomme Davie Yards ASA. Elle est une division de la compagnie norvégienne TECO Management.
La fondation de la ville de Lévis en 1861
La Rive-Sud de Québec possède une histoire complexe démontrée par une évolution qui s'est caractérisée, au fil des siècles, par son plan de développement économique, maritime, ferroviaire et industriel. L'expansion territoriale de la Rive-Sud est due à la naissance de plusieurs municipalités et villes qui se sont fusionnées par la suite entre le milieu du XIXe siècle et le début du XXIe siècle.
Saint-Joseph-de-la-Pointe-Lévy (ou Saint-Joseph-de-Lévis au début du XIXe siècle) est la première paroisse/municipalité de la Rive-Sud de Québec qui deviendra le Village de Lauzon en 1867 et la Ville de Lauzon en 1910. Elle prit aussi le titre de cité dans les années 1950 et redeviendra une ville au début des années 1980. Lévis est née à l'ouest de Lauzon, le 18 mai 1861, sous l'initiative de Mgr Joseph-David Déziel. Elle s'est constituée par le regroupement de la municipalité de Notre-Dame-de-la-Victoire et la Ville d'Aubigny (1849-1861) [6]. En 1916, le quartier Villemay (anciennement l'arrière-fief Saint-Villemay) sera intégré à la nouvelle ville. La municipalité de village de Bienville, qui connut une existence éphémère (1863-1924), fut annexée partiellement à Lauzon et partiellement à Lévis. La dénomination municipale de Lévis fut choisie en l'honneur de François-Gaston de Lévis (1719-1787), héros de la bataille de Sainte-Foy en 1760[7]. Le premier maire élu est M. Louis Carrier qui sera en poste à la mairie de Lévis de 1861 à 1870. Le 6 août 1861, le premier conseil de ville siégea dans le premier hôtel de ville qui était situé au 4, rue Wolfe. La bâtisse n'existe plus de nos jours.
Les fusions municipales de 1989-1990 et 2002
La première grande phase des fusions municipales dans la région de Lévis fut l'initiative du maire Vincent-F. Chagnon qui souhaitait réaliser son projet depuis plusieurs années. Elle eut lieu en septembre 1989 avec la ville de Lauzon. La nouvelle ville portait le nom Ville de Lévis-Lauzon.
Le 1er août 1990, la ville de Saint-David-de-l'Auberivière a été fusionnée à la ville de Lévis-Lauzon de 1990 à 1991.
À l'automne 1990, un référendum eut lieu pour choisir un nouveau nom. Le nom Lévis fut choisi devant celui de Pointe-Lévy, qui décrivait la particularité géographique réelle de la ville. Le 22 février 1991, le nom était approuvé par le ministère des Affaires municipales du Québec[8]
La seconde phase eut lieu le 1er janvier 2002 avec les villes et municipalités de ...
- Saint-Romuald
- St-Louis-de-Pintendre
- Breakeyville
- Charny
- Saint-Nicolas
- Saint-Rédempteur
- Saint-Étienne-de-Lauzon
- Saint-Joseph-de-Lévis (nommé familièrement Harlaka - secteur zoné agricole)
- Saint-Jean-Chrysostome.
Héraldique
Les armes de Lévis se blasonnent:
- D'or à trois chevrons de sable
Les maires de Lévis depuis 1861
Article détaillé : Liste des maires de Lévis.Les maires des anciennes municipalités annexées à Lévis en 1989 et 1990
- Liste des maires de Lauzon
- Liste des maires Saint-David-de-l'Auberivière
Les maires des anciennes municipalités annexées à Lévis depuis 2002
- Liste des maires de Charny
- Liste des maires de Saint-Étienne-de-Lauzon
- Liste des maires de Saint-Jean-Chrysostome
- Liste des maires de Saint-Joseph-de-Lévis
- Liste des maires de Saint-Louis-de-Pintendre
- Liste des maires de Saint-Nicolas
- Liste des maires de Saint-Rédempteur
- Liste des maires Saint-Romuald
- Liste des maires de Sainte-Hélène-de-Breakeyville
Les députés du territoire de Lévis
Les députés du comté de Lévis au gouvernement fédéral (incluant l'ancien comté Dorchester) depuis 1853.
Article détaillé : Députés fédéraux de Lévis.Les députés de Lévis au gouvernement provincial depuis 1853 (incluant la fusion récente avec Bellechasse).
Article détaillé : Lévis (circonscription provinciale).Les députés du comté fédéral Lotbinière-Chutes-de-la-Chaudière depuis 2004 :
Article détaillé : Lotbinière—Chutes-de-la-Chaudière.Les députés du comté provincial des Chutes-de-la-Chaudière depuis 1989.
Article détaillé : Chutes-de-la-Chaudière (circonscription provinciale).Les personnalités québécoises et canadiennes nées à Lévis
Article détaillé : Liste de personnalités de Lévis.Les personnalités québécoises et canadiennes qui ont résidées à Lévis, mais qui sont nées ailleurs
Article détaillé : Liste de personnalités qui ont habité à Lévis.La liste des personnalités québécoises et mondiales qui ont fait un arrêt à Lévis (incluant les anciennes municipalités)
Article détaillé : Liste de personnalités québécoises et mondiales qui ont fait un arrêt à Lévis.Arrondissements & Quartiers
Lévis est divisée en 3 arrondissements qui contiennent 10 quartiers.
Arrondissement Quartiers 1 Arrondissement Desjardins Lévis (incluant Lauzon) · Pintendre · Saint-Joseph-de-Lévis 2 Arrondissement Chaudière-Est Saint-Romuald · Saint-Jean-Chrysostome · Charny · Breakeyville 3 Arrondissement Chaudière-Ouest Saint-Étienne-de-Lauzon · Saint-Nicolas · Saint-Rédempteur Culture et loisirs
Bars et boîtes de nuit
- Le Pub Universitaire L'interdit (Université du Québec à Rimouski - Campus de Lévis)
- La Baraka
- La Barricade
- Bar Bistro Le Clip
- La Boulathèque
- La Brasserie Commerciale (maintenant L'Ingérable)
- Le Chivas (Quartier Saint-Jean-Chrysostome)
- Corsaire microbrasserie (vieux-Lévis)
- Le Dooly's
- Le Dallot
- Le p'tit Taboo
- L'Extase (Quartier Saint-Romuald)
- Bar le Globe (Quartier Saint-Romuald)
- L'Hôtel Central (Quartier Charny)
- Bar le Xanthie (Quartier Charny)
- Bar des Chutes (Quatier Charny)
- Bar/billard le Réginal (Quartier Charny)
- Pub azule (Quartier Charny)
- L'Orchidée (billard)
- Pub Lévisien
- Le Pub Saint-Louis
- Le Rock 'N' Roll Palace
- Sous-sol des Restaurants Normandin de Lévis et des quartiers Saint-Romuald et Charny
- Bar South Shore (Quartier Saint-Nicolas)
- Bar le Petit-Prince (Quartier Saint-Romuald)
- Bar Billard Vegas
Établissements d'études post-secondaire
- Cégep de Lévis-Lauzon Site officiel
- L' Université du Québec à Rimouski, Campus de Lévis Site officiel
Festivals et événements culturels
- Le rassemblement de montgolfières Festivent Site officiel a lieu habituellement en août au Parc Champigny (quartier Saint-Jean-Chrysostome). C'est le troisième festival estival en importance dans la région de Québec.
- Le Marathon des deux rives – Lévis/Québec Site officiel, en août, est un événement de course à pied qui s'adresse tant aux amateurs qu'aux professionnels dans des catégories appropriées. Il est sanctionné par l'Association Internationale des Marathons et Courses sur routes (AIMS), de même que par la Fédération québécoise d'athlétisme.
- La Maison natale de Louis Fréchette organise chaque année le Festival international du conte Jos Violon de Lévis durant l'automne.
- Célébrations du 360e de l'arrivée de Guillaume Couture du 23 juin au 1er juillet 2007.
- Première édition du Festival de Jazz ETCETRA du 9 au 12 août 2007 [1].
- La Relève prend l'air est une soirée annuelle qui a lieu chaque année depuis 2004 à la fin août ou au début septembre au Stade Georges-Maranda. Organisé par Espace Jeunesse l'Espéranto, elle a pour objectif de faire connaître la jeune relève des arts de la scène à Lévis.
Salles de spectacles
- L'Anglicane de Lévis Site officiel
- Espace Jeunesse L'Espéranto Site officiel
- Le Vieux Bureau de Poste de St-Romuald Site officiel
Musiciens et artistes de Lévis
- Ariane Moffatt, auteure-compositeure-interprète, née le 26 avril 1979, à Saint-Romuald.
- Céline Bonnier, comédienne, née le 31 août 1965 à Saint-David-de-l'Auberivière.
- Emmanuel Garant, peintre réputé, fils de Louise Carrier, né le 5 juin 1953 à Lévis.
- Florian Lambert, musicien, auteur-compositeur-interprète et conteur, né à Issoudun le 27 septembre 1942 et résident de Lévis.
- Gervais Lessard, musicien et chanteur du groupe Le Rêve du Diable, né à Saint-Charles-de-Bellechasse en 1947 et résident de Lévis.
- Julie Perreault, comédienne, née le 6 juin 1976 à Le Gardeur, a passé toute son adolescence à Saint-Jean-Chrysostome et se dit originaire de Lévis.
- Karine Ledoyen, chorégraphe, danseuse, native du quartier Saint-Romuald.
- Marcel Leboeuf, comédien et conférencier, né le 15 juillet 1954 à Lévis.
- Mario Chenart, musicien auteur-compositeur-interprète, né en 1961 à Lévis.
- Marie-Josée Lord, soprano, arrivée d'Haiti à Lévis, à l'âge de 5 ans.
- Michaël Rancourt, imitateur-humoriste, né en 1963 à Charny.
- Raymond Bouchard, comédien, né le 17 mars 1945 à Lauzon.
- René d'Antoine (René-Antoine Letarte) , musicien, auteur-compositeur-interprète et pédagogue,ex-membre des Bel Canto, né à Québec le 4 mai 1939 et résident de Lévis.
- Richard Fréchette, comédien, né à Lauzon.
- Stéphane Breton, comédien, né à Lévis.
- Vincent Bolduc, comédien, né le 28 juin 1978 à Lévis.
- Antoine Séguin-Noel, artiste peintre, né le 19 juin 1973 à Lévis.
Sites touristiques
La ville de Lévis est situé dans la région Chaudière-Appalaches au sud du Québec.
- La maison Alphonse-Desjardins. Ouverte au public en 1982, la maison où vécut Alphonse Desjardins, fondateur des caisses populaires Desjardins, est aujourd'hui un centre d'interprétation. La demeure de style néo-gothique, construite entre 1882 et 1884, a été restaurée par la Société historique Alphonse Desjardins (fondée en 1979). Elle est située à l'angle des rues Guenette et Mont-Marie.[2].
- La maison familiale de Louis Fréchette. Il y vécut durant les treize premières années de sa vie. Érigée par son père entre 1837 et 1841, la Maison natale de Louis Fréchette (1839-1908) marie à la fois le style néoclassique et l'architecture de la Nouvelle-Angleterre des XVIIe siècle et XVIIIe siècle. Cette habitation en bois est composée d'un corps de logis principal d'un étage et demi, coiffé d'un toit de pente moyenne à deux versants aux larmiers prolongés, et d'une allonge perpendiculaire, à toit brisé. Elle est située dans l'arrondissement Desjardins de la ville de Lévis et occupe un terrain étroit entre le fleuve Saint-Laurent et la falaise. Elle occupe également une place culturel (cf le festival supra).
- Le Fort No.1 de la Pointe-Lévy
- Le Parc de la Paix (ancien site d'entraînement du camp militaire de Lauzon)
- Le Fort de la Martinière
- Le manège militaire de Lévis et le musée du Régiment de la Chaudière.
- La chapelle historique Sainte-Anne du Vieux-Lauzon construite en 1789.
- La chapelle historique Saint-François-Xavier du Vieux-Lauzon construite en 1822.
- Le Chantier maritime A.C. Davie(1832) ouvert gratuitement lors de la période estivale.
- Le parcours des Anses. Une piste cyclable et piétonnière qui longe le fleuve Saint-Laurent sur 13 kilomètres. Le parcours des Anses fait partie de la route Verte 1. De ce parcours, on a une vue très intéressante sur le cap Diamant, le vieux-Québec, le chateau Frontenac et l'île d'Orléans.
(Voir la section == Liens externes == - au bas de la page pour plus de détails).
Économie
En plus du chantier Davie et du Mouvement Desjardins, on compte aussi trois autres entreprises importantes: raffinerie Jean-Gaulin de la compagnie Ultramar (secteur Saint-Romuald), l'usine Frito-Lay (secteur Lauzon) qui fabrique des croustilles et la boulangerie commerciale Multi-Marques (secteur Vieux-Lauzon).
Les Galeries Chagnon est un important centre commercial du secteur.
De plus, un centre des congrès a été inauguré à Lévis durant l'année 2008. Ce centre de congrès a, durant sa première année d'exploitation, accueilli plus de 400 congrès. Une patinoire est aménagée devant le centre durant l'hiver.
Article détaillé : Sièges sociaux de Lévis.Photos
Transports
- Le Pont de Québec et le Pont Pierre-Laporte permettent d'accéder à la ville de Québec :
L'accès est situé dans le secteur sud-ouest de Lévis, aux limites des anciennes villes de Saint-Romuald et Saint-Nicolas. On peut s'y diriger par l'autoroute 20 et le Boulevard de la Rive-Sud (il s'agit d'une section de la route 132 qui fut rebaptisée dans les années 1990).
Elle est responsable du transport en commun par autobus dans toute la ville de Lévis. Elle offre également du service sur la Rive-Nord, plus particulièrement dans les secteurs de l'Université Laval et de la colline Parlementaire. Site officiel
Elle offre un service de traversier aux heures, demi-heures ou quinze minutes (dépendant de l'heure du jour et de la saison) faisant la navette sur le fleuve Saint-Laurent entre Lévis et le Vieux-Québec.
Municipalités limitrophes
Sources
- Les archives de la Société d'histoire régionale de Lévis.
- Caouette Martine et Bernard St-Hilaire. 1694-1994 - 300 ans de foi d'une paroisse (St-Joseph-de-Lauzon Diocèse de Québec). Lévis, Imprimerie Limoilou, 1994, 41 p.
- Couture, Pierre. Guillaume Couture, le roturier bâtisseur, Montréal, Éditions XYZ, 2005, 161 p.
- Roy, J.-Edmond. Guillaume Couture, premier colon de la Pointe-Lévy Lévis, Mercier et Cie, 1884 (réédité en 1947 et 1986), 164 p.
- Roy, J.-Edmond. Histoire de la Seigneurie de Lauzon, volume 1 à 5, Mercier et Cie, 1897 (réédité en 1984).
- Roy, J.-Edmond. Mgr Déziel sa vie - ses oeuvres (1885), ouvrage réédité en 1989.
Notes
- ↑ Bottin téléphonique MediaPages (Vidéotron), 2008-2009
- ↑ Informations tirées du livre "Guillaume Couture, premier colon de la Pointe-Lévy" écrit par Joseph-Edmond Roy en 1884.
- ↑ Informations provenant du site web Historical Narratives of Early Canada
- ↑ On peut voir la plaque funénaire de Wolfe à cette adresse. L'église St-Alfege fut endommagée lors des bombardements de Londres pendant la Seconde Guerre mondiale.
- ↑ Un CF-101 Voodoo (McDonnell F-101 Voodoo) y est installé depuis 1990 pour rendre hommage aux pilotes de l'armée de l'air canadienne.
- ↑ Celle-ci fut nommée en honneur du nom du duc de Richmond et d'Aubigny.
- ↑ Le nom Québec-Sud fut suggéré par des hommes d'affaires pour nommer la nouvelle ville.
- ↑ Parmi les autres noms suggérés, il y avait notamment celui de "Desjardins".
Voir aussi
Liens externes
Les industries de Lévis
Les paroisses de Lévis
Le site de la Ville de Lévis
(fr) Le site web de la ville de Lévis
Les sites historiques à visiter
- (fr) Le Fort de la Martinière 1914-1918 & 1939-1945.
- (fr) Lieu historique national du Canada du chantier A.C. Davie
- (fr) Lieu historique national du Canada des Forts-de-Lévis
- (fr) Maison natale de Louis Fréchette
- (fr) Maison Alphonse-Desjardins (la résidence du fondateur des Caisses Populaires Desjardins du Québec)
Les sociétés de généalogie
Les sociétés d'histoire du territoire lévisien
- (fr) La Société d'histoire de Breakeyville (site à venir)
- (fr) La Société d'histoire régionale de Lévis
- (fr) La Société historique Alphonse-Desjardins
- (fr) La Société historique Bernières-Saint-Nicolas (site à venir)
- (fr) La Société historique de Saint-Romuald (site à venir)
Météo
- Portail du Québec
- Portail de la Nouvelle-France
Catégories : Municipalité régionale de comté du Québec | Municipalité du Québec | Ville de Lévis
Wikimedia Foundation. 2010.