- Louvres
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Pour les articles homonymes, voir Louvre.
Louvres
Hôtel de ville de Louvres
DétailAdministration Pays France Région Île-de-France Département Val-d'Oise Arrondissement Sarcelles Canton Goussainville Code commune 95351 Code postal 95380 Maire
Mandat en coursGuy Messager
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes Roissy Porte de France Site web ville-louvres.fr Démographie Population 8 905 hab. (2007) Densité 786 hab./km² Gentilé Lupariennes, Lupariens Géographie Coordonnées Altitudes mini. 64 m — maxi. 127 m Superficie 11,33 km2 Louvres est une commune française, située dans le département du Val-d'Oise et la région Île-de-France.
Ses habitants sont les Luparien(ne)s.
Sommaire
Géographie
Louvres est situé en bordure d'une voie antique, toujours utilisée (RN17).Elle est aussi placée à la croisée d'un autre chemin qui passe par Gonesse,Saint-Denis pour se diriger vers Paris.
Malgré le faible relief, la ville est un point stratégique historique qui permettait de surveiller et de protéger le Nord de Paris.
De nos jours, Louvres se situe en plaine de France, à proximité de l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle (2 kilomètres) et à environ 25 kilomètres au nord-est de Paris.
La commune est limitrophe de Goussainville, Puiseux-en-France, Marly-la-Ville, Villeron, et Chennevières-lès-Louvres, Épiais-lès-Louvres et Roissy-en-France.
La commune est desservie par une gare du RER D.
Histoire
L'origine du nom de Louvres est entourée de mystère. Elle provient peut-être de l'étymologie Looswares ou Loovra, d'origine celto-germanique signifiant "bois d'œuvre", mais elle n'est pas attestée, pas plus que celle de Leovar de même origine et qui signifie "lieu fortifié". Ou peut-être également du haut-allemand lauern qui signifie surveiller, guetter.
Le site de Louvres est habité depuis la préhistoire puisque une occupation du lieu est attestée depuis le Paléolithique supérieur.
On n'a pas retrouvé d'habitat gaulois dense sur Louvres. En revanche, la présence gallo-romaine est attestée. Une nécropole du Bas et du Haut-Empire est en cours de fouille (2010).
Le Ve siècle est marqué par le passage des Huns.Toutefois,le village avait une certaine importance à l'époque Franque, plusieurs sépultures aristocratiques richement ornées ayant été mis au jour, ainsi qu'un sanctuaire.Cinq sépultures mérovingiennes (480-520),une d'un homme et quatre de femmes, ont été découvertes en 1987 autour de la Tour Saint-Rieul.La richesse du mobilier trouvé laisse penser qu'il s'agit d'aristocrates proches de Clovis,roi des Francs.
Pour l'époque carolingienne,est attestée la présence d'un habitat étendu sur le site proche d'Orville où se concentrait l'habitat aristocratique ainsi qu'un village modeste aux maisons de bois et de torchis abritant des agriculteurs et des artisants.
Saint-Justin y fut martyrisé. La présence de deux églises (Tour Saint Rieul et Église Saint Justin) côte à côte indique également l'importance du lieu au Moyen Âge et à la Renaissance. Louvres possède également sur son sol les ruines du château d'Orville détruit en 1438.
L'état-major des armées prussiennes occupa le château en 1870.
Un bombardier américain B17 touché par la DCA allemande explosa et s'écrasa sur la voie ferrée près de Louvres le 14 juillet 1943.
La commune a connu une importante expansion démographique et économique depuis les années 1970 suite à l'ouverture de l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle à proximité immédiate. Elle n'a pourtant pas altéré fort heureusement le caractère ancien du bourg.
Administration
Louvres fait partie de la juridiction d’instance de Gonesse, et de grande instance ainsi que de commerce de Pontoise[1],[2].
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité mars 2001 2014 Guy Messager[3] MODEM Ancien Conseiller Général Toutes les données ne sont pas encore connues. Démographie
Lieux et monuments
Monuments historiques
Louvres compte quatre Monuments historiques inscrits ou classés.
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Le logis du XVIIIe siècle de la ferme de la rue aux Blés.
- Église Saint-Justin, rue Saint-Justin et rue des 2 églises (classée Monument historique par arrêté du 27 juin 1914[6]) : La partie centrale de la façade occidentale est l'élément le plus ancien de l'édifice, dont le portail roman à double ébrasement de la fin du XIe siècle. Son décor démontre le rattachement à l'atelier du prieuré Saint-Martin-des-Champs de Paris, dont effectivement l'église dépendait. Le portail est surmonté d'une baie également romane. - La nef centrale comporte également des vestiges du XIe siècle, mais l'église romane primitive a été remplacé par une construction plus vaste dès le siècle suivant. En subsistent quatre piles rectangulaires à colonnes cantonnées. Puis la nef a été reconstruite au milieu du XVIe siècle, probablement sous la direction du maître-maçon Nicolas de Saint-Michel, qui signa la plupart des transformations Renaissance des églises du pays de France. Cette nef actuelle comporte cinq travées et s'accompagne de bas-côtés au nord et au sud. Le chevet plat est éclairé par une vaste baie, non visible depuis la rue car une maison jouxte directement l'église à l'est. Les façades du bas-côté nord sont ornées de décors sculptés finement ciselés. À l'intérieur, les voûtes aux dessins variés et nervures compliquées présentent des clefs de voûte pendantes, dont celle de la troisième travée (de 1550 environ) est de dimensions exceptionnelles. En outre, les trois piliers ronds entre la nef et le bas-côté nord sont remarquables, avec des chapiteaux richement sculptés de 1540 environ. Les fonts baptismaux datent de la même époque. L'église Saint-Justin n'a jamais possédé de clocher, sans doute en raison de la proximité avec l'église Saint-Rieul[7].
- Tour Saint-Rieul, rue Saint-Justin et rue des 2 églises (classée Monument historique par arrêté du 27 juin 1914[8]) : L'ancienne église, construite à la fin du XIe et au début du XIIe siècle, comprenait un chœur et un clocher dans le style roman. Cependant, les différents sondages archéologiques effectués ont permis de mettre au jour les fondations de bâtiments plus anciens d’époque mérovingienne, carolingienne et pré-romane. Au cours du XVIIe siècle, un collatéral est adjoint à l’église romane. Désaffectée à la Révolution, la majeure partie du bâtiment est probablement détruite au début du XIXe siècle. Le clocher et une partie du transept subsistant servent alors de prison jusqu'en 1872. Vidocq y fut enfermé en 1805[9].
- Ferme de la rue aux Blés et de la rue du Milton (inscrite Monument historique par arrêté du 17 octobre 2000[10]) : La ferme actuelle, toujours en exploitation et vouée exclusivement à la culture, a éte construite dans le seconde moitié XVIIIe siècle, mais des sondages archéologiques ont démontré la présence d'une ferme en ce lieu depuis au moins le Moyen Âge. Au début du XIXe siècle, la ferme appartient à la famille Boula de Coulombiers, puis à la famille Boula de Mareuil, habitant le château de Louvres. - Le vaste logis à l'ouest de la cour témoigne de la richesse des sols et de la prospérité des propriétaires. La grange au sud de la cour date encore de la fin du XVIe siècle et conserve son porche surmonté d'un pignon au centre de la façade. Le local au-dessus du porche servait de pigeonnier et compte 750 boulins carrés. Sinon, la transformation en garage pour machines agricoles a lourdement modifié l'aspect de l'ancienne grange. Les pignons à l'ouest et à l'est sont appuyés par des contreforts ; le pignon est étant visible depuis la rue du Milton. Dans son ensemble, la ferme de la rue aux Blés et de la rue du Milton reste l'une des plus belles fermes du pays[11].
- Porte de l'ancien Hôtel-dieu, 26 rue de Paris (classée Monument historique par arrêté du 12 août 1924[12]) : L'Hôtel-dieu de Louvres était une fondation de Blanche de Castille et de son fils saint Louis et survécut la Révolution. En 1798, il fut réuni à la léproserie sous le nom de nouvel hospice civil. Il ne ferma qu'en 1847 quand un nouvel hospice fut mis en service au 33 rue de Paris. Suite à la vente de l'ancien Hôtel-dieu à un marchand de pierres, il fut démoli à l'exception de la porte. À double ébrasement et surmonté d'un arc de décharge en tiers-point dans le style gothique, le portail comporte au milieu un linteau supporté par un gnome (à droite) et une tête d'un homme barbu (à gauche), représentant peut-être un malade face à la toute-puissante médecine[13].
Autres éléments du patrimoine
Ces éléments sont présentés du nord vers le sud.
- La maison Sainte-Beuve, 82 rue de Paris (pas de lien avec Charles-Augustin Sainte-Beuve) : Hôtel particulier de 1860, construit en briques rouges avec des chaînages et décor en pierre de taille et un toit à la Mansart. Le dernier représentant de la famille Sainte-Beuve habitant la demeure fut Georges Sainte-Beuve, maire de Louvres en 1944. Lors de l'arrestation de quatre jeunes résistants venus de Montreuil le 28 août, il obtint des occupants de pouvoir les garder chez lui, espérant ainsi leur sauver leur vie. Les Allemands les firent toutefois fusiller le lendemain. Seulement un jour plus tard, Louvres fut libéré. - Célibataire sans descendance, Georges Sainte-Beuve légua la maison au diocèse de Versailles, peu après la Seconde Guerre mondiale. L'hôtel abrite aujourd'hui une communauté de religieuses de l'ordre de Saint-Méen et sert également de maison paroissiale[14].
- Le cimetière : Il se situe en cet endroit au moins depuis le XVIIIe siècle[15] et conserve encore des tombes de la première moitié du XIXe siècle, dont plusieurs sont remarquables. La croix de cimetière date de 1851[16] L'on notera le mausolée des seigneurs de Louvres, de forme carrée et reposant sur quatre colonnes. Le dernier seigneur de Louvres, Alexandre Jean Boulas de Mareuil, décédé le 11 septembre 1796 ; Antoine Jean Boulas de Mareuil, dernier possesseur du château décédé en 1825 ; Antoinette Marguerite Joseph Boulas de Mareuil, décédée en 1813 ; et Marc Antoine de la Maye de Bazinville y sont inhumés[17]. La sépulture des familles Mongrolle et trois autres tombes présentent la forme d'un sarcophage[18], aujourd'hui inhabituelle. Un monument est dédiée aux aviateurs américains Philipps et Burton, tombés à Louvres le 14 juillet 1943, reconnaissable par une hélice d'avion posée à son pied. Le monument aux morts se trouve également au cimetière, à l'extrémité est. L'obélisque a été érigé dès 1887 pour l'unique soldat de Louvres victime de l'Expédition du Tonkin. La sculpture du poilu debout, barrant de son fusil la route des invasions, est un monument en série de Henri-Charles Pourquet, choisie sur catalogue et intitulée Résistance. Elle a été inaugurée le 1er novembre 1920[19].
- Rue du Milton : cette voie la plus ancienne du bourg a conservé son aspect médiéval avec son pavage ancien, ses bornes chasse-roue et ses vieux murs. À l'endroit où la rue décrit un angle droit, elle continuait jadis en direction du sud et était l'une des voies d'accès au village, dont subsistent la rue d'Orville et le chemin vicinal ordinaire n° 4 de Goussainville à Louvres. Ici se situe le colombier-porche de la ferme des Quinze-Vingt, qui a son entrée principale au 29 rue de Paris. Au premier étage, le bâtiment du début du XVIIe siècle abrite une pièce d'habitation avec un graffiti de 1873, et au second étage, subsistent les boulins pour la nidification des pigeons[20].
- La fontaine publique de la place Vitelle, à l'est du vieux village : Il existait sur la place agrémenté d'arbres un puits avec manège, réservoir, lavoir et abreuvoir. Seul le puits subsiste, équipé d'une pompe[21]. Cette grande pompe en fonte est montée sur une colonne carrée, faite de pierres de taille et de briques rouges.
- L'abreuvoir de la rue de Paris, près de l'entrée sud du village, en contrebas de la rue à l'ouest : Le plan de cet abreuvoir a été dressé en 1749, mais il paraît qu'un abreuvoir ait existé en ce lieu depuis des temps immémoriaux. Jusqu'à la rectification du tracé de la grande route de Paris en 1805, la route était ici au même niveau que l'abreuvoir. L'entrée au bassin a été agrandie en 1843 par l'entrepreneur Poiret. Il est pavé et entouré d'un mur en grosses pierres d'appareil, et ses dimensions sont particulièrement importantes. De ce fait, cet abreuvoir est aujourd'hui unique dans la région. L'appellation de gué est courante en pays de France et vient de la similitude avec l'entrée dans un gué, où les chevaux et bœufs pouvaient se rafraîchir après le labour des champs. En effet, le gué servait aussi de pédiluve ou égayoir. L'eau provenait de la source Saint-Justin, plus haute dans la même rue, mais le bassin est aujourd'hui à sec. Restent en place deux auges remplis d'eau à la limite sud du bassin[22].
- La croix Saint-Justin, rue de Paris, à l'extrémité sud de la rue où cette dernière rencontre la RD 316 (déviation de Louvres) : Le lieu du monument a été choisi en fonction d'une légende, selon laquelle un garçon de neuf ans aurait été assassiné en cet endroit par des soldats romains au IVe siècle, en raison de sa foi chrétienne. Ce martyr du nom Justin est devenu le saint patron de Louvres. Une source de l'autre côté de la rue, un peu plus en bas vers le village, porte également son nom[23]. - La croix en pierre est placée en haut d'un talus, où conduisent une dizaine de marches. Elle date du début du XXe siècle et est l'œuvre du sculpteur Yvon Chrétien et du graveur Yvon Gabriel. Le socle de la croix est sculpté de fleurs et orné d'un médaillon à l'effigie de saint Justin. Les deux plaques de marbre portent les noms de soixante-deux soldats originaires de Louvres morts pour la France lors de la Première Guerre mondiale[24].
- Le site de fouilles archéologiques du château d'Orville, chemin d'Orville - chemin vicinal ordinaire n° 4 de Goussainville à Louvres. Ce château médiéval a probablement été construit après 1385 suite à une autorisation royale accordée au seigneur d'Orville pour fortifier sa résidence. Il a été détruit lors de la guerre de Cent ans, après sa prise par les Anglais, vers 1438. Tout vestige extérieur en avait disparu avant le début des fouilles. Sur le site, il est possible de voir une partie des fortifications remises au jour, le pilier du pont-levis, les traces de l'ancien logis et les anciennes douves. On y trouve aussi deux constructions reconstituées en archéologie expérimentale : une cabane et un grenier du haut Moyen Âge, correspondant à un village situé sur le site à l'époque carolingienne. Le site du château d'Orville est accessible lors des journées européennes du patrimoine ou à l'occasion de visites organisées par le musée Archéa. Le musée présente également les principaux objets issus de la fouilles[25].
Musée Archéa
Article détaillé : Archéa.Le musée Archéa, 56 rue de Paris : Musée d'archéologie du pays de France, présentant près de 750 objets issus de 87 campagnes de fouilles menées pour l'essentiel à partir des années 1970. Archéa, ouvert le 10 septembre 2010, est issu de l'ancien musée intercommunal d'histoire et d'archéologie ouvert dans la tour Saint-Rieul en 1979[26]. L'architecte du nouveau bâtiment est Bruno Pantz. Sont couverts toutes les époques de la Préhistoire jusqu'à l'époque moderne, et toutes les facettes de la vie humaine dans ce territoire de l'est du Val-d'Oise. L'exposition permanente consiste en une salle d'introduction puis une grande salle à l'étage comprenant un parcours chronologique puis un parcours thématique. Cette exposition est agrémentée de plusieurs maquettes reconstituant de différentes formes d'exploitations agricoles au fil des siècles, des illustrations, des vidéos présentant des sites et des métiers de l'archéologie ainsi que des éléments à manipuler . La salle du rez-de-chaussée est réservée aux expositions temporaires, dont la portée dépasse le domaine de l'archéologie locale. Le musée dispose également d'un centre de documentation, d'une salle de projection et d'une salle d'animation. Un programme de manifestations est proposé tout au long de l'année. Par ailleurs, le musée abrite près de 300 m² de réserves[27].
Louvres et la littérature
Le Comte de Monte-Cristo passe par Louvres dans le roman d'Alexandre Dumas "Et le pauvre cheval reprit le trot enragé qu’il avait suivi depuis la barrière, et arriva tout fumant à Louvres."[28]
Notes et références
- Site du Conseil général - Administration du Val-d'Oise
- Ministère de la justice - Conseil Départemental de l'Accès au Droit du Val-d'Oise
- Site officiel de la préfecture du Val d‘Oise-liste des maires (doc pdf)
- http://cassini.ehess.fr/ Population avant le recensement de 1962
- Dossier statistique sur la commune sur le site statistiques-locales.insee.fr
- Église Saint-Justin, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- Yves Breton et Charles Huet, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Louvres », dans Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. I, octobre 1999, p. 346-357 (ISBN 2-84234-056-6) ; p. 346-348 ; et Catherine Crnokrak, Isabelle Lhomel, Christian Olivereau, Agnès Somers et Jean-Yves Lacôte (photographies), En pays de France : Cantons de Luzarches, Gonesse et Goussainville. Images du patrimoine, Cergy-Pontoise, Association pour le patrimoine d'Ile-de-France et Conseil général du Val d'Oise, 1998, 104 p. (ISBN 2-905913-23-1) ; p. 15. Cf.
- Tour Saint-Rieul, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- Cf. Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Louvres, op. cit., p. 350 ; En pays de France, op. cit., p. 15 ; ainsi que la plaque explicative sur place.
- Ferme de la rue aux Blés et de la rue Milton, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- Cf. Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Louvres, op. cit., p. 354 ; et En pays de France, op. cit., p. 60 et 63.
- Porte de l'ancien Hôtel-dieu, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- Hospice, sur la base Mérimée, ministère de la Culture ; Hôtel-dieu, sur la base Mérimée, ministère de la Culture ; En pays de France, op. cit., p. 87 ; et Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Louvres, op. cit., p. 352.
- Cf. Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Louvres, op. cit., p. 356 ; ainsi que la plaque explicative sur place.
- Cimetière, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- Croix de cimetière, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- Tombeau de la famille Boulas de Mareuil, sur la base Mérimée, ministère de la Culture ; et Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Louvres, op. cit., p. 354.
- Tombeau de la famille Mongrolle, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- Monument aux morts, sur la base Mérimée, ministère de la Culture ; Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Louvres, op. cit., p. 356 ; et En pays de France, op. cit., p. 96.
- Ferme 35 rue de Paris, sur la base Mérimée, ministère de la Culture ; Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Louvres, op. cit., p.353 ; En pays de France, op. cit., p. 63 ; la plaque explicative sur place ; et le cadastre.
- Fontaine de la place Vitelle, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- Abreuvoir - Le gué, sur la base Mérimée, ministère de la Culture, la plaque explicative sur place et Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Louvres, op. cit., p. 353.
- Fontaine Saint-Justin, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- Cf. Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Louvres, op. cit., p. 356.
- Le Site d'Orville sur Archéa. Consulté le 23 août 2011
- Le musée ARCHEA : Un petit musée devenu grand) sur ville de Louvres. Consulté le 23 août 2011
- Archéa, Archéologie en pays de France sur Archea (site officiel). Consulté le 23 août 2011
- http://fr.wikisource.org/wiki/Page:Dumas_-_Le_Comte_de_Monte-Cristo_%281889%29_Tome_6.djvu/14
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