- Analogies et correspondances
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La théorie des analogies et correspondances est une doctrine propre aux occultistes et aux ésotéristes. Cette doctrine est partagée aussi par quelques poètes, quelques peuples premiers… considérant les parties du monde comme analogues et leurs éléments en correspondances, « par parenté » (selon Orphée)[1], « proportion » (selon Pythagore)[2], « amitié » (Platon)[3], « sympathie » (selon Bolos de Mendès)[4], « harmonie, attraction par ressemblance, contiguïté ou causalité… » L'Homme (microcosme) et le Monde (macrocosme) sont analogues, ressemblants, de même structure, de sorte que les yeux de l'Homme et les luminaires (Soleil et Lune) du Monde, tête et signe du Bélier… sont correspondants, en corrélation. On appelle synesthésies, les correspondances entre sensations : si couleurs, odeurs, saveurs, sons, touchers sont analogues, alors la couleur rouge, la saveur amère, l'odeur de brûlé se correspondent.
Ainsi est défendue « l’idée d’un univers vivant, fait de correspondances secrètes, de sympathies occultes, où partout souffle l’esprit, où s’entrecroisent de toutes parts des signes ayant une signification cachée[5]. »
Sommaire
Définitions
Papus (1865-1916), Traité méthodique de science occulte (1891), t. I, p. 70 : « Par l’analogie on détermine les rapports qui existent entre les phénomènes… La Nature est construite d’après un type primitif qu’on trouvera répété, sinon dans sa forme du moins dans son essence. Naissance du Soleil : le printemps ; puissance du Soleil : l’été ; décroissance de la force du Soleil : l’automne ; cessation des effets bienfaisants du Soleil : l’hiver. En considérant la marche du Soleil, nous pouvons donc découvrir la loi d’évolution générale applicable à tout. L’année, la vie humaine, le jour, le mois sont donc analogues, suivent tous une même loi. L’analogie n’est pas la similitude. Dieu a fait l’homme à son image, et pourtant Dieu n’est pas un animal vertébré. Goethe a défendu cette idée de l’unité du type de composition de l’être humain en considérant la vertèbre comme point de départ de cette unité. Si une chose quelconque est analogue à une autre, toutes les parties dont cette chose est composée sont analogues aux parties correspondantes de l’autre. L’homme est analogue à l’univers. Pour connaître la circulation de la vie dans l’Univers, il suffit d’étudier la circulation vitale chez l’homme, et, réciproquement, pour connaître les détails de la naissance, de l’accroissement et de la mort d’un homme, il faut étudier les mêmes phénomènes dans un monde. »
Robert Amadou : « L’occultisme est l’ensemble des théories et des pratiques fondées sur la théorie des correspondances selon laquelle tout objet appartient à l’ensemble unique et possède avec tout autre élément de cet ensemble des rapports nécessaires, intentionnels, non temporels et non spatiaux. »[6]
Pierre A. Riffard : "La doctrine des analogies et correspondances, présente dans tous les ésotérismes, soutient que le Tout est Un, que ses divers niveaux (règnes, mondes…) sont des ensembles équivalents dont les éléments se répondent terme à terme, de sorte que un élément d'un ensemble représente symboliquement et influence sympathiquement l'élément d'un autre ensemble, par exemple, le Soleil dans le règne minéral et le lion dans le règne animal" (Dictionnaire de l'ésotérisme, Payot, 1983, p. 34).
Antoine Faivre : "Il existerait des correspondances symboliques et réelles entre toutes les parties de l'univers visible et invisible. 'Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas ; ce qui est en bas est comme ce qui est en haut' [La Table d'émeraude d'Hermès Trismégiste]… L'univers entier est un grand théâtre de miroirs, un ensemble de hiéroglyphes à décrypter, tout y est signe… L'on peut distinguer deux sortes de correspondances. D'abord celles qui existent dans la nature visible ou invisible, par exemple entre les sept métaux et les sept planètes [or/Soleil, argent/Lune, mercure/Mercure, etc.], entre les planètes et les parties du corps humain [tête/Bélier, cou/Taureau, etc.] ou le caractère (ou la société), ce qui fonde l'astrologie ; entre le monde naturel et les départements invisibles invisibles du monde céleste et surcéleste, etc. Ensuite, il y a les correspondances entre la nature (le cosmos) ou même l'Histoire et des textes révélés : ainsi dans la kabbale, juive ou chrétienne, et diverses variétés de physica sacra ; selon cette forme de concordisme inspiré, il s'agit de 'voir' que l'Écriture (la Bible, par exemple) et la Nature se trouvent nécessairement en harmonie, la connaissance de l'une aidant à la connaissance de l'autre" (L'ésotérisme, PUF, coll. "Que sais-je ?", 1992, p. 14).
Les analogies et correspondances en Chine
Les Chinois, grands amateurs de classifications, ont été les plus théoriciens dans ce domaine. Ils listent les rubriques suivantes : animaux, céréales (blé, riz, maïs, orge, millet), couleurs, Éléments (Terre, Métal, Eau, Air, Feu), nombres, notes de musique, odeurs (rance, brûlé, parfumé, odeur de viande crue, pourri), organes des sens (yeux, oreilles, nez, bouche, peau), orients (Centre, Sud, Ouest, Nord, Est), saisons, saveurs (acide, amer, doux, âcre, salé), végétaux, viscères (foie, cœur, rate, poumons, reins)[7]. On trouve donc des catégories (animaux, céréales…), des listes (céréales = riz, blé…), des correspondances (Feu = Sud = Rouge = Amer = Poulet = Sept…). Les grands textes sont le Hong fan. Grande Règle (VIe s. av. J-C. ?, dans le Chou king. Livre des documents), le Yue ling (dans le Li ki. Mémorial des rites), le Li yun (dans le Li ki).
Histoire
La pensée par analogies et correspondances remonte aux Sumériens, vers 2800 av. J.-C. Ils mettaient en correspondances le gypse et le dieu Nin, la torche et le dieu Nusku (S. Langdon, Sumerian Liturgies and Psalms, 1919, p. 330).
Orphée parle de "lien puissant", de "chaîne d'or" entre les choses (fragment 166 : Orphée. Poèmes magiques et cosmologiques, Les Belles Lettres, 1993, p. 113). On lui attribue, plus ou moins tardivement, le végétarisme, la capacité de charmer les animaux, la croyance en la palingénésie ou en la réincarnation, l'interdiction des sacrifices sanglants..., autant de signes où il montre l'unité des choses, leur parenté : même nature, même origine. "Orphée chantait comment la terre, le ciel et la mer, autrefois confondus dans un ensemble unique..." (fragment 29, p. 44). Il pense, ainsi, par analogies et correspondances : "Orphée a nommé la Lune 'une Terre céleste') (fragment 93, p. 83) : la Lune est au monde d'en-haut ce qu'est la Terre au monde d'en bas ; "les quatre fleuves correspondent, selon l'enseignement d'Orphée, aux quatre Éléments souterrains et aux quatre points cardinaux" (fragment 123, p. 96) ; "Zeus est la tête, Zeus est le milieu... Ses yeux sont le Soleil et la Lune..., son intellect est l'impérissable Éther" (fragment 168, p. 115-116) : correspondances yeux/luminaires, intellect/Éther.
Le premier théoricien, en Occident, est Pythagore, vers 530 av. J.-C. Il pose le principe :
- "La nature est en tout semblable à elle-même" (Vers d'or, 52).
Autrement dit, on retrouve les mêmes forces aux divers niveaux de la nature, avec équivalences. Pythagore établit des correspondances (omoiômata ὁμοιὠματα) entre nombres et choses, par exemple un et essence, deux et opinion, trois et tout, quatre et justice, cinq et mariage (Aristote, Métaphysique, 985b27, 990a23, 1078b22). Surtout il établit des corrélations entre nombres et figures, lorsqu'il parle de nombres linéaires, triangulaires, carrés, rectangulaires, cubiques ; cette analogie entre nombres et figures, donc entre arithmétique et géométrie, pose les correspondances entre trois et triangle, quatre et carré, sept et rectangle, huit et cube. Les néo-pythagoriciens vont plus loin :
- "1 est le point, 2 la ligne, 3 le triangle, 4 la pyramide [tétraèdre]... Les éléments [figures] premiers sont le point, la ligne, le triangle et la pyramide. Tous contiennent en eux le nombre 10 et lui doivent leur perfection. Pour la pyramide, le nombre 4 domine dans les angles et dans les faces, le nombre 6 dans les arêtes, ce qui donne 10 [le tétraèdre a 4 faces, 4 sommets, 6 arêtes]" (pseudo-Jamblique, Théologoumènes arithmétiques, IV° s.).
Dans ses dialogues, Platon va faire correspondre (prosphérein) l'âme et la société. La cité est l'image agrandie de l'âme. Il y a donc "nécessité à accorder en chacun de nous les mêmes formes, les mêmes dispositions morales qui justement existent dans l'État" (La République, IV, 435a) : les trois fonctions de l'âme correspondent aux trois fonctions sociales : désir/travailleurs, ardeur/guerriers, raison/philosophes. "S'il y a cinq espèces d'États [monarchie, timocratie, oligarchie, démocratie, tyrannie], il doit y avoir aussi, chez les simples particuliers, cinq comportements de l'âme" (La République, VIII, 544e) : la monarchie va de pair avec un homme bon et juste, la timocratie avec un homme soucieux d'honneurs, l'oligarchie avec un homme avide de richesses, la démocratie avec un homme plein de désirs, la tyrannie avec un homme rempli de violences. La cosmologie de Platon pose que "la nature entière est d'une même famille" (Ménon, 81d), et "le Ciel et la Terre, les dieux et les hommes sont liés entre eux par une communauté, faite d'amitié et de bon arrangement, de sagesse et d'esprit de justice" (Gorgias, 508a). - Dans son enseignement oral ésotérique, Platon établit des analogies entre les nombres de la Décade pythagoricienne (1, 2, 3, 4, dont la somme fait 10), les dimensions géométriques (unité, ligne, surface, volume), les niveaux de réalité (l'Un, les Idées, l'Âme avec les êtres mathématiques, les choses sensibles), les connaissances (esprit, science, opinion, sensation), les Éléments (Feu, Air, Eau, Terre), de sorte qu'il y a correspondances entre un/unité/Nombres idéaux/connaissance par l'esprit/Élément Feu, puis deux/ligne/Idées particulières/connaissance par la science/Élément Air, ensuite trois/surface/Âme du monde et êtres mathématiques/connaissance par l'opinion droite/Élément Eau, enfin quatre/volume/monde sensible/connaissance par la sensation/Élément Terre[9]. Les platoniciens de l'ancienne Académie (Speusippe, Xénocrate) ont systématisé les correspondances entre les quatre dimensions géométriques (points, lignes, surfaces, volumes) et les quatre modes de connaissance (intellect, science, opinion, sensation). Aristote : "Platon [dans son enseignement oral ésotérique] s'exprime autrement : l'intellect est l'un [le point, aussi], la science est le deux car elle s'avance d'une direction unique vers un seul point [la ligne], le nombre de la surface est l'opinion, et celui du volume est la sensation" (De l'âme, I, 2).
Les stoïciens utilisent régulièrement l'analogie, moins les correspondances. Pour eux, la raison est présente dans l'homme comme Dieu est présent dans le corps de l'univers[10].
Un « lapidaire astrologique » grec, dont la première mention serait à trouver dans le Damigéron-Evax [11], donne les correspondances entre métaux, pierres, signes zodiacaux.
Métal ou divinité Pierre précieuse Signe zodiacal Mercure ou vif argent noble[12] diamant Gémeaux vif-argent vulgaire cristal de roche Vierge Mars (fer) rubis Bélier Vénus (Cuivre) émeraude Taureau Jupiter (étain) topaze Sagittaire Saturne (plomb) grenat Capricorne Lune/ Séléna (argent) saphir Cancer. Dans l'histoire de la mystique juive, un texte très énigmatique fait date, le Sefer Yezira (Sepher Yetsirah, Livre de la Création), qui date peut-être du III° s., et fut écrit à Babylone ou en Palestine. Selon ce texte, très bref et très énigmatique, le monde se compose de dix principes, appelés sefirot (sephirot, énumérations), et qui correspondent aux dix nombres du système décimal, de 1 à 10 : l'esprit (ruah), trois Éléments (Air, Eau, Feu), 6 dimensions de l'espace (Haut, Bas, Levant, Ponant, Midi, Nord). Ces 10 sefirot sont reliés par 32 "chemins", à savoir les 10 premiers nombres entiers et les 22 lettres de l'alphabet hébreu. Le texte met en correspondances, sur la base 3, les trois lettres mères (alef, mem, shin), les Éléments (Air, Eau, Feu), les saisons, les parties du corps humain ("tête, torse, ventre") ; sur la base 7, les lettres doubles de l'alphabet hébreu (bet, gimel, dalet ; kaf, pe, resh, tav), les planètes, les orifices de la tête ; enfin, sur la base 12, les lettres simples de l'alphabet hébreu, les Signes du zodiaque, les mois, les organes principaux du corps humain (cœur, 2 oreilles, foie, bile, langue, 2 narines, rate, urètre, anus, bouche)[13].
Olympiodore le Jeune, au VI° s., sur l'analogie planètes/métaux, donne un système de correspondances, qui sera classique en alchimie : or/Soleil, argent/Lune, plomb/Saturne, électrum/Jupiter, fer/Mars, cuivre/Vénus, étain/Mercure[14].
Johannes Kepler regardait sa théorie des polyèdres emboîtés comme sa plus grande découverte : dans un traité intitulé Mysterium Cosmographicum (1596), il remarque que l’Univers (tel qu'on le connaissait au XVIIe siècle) compte autant de planètes que de polyèdres réguliers. Il note en outre que l'on peut intercaler assez exactement les cinq solides de Platon entre les orbes des six planètes connues à l’époque, c'est-à-dire que les proportions des orbes planétaires sont exactement réglées par des rapports géométriques remarquables.
Newton (1704) était convaincu qu'il devait y avoir une parfaite correspondance entre les diverses couleurs et les notes de la gamme. Voltaire, dans les Éléments de philosophie de Newton (1738), p. 182, résume les résultats : "La plus grande réfrangibilité du violet répond à ré ; la plus grande réfrangabilité du pourpre répond à mi." Violet/ré, pourpre/mi, bleu/fa, vert/sol, jaune/la, orange/si, rouge/do (ut). Voltaire ajoute : "Cette analogie secrète entre la lumière et le son donne lieu de soupçonner que toutes les choses de la nature ont des rapports cachés que peut-être on découvrira quelque jour."[15]
Le plus célèbre théoricien demeure Swedenborg.
- "Il y a un monde spirituel et (...) ce monde est distinct du monde naturel ; car, entre les Spirituels et les Naturels, il y a les Correspondances, et les choses qui existent par les Spirituels dans les Naturels sont les Représentations ; il est dit Correspondances parce que les Naturels et les Spirituels correspondent" (Arcanes célestes, § 2987) (1749-1756).
Le célèbre poème de Baudelaire, dans Les Fleurs du mal (1857), "Correspondances", se place sous l'influence de Swedenborg.
- "Comme de longs échos qui de loin se confondent
- Dans une ténébreuse et profonde unité,
- Vastes comme la nuit et comme la clarté,
- Les parfums, les couleurs et les sons se répondent."
Un ouvrage qui se veut hermétique et anonyme, le Kybalion (1908, en anglais), pose les correspondances comme un des grands principes. Il existe une harmonie, une entente et une correspondance entre ces différents plans d'existence qui se déclinent en Grand Plan Physique, Grand Plan Mental, Grand Plan Spirituel.
La célèbre école d'architecture et d'art Bauhaus, dès 1919, établit des corrélations entre formes, couleurs, sons. Dans son livre, Du spirituel dans l'art (1911), Kandinsky justifie les couleurs par leur musique, il assimile les couleurs à des sons. Klee compare les couleurs à des voix. Itten développe les correspondances psychologiques et symboliques des couleurs et des sons.
Éliphas Lévi et Papus
Éliphas Lévi, dans son Dogme et Rituel de Haute Magie (1854), est le premier à établir des correspondances entre les lettres de l'alphabet hébreu, les 22 sentiers de la sagesse selon le Sefer Yezira des kabbalistes, les 22 lames du Tarot.
Papus (1865-1916), "le pape de l'occultisme", a particulièrement insisté sur les analogies et correspondances, entre autres dans son ABC illustré d'occultisme (posthume, 1922). Tout objet terrestre fait partie d'une chaîne analogique qui part de cet objet pour aboutir à un astre, un règne, un Élément, un ange... Tout se correspond dans l'univers, par grandes chaînes, astrologiques, élémentaires, "la Terre, correspondant au règne minéral ; l'Eau, correspondant au règne végétal ; l'Air, correspondant au règne animal ; enfin, le Feu, correspondant au monde des forces et des intelligences" (p. 239). "La science antique est donc surtout constituée par des tableaux, qui établissent les relations entre tous les êtres et tous les objets de l'Univers" (p. 167).
Tableau de correspondances selon Papus (ABC illustré d'occultisme, posthume, 1922, Dangles, p. 247) Planètes Éléments Signes pierres vertus couleurs Mars Feu Bélier améthyste hardi rouge Vénus Terre Taureau hyacinthe ingénieux sombre Mercure Air Gémeaux chrysoprase ami des jeux jaune Lune Eau Cancer topaze vagabond noirâtre Soleil Feu Lion béryl grande âme doré Mercure Terre Vierge chrysolithe pieux vert Vénus Air Balance sardoine ami de la justice pourpre Mars Eau Scorpion sardonyx tyran noir Jupiter Feu Sagittaire émeraude colère flamme Saturne Terre Capricorne calcédoine ambitieux blanc Saturne Air Verseau saphir marchand bleu Jupiter Eau Poissons jaspe fécond cendré Indices
Quels phénomènes donneraient une assise expérimentale à la doctrine des analogies et correspondances ? Des phénomènes rares, paranormaux.
Le plus important est le phénomène de synesthésie.
Certains phénomènes semblent relever d'une "force d'attraction par correspondance", selon Wilhelm von Scholz (Der Zufall. Eine Vorform des Schicksals Le hasard et les bons tours que joue l'inconscient, 1921), qui a rassemblé une série de cas qui montrent de quelle façon étrange des objets perdus ou volés font retour à leur propriétaire.
La notion de synchronicité chez Carl Gustav Jung (1952) repose sur l'idée de "connexions acausales"[16].
Bibliographie
- Robert Amadou, L'occultisme, Julliard, 1950.
- Victor Goldschmidt, Le paradigme dans la dialectique platonicienne, PUF, 1947, § 26 : les "séries correspondantes" chez Platon.
- Marcel Granet, La pensée chinoise (1934)
- Marcel Griaule, Dieu d'eau (1948). La pensée des Dogons (au Mali).
- Papus, Traité méthodique de science occulte (1891), Dangles.
- Pierre A. Riffard, L'ésotérisme, Robert Laffont, coll. "Bouquins", 1990.
Voir aussi
Articles connexes
- Alchimie
- Arts divinatoires
- Astrologie
- René Guénon
- Gnosticisme
- Gurdjieff
- Hermétisme
- Kabbale
- Éliphas Lévi
- Macrocosme | Microcosme
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- Symbolique
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- Synchronicité
- Théosophie
Liens externes
- Catégorie ésotérisme de l’annuaire dmoz
- signets de la Bibliothèque nationale de France[17]
- symbolique des notes de la musique et des nombres[18]
Notes et références
- Orphée, Poèmes orphiques et cosmologiques, Les Belles Lettres, 1993.
- Pythagore. Un dieu parmi les hommes, Les Belles Lettres, 2002.
- Platon, Gorgias, 508a : "À ce qu'assurent les doctes [Orphiques ? Pythagoriciens ?], le Ciel et la Terre, les Dieux et les hommes sont liés entre eux par une communauté, faite d'amitié et de bon arrangement, de sagesse et d'esprit de justice, et c'est la raison pour laquelle, à cet univers, ils donnent, mon camarade, le nom de cosmos, d'arrangement."
- André-Jean Festugière, La Révélation d'Hermès Trismégiste, t. I : L'astrologie et les sciences occultes (1944), Les Belles Lettres, 1981.
- Eugenio Garin, Moyen Âge et Renaissance, trad., 1969, p. 213.
- Robert Amadou, L’Occultisme : esquisse d’un monde vivant (1950), Chanteloup, 1987, p. 19.
- Marcel Granet, La pensée chinoise, 1934, Albin Michel 1968, p. 309, 311, 312.
- Ce caractère, que l’on retrouve dans l'écriture chinoise du dragon azur associé, désigne en fait toute la gamme de couleur entre le bleu et le vert, et est conventionnellement associé au cyan
- Marie-Dominique Richard, L'enseignement oral de Platon, Cerf, 1986, p. 125, 199, 203, 208, 210, etc.).
- Cicéron, De la nature des dieux, II, 8, 21-22.
- Lapidaires Grecs, R. Halleux et J. Schamp, Les Belles Lettres, 1985, Paris Les Lapidaires grecs, Lapidaire orphique. Kerygmes. Lapidaires d'Orphée. Socrate et Denys. Lapidaire nautique. Damigéron
- En effet les Anciens distinguaient 2 sortes de Mercure-métal et deux sortes d'Argent : le noble et le vulgaire.
- Le Sepher Yetsirah, livre kabbalistique de la formation, traduction et commentaires Georges Lahy, Roquevaire, G. Lahy, 1995.
- Olympiodore d'Alexandrie le Jeune, Commentaire sur les 'Météorologiques' d'Aristote, édi. par Wilhelm Stüve : In Aristotelis 'Meteorologica' commentarii, coll. "Commentaria in Aristotelem Graeca" (CAG), t. XII, 1, Berlin, édi. par G. Reimer, 1900, III, 6, p. 266-267.
- Pierre Thuilier, La revanche des sorcières. L'irrationnel et la pensée scientifique, Belin, 1997, p. 62.
- C. G. Jung, "La synchronicité, principe de relations acausales" (1952), trad. fr. in Synchronicité et Paracelsica, Albin Michel, 1988, p. 19-119.)
- Les Signets de la Bibliothèque nationale de France - Esotérisme
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