John Winston Ono Lennon

John Winston Ono Lennon

John Lennon

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John Lennon
John Lennon en juin 1969 à Montréal
John Lennon en juin 1969 à Montréal, lors de l’enregistrement de Give Peace a Chance.

Alias Winston Leg-Thigh
Nom John Winston Lennon
Naissance 9 octobre 1940
Drapeau du Royaume-Uni Liverpool, Royaume-Uni
Décès 8 décembre 1980 (à 40 ans)
Drapeau des États-Unis New York, États-Unis
Profession(s) Auteur-compositeur
Musicien
Activiste
Genre(s) Pop
Pop rock
Rock 'n' roll
Rock psychédélique[1]
Instrument(s) Guitare
Claviers
Années actives de 1957 à 1975 ; en 1980
Label(s) Apple
Capitol
EMI
Parlophone
Site Web http://www.johnlennon.com

Entourage The Beatles (The Quarrymen)
Plastic Ono Band
Julian Lennon
Sean Lennon
Yoko Ono

John Winston Ono Lennon MBE (né John Winston Lennon le 9 octobre 1940 à Liverpool, en Angleterre, et mort assassiné le 8 décembre 1980 à New York) est un auteur-compositeur, chanteur, guitariste et pianiste britannique, fondateur du célèbre groupe anglais The Beatles actif de 1957 à 1970.

Au sein des Beatles, avec son partenaire Paul McCartney, il forme un des tandems d’auteurs-compositeurs les plus influents et réussis de l’histoire du rock et « donne naissance à une bonne partie des chansons à succès du rock »[2]. Après la séparation des Beatles en 1970, Lennon fonde avec sa femme Yoko Ono le groupe Plastic Ono Band (actif de 1969 à 1975) tout en poursuivant sa carrière en solo et menant diverses actions pour la paix. La chanson Imagine est le titre emblématique de cette période. Lennon se retire de toute activité publique en 1975 pour s’occuper de son fils nouveau-né Sean, puis reprend sa carrière en 1980, quelques semaines avant d’être assassiné par Mark David Chapman devant sa résidence du Dakota Building à New York.

Près de trente ans après sa mort, il est considéré comme l’un des artistes les plus populaires du XXe siècle et incarne l’engagement profond et marquant du mouvement pacifiste « peace and love » des années 1970. Un rassemblement à sa mémoire continue d’avoir lieu à New York chaque 8 décembre. Il n'a cependant pas de tombe sur laquelle se recueillir, car à la demande de Yoko Ono, son corps a été incinéré, ce qui semble en adéquation avec sa volonté de fuir son encombrante célébrité.

Sommaire

Biographie

1940 à 1957 : enfance et adolescence

John Lennon est né le 9 octobre 1940 à la maternité d'Oxford Street, à Liverpool, pendant un raid de l'aviation allemande en pleine période du Blitz. Son père, Alfred « Freddie » Lennon, est marin et quitte la maison familiale fréquemment, puis définitivement en 1945. Il ne verra plus son fils jusqu'à la beatlemania. Ses parents s'étant séparés rapidement, John part habiter à Woolton, un autre quartier de Liverpool, chez sa tante et son oncle. Il y passe le reste de son enfance.

Durant son enfance, John se montre un enfant très curieux et doué pour la littérature. Il invente des chansons à partir des comptines qu'on lui apprend à l'école. Il se crée alors un univers proche de son roman préféré, Alice au pays des merveilles. Rapidement, il se montre néanmoins aussi un enfant à l'humour exacerbé, au coup de crayon aiguisé et à l'analyse fine.

Sa mère, Julia Stanley, réapparaît au moment de son adolescence pour disparaître définitivement le 15 juillet 1958, renversée par la voiture d'un policier ivre. C'est sous son impulsion que, durant cette courte période où il la voit de temps en temps, il commence à jouer du banjo et du ukulélé. La mort de sa mère le plonge dans un mutisme manifeste et dans une ironie qui va devenir sa « marque de fabrique ». Il devient alors Teddy Boy, portant des vestes en cuir, une sorte de rebelle local, connu de tous à Liverpool et peu recommandable. Il ne se remettra jamais de cette disparition, lui consacrant plusieurs chansons : Julia en 1968 et Mother en 1970, où il hurle littéralement sa tristesse (ces cris font partie d'un exercice de thérapie, inventée par le Dr. Arthur Janov, très en vogue à l'époque intitulé cri primal).

1957 à 1970 : les Beatles

Article détaillé : The Beatles.

Les débuts du groupe

Article détaillé : The Quarrymen.

John Lennon fréquente l'Art College de Liverpool, se liant d'amitié avec des artistes comme Stuart Sutcliffe. Simultanément, il se met à jouer du skiffle dans des petites fêtes paroissiales. Inspiré par le rock et ses idoles Buddy Holly, Chuck Berry et Elvis Presley, il fonde un groupe, les Quarrymen, avec Pete Shotton, Nigel Walley et Ivan Vaughan. C’est ce dernier qui, le 6 juillet 1957, présente Paul McCartney à John : c'est la rencontre de deux talents qui seront dès lors en perpétuelle émulation mutuelle. Un autre point commun fort entre les deux jeunes hommes est qu'ils vont se retrouver tous les deux orphelins de mère : Mary McCartney meurt d'un cancer en 1956, Julia Stanley, la mère de John, est écrasée par une voiture conduite par un policer ivre en 1958.

John Lennon jouit d'une autorité certaine sur les quatre membres, en raison de son âge comme de ses excès. Le look de Lennon est à l'époque très influencé par Elvis Presley et Marlon Brando. Il nomme d'ailleurs son groupe les Silver Beetles par allusion au film L'Équipée sauvage, puis, en 1960, les Beatles, le deuxième E se changeant en A sur une idée de Lennon, en référence à la Beat Generation. Il est très influencé par le répertoire rock and roll de l'époque, et son jeu est très agressif. Le succès venant, le groupe quitte Liverpool et fait ses armes dans les boîtes du quartier chaud de Hambourg, en Allemagne. John, plein de facéties pendant ses concerts (« My name is John, I play the guitar. Sometimes I play the fool too. » – « Je m'appelle John, je joue de la guitare. Des fois je joue les andouilles aussi. »), devient le « révolté » de la bande.

John Lennon a imposé pour cette « escapade » allemande son meilleur ami Stuart Sutcliffe. Bien que peintre très doué, Stuart se révèle un piètre bassiste. Sutcliffe quitte le groupe pour vivre son histoire d'amour avec Astrid Kirchherr, auteur des premiers clichés officiels des Beatles. John Lennon vit un deuxième drame lorsque Stuart meurt d'une tumeur au cerveau peu de temps après.

En 1962, John a épousé Cynthia Powell, rencontrée à l'Art College (École d'Art) en 1958 et avec qui il aura un fils, Julian, né le 8 avril 1963.

La Beatlemania

John Lennon en 1964.

Encore adolescents, quasiment dans la foulée immédiate de leur rencontre à l'été 1957, John Lennon et Paul McCartney s'entendent et s'associent pour écrire des chansons, par dizaines. Ils affinent leur technique au fur et à mesure, et s'affirment déjà chevronnés lorsqu'ils se présentent devant George Martin, qui engage les Beatles en juin 1962. Dès lors, les chansons des Beatles seront soit écrites en totale collaboration (comme She Loves You), soit, le plus souvent, auront un auteur pricipal aidé par son partenaire pour les compléter. Au début, les chansons de John se montrent souvent drôles ou pessimistes (There's a Place, If I Fell, I'm a Loser, une exception heureuse étant I Feel Fine) par opposition à celles plus légères, mais pas toujours, de Paul McCartney, qui, de « brillant second » de John, devient peu à peu la figure harmonique dominante du groupe. L’opposition éclate en 1965, lors de la préparation du 45 tours comportant We Can Work It Out (de McCartney) et Day Tripper (de Lennon). Chacun des deux chanteurs pense que sa chanson est bien meilleure que l’autre et mérite donc la face A, celle qui passe sur les radios. Ne pouvant se mettre d'accord, pour la première fois, un 45 tours sort avec deux faces A et les hit-parades hebdomadaires passent l'une et l'autre, en alternant chaque semaine.

Bob Dylan reconnaît en John Lennon un talent d'écrivain. De cette reconnaissance va naître un respect et un échange entre les deux icônes de la pop. Car les Beatles, et principalement Lennon, deviennent des icônes. Il vit très mal cette folie qui les entoure et se réfugie dans les sarcasmes et la nourriture (il parle de période « Elvis gros » dans une interview donnée au magazine Rolling Stone). De cette période, où il se répugne lui-même, naîtra la chanson Help!, véritable appel au secours lancé au monde. Cela étant, le film homonyme montre un John Lennon de corpulence parfaitement normale.

« Nous sommes plus populaires que Jésus désormais... »

Après avoir écrit A Spaniard in the Works en mars 1965, cinq mois avant la troisième tournée américaine d'été (les deux premières eurent lieu en 1964 et en 1965), John Lennon donne une interview à Maureen Cleave, une amie journaliste. Il lance : « Le christianisme disparaîtra. Il s’évaporera, rétrécira. Je n’ai pas à discuter là-dessus. J’ai raison, il sera prouvé que j’ai raison. Nous sommes plus populaires que Jésus désormais. Je ne sais pas ce qui disparaîtra en premier, le rock’n’roll ou le christianisme... »[3],[4] Aussitôt déformés, réduits, ces propos provoquent une vague de haine, partie du sud des États-Unis, contre le groupe et Lennon en particulier. Cette période marque aussi les derniers concerts des Beatles, qui ne savent plus comment concilier les innovations musicales et les foules hystériques.

En 2008, dans un article célébrant les quarante ans du White Album, L'Osservatore Romano, journal officiel du Vatican, revient avec indulgence sur cet écart en le qualifiant de « phrase qui avait provoqué une profonde indignation mais qui sonne aujourd'hui comme une boutade d'un jeune de la classe laborieuse anglaise dépassé par un succès inattendu »[5].

Lennon tourne aussi un film appelé How I Won the War. Son sens de l'ironie et du non-sens font fureur[réf. nécessaire], bien qu'il n'y tienne pas le premier rôle. Lors du tournage de ce film de Richard Lester, à Alméria en Andalousie, Lennon compose un de ses titres phares, Strawberry Fields Forever.

L’apogée et l’éclatement du groupe

Lennon va plus loin et plonge dans le psychédélisme, à grands renforts de drogue et de sonorités complexes. Il cherche de plus en plus une paix intérieure, et après avoir suivi un temps les préceptes d'un gourou en Inde, il se tourne vers une artiste d'avant-garde japonaise qu'il a rencontrée lors d'une exposition d'art, Yoko Ono. Sa vie sentimentale est une longue histoire tourmentée. Son divorce résulte surtout de cette liaison avec Yoko Ono, qui deviendra sa seconde épouse et qui aura une grande influence sur la suite de sa carrière (elle en sera d'ailleurs critiquée, étant tenue pour responsable de la séparation des Beatles par de nombreux fans).

Ses compositions se montrent ambitieuses et très denses (Lucy in the Sky with Diamonds, All You Need Is Love, I Am the Walrus, A Day in the Life, Strawberry Fields Forever). Pourtant, la présence de Yoko Ono lors des sessions d'enregistrement, à partir du mois de mai 1968, provoque malaise, rancœur et animosité. Tout cela aboutit à l'Album blanc qui consacre l’éclatement des Beatles, chacun, a-t-on prétendu, ne se servant des autres que comme des musiciens de studio. Abbey Road sera leur dernier vrai travail d’harmonie commune, puisque Let It Be sera publié plus d'un an après son enregistrement, grâce au travail de montage et de mixage de Phil Spector. La même année, d’ailleurs, le disque solo de Paul, où il joue à lui seul tous les instruments par re-recording, est déjà sorti, rapidement suivi par le triple album All Things Must Pass de George Harrison. C'est en fait John Lennon qui met fin aux Beatles, en leur annonçant son départ définitif en septembre 1969 peu de temps après les sessions d'enregistrement du disque Abbey Road. La nouvelle est dans un premier temps tenue secrète, compte tenu de nombreux impératifs commerciaux, et c'est Paul McCartney qui officialisera la séparation sept mois plus tard, en avril 1970. « J'ai fondé les Beatles et je les ai dissous, c'est aussi simple que cela » dira ensuite John Lennon.

1970 à 1980 : carrière solo

Après la séparation des Beatles, John se consacre à sa compagne, l'artiste du mouvement Fluxus Yoko Ono, et à sa famille. Sa carrière solo en dents de scie — car la musique n'est plus sa seule préoccupation — est malgré tout riche et fructueuse. Durant toute la décennie 1970, J. Lennon oscille entre plusieurs styles, adoptant un look toujours différent : véritable hippie, militant pacifiste, rocker, adepte de la méditation, etc.

Au début des années 1970, ce sera la provocation, le Plastic Ono Band avec le bassiste Klaus Voormann, les coups médiatiques, les phrases assassines envers Paul McCartney, les chansons pacifistes et engagées et surtout le combat de Yoko Ono pour lui faire exorciser un de ses vieux démons : la mort de sa mère. Il devient l'incarnation de l'activisme de sa génération et utilise sa notoriété dans de nombreux happenings en faveur de la paix (Give Peace a Chance). On lui doit notamment la célèbre Imagine, aux accents universels, une des chansons les plus populaires jamais écrites.

À l'été 1973, John s'éloigne de Yoko et s'installe à Los Angeles avec May Pang, sa jeune assistante et nouvelle compagne. Ce sera sa période rocker-retour aux sources (J. Lennon parle d'un « week-end perdu » ou « lost week-end »). Avec le producteur Phil Spector, il enregistre entre autres Walls and Bridges et Rock 'n' Roll, ce dernier constitué de reprises de classiques du rock'n'roll comme Be-Bop-A-Lula ou Peggy Sue.

Au début de 1975, J. Lennon retourne dans les bras de Yoko Ono. Le 9 octobre 1975, jour du 35e anniversaire de John, naît son second fils, Sean. Lennon se retire alors de la scène publique et musicale pour se consacrer à son fils.

Assassinat

Le Dakota Building où John Lennon habitait à New York et où il vivait encore lors de son assassinat.

C’est un homme réconcilié avec lui-même et revenu des affres de la sur-notoriété qui signe l’album Double Fantasy en novembre 1980, un album plein de fraîcheur et de tendresse, avec des titres chantés en alternance par John et Yoko. Cet album était attendu par ses fans depuis cinq ans, lors de sa retraite provisoire en 1975 et du début de sa période « mari à la maison » (« house-husband ») à s’occuper de son fils Sean[6].

Il meurt assassiné à New York, le 8 décembre 1980, un peu avant 23 heures, après une soirée de travail en studio et alors qu’il rejoint son appartement du Dakota Building, à côté de Central Park. Quelques heures plus tôt, Lennon avait accordé un autographe au meurtrier, Mark David Chapman, un homme profondément religieux et complètement déséquilibré. Sous les yeux de Yoko Ono, Chapman a appelé « M. Lennon » en direction du chanteur, puis l’a abattu de cinq balles de revolver de calibre 38. Lennon a titubé vers le portier et a déclaré « Je me suis fait descendre »[6].

Les raisons de ce meurtre demeurent floues. Certains y voient le sentiment de trahison qu’aurait éprouvé Chapman, accusant son idole de ne pas avoir tenu ses promesses de paix et d’égalité des richesses qu’il communiquait dans ses chansons. D'autres y voient une « réponse » à sa phrase affirmant que la popularité des Beatles dépassait celle de Jésus[7].

Vision du monde

Bien que John Lennon soit avant tout connu comme auteur-compositeur-interprète, la vision qu'il affichait du monde - bien qu'à l'époque, elle pût encore choquer -, son ouverture d'esprit et son insistance sur les questions de paix et d'amour ont contribué à faire de lui une icône populaire.

Dans sa chanson God, John explique que Dieu est un concept que l'homme s'est créé pour pouvoir supporter ses propres souffrances, ou pour acquérir une force supplémentaire qui aidera le croyant à survivre. Il rappelle ainsi une vision exprimée par nombre d'écrivains (Sade, Marx, Nietzsche, ...) dont le grand public américain ne connaît pas forcément beaucoup plus que les noms. Par ailleurs, il explique son rêve (« you may say I'm a dreamer ») d'un monde sans guerre, sans religion, sans souffrance où tous les êtres humains pourraient vivre dans l'amour, la paix et l'unité.

Dans la vie courante, l'homme ne fera pas toujours preuve d'un détachement aussi olympien : si une de ses photos où il pastiche la pochette de Ram, de son ancien ami Paul McCartney peut être considérée comme un simple gag, les paroles de la chanson How Do You Sleep se montrent très dures envers ce dernier : « Those freaks was right when they said you was dead ».

Son album avec Elephant's Memory, Some Time in New York City, dont chaque chanson ou presque est revendicative, n'aura pas un succès comparable à ceux qui l'avaient précédé.

Hommages

Le mémorial Strawberry Fields, situé dans Central Park (New York).
  • Un film, Two of Us, rend hommage à la fois à John et à Paul en imaginant une rencontre entre eux lors du passage de Wings à New York.
  • En 2002, l'aéroport de Liverpool, rénové, a été rebaptisé John Lennon Liverpool Airport. Une statue de bronze le représentant est installée dans le hall d'enregistrement, la devise « above us only sky » (tirée des paroles d'Imagine) est peinte au plafond, tandis qu'à l'extérieur, un Yellow Submarine géant accueille les automobilistes...
  • La Cité de la musique lui a consacré à une exposition, en guise d'hommage. John Lennon Unfinished Music, du 20 octobre au 25 juin 2006.
  • Le Mur John Lennon à Prague, en République Tchèque. C'est un mur recouvert de graffiti et notamment plein de dessins représentant John Lennon. Il fut un temps où il était nettoyé tous les jours mais plus maintenant.
  • Imagine, La ballade pour la paix de John & Yoko, était une exposition temporaire au Musée des beaux-arts de Montréal, du 2 avril au 21 juin 2009

Discographie

Pour la discographie avec les Beatles, voir Discographie des Beatles.

Albums studio

  1. 1968 : Unfinished Music No.1: Two Virgins (avec Yoko Ono) – US #124
  2. 1969 : Unfinished Music No.2: Life with the Lions (avec Yoko Ono) – US #174
  3. 1969 : Wedding Album (avec Yoko Ono) – US #178
  4. 1970 : John Lennon/Plastic Ono Band – UK #8, US #6
  5. 1971 : Imagine – UK #1, US #1
  6. 1972 : Some Time in New York City (avec Yoko Ono) – UK #11, US #48
  7. 1973 : Mind Games – UK #6, US #9
  8. 1974 : Walls and Bridges – UK #6, US #1
  9. 1975 : Rock 'n' Roll – UK #6, US #6
  10. 1980 : Double Fantasy (avec Yoko Ono) – UK #1, US #1
  11. 1984 (posthume) : Milk And Honey (avec Yoko Ono) – UK #3, US #11

Albums live

Compilations

Singles

  • 1969 : Give Peace a Chance (avec The Plastic Ono Band) – UK #2, US #14
  • 1969 : Cold Turkey (avec The Plastic Ono Band) – UK #12, US #30
  • 1970 : Instant Karma! (avec The Plastic Ono Band) – UK #4, US #3
  • 1971 : Mother – US #43
  • 1971 : Power to the People (avec The Plastic Ono Band) – UK #6, US #11
  • 1971 : Imagine – US #3
  • 1971 : Happy Xmas (War Is Over) (avec Yoko Ono, The Plastic Ono Band et The Harlem Community Choir) – US
  • 1972 : Happy Xmas (War Is Over) (avec Yoko Ono, The Plastic Ono Band et The Harlem Community Choir) – UK
  • 1972 : Woman Is the Nigger of the World – US #57
  • 1973 : Mind Games – UK #26, US #18
  • 1974 : Whatever Gets You through the Night – UK #36, US #1
  • 1975 : #9 Dream – UK #23, US #9
  • 1975 : Stand by Me – UK #30, US #20
  • 1975 : Imagine – UK #6
  • 1980 : (Just Like) Starting Over – UK #1, US #1
  • 1980 : Happy Xmas (War Is Over) (avec Yoko Ono, The Plastic Ono Band et The Harlem Community Choir) – UK #2 (retour)
  • 1980 : Give Peace a Chance (avec The Plastic Ono Band) – UK #33 (retour)
  • 1980 : Imagine – UK #1 (retour)
  • 1981 : Woman – UK #1, US #2
  • 1981 : Watching the Wheels – UK #30, US #10
  • 1981 : Happy Xmas (War Is Over) (avec Yoko Ono, The Plastic Ono Band et The Harlem Community Choir) – UK #28 (retour)
  • 1982 : Love – UK #41
  • 1984 : Nobody Told Me – UK #6, US #5
  • 1984 : Borrowed Time – UK #32
  • 1984 : I'm Stepping Out – US #55
  • 1985 : Jealous Guy – UK #65
  • 1988 : Imagine / Jealous Guy – UK #45
  • 1988 : Jealous Guy – US #80
  • 1999 : Imagine – UK #3 (réédition)
  • 2003 : Happy Xmas (War Is Over) (avec Yoko Ono, The Plastic Ono Band et The Harlem Community Choir) – UK #32 (réédition)

Collaborations

Bibliographie

Filmographie

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Notes et références

  1. John Lennon a expérimenté plusieurs genres musicaux tout au long de sa carrière. Ici sont mentionnés les genres résumant le mieux son œuvre.
  2. (en) The Lennon-McCartney Songwriting Partnership, 2005, BBC. Consulté le 14 décembre 2006.
  3. (en):"Christianity will go. It will vanish and shrink. I needn't argue with that; I'm right and I will be proved right. We're more popular than Jesus now; I don't know which will go first — rock and roll or Christianity".
  4. texte intégral de l'interview
  5. Hommage du Vatican aux Beatles pour les 40 ans du "White Album" sur swissinfo.org, 21/11/2008. Consulté le 23/11/2008
  6. a  et b Collectif, John Lennon 1940–1980 : l’homme, sa musique, la tragédie, Sélect, Montréal, 1981, 199 p. (ISBN 2-89132-503-6), p. 9-10 
  7. [1] "Christianity will go. It will vanish and shrink. I needn't argue with that; I'm right and I will be proved right. We're more popular than Jesus now (...)"

Liens externes

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