Gabber (musique)

Gabber (musique)
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Gabber
Origines stylistiques Techno hardcore
Musique industrielle
Origines culturelles Début des années 1990
Pays-Bas (Rotterdam)[1]
Instrument(s) typique(s) Boîte à rythmes
Clavier
Sampler
Séquenceur
Synthétiseur
Popularité Faible à répandue
Modérée en Europe

Genre(s) dérivé(s) J-core
Speedcore
UK Gabber
Scènes régionales Drapeau : Pays-Bas Pays-Bas Drapeau d'Europe Union européenne [Note 1]
Drapeau des États-Unis États-Unis Drapeau du Canada Canada Drapeau du Japon Japon[Note 2]

Le Gabber (prononcé /ˈɡæbər/ en anglais, [ˈxɑbər] en hollandais) est un style de musique électronique appartenant au mouvement Hardcore. Ce mot désigne également les amateurs de ce style[2]. Les origines du mot Gabber sont dérivées du mot yiddish (voir chaver) qui signifie « ami », « pote » ou « frère » aux Pays-Bas[1],[2]; ce terme est crédité et intronisé pour la première fois par DJ Paul Elstak au début des années 1990.

La définition de ce style est assez variable : en Europe continentale, le Gabber est défini comme étant une version plus dansante et commerciale du Hardcore, propagée entre autres par les soirées et compilations Thunderdome[3]. Au Royaume-Uni et aux États-Unis, le genre est désigné comme un ensemble de productions Hardcore qui ne peuvent être classifiées dans les genres apparentés mélodieux UK Hardcore et Happy Hardcore[Note 3].

Les musiques Gabber reprennent notamment et généralement les thèmes de la violence, des drogues et autres types de profanations, perceptibles à travers des instruments électroniques et paroles parfois distordus. À partir des années 2000, le Gabber s'implante dans de nombreux pays à travers le monde. Ces localisations clés incluent les Pays-Bas, la Belgique, la Suisse, l'Allemagne, l'Autriche et l'Italie.

Sommaire

Historique

Origines et développement

Le symbole le plus commun représentant le courant Early Hardcore.

L'origine du mot « Gabber » tient d'un article dans lequel DJ K.C. the Funkaholic est interviewé sur son sentiment à l'égard de la scène hardhouse de Rotterdam. Il répond « Ils ne sont qu'une bande de Gabbers qui prennent du plaisir »[4]. Paul Elstak, de Rotterdam, lit cet article et sur la première composition Euromasters (commercialisé sur Rotterdam Records), il grave le vinyle intitulé "Gabber zijn is geen schande!" signifiant "Y'a rien de mal à être Gabber!". Depuis, le mot gagne en popularité dans la scène hardhouse de Rotterdam et les gens se surnomment désormais "Gabbers".

Le style a débuté au plus tard des années 1980 aux Pays-Bas, plus précisément au club de Parkzicht situé à Rotterdam dans lequel The Headbanger (alias. DJ Waxweazle) mixait régulièrement, mais certains clamaient que le genre a été dilué par le Happy Hardcore et, pour les fans, par une commercialisation du genre musical dans lequel le jeune public était attiré. L'organisation commerciale ID&T a aidé le genre musical à s'implanter (plus notamment grâce aux événements et compilations Thunderdome) en vendant tous types de marchandises et de produits dérivés[5]. Durant 1995, le style musical prend de l'ampleur grâce aux milliers de fans qui affluent semestriellement dans de divers événements liés au Hardcore. À cette époque, des magazines hollandais tels que Strobe et Thundermagazine favorisent le développement de nouveaux événements. Après s'être éteint durant quelques années (et laissant place au Hardstyle), en 2002, le style regagne en popularité aux Pays-Bas, avec un tempo plus lent et un son plus dark et industrialisé.

Un exemple de musique Gabber (ici, The Law Of The Underworld de DJ Toxik Waste). Le son s'apparente au style Gabber des années 1990.

En France, le Gabber se forge un public au milieu des années 1990, principalement à Paris, notamment grâce à Gangstar Toons Industry (DJ La Carotte), Guiz-Ohm, Manu le Malin, Psychiatrick Sound System, DJ Olive et Mazen "Boss" qui ramènent, fin 1992, les premiers labels hollandais tels que Mokum Records, Rotterdam Records, Terror Traxx, etc. À l'époque, les compilations Thunderdome se vendent bien à plus de 10 000 exemplaires[réf. nécessaire]; mais les lois françaises ne permettaient pas d'organiser des raves à la hauteur des raves hollandaises[6]. Lors de l'effondrement du Gabber durant la fin des années '90, un style musical alternatif, nommé Frenchcore, prend petit-à-petit place et engage une plus grande popularité que le Gabber en France. Le Gabber est souvent joué en soirée « Underground » et « Free Party ». Depuis les années 2000 et 2010, un grand nombre de producteurs et DJ français reprennent le thème et la maîtrise similaire du Gabber hollandais. Notamment, des artistes et groupes tels que DJ Ektoplasm & DJ Disorder (Total Hardcore Records), French Gabber Team (Youngsta, Comix, Crazy Killer), Tieum et les artistes du label Paris Hardcore Mafia (PHM).

Mainstream Hardcore

Au plus tard des années 1990, le Gabber connaît une modification décisive. Certains producteurs commencent à jouer un style plus lent caractérisé par une basse plus dure et plus profonde qui possède typiquement une enveloppe impossible à détailler dans un style de Gabber plus rapide (notamment oldschool). Ce tout nouveau son est désigné sous le nom de « Mainstream », « New Style » ou encore « Nu-Style » et l'ancien son, rétrospectivement, « Early Hardcore ». Alors que le tempo devient plus lent, il est catégorisé au même rythme que la hardhouse. La hardhouse était cependant typiquement haïe par les fans de Hardcore. Durant les soirées en boîte de nuit, les DJ étaient fréquemment hués par un groupe et applaudis par un autre durant la même soirée, selon le tempo et le style de musique diffusé. Ce type de comportement est similaire à la rivalité et la haine mutuelle ayant émergé les années précédentes entre les fans de Hardcore « régulier » et les fans de Happy Hardcore. Finalement, les deux styles se croisent, et le Gabber actuel oscille entre 165 et 185 BPM. Ce style est typiquement plus lent que le style Rotterdam des années 1990[7].

Mouvement Gabber

Le hakken, danse populaire et basique du mouvement Gabber.

Le mouvement Gabber était un sujet négativement critiqué, controversé et stéréotypé par les médias[8]. Ce mouvement prenait initialement une grande ampleur aux Pays-Bas et en Belgique ainsi que dans leurs régions frontalières. Toutefois, le style musical s'est essoufflé des années après sa commercialisation (aux environs de 1998), mais il a eu un impact considérable sur la société hollandaise et retrouve, depuis 2002, un nouveau souffle grâce à la popularité du Hardstyle.

Le gouvernement hollandais estimait au début des années 1990 que le mouvement Hardcore était dangereux pour la jeunesse ; selon eux, les Gabbers incitaient à la consommation de drogues, au racisme/sexisme, à l'homophobie et à la violence[8]. Une répression et une censure assez sévère s'ensuivent contre les Gabbers, dont certains tendent alors à se politiser. C'est, en effet, cette minorité qui va donner une image très négative au mouvement Hardcore, accusé de racisme, notamment avec le style vestimentaire proches des « boneheads » (crâne rasé, vêtements de la marque Lonsdale, Fred Perry, etc.) qui se développe vers le milieu des années 1990, notamment auprès des plus jeunes[8]. À l'inverse des Pays-Bas où un certain patriotisme, voire un nationalisme explicite, caractérise le mouvement, la branche allemande est initialement plutôt marquée par l'extrême gauche[réf. nécessaire].

Alors que le style vestimentaire typique des Gabbers plus âgés (jeunes adultes) intègre les vêtements de sport de la marque Australian, Cavello et Nike Air Max, d'autres se caractérisent par un air de « bonehead », parfois même nationaliste[9],[10]. En 1997, une étude, concernant 1 147 adolescents hollandais sélectionnés dans 8 écoles et 4 villes, montre que 54 % des garçons et 46 % des filles sont impliqués dans le Gabber, soit une moyenne d'âge de 15,7 ans[8].

À la fin des années 1990, le style musical gagne en influence néo-fasciste à travers la scène locale en Allemagne, aux Pays-Bas, en Italie et dans le Middle West Américain[Note 4]. Cependant, un bon nombre de fans ne participent pas à ce mouvement, et certains producteurs décident même de combattre ce mouvement raciste[Note 5]. Bon nombre de DJ et compositeurs Hardcore ne sont pas seulement blancs ; parmi eux : DJ The Viper, Nexes, Bass-D, Loftgroover, DJ Gizmo, The Darkraver, Bass Technician et HMS[11]. À la fin des années 1990 apparaît une forme typique de danse, originaire des Pays-Bas, issue de la scène Gabber. Cette danse, le « hakken », est constituée de petits pas se succédant rapidement les uns aux autres au rythme du tempo (notamment du kick). La partie inférieure du corps (en dessous de la ceinture) est la partie la plus importante de cette danse, bien que bouger les bras et le torse n'est pas inhabituel. Un bon nombre d'auditeurs considéraient que cette danse était une marche raciste voire nazie[12], mais les danseurs clamaient haut et fort qu'il ne s'agissait que d'une danse inoffensive à l'image du style musical.

Production

Angerfist, l'un des DJ les plus connus du Hardcore/Gabber.

La majorité des artistes et compositeurs utilisent un logiciel informatique de production musicale, ces logiciels incluent Cubase, FL Studio, Ableton Live, Logic, Nuendo et Reason. Les instruments utilisés dans la composition du Gabber sont assez divers et variés (Roland TR-909, notamment et majoritairement utilisé) avec un synthétiseur, Roland JP-8000, formant un son similaire à celui de la trance distordu.

Dans la sonorité Early, certains instruments tels l'orgue, à tuyaux ou électronique (comme par exemple dans les musiques « Raveworld » du groupe Rotterdam Terror Corps ou « Do The Fuck » du groupe The Stunned Guys) et l'accordéon (« Braincracking » du groupe Neophyte) et le Roland Alpha Juno sont également utilisés. Un des composants les plus caractéristiques du Early Hardcore est un stab apparu pour la première fois dans le morceau Anasthasia de T99[13]. Cette sonorité est généralement obtenue à partir du sample de "statu variabilis" dans O Fortuna de Carmina Burana. Le sample contient ou non la présence de la cymbale, selon le rendu désiré. Ce composant est présent dans de nombreux morceaux de Early Hardcore, dont Jealousy (Is A M.F.) de DJ Buzz Fuzz.

La ligne de kicks est toujours très présente, à un volume en principe assez élevé, souvent distordue ou profond selon les variantes. Aux dépens du style de Gabber que certains artistes se préparent à composer, le kick peut être caractérisé par une basse profonde, distordue et plus ou moins long. Le tempo, généralement caractérisé par le kick, oscille entre 155 et 185 BPM. Entre les kicks peut être généré un autre kick permettant de varier la ligne pour éviter toute répétition. La plupart des artistes, originellement hollandais, distordent un ou plusieurs kicks à la fin de l'une des lignes exposées dans leur composition. Le kick peut être filtré le laissant progressivement apparaître ou disparaître pour laisser place à un autre rythme. Les kicks sont majoritairement produits par le biais de VST de percussions (par exemple, Hydra (Synapse) et MicroTonic (µTonic)) et de VSTi (notamment Ohmicide et Devastor (D16))[14].

Au niveau des percussions, les cymbales suivent généralement le kick. Souvent, celui-ci est accompagné par les charleys (de la même manière que pour d'autres types de musiques électroniques), la caisse claire (ride, snaredrum) sont majoritairement utilisé pour donner une percussion plus forte et/ou un rythme varié. pour les morceaux les plus détaillés. Les hi-hats et open hats sont occasionnellement utilisés entre ou pendant les lignes durant le tempo. Les claps peuvent être utilisés pour créer un style un peu plus classique, et les crashes pour faire la transition entre les différentes parties d'un morceau.

Genres apparentés

Durant les années 2000, le Gabber s'est, encore une fois, focalisé sur un tempo plus rapide s'étendant au-delà de 200 BPM, et les genres apparentés (normalement partie intégrante des labels) exposent certains traits musicaux majoritairement définis par leur kick. Ces genres apparentés incluent :

  • Le Terrorcore - Utilisant le même kick distordu que celui des productions Gabber Nu-Style. Les pistes n'incluent aucune mélodie et le thème est souvent très agressif. Les artistes représentatifs de ce genre incluent notamment DJ Plague et Paranoizer[15].
  • Le UK Gabber - Supprimant la ligne de basse du kick en faveur d'un son plus résonnant, dans lequel est inclus un filtre. Souvent influencé par le Breakcore, utilisant un rythme au-delà du kick 4/4, cette variante du Gabber constitue un son ambient progressif. Ses artistes notoires incluent Hellfish, DJ The Producer, Bryan Fury, Deathmachine, Teknoist, et Scott Brown. Occasionnellement, les artistes du UK Hardcore tentent de produire du UK Gabber, tels Gammer et Brisk & Vagabond. Certains artistes UK Hardcore adorent inclure une petite section de Gabber Nu-Style dans leurs musiques Hardcore. Ces fans originaux incluent Hixxy et Re-Con.
  • Le Speedcore - Type de Hardcore et Gabber rapide, battant à 200 BPM ou plus[16].
    • Au-delà du Speedcore existe d'autres genres plus rapides encore. Le terme « Splittercore » est souvent utilisé pour nommer les musiques oscillant entre 500 et 900 BPM. Le terme « Extratone »[17], quant à lui, est utilisé pour nommer les musiques allant au-delà de 1 000 BPM (bien qu'il soit impossible pour l'oreille humaine de distinguer une telle quantité de kicks rapides par seconde/minute).

Artistes notables

Depuis les années 1990, certains des artistes énoncés ci-dessous sont des références actuelles en matière de musique Gabber et Hardcore. Ils ont d'abord débuté avec le mouvement Early Hardcore avant de rejoindre (ou de quitter) le mouvement Gabber. Certains d'entre eux changent de noms de scène et d'autres préfèrent choisir une voie autre que la composition musicale.

Labels notables

Logo du label Masters of Hardcore.

Événements notables

Événement A Nightmare Outdoor, photographié le 10 septembre 2006.
Outblast (gauche) et Korsakoff (droite) à Syndicate 2010.

Certains labels tels Masters of Hardcore, Megarave et ID&T ainsi que les groupes comme RTC organisent leurs propres événements à travers les Pays-Bas, l'Europe et voire même le monde entier. Ceux-ci incluent :

Notes et références

Notes
  1. Également en Belgique, en France, au Royaume-Uni, en Suisse, en Allemagne, en Italie et en Espagne.
  2. Une forte concentration de scènes japonaises locales Gabber telles que les labels Hardcore Tano*C et SharpnelSound au Japon
  3. Notamment au Royaume-Uni où le UK Hardcore est différent du UK Gabber.
  4. (en) Silcott, Mireille. Rave America: New School Dance Scapes. (Toronto: ECW Press, 1999), 114-117.
  5. United Hardcore Against Racism & Hate - Time to Make a Stand (HUR 001, Hardcore United Records, 2005.), DJ Chosen Few - Chosen Anthem (Against Racism) (MOK 8, Mokum Records 1993.), Party Animals feat. MC Rob Gee - Die Nazi Scum (MOK 54, Mokum Records 1996.) et Hellcore - Fuck the Nazism (BDR-CD-02, Braindestruction Recordz, 2003.) sont les musiques par lesquelles la lutte contre le racisme et le fascisme s'est prononcée chez les DJ engagés.
Références
  1. a et b (en) Gabber sur Corehistory. Consulté le 14 juillet 2011
  2. a et b (en) Définition du mot Gabber sur Urban Dictionnary. Consulté le 25 novembre 2010
  3. (fr) L'anthologie Thunderdome sur Thunderdome France. Consulté le 4 mai 2010
  4. (en) Biographie de DJ K.C. the Funkaholic. Consulté le 4 avril 2011
  5. (en) Site officiel d'ID&T sur Id&t. Consulté le 3 septembre 2010
  6. Arrêtés préfectoraux d'interdiction. Consulté le 4 avril 2011
  7. (en) Détails notables du Mainstream Hardcore sur Corehistory Blogspot, 2009. Consulté le 9 février 2011
  8. a, b, c et d (en) Stijn Verhagen, Frits Van Wel Ph.D., Tom Ter Bogt Ph.D. et Belinda Hibbel, Fast on 200 Beats Per Minute: The Youth Culture of Gabbers in the Netherlands, vol. 32, Kathryn G. Herr, décembre 2000 [lire en ligne] 
  9. (fr) Londsdale, marque préférée des Gabbers. Consulté le 3 septembre 2010
  10. (nl) La marque Longsdale cataloguée par deux Gabbers sur Myvideo.be. Consulté le 21 mai 2010
  11. (fr) Qui sont les Gabbers ? (ATTENTION ! certaines idéologies de ce site ne sont basées que sur le point de vue de l'auteur et ne sont pas toutes véridiques !) sur Echo62. Consulté le 14 juillet 2010
  12. (fr) Débat sur la danse Hakken sur Forum M6. Consulté le 3 septembre 2010
  13. (en) Famous Sounds. Consulté le 7 mai 2011
  14. (en) The Hardcore Tutorial: Part 2 – Create sur Traxtorm, 25 février 2011. Consulté le 12 mars 2011
  15. (en) Détails notables du Terrorcore sur Corehistory Blogspot, 2009. Consulté le 9 février 2011
  16. (en) Détails notables du Speedcore sur Corehistory Blogspot, 2009. Consulté le 9 février 2011
  17. (en) Détails notables du Extratone sur Corehistory Blogspot, 2009. Consulté le 9 février 2011
  18. (en) Enzyme Records (Cardiac.nl). Consulté le 7 février 2011
  19. (en) ID&T. Consulté le 7 février 2011
  20. a et b (en) Masters of Hardcore. Consulté le 7 février 2011
  21. a et b (en) Megarave Records. Consulté le 13 juillet 2011
  22. (en) Offensive Records. Consulté le 13 juillet 2011
  23. (en) Rotterdam Records. Consulté le 7 février 2011
  24. (en) Traxtorm Records. Consulté le 7 février 2011
  25. (en) Decibel Outdoor. Consulté le 9 février 2011
  26. a et b (en) Q-Dance. Consulté le 9 février 2011

Annexes

Bibliographie

  • (en) Stijn Verhagen, Frits Van Wel Ph.D., Tom Ter Bogt Ph.D. et Belinda Hibbel, Fast on 200 Beats Per Minute: The Youth Culture of Gabbers in the Netherlands, vol. 32, Kathryn G. Herr, décembre 2000 [lire en ligne]  Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Nicolas Dambre, Les Musiques électroniques, Éditions Alternatives, 2001 (ISBN 2862272698) 

Articles connexes

Liens externes


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