- Ruelle-sur-Touvre
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Ruelle-sur-Touvre
Fontaine François Ier et fonderie de RuelleAdministration Pays France Région Poitou-Charentes Département Charente Arrondissement Arrondissement d'Angoulême Canton Ruelle-sur-Touvre
(chef-lieu)Code commune 16291 Code postal 16600 Maire
Mandat en coursMichel Broncy
2008-2014Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Angoulême Site web www.ville-ruellesurtouvre.fr Démographie Population 7 436 hab. (2008) Densité 698 hab./km² Gentilé Ruellois Géographie Coordonnées Altitudes mini. 32 m — maxi. 170 m Superficie 10,66 km2 Ruelle-sur-Touvre est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département de la Charente et la région Poitou-Charentes.
Elle est située à l'est d'Angoulême dont elle fait partie de l'agglomération.
Sommaire
Géographie
Localisation et accès
Ruelle est une commune située à 5 km à l'est d'Angoulême, sur la route de Limoges. C'est la quatrième commune du département en population, après Angoulême, Cognac et Soyaux. Elle fait partie de l'agglomération d'Angoulême, et elle est aussi chef-lieu de canton.
Elle est traversée par la N.141 de Saintes à Limoges par Angoulême, qui passait dans le centre ville avant que ne soit construite la moitié est de la déviation de l'agglomération d'Angoulême ouverte en 1984[1]. L'ancienne route a été renommée en D.941, et la nationale passe maintenant en limite de commune au nord. C'est aussi la route Centre-Europe Atlantique et le trafic est intense entre Bordeaux ou Saintes, et Lyon ou Mâcon.
La commune est aussi traversée par la D.57 qui longe la Touvre entre Fourville (direction de Touvre et Périgueux par Sainte-Catherine) et Villement (direction du Gond-Pontouvre), ainsi que par la D.23 en direction de Champniers, la N.141 et l'aéroport.
La rocade est d'Angoulême (D.1000) passe au sud de la commune par Bel-Air (rond-point avec la D.941). C'est maintenant le moyen d'accès le plus pratique en venant de Périgueux. La rocade passe aussi à l'ouest de Villement et traverse la Touvre par un pont, pour relier la rocade est à la rocade ouest (déviation de la N.10).
Ruelle est aussi desservie par les transports en commun d'Angoulême qui desservent l'agglomération, les lignes no 1, 2, 20 et 26.
La voie ferrée Angoulême - Limoges traverse aussi la commune et Ruelle possède une gare desservie par cinq TER par jour.
Quartiers, hameaux et lieux-dits
Ruelle comprend de nombreux quartiers et lieux-dits. La ville ancienne de Ruelle était elle-même composée de quatre anciens villages, le bourg, le Maine-Gagnaud, le Pont et le Quartier neuf[2].
Comme quartiers importants, on peut citer Villement à l'ouest, les Seguins et Bel-Air au sud sur la rive gauche de la Touvre, Fourville, la Vesingade, Puyguillem (la Cité scolaire), les Grands Champs, Vaugeline et Fissac sur la rive droite, et à l'est de la commune, les Riffauds[3].
Vaugeline avec la combe au Loup était le terrain d'essai des canons forgés à la fonderie, et une petite voie ferrée la reliait à l'usine.
A noter que les quartiers de chez Grelet et Relette, au sud de la fonderie et pourtant en pleine ville, font partie de la commune de Magnac.
Communes limitrophes
Géologie et relief
La commune est entièrement dans le calcaire jurassique, plus précisément le Kimmeridgien supérieur qui est un calcaire argileux. Seuls les fonds des vallées (Touvre et Fontaine des Riffauds) sont occupées par des alluvions du quaternaire[4].
La commune est limitée au sud par les coteaux de Bel-Air, sur la rive gauche de la Touvre, et au nord-ouest par le coteau de Villement, qui sépare la vallée de la Touvre de celle du ruisseau de Viville (commune de Champniers).
Au nord-est, sur la rive droite de la Touvre, les coteaux deviennent plus abrupts et élevés et culminent à 170 m, non loin du Puy de Nanteuil (commune de Mornac), point culminant de l'agglomération (178 m). Les Riffauds, promontoire du Puy de Nanteuil, est un ancien hameau qui s'est considérablement agrandi dans les années 1970. Il s'étage entre 110 et 160 m d'altitude et offre une vue magnifique sur ce relief vallonné, Ruelle et l'agglomération d'Angoulême.
Fourville, Puyguillem, les Grands Champs et Vaugeline sont d'autres de ces promontoires qui surplombent la Touvre sur sa rive droite, et séparés par des combes, vallées sèches et courtes très étroites, comme la Combe au Loup, combe d'Arsac, la Grande Combe, combe des Robins, combe des Martins, etc.
La Touvre est à une altitude de 43 m à la fonderie, et quitte la commune à une altitude de 35 m à l'ouest[3].
Végétation
La commune est naturellement peu boisée. Les coteaux à l'est sont assez arides, mais les vallées sont fertiles et occupées par de nombreux jardins.
Hydrographie
Ruelle est située sur la Touvre, à 4 km en aval de ses sources situées à Touvre et à 6,5 km en amont de son confluent avec la Charente au Gond-Pontouvre. La Touvre traverse la commune d'est en ouest. Son débit constant et important permet d'alimenter en particulier la fonderie. Aucune crue n'est à signaler malgré les berges très basses.
Un petit ruisseau alimenté par la fontaine des Riffauds et passant derrière le cimetière se jette dans la Touvre à 100 m en amont de l'église.
Le ruisseau de Viville fait la limite de commune sur 200 m avec le Gond-Pontouvre à l'ouest[3].
Climat
Le climat est océanique aquitain et semblable à celui de la ville de Cognac où est située la station météorologique départementale.
Données météorologiques de Cognac de 1961 à 1990 Mois Jan Fév Mar Avr Mai Jui Jui Aoû Sep Oct Nov Déc Année Températures minimales (°C) 2 2,8 3,8 6,2 9,4 12,4 14,4 14 12,1 8,9 4,7 2,6 7,8 Températures maximales (°C) 8,7 10,5 13,1 15,9 19,5 23,1 26,1 25,4 23,1 18,5 12,4 9,2 17,1 Températures moyennes (°C) 5,4 6,7 8,5 11,1 14,4 17,8 20,2 19,7 17,6 13,7 8,6 5,9 12,5 Ensoleillement (h) 80 103,9 153,3 184,5 204,9 239,6 276,4 248,3 199,4 159 96,8 78,8 2024,9 Pluviométrie (mm) 80,4 67,3 65,9 68,3 71,6 46,6 45,1 50,2 59,2 68,6 79,8 80 783,6 Toponymie
En 1080 existait l'église Saint-Médard de Rodella[5].
Le nom Rodella viendrait du celte Ru signifiant gué et qui a été romanisé[6].
Ruelle ne devient Ruelle-sur-Touvre qu'en 1986.
Histoire
Au Moyen Âge, Ruelle était une paroisse portant le nom d'un fief relevant de la seigneurie de la Tranchade (famille Birot)[7].
Fissac appartenait aux Tison d'Argence et le duc de Montpensier s'y retira en 1568 après avoir échoué dans sa tentative de reprendre Angoulême aux protestants. Il y fut rejoint par le futur Henri III[8].
Le logis du Maine-Gagnaud, situé à l'emplacement de la fonderie actuelle, avait accueilli François Ier lors d'une de ses visites aux sources de la Touvre, qui y fit édifier une fontaine style Renaissance qui porte encore son nom et est exposée en face de la fonderie[2].
C'est en 1750 que le Marquis de Montalembert achète un petit moulin à papier sur la Touvre, au Maine-Gagnaud à l'emplacement de la fonderie actuelle, et en fait en 1782 une des plus belles forges du royaume[9].
Le minerai de fer nécessaire était principalement acheminé du Périgord (Javerlhac, Lussas-et-Nontronneau, Hautefaye, etc.) et des confins de l'Angoumois (Marthon, Mainzac, Grassac, etc.), où des forges secondaires étaient installées, et le bois provenait des forêts toutes proches, en particulier celle de la Braconne[10].
La route de Limoges descendant depuis les Favrauds jusqu'à la fonderie (D.941 actuelle) a été faite en 1778-1779. Elle remplaçait avantageusement l'ancien Chemin des diligences, parfois impraticable, qui passait par les Frauds et la crête de Villement, et ne traversait la Touvre qu'au Pontouvre[10],[N 1]. Un peu plus tard, la route fut prolongée vers Bel-Air et L'Isle-d'Espagnac, et le pont actuel date de 1846.
En 1880 la fonderie s'est augmentée du personnel de la fonderie de Nevers, et Ruelle a connu une explosion démographique[2].
Article détaillé : Fonderie de Ruelle.En 1801, Ruelle quitte le canton de Garat (dans laquelle elle était depuis 1793) pour former le canton d'Angoulême-2.
En 1973, Ruelle quitte le 2e canton d'Angoulême et devient le chef-lieu de son propre canton, comme Soyaux, Gond-Pontouvre et La Couronne.
En 1986 Ruelle devient Ruelle-sur-Touvre[11].
Administration
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité 1947 1989 Jean-Maurice Poitevin SFIO puis PS Conseiller général (1951-1988) 1989 1995 Robert Granet PS puis DVG Conseiller général (1988-2001) 1995 2003 Jean-Pierre Chagnaud DVG 2003 en cours Michel Broncy PS Professeur de mathématiques, Conseiller régional depuis 2010 Toutes les données ne sont pas encore connues. Intercommunalité
Ruelle appartient à la Communauté d'agglomération du Grand Angoulême qui regroupe 15 communes qui, pour 2,85% de la surface du département de la Charente représente 29,83% de sa population.
Depuis 1973, Ruelle est le chef-lieu de son propre canton.
Urbanisme
La ville s'est étendue dans les années 1970, en particulier la Cité de Villement à l'ouest, et le village des Riffauds au nord-est.
Budget et fiscalité
Démographie
Évolution démographique
En 2008, Ruelle-sur-Touvre comptait 7 436 habitants (soit une augmentation de 3 % par rapport à 1999). La commune occupait le 1 299e rang au niveau national, alors qu'elle était au 1 256e en 1999, et le 4e au niveau départemental sur 404 communes.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués à Ruelle-sur-Touvre depuis 1793.
Au début du XXIe siècle, les modalités de recensement ont été modifiées par loi du 27 février 2002, dite loi de démocratie de proximité[12], afin de permettre, après une période transitoire courant de 2004 à 2008, la publication annuelle de la population légale des différentes circonscriptions administratives françaises.
Pour les communes dont la population est inférieure à 10 000 habitants, les enquêtes sont exhaustives et ont lieu chaque année par roulement au cours d'une période de cinq ans[13]. Pour Ruelle-sur-Touvre, le premier recensement a été fait en 2005[14], les suivants étant en 2010, 2015, etc. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au 1e janvier 2009 et correspond au recensement de l’année 2006, qui, pour Ruelle-sur-Touvre, est une évaluation intermédiaire[N 2]. Le maximum de la population a été atteint en 1975 avec 8 152 habitants.
Pyramide des âges
Économie
Industrie
Le marquis de Montalembert établit en 1753 une forge à deux hauts-fourneaux destinée à la fabrication de canons pour la Marine du Roi. Elle devient propriété royale en 1776 puis devient, en 1782, « fonderie royale de la Marine ».
De 1788 à 1795, la fonderie (qui devient « nationale » après 1792) est profondément remaniée par l'adjonction de fours à réverbère sur le modèle de ceux d'Indret.
En 1803 la fonderie devient une régie nationale. Elle est de nouveau profondément modifiée dans les années 1820 : les biefs et de la Touvre prennent alors leur configuration actuelle.
En 1916, les canons de 400 mm qui écrasèrent les superstructures du fort de Douaumont, que les Allemands avaient capturé, venaient de Ruelle.
La fonderie occupe en 2005 180 salariés[19].
Article détaillé : Fonderie de Ruelle.Le moulin la Terrière fut un moulin à papier au XVIIe siècle un moulin à blé au XVIIe siècle puis un moulin à huile et une minoterie qui ont fermé à la fin du XXe siècle.
Le moulin de Villement était un moulin à blé du XVIIIe siècle. Il a été transformé en grosse forge en 1828, puis est devenu l'usine à papier Alamigeon qui employait une centaine de personnes en 1909 et une quarantaine actuellement.
Secteur tertiaire
La société informatique Sodatec emploie 110 salariés.
La société de conseil Amkey emploie 75 salariés[19].
Commerces
Ruelle possède un centre-ville commerçant. Son marché hebdomadaire en face de la fonderie est très animé. Il y a aussi un Intermarché à la sortie de la ville sur la route de Limoges.
Revenu de la population
En 2008, le revenu fiscal médian par ménage était de 18 407 €, ce qui plaçait Ruelle au 11 060e rang parmi les 31 604 communes de plus de 50 ménages en métropole[20].
Équipements, services et vie locale
Enseignement
La Cité scolaire est localisée à Puyguillen. Elle regroupe :
- le collège d'enseignement secondaire Norbert Casteret regroupe environ 600 élèves de la 6e à la 3e répartis dans 26 classes[21],[22]
- le lycée professionnel Jean Caillaud[23], qui accueille 370 élèves (2010).
- trois écoles élémentaires : Alphonse Daudet, Jean Moulin, Robert Doisneau
- trois écoles maternelles : Chantefleur, du Centre, Maine-Gagnaud[24],[6].
Ruelle possède une université populaire depuis 1902[19].
Sports et activités
Il y a 2 gymnases, 3 stades.
Santé
Médecins généralistes.
Clinique.
Cultes
Catholique. Messe 2e et 4e dimanche du mois à l'église de Ruelle, 1er et 3e samedi du mois à la chapelle des Riffauds[25].
Transports urbains
Ils sont assurés par les transports en commun d'Angoulême qui desservent l'agglomération, les lignes no 1, 2, 20 et 26.
Lieux et monuments
Patrimoine civil
La fontaine dite de François Ier a été construite au XVIe siècle et inscrite monument historique en 1925[26].
Le logis de Fissac qui date du XVIIe siècle est divisé en deux par un mur qui coupe la cour. Il a été inscrit monument historique en 1969[27].
Le logis de Villement au bord de la Touvre comme Fissac est lui divisé en trois[28].
Patrimoine religieux
La petite église paroissiale Saint-Médard de Ruelle est située au bourg, au bord de la Touvre. C'était un ancien prieuré de l'ordre de Cluny.
Patrimoine environnemental
Le Chemin des diligences (ancien chemin du Pontouvre aux Frauds) relie le nord de Ruelle au parc de la Rocade et la cité de Villement puis celle du Manot surplombant Fissac par la rue de Bellevue. Depuis la butte de Villement il nous offre une vue unique sur Angoulême, Ruelle et Champniers.
Le village des Riffauds, situé près du point culminant de l'agglomération, offre aussi une vue unique, tant du côté d'Angoulême à l'ouest qu'à l'est vers la Braconne et le massif de l'Arbre, première hauteur du Massif central.
Culture
La commune dispose d'un centre culturel et d'une médiathèque. De nombreuses expositions et animations y sont organisées.
Ruelle possède aussi un théâtre, qui a été renové en 2007 et a une capacité 650 personnes avec accès pour personnes handicapées[6].
Personnalités liées à la commune
- Marc-René de Montalembert, marquis, écrivain et hommes d'affaires, rachète en 1750 une ancienne papeterie située sur la rive gauche de la Touvre ainsi qu'un moulin à blé situé sur la rive droite. Il y établit une forge destinée à la fabrication de canons pour la Marine, qui deviendra la fonderie royale de Ruelle. Son buste en bronze est visible dans les jardins qui font face à la fonderie, de l'autre côté de l'ancienne route Angoulême-Limoges.
Jumelage
- Amstetten (Autriche) depuis 1992
- Albaida (Espagne)
- Banbridge (Irlande du Nord)
- Roudnice nad Labem (République tchèque)
Notes et références
Notes
- Il n'y avait pas d'autre pont sur la Touvre. L'autre chemin antique d'Angoulême à Limoges contournait les sources de la Touvre et passait par Bois-Blanc.
- Par convention dans Wikipédia, et afin de permettre une comparaison correcte entre des recensements espacés d’une période de 5 ans, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 d’afficher dans le tableau des recensements : la population 2006, première population légale connue post-1999, les populations légales suivantes correspondant aux années réelles de recensement et enfin la dernière population légale publiée par l’INSEE. Dans le graphique sont par contre représentés l’ensemble des populations légales publiées.
Références
- [PDF] Discours de M.Mitterrand, Président de la République, à Angoulême, Vie publique, Collection des discours publics, 1985. Consulté le 27 novembre 2010
- Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 307-308
- Carte topographique de l'IGN (cliquer sur les coordonnées dans l'infobox)
- Carte géologique du BRGM (cliquer sur les coordonnées dans l'infobox)
- Pouillé de l'abbé Nanglard
- Site de la commune
- Vigier de la Pile, Histoire de l'Angoumois, Paris, Derache (1846, Laffite reprint 2002), 1760, 160 p. (ISBN 2-86276-384-5) [lire en ligne], p. 150
- Châteaux, manoirs et logis : La Charente, éditions Patrimoine et Médias, 1993, 499 p. (ISBN 2-910137-05-8)
- Étienne Munier, L'Angoumois à la fin de l'Ancien Régime, (réimprimé en 1981 par Bruno Sépulchre, Paris), 1780, 307 p., p. 87
- Étienne Munier, L'Angoumois à la fin de l'Ancien Régime, (réimprimé en 1981 par Bruno Sépulchre, Paris), 1780, 307 p., p. 252
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur site de l'École des hautes études en sciences sociales. Consulté le 15 février 2011
- Loi no 2002-276 du 27 février 2002 relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V "des opérations de recensement".
- INSEE : Les grandes étapes : 2002 – 2009
- Calendrier des recensements des communes du département de la Charente sur www.insee.fr, Insee. Consulté le 15 février 2011
- Évolution et structure de la population (de 1968 à 2007) sur Insee. Consulté le 15 février 2011
- Recensement de la population au 1er janvier 2008 sur Insee. Consulté le 15 février 2011
- Evolution et structure de la population à Ruelle-sur-Touvre en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 28 juillet 2010
- Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 28 juillet 2010
- Ruelle-sur-Touvre », France, le trésor des régions, 2006. Consulté le 5 décembre 2010 Roger Brunet, «
- CC-Résumé statistique/com,dep,zone empl sur site de l'Insee. Consulté le 6 novembre 2010
- Collèges ». Consulté le 3 avril 2011 Site de l'inspection académique de la Charente, «
- Site officiel du collège, Académie de Poitiers, 2009. Consulté le 1er décembre 2010
- Site officiel du lycée professionnel, Académie de Poitiers, 2010. Consulté le 1er décembre 2010
- Annuaire des écoles ». Consulté le 2 avril 2011 Site de l'inspection académique de la Charente, «
- Paroisse de Ruelle, Doyenné Angoulême Est, 2010. Consulté le 5 décembre 2010
- Fontaine François Ier, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- Logis de Fissac, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- Châteaux, manoirs et logis : La Charente, éditions Patrimoine et Médias, 1993, 499 p. (ISBN 2-910137-05-8), p. 206
Voir aussi
Articles connexes
Sources
- P.M.J Conturie, Histoire de la fonderie nationale de Ruelle (1750-1940), deux tomes, Paris, 1951.
Liens externes
- Site officiel de la ville de Ruelle-sur-Touvre
Catégorie :- Commune de la Charente
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