- Les Aventuriers de l'arche perdue
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Les Aventuriers de l'arche perdue
Données clés Titre original Raiders of the Lost Ark Réalisation Steven Spielberg Scénario Lawrence Kasdan Acteurs principaux Harrison Ford
Karen Allen
Paul Freeman
John Rhys-DaviesSociétés de production Paramount Pictures
Lucasfilm Ltd.Pays d’origine États-Unis Genre Aventure, fantastique Sortie 1981 Durée 115 minutes Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution
Les Aventuriers de l'arche perdue ou Indiana Jones et les Aventuriers de l'arche perdue[1] (Raiders of the Lost Ark), est un film d'aventure fantastique américain réalisé par Steven Spielberg et sorti en 1981.
Il s'agit du premier volet de la série (mais le deuxième chronologiquement) des quatre films centrés sur le personnage d'Indiana Jones.
Sommaire
Synopsis
En 1936, le professeur d'archéologie, Henry Walton Jones Jr dit « Indiana », parcourt le monde à la recherche de trésors dont il fait don à son université. De retour d'Amérique du Sud où son principal concurrent, le Français Belloq, lui a dérobé de façon déloyale une idole en or massif, Jones est mandaté par les services secrets américains pour court-circuiter les agents du IIIe Reich qui pensent avoir localisé l'Arche d'alliance, contenant les Tables de la Loi, sur le site de Tanis en Égypte. Celle-ci étant censée conférer le pouvoir de mener n'importe quelle armée à la victoire, elle ne doit en aucun cas tomber entre les mains d'Adolf Hitler. Indiana s'envole pour le Népal où réside Marion Ravenwood, fille d'un de ses anciens professeurs et son premier amour. Cette dernière est en effet en possession du Médaillon de Râ, un artefact qui permettrait selon la légende de localiser précisément la relique sainte. Mais les nazis, secondés par Belloq, ont une longueur d'avance...
Fiche technique
- Titre original : Raiders of the Lost Ark (1981) ; Indiana Jones and the Raiders of the Lost Ark (2000)
- Titre français : Les Aventuriers de l'Arche perdue (1981) ; Indiana Jones et les Aventuriers de l'Arche perdue (2000)
- Réalisation : Steven Spielberg
- Scénario : Lawrence Kasdan, d'après une histoire de George Lucas et Philip Kaufman
- Direction artistique : Norman Reynolds, Leslie Dilley
- Décors : Michael Ford, Bill Welch
- Costumes : Deborah Nadoolman et Rita Wakely
- Maquillage : Tom Smith et Dickie Mills
- Coiffures : Patricia McDermott et Mike Lockey
- Photographie : Douglas Slocombe
- Effets visuels : Richard Edlund pour Industrial Light & Magic
- Son : Ben Burtt
- Montage : Michael Kahn (image) ; Richard L. Anderson (effets sonores), Curt Schulkey (dialogues) et Kenneth Wannberg (musique)
- Musique : John Williams, interprétée par l'Orchestre symphonique de Londres
- Cascades : Glenn Randall
- Production : Frank Marshall, Robert Watts, George Lucas et Howard Kazanjian
- Sociétés de production : Paramount Pictures et Lucasfilm Ltd.
- Société de distribution : Paramount
- Budget : 18 000 000 $[2]
- Format : Couleurs (Metrocolor) - 35 mm (Panavision) - 2,35:1 - Son stéréo Dolby
- Genre : Aventure, fantastique
- Durée : 115 minutes
- Pays d'origine : États-Unis
- Langues originales : anglais, espagnol, allemand, hébreu et arabe
- Dates de sortie :[3]
Distribution
- Harrison Ford (VF : Claude Giraud[4]) : Indiana Jones
- Karen Allen (VF : Annie Sinigalia[4]) : Marion Ravenwood
- Paul Freeman (VF : Marc Cassot[4]) : Dr René Belloq
- Denholm Elliott (VF : Raoul Guillet[4]) : Dr Marcus Brody
- Ronald Lacey (VF : Michel Gatineau[4]) : Arnold Toht
- John Rhys-Davies (VF : Albert Médina[4]) : Sallah
- Alfred Molina (VF : Jean-Jacques Steen[4]) : Satipo
- Wolf Kahler (VF : Bernard Woringer[4]) : Colonel Hermann Dietrich
- George Harris (VF : Georges Atlas[4]) : Capitaine Katanga
- Frank Marshall (VF : Marc de Georgi[4]) : Le pilote d'avion
- Dennis Muren : L'espion nazi dans l'avion
- Pat Roach : Sherpa géant / 1er mécanicien
- Anthony Higgins : Gobler
- Fred Sorenson : Jock
- Vic Tablian : Barranca / Dresseur de singe
Distinctions
Sauf mention contraire, cette liste provient d'informations de l'Internet Movie Database[5].
Récompenses
- Meilleure direction artistique pour Norman Reynolds, Leslie Dilley et Michael Ford
- Meilleur son pour Bill Varney, Steve Maslow, Gregg Landaker et Roy Charman
- Meilleur montage pour Michael Kahn
- Meilleurs effets spéciaux pour Richard Edlund, Kit West, Bruce Nicholson et Joe Johnston
- Oscar pour une performance spéciale : Ben Burtt et Richard L. Anderson (effets sonores)
- Saturn Awards 1982 :
- Meilleur film fantastique
- Meilleur acteur pour Harrison Ford
- Meilleure actrice pour Karen Allen
- Meilleur réalisateur pour Steven Spielberg
- Meilleur scénariste pour Lawrence Kasdan
- Meilleurs effets spéciaux pour Richard Edlund
- Meilleure musique pour John Williams
- Saturn Awards 1984 :
- Meilleure collection DVD pour l'ensemble de la saga
- Eddie Awards : Meilleur montage cinéma pour Michael Kahn
- American Movie Awards :
- Meilleur film
- Meilleur réalisateur pour Steven Spielberg
- Meilleur scénario pour Lawrence Kasdan
- BAFTA : Meilleure direction artistique pour Norman Reynolds
- BSFC Awards : Meilleur réalisateur pour Steven Spielberg
- Grammy Awards : Meilleur album de musique de film pour John Williams
- Prix Hugo : Meilleur film dramatique
- KCFCC Awards : Meilleur film
- Kinema Junpo Awards[6] : Meilleur film étranger pour Steven Spielberg
- Golden Reel Awards : Meilleur montage pour les dialogues ; Meilleur montage pour les effets sonores
- People's Choice Awards : Film préféré des américains
- Young Artist Awards : Meilleur film familial
- Le film a été sélectionné par le National Film Preservation Board pour figurer dans le National Film Registry en 1999.
Nominations
- Meilleur film pour Frank Marshall
- Meilleur réalisateur pour Steven Spielberg
- Meilleure photographie pour Douglas Slocombe
- Meilleure musique de film pour John Williams
- Saturn Awards 1982 :
- Meilleur acteur dans un second rôle pour Paul Freeman
- Meilleurs costumes pour Deborah Nadoolman
- Meilleur film
- Meilleur second rôle pour Denholm Elliott
- Meilleure photographie pour Douglas Slocombe
- Meilleur montage pour Michael Kahn
- Meilleur son pour Roy Charman, Ben Burtt et Bill Varney
- Anthony Asquith Award : Meilleure musique de film pour John Williams
- César 1982 : Meilleur film étranger
- DGA Awards : Réalisateur du meilleur film de l'année pour Steven Spielberg
- Golden Globes : Meilleur réalisateur pour Steven Spielberg
- WGA Award : Meilleur scénario original pour Lawrence Kasdan, George Lucas et Philip Kaufman
Box-office
Production
Genèse
La création d'Indiana Jones a lieu sur une plage d'Hawaï. George Lucas avait alors pour habitude, lorsqu'un de ses films s'apprêtait à sortir, de passer quelques jours au soleil de Hawaï. Il est rejoint cette année-là par Steven Spielberg. Certains du succès de leurs prochains films (Star Wars et Rencontres du troisième type), ils envisagent d'autres projets. Spielberg révèle à Lucas qu'il avait contacté le producteur des James Bond, Albert R. Broccoli, afin de pouvoir réaliser un épisode de la saga, mais que ce dernier avait refusé, sous prétexte qu'il fallait être obligatoirement, tout comme l'acteur incarnant l'espion, originaire d'un pays du Commonwealth. Lucas indique alors qu'il a une bien meilleure idée et il raconte les grandes lignes de ce que sera Les Aventuriers de l'arche perdue. Ils se promettent également que si le film devenait un succès, une trilogie naîtrait. Après leurs vacances, Lucas et Spielberg appellent Lawrence Kasdan, afin qu'il développe le scénario avec Lucas et, plus tard, Philip Kaufman.
Lors de la mise en chantier du scénario, Spielberg se rappelle de L'Homme de Rio avec Jean-Paul Belmondo qui avait eu un certain retentissement aux USA en 1964 et le revoit plusieurs fois. Ce film français de Philippe de Broca devient une source d'inspiration pour le réalisateur[8],[9] à tel point que Spielberg écrit une lettre à de Broca pour lui exprimer sa passion et sa reconnaissance. L'ironie veut que ce film soit lui-même inspiré des Aventures de Tintin[10] que Spielberg découvrira aux cours d'interviews à l’occasion de la promotion européenne de son film en 1981[11],[12].
Distribution
Tom Selleck fut contacté par la production pour incarner Indiana Jones mais le contrat le liant à la série Magnum le contraint à renoncer au rôle[13]. Nick Nolte fut également contacté mais il refusa, tout comme Jeff Bridges. Steven Spielberg persuada alors George Lucas de donner le rôle à Harrison Ford, impressionné par sa performance dans le rôle d'Han Solo, dans L'Empire contre-attaque[14].
Les actrices Amy Irving (future femme de Spielberg) et Debra Winger ont été pressenties pour jouer le rôle de Marion. C'est finalement Karen Allen remarquée dans American College qui a été choisie.
Originellement, Spielberg voulait Danny DeVito dans le rôle de Sallah mais celui-ci refusa, car il devait honorer son contrat pour la série Taxi[14]. Quant au rôle de Belloq, l'italien Giancarlo Giannini et l’acteur-chanteur français Jacques Dutronc furent les premiers choix de Steven Spielberg. Mais comme aucun des deux ne parlait un mot d'anglais, le réalisateur jeta finalement son dévolu sur le Britannique Paul Freeman.
Tournage
Le tournage débute le 23 juin 1980 à la Rochelle, en France dans la base sous-marine de La Rochelle pour les scènes dans les cavernes souterraines impliquant le sous-marin nazi. Le sous-marin est un authentique vestige de la Seconde Guerre mondiale qui fut loué à Wolfgang Petersen qui l'utilisait pour son film, Das Boot. L'équipe de tournage s'installa ensuite aux studios d'Elstree pour les scènes impliquant le « Puits des âmes », l'intérieur du temple de la séquence d'ouverture et le bar de Marion Ravenwood au Népal.
Toutes les scènes censées se situer en Égypte ont été filmées en Tunisie. Le canyon où Indiana menace de faire sauter l'Arche d'alliance est situé à Sidi Bouhlel, juste en dehors de Tozeur. C'est au même endroit que furent tournées en 1977 les scènes de la planète Tatooïne où R2-D2 est attaqué par les Jawas dans La Guerre des étoiles (l'équipe de tournage était du reste quasiment la même). Les scènes de Tanis ont été filmées dans la ville voisine de Sedala. Ce fut une expérience difficile pour l'équipe de tournage à cause de la chaleur et des maladies. Spielberg décida d'écourter les prises de vues en ramenant le temps de tournage sur place de six semaines à quatre et demi[14].
La scène de dialogue des escaliers intérieurs de Washington D.C. a été en réalisé tournée à la mairie de San Francisco. L'université du Pacifique à Stockton (Californie) a servi de décor pour les extérieurs de l'université où Jones travaille, tandis que sa classe et le hall où il reçoit les services secrets américains ont été filmé à la Royal Masonic School à Rickmansworth dans le Hertfordshire (Angleterre). Les extérieurs de sa maison ont été filmés à San Rafael en Californie. Les extérieurs de la scène d'ouverture du film ont été filmés à Kauai (Hawaii) en septembre, finissant ainsi le tournage sous la barre des 73 jours initialement prévus.
La scène de poursuite du camion a été entièrement tournée par la seconde équipe d'après le storyboard de Spielberg, bien qu'ils décident d'y ajouter la séquence où Indiana est trainé par le camion, une Mercedes type 320 noire de 1936, prêtée par un collectionneur. En revanche, le camion utilisé par Indiana lors de cette même poursuite est un GMC auquel le logo Mercedes a été ajouté sur la calandre.
Le tournage des scènes du Douglas DC-3 dans laquelle Jones vole vers le Népal furent empruntées au film de Frank Capra Horizons perdus (1937), tandis qu'une scène de rue fut reprise de L'Odyssée du Hindenburg (1975) de Robert Wise. Le tournage de la scène où Indy débarque d'un hydravion Boeing China Clipper fut compliqué parce que plus aucun exemplaire n'existait. La production dut se contenter d'un hydravion Short Solent anglais ayant appartenu auparavant à Howard Hugues et qui se trouvait en Californie.
La scène du « Puits des âmes » a requis plus de 7000 serpents, dont certains très venimeux comme des cobras. Un membre de l'équipe de tournage fut mordu par un python. Certains ne bougent pas beaucoup : en effet, même après avoir dévalisé les animaleries des alentours, il n'y en avait pas assez ; ils ont donc été remplacés par des bouts de tuyaux d'arrosage. Pour la scène où Indiana se retrouve nez à nez avec un cobra, on peut apercevoir sur l'écran son reflet et celui d'un projecteur car une vitre avait été posée entre l'acteur et le reptile pour éviter que Harrison Ford ne se fasse mordre. Cette erreur a été gommée lors de la restauration numérique du film pour l'édition DVD.
Une boule en fibre de verre de 7 mètres de diamètre a été créée pour la scène où Indiana s'échappe du temple. Spielberg fut tellement impressionné par la création du décorateur Norman Reynolds, qu'il décida d'augmenter la longueur de la course du rocher de 15 mètres pour mieux en profiter.
Beaucoup de scènes furent improvisées comme la scène où Marion met sa robe et tente de s'échapper de la tente de Belloq, ainsi que la scène du combat autour de l'avion. Durant le tournage de cette scène, Ford se lésa le ligament croisé de la jambe gauche à cause de la roue de l'avion qui lui passa sur le genou.
La scène culte, tourné à Kairouan, où le sabreur confirmé se fait descendre d'une seule balle par Indiana Jones n'était pas dans le scénario qui prévoyait un combat au fouet et au sabre. Mais Harrison Ford, atteint de dysenterie comme la plupart des autres membres de l'équipe, se sentait incapable de tourner une scène entière de combat à l'épée. Il demanda donc à Spielberg que la scène soit raccourcie. Steven Spielberg suggéra alors qu'Indiana dégaine son arme et tue son adversaire. Dans le livre The Harrison Ford Story, Ford affirme être à l'origine de la modification et avoir suggéré « Et si je descendais juste ce crétin ? » à Spielberg qui lui aurait alors répondu avoir eu la même idée[15].
Accueil
Le film a réalisé les plus grosses recettes en 1981 aux États-Unis[16]. Il a reçu un accueil critique très positif, recueillant 94 % de critiques favorables, avec un score moyen de 8,9⁄10 et sur la base de 50 critiques collectées, sur le site Rotten Tomatoes[17]. Sur le site Metacritic, il obtient un score de 90⁄100, sur la base de 11 critiques collectées[18].
En 1999, le film a été sélectionné par le National Film Preservation Board pour être ajouté au National Film Registry conservé à la Bibliothèque du Congrès en raison de son apport culturel, historique et esthétique à la culture américaine.
L'American Film Institute l'a classé en 2011 à la 66e place dans sa liste des « 100 meilleurs films américains »[19].
En 2008, le magazine Empire l'a classé à la 2e place dans sa liste des « 500 meilleurs films de tous les temps »[20].
Le film figure à la 23e place du Top 250 du classement des films de l'Internet Movie Database, basé sur les votes du public, avec une note moyenne de 8,7⁄10[21].
Autour du film
- De nombreux clins d'œil aux bandes dessinées Picsou de Carl Barks nourrissent ce premier Indiana Jones. La scène du boulet est certainement la plus célèbre chez les fans du canard. C'est un hommage de Spielberg à Barks dont il est fan depuis son enfance.
- Des références à Star Wars se retrouvent dans le film. Par exemple : dans le puits des âmes, on peut voir des hiéroglyphes à l'effigie de R2-D2 et C-3PO; l'immatriculation de l'avion de Jock est OB-CPO, une référence à Obi-Wan Kenobi et C-3PO.
- Quand Indy va au Népal, on peut voir en pays la Thaïlande, alors qu'elle n'existe pas en 1936.
- Vers la fin du film, on peut voir Indiana Jones menacer les nazis avec un lance-roquette, or ce genre d'arme ne fut inventé que vers 1942, avec le bazooka M1 puis le Panzerschreck. De même, les Allemands utilisent des pistolets mitrailleurs MP40/MP38 qui n'étaient pas encore produits à cette époque.
- La série South Park a parodié quelques scènes du film dans l'épisode 609 Bérets gratos dans le but de critiquer les modifications des films comme E.T., Star Wars ou Les Aventuriers de l'Arche perdue. Les scènes sont alors refaites avec les personnages de la série mais par exemple avec des talkie-walkies à la place des armes présentes dans le film.
- En septembre 2011, Steven Spielberg a confirmé la sortie de la série Indiana Jones sur Blu-Ray en 2012[22].
Notes et références
- Titre de la ressortie en vidéo en 2000, par une volonté d'homogénéisation avec le reste de la saga.
- (en) Raiders of the Lost Ark sur Box Office Mojo. Consulté le 18 septembre 2011
- Dates de sortie - Internet Movie Database
- Fiche de doublage français de Indiana Jones et les Aventuriers de l'arche perdue, VoxoFilm. Consulté le 18 septembre 2011
- (en) Awards for Les Aventuriers de l'arche perdue, Internet Movie Database
- Kinema Junpo Décernés par les lecteurs de la revue
- Les Aventuriers de l'arche perdue sur JP's Box-Office. Consulté le 18 septembre 2011
- L'Homme de Rio, louvreuse.net, 26 octobre 2011. ZUG,
- Tintin, Hergé et le Cinéma, revueversus.com, 12 octobre 2011. Philippe Lombard,
- « Les Aventures de Tintin, Le Secret de la Licorne : Tintin le reporter, « égérie » de Spielberg », revueversus.com, 25 octobre 2011.
- gemini.neetwork.net Les Mystères de Tintin (4) : Steven Spielberg et Tintin par Gemini - 6 octobre 2011
- « L'innocence perdue des premiers Tintin », lesoir.be, 21 octobre 2011. Daniel Couvreur,
- Selleck a d'ailleurs parodié dans l'épisode Les Aventuriers... le célèbre archéologue, avec tout son attirail.
- Secrets de tournage, AlloCiné
- The Urban Legends of Indiana Jones
- (en) 1981 Domestic Grosses sur Box Office Mojo. Consulté le 18 septembre 2011
- (en) Raiders of the Lost Ark sur Rotten Tomatoes. Consulté le 18 septembre 2011
- (en) Raiders of the Lost Ark sur Metacritic. Consulté le 18 septembre 2011
- (en) AFI's 100 Years… 100 Movies sur American Film Institute. Consulté le 18 septembre 2011
- (en) The 500 Greatest Movies of All Time, Empire. Consulté le 18 septembre 2011
- Les Aventuriers de l'arche perdue, Internet Movie Database. Consulté le 18 septembre 2011
- (en) [1], On parle de films, 14 septembre 2011.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Les Aventuriers de l'arche perdue sur l’Internet Movie Database - Version plus complète en anglais
- Les Aventuriers de l'arche perdue sur AlloCiné
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