Tozeur

Tozeur

33° 55′ N 8° 08′ E / 33.92, 8.14

Tozeur
Ruelle du vieux quartier de Tozeur
Administration
Pays Drapeau de Tunisie Tunisie
Gouvernorat Tozeur
Délégation(s) Tozeur
Maire Mondher Sabri[1]
Code postal 2200
Site web officiel Municipalité de Tozeur
Démographie
Population 32 400 hab. (2004[2])
Gentilé Tozeurien
Géographie
Tunisian Republic location map.svg
Tozeur
Tozeur

Tozeur (توزر) est une ville du Jérid tunisien et le chef-lieu du gouvernorat du même nom. Elle compte 32 400 habitants selon le recensement de 2004[2].

Située au nord-ouest du Chott el-Jérid, elle se trouve à 450 kilomètres au sud-ouest de Tunis. Il s'agit de l'une des oasis situées aux portes du désert du Sahara. Tozeur est une ville avec un passé religieux important et connue pour ses lettrés comme sa géographie contemporaine, parsemée de marabouts, en témoigne.

Sommaire

Étymologie

Le comte Auguste-Antoine du Paty de Clam (1856-1929), officier, administrateur des colonies, archéologue et membre de la Société de géographie de Paris passionné par l'histoire de la Tunisie[3], a émis quatre hypothèses concernant l'origine du nom de Tozeur[4]. La première suppose que l'appellation existait déjà dans l'Égypte antique sous la forme de Tes-Hor signifiant « ville du soleil » et que les Grecs transforment plus tard en Apollonites ; une colonie venue de cette ville aurait peut-être repris la même appellation. La seconde hypothèse indique qu'il viendrait du nom de la pharaonne Taousert — signifiant en égyptien « la puissante » — et qui monta sur le trône après la mort de son mari Séthi II (pharaon de la XIXe dynastie et petit-fils du célèbre pharaon Ramsès II). La ville de Tozeur serait un hommage rendu par une colonie kouchite à cette reine qui fut la dernière représentante de la dynastie. Cette hypothèse est corroborée par le fait que l'architecture de Tozeur est caractérisée par l'usage de la brique en terre séchée au soleil puis cuite. Or, l'Égypte antique est connue pour avoir utilisé un tel savoir-faire dans ses constructions urbaines[5].

La troisième hypothèse indique que le mot est une forme féminine berbère de l'adjectif « fort », Taouser, dont la forme signifierait « forte ». D'ailleurs, en 205 av. J.-C., le royaume berbère de Massinissa s'étendait jusqu'à cette ville. La dernière hypothèse suppose que le nom de la ville est l'une des figures du nom Utsuur, c'est-à-dire « celle d'Assur » ou « celle provenant d'Assur » car le nom de la ville serait un hommage rendu par une colonie assyrienne à leur patrie d'origine.

Quant au philosophe tunisien Youssef Seddik, il rejoint plutôt l'hypothèse d'une origine égyptienne antique du nom :

« Ne serait-on pas tentés de voir dans ce mot de Tozeur le très lointain écho d'une origine égyptienne antique de cette terre ? Le « T » étant [un] préfixe qui marque le lieu comme dans Thèbes, Tamazret, Tafilalt ou Tamanrasset, Ozeur ou Ozir étant l'apocope d'Osiris, le dieu morcelé[6]. »

Géographie

La ville est entourée d'une palmeraie d'approximativement 1 000 hectares[7], abritant quelque 400 000 arbres[7],[8] autrefois irrigués par quelque 200 sources remplacées dès 1995 par les nombreux forages modernes qui alimentent désormais Tozeur. Même si la nappe phréatique reste surexploitée, des mesures comme l'introduction du goutte-à-goutte ont permis d'économiser de 35 à 30 % de la consommation[9]. La palmeraie se découpe en milliers de petits jardins (en moyenne d'un demi-hectare) plus ou moins bien entretenus : seules 25 % des terres sont cultivées et de nombreux palmiers meurent faute d'entretien[8]. Néanmoins, 500 nouveaux hectares ont pu voir le jour grâce à l'exploitation de la géothermie[9]. Elle a servi de décor pour de nombreux films comme Star Wars ou Le Patient anglais[7].

Histoire

La région connaît un peuplement ancien, notamment durant la civilisation préhistorique du capsien et, comme toute l'Afrique du Nord, s'appuie sur un fond berbère même si on n'en trouve guère de trace et si la tradition locale ne le revendique pas : elle se positionne en effet sur une arabité qui fait le lien avec le prophète Mahomet.

Elle devient très vite un centre actif du commerce caravanier transsaharien fréquenté par les Carthaginois. En 148 av. J.-C., elle est citée par Ptolémée qui l'appelle Tisouros. Les Romains, en pleine conquête de la rive sud de la mer Méditerranée, s'y installent en 33 av. J.-C., la ville prenant alors le nom de Thusuros dans la Table de Peutinger, les vestiges de cette époque sont rares mais visibles :

« Des vestiges d'une ancienne présence romaine sont visibles à Tozeur. Il en est ainsi de l'existence de quelques pierres de taille dans certains répartiteurs des seguias de l'oued ou, encore, de celle de blocs antiques comme ceux qui entourent la base de la tour (ancien minaret) d'al-Hadhar. De même le quartier de Helba, aujourd'hui habité par des Rkârka, est réputé contenir les ruines d'une ancienne cité[10]. »

Au-delà, il ne reste que les témoignages de Pline l'Ancien, certes lyriques mais précieux, décrivant la beauté paradisiaque de l'endroit[11]. La ville devient un poste sur le limes saharien, sur la voie romaine allant de Gabès à Biskra, spécialisé dans le commerce des dattes mais aussi des esclaves. De l'influence chrétienne sous saint Augustin, il subsiste les vestiges d'une église reprise ensuite par la mosquée El Kasr, située à Bled al-Hadhar, et certains rites comme le Sidi Yuba qui consiste à baptiser les garçons avant la circoncision[7].

Minaret de la Grande mosquée de Tozeur

Pendant le Moyen Âge, la région de Tozeur est appelée « pays de Qastiliya » — nom mentionné par le célèbre géographe arabe Al-Bakri (1014-1094)[12] — du fait de la succession de villages fortifiés appelés castella, ce qui transforme au fil du temps Tozeur et ses alentours en refuge pour divers dissidents (donatistes chrétiens, chiites et kharidjites)[7]. L'esprit contestataire des habitants, qui développent une identité forte, les poussent à fomenter une révolte menée par Abu Yazid durant douze ans contre le régime des Fatimides (935-947)[7]. Il fondent aussi des principautés indépendantes du pouvoir central qui finissent par être reconquises par les Hafsides[7]. Selon une autre approche plus mythologique qu'historique, le mot Qastiliya fait allusion à Qustal, fils de Sem[Qui ?] et petit-fils de Noé qui aurait fondé la ville après le déluge[13].

Jusqu'au XIIe siècle, Tozeur est un centre culturel florissant accueillant de nombreux théologiens et voyant se développer une tradition orale parmi les plus riches du Maghreb et une tradition poétique qui se perpétue jusqu'au XXe siècle, notamment à travers le grand poète Abou el Kacem Chebbi[7]. On doit aussi en la personne d'Ibn Chabbat — de son vrai nom Abou Abdallah Ibn Ali Ibn Al Chabbat Al Touzri né en 1221 à Tozeur et mort le 19 juillet 1282[14] —, homme de lettres, mathématicien, poète, juriste (cadi à Tozeur et précepteur à la mosquée Zitouna de Tunis) mais surtout horticulteur et hydraulicien, la conception et la réalisation d'importants travaux avant-gardistes sur la culture du palmier et l'amélioration notable d'un système de répartition des eaux qui fonctionne encore de nos jours dans plusieurs oasis du sud tunisien[15]. Son plan du XIIe siècle est exposé au Musée des arts et traditions populaires de Tozeur. La cité se développe en dehors de sa palmeraie et connaît un grand essor économique jusqu'à son apogée au XIVe siècle. L'historien Ibn Khaldoun raconte l'activité importante que connaît Tozeur à cette époque :

« Tous les jours que Dieu fait, quelque mille dromadaires sortaient de la ville vers l'Afrique et l'Asie[7]. »

En 1730, le célèbre voyageur anglais Thomas Shaw (1694-1751), visitant Tozeur, signale l'importance commerciale de la ville à telle enseigne que les marchands locaux allaient jusqu'en Éthiopie pour chercher des esclaves au prix de deux ou trois quintaux tunisiens par esclave[4]. Tozeur reste une ville de destination ou de passage pour de grandes caravanes jusqu'au XIXe siècle, époque où elle se replie sur la production de dattes. Elle est alors, selon le témoignage du comte du Paty de Clam qui l'a visité à la fin du XIXe siècle, la plus vaste, la plus importante et la plus belle oasis du Jérid[4]. Certains voyageurs européens, durant cette période, iront même jusqu'à indiquer que la ville de Tozeur était aussi grande que celle d'Alger[4].

Alors que la municipalité est créée le 23 juillet 1888[16], le développement des villes minières voisines de Métlaoui et Redeyef, vers les années 1950, voit la population de Tozeur diminuer.

Architecture et urbanisme

Mur en brique traditionnelle

L'une des parties de la ville ancienne est construite en briques (valorisées aujourd'hui dans un but touristique) d'argile. Les maçons ont créé sur les façades des motifs en relief inspirés des tapis et de la calligraphie. Elles sont posées de façon à augmenter la surface du mur qui se trouve à l'ombre[7]. Les maisons de l'un des plus vieux quartiers de Tozeur (Ouled el-Hadef) sont ainsi dotées de cette architecture, ses petites ruelles (datant du XIVe siècle) formant un véritable labyrinthe.

Culture

Le musée Dar Cheraït, premier musée privé tunisien fondé en 1990, abrite une collection de nombreuses œuvres d'art et d'ustensiles témoignant de la vie des familles tunisiennes au cours des différentes époques même si elle est très peu centrée sur la vie locale[7].

Dromadaire au zoo de Tozeur

Le zoo du désert héberge toutes sortes d'animaux du désert : serpents, scorpions, fennecs, gazelles, chacals, couple de lions et l'immanquable dromadaire qui boit du Coca-Cola à la bouteille, curiosité locale des touristes.

Économie

Agriculture

Travailleur sur un palmier-dattier

La région de Tozeur continue de vivre essentiellement de son économie oasienne : l'agriculture reste l'activité maîtresse de la cité qui voit la moitié des 100 000 habitants de la région dépendre de ce secteur[9]. L'organisation agricole, autrefois centrée sur une utilisation raisonnable de l'eau, permettait une production maraîchère importante dans la palmeraie (salades, blettes, carottes, bananes, dattes, etc.)[8] qui assurait l'autosuffisance de la population[9]. Dès le XIVe siècle, le plan d'irrigation au travers des seguia assurait gratuitement une répartition de l'eau mesurée par le gadous (sablier hydraulique)[8], dont le nom vient du latin cadus (clepsydre), lui-même émanant du grec kados[17].

La survie d'un tel terme depuis l'Antiquité montre à quel point la région de Tozeur a été le réceptacle de cultures méditerranéennes qui apportèrent leur savoir-faire en matière d'agriculture et de techniques d'irrigation relatives à l'environnement oasien. Depuis les plans d'irrigation et de fixation des nomades en vue de l'éducation des enfants des années 1990, l'agriculture s'est fortement développée. De nouvelles oasis ont été créées et les palmeraies existantes ont été développées ; la surface consacrée à la culture du palmier a doublé en vingt ans, entraînant un renouveau du secteur de l'agriculture en termes quantitatifs, qualitatif, et d'emplois associés. Le travail dans les palmeraies étant pour l'essentiel saisonnier (entretien, fécondation, récolte), il autorise en général une deuxième activité pour les ouvriers agricoles. Cependant, selon Claude Llena dans son article de 2004, la situation des agriculteurs s'est fortement dégradée au XXe siècle car l'eau est « devenue un bien comme les autres » en devenant payante, l'arrosage se montant à 30 à 50 millimes par mètre cube pour un arrosage hebdomadaire[9], conduisant nombre d'agriculteurs à travailler dans le secteur touristique[8]. Selon d'autres sources, le coût annuel de l'irrigation de 5 000 m2 de palmeraie équivaut à la production dattière de deux palmiers[9].

La production annuelle de dattes se monte à 35 000 tonnes, dont 4 000 issues de l'agriculture biologique et les deux-tiers de la variété des deglet nour[9] ; elle représente le tiers de la production nationale[9]. Les autorités cherchent également à développer la pratique de la culture à trois étages : maraîchage au sol, arbres fruitiers puis palmiers au-dessus[9].

Tourisme

Au début des années 1990, le gouvernement tunisien entreprend de développer le tourisme saharien. Une douzaine d'hôtels de grand standing voit alors le jour pour attirer des touristes par des séjours clés en main[8]. En mai 2008, la région incluant Tozeur, Nefta et Tamerza compte 41 unités hôtelières dont trois établissements cinq étoiles et a accueilli 338 000 visiteurs en 2007[9]. Toutefois, selon Claude Llena, c'est la « minorité possédante et le capital touristique du Nord [qui] ont rapidement mis la main sur cette rente touristique au détriment de la population locale »[8] ; le secteur n'engendre en effet que 2 500 emplois permanents et 5 000 emplois indirects.

Terrain de golf de Tozeur

La durée moyenne du séjour des touristes reste faible ; certains l'expliquent par le fait qu'ils sont de passage dans le cadre de circuits organisés depuis les stations balnéaires du littoral[9] alors que d'autres soutiennent que ce nombre limité s'explique par une orientation vers un tourisme haut de gamme. L'aéroport international de Tozeur-Nefta, mis en exploitation en 1980 et voué aux charters, n'atteint ainsi pas sa pleine capacité (86 000 passagers en 2007 sur une capacité de 400 000).

C'est dans ce contexte que se situe l'aménagement d'un terrain de golf, le Golf des Oasis, inauguré en plein désert en novembre 2006. Toujours selon Claude Llena, ce golf touche les abords de la palmeraie et puise dans la nappe phréatique pour maintenir le gazon planté en plein désert[8] même si 90 % de la consommation en eau de la ville reste liée à l'agriculture[9]. Toutefois, d'après les sources institutionnelles, le golf est arrosé par de l'eau provenant du recyclage des eaux usées des établissements hôteliers ; une installation de relèvement et 15 kilomètres de conduites, installées en partie au fond de l'oued qui passe au pied du golf, permettent cette récupération[18],[19]. Par ailleurs, le golf a été installé sur des terrains pris sur le désert, sur la rive droite de l'oued, et ne touche pas à la palmeraie[20] ; il interdit cependant l'accès des artisans de la briqueterie à une carrière d'argile située dans son emprise, obligeant ceux-ci à faire venir de l'argile par camion.

À l'entrée du golf, le parc du belvédère de Ras El Aïn (رأس العيون soit « Tête des sources » en arabe) est dédié au poète Abou el Kacem Chebbi, natif de Tozeur. Il est aussi appelé « parc des amoureux » car il est bordé de grandes plaques en céramique bilingues (arabe-français) portant des textes célébrant l'amour. Le rocher qui constitue son centre est en fait une construction artificielle de métal et d'argile[21].

Briqueterie

La production de la brique traditionnelle de Tozeur, outre son impact sur l'architecture des villes du Jérid, fait également partie de l'économie locale. Une certaine extension de cette activité est même prévue[22].

Les briques sont fabriquées à partir de trois composants : deux-tiers d'argile blanche, un tiers d'argile rouge et de l'eau. La pâte obtenue étant très liquide, des cendres de palmes sont utilisées pour protéger les briques lors de leur séchage au soleil. Elles sont ensuite empilées par charges de 10 000 et cuites dans des fours verticaux ; le combustible utilisé est de la palme séchée, une énergie renouvelable abondamment disponible dans l'oasis. La couleur de la brique obtenue dépend de la durée de la cuisson et varie du rouge au vert en passant par le marron et le jaune sable qui est la couleur de référence.

Le secteur emploie une vingtaine de familles, les plans de développement insistant sur la nécessité de préserver l'utilisation de ces briques traditionnelles[22] ; elles permettent notamment de substantielles économies en matière de climatisation[23] par leurs propriétés mais aussi par leur disposition en relief sur les murs, qui diminuent l'absorption des rayons solaires.

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Personnalités

Références

  1. (fr) « Dissolution de 22 conseils municipaux et désignation de délégations spéciales », Leaders, 19 avril 2011
  2. a et b (fr) Recensement de 2004 (Institut national de la statistique)
  3. (fr) [doc] Présentation par la Bibliographie du Maghreb antique et médiéval
  4. a, b, c et d Auguste-Antoine du Paty de Clam, Fastes chronologiques de Tozeur, éd. Challamel, Paris, 1890
  5. Abdelhamid Larguèche, Revoir El Jerid, éd. Mirage, Tunis, 2005
  6. Abdelhamid Larguèche, op. cit., p. 76
  7. a, b, c, d, e, f, g, h, i, j et k (fr) Fawzia Zouari, « Tozeur. L'oasis majuscule », Jeune Afrique, 18 mai 2008, pp. 52-55
  8. a, b, c, d, e, f, g et h (fr) Claude Llena, « Tozeur ravagée par le tourisme », Le Monde diplomatique, juillet 2004, p. 19
  9. a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k et l Abdelaziz Barrouhi, « L'art et la manière de gérer l'eau », Jeune Afrique, 18 mai 2008, pp. 57-58
  10. Nicolas Puig, « Ceux de derrière le cimetière. Appartenances urbaines et stigmatisations à Tozeur (Jérid, Sud-Ouest tunisien) », Genèse, n°51, juin 2003
  11. Abderrazak Cheraït, Abou el Kacem Chebbi, éd. Appolonia, Tunis, 2002, p. 15
  12. Al-Bakri, Description de l'Afrique septentrionale, traduction de William Mac Guckin de Slane, éd. Adolphe Jourdan, Alger, 1913
  13. (fr) Aperçu historique sur la ville de Nefta (Découvrir le secret du Sahara)
  14. (fr) Raouf Bahri, « Grandes figures de la Tunisie », Réalités, 27 mai 2008
  15. (en) [PDF] Mohamed Bazza, Overview of the history of water resources and irrigation management in the Near East region, éd. FAO, Héraklion, 28-30 octobre 2006
  16. (fr) Présentation de la commune : date de création (Municipalité de Tozeur)
  17. Abdelhamid Larguèche, op. cit., 2005, p. 34
  18. (fr) [PDF] Golf en Tunisie (Tourisme pour tous)
  19. (fr) Parcours de l'oasis de Tozeur (FullGolf)
  20. (fr) Implantation du golf (Google Earth)
  21. (fr) Le Belvédère (Ma Tunisie)
  22. a et b (fr) [PDF] Programme régional de l'environnement (Ministère de l'environnement)
  23. (fr) « Économie d'énergie : les briques de Tozeur à la rescousse ! », Le Quotidien, date inconnue

Bibliographie

  • Nicolas Puig, Bédouins sédentarisés et société citadine à Tozeur (Sud-Ouest tunisien), éd. Karthala, Paris, 2003 (ISBN 2845864736)
  • Nicolas Puig, « Entre souqs et musées : territoires touristiques et société oasienne à Tozeur en Tunisie », Espaces et sociétés, n°100, 2000, p. 57-78
  • Lucienne Saada, Éléments de description du parler arabe de Tozeur (Tunisie) : phonologie, morphologie, syntaxe, éd. Librairie orientaliste Paul Geuthner, Paris, 1984 (ISBN 2705301496)

Lien externe

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