- Université de Caen Basse-Normandie
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Université de Caen Basse-Normandie Nom original Université de Caen Informations Fondation 1432[1] Type Université publique Régime linguistique français Localisation Coordonnées Ville Caen Pays France Campus Campus 1, Campus 2, Campus 3, Campus 4, Campus 5, sites de Alençon, Cherbourg, Lisieux, Saint-Lô, Vire Direction Président Josette Travert Chiffres clés Personnel 700 IATOS Enseignants 1 000 Étudiants 24 000 Divers Affiliation Normandie université Site web www.unicaen.fr/ Géolocalisation sur la carte : Basse-Normandie
Géolocalisation sur la carte : Caen
modifier L’université de Caen, dont le nom complet actuel est Université de Caen Basse-Normandie (UCBN), est une université française, basée à Caen (Calvados). C’est la seule université de la région, c’est pourquoi elle est multidisciplinaire. Pour l'année 2009-2010, 24 224 étudiants y étaient inscrits, dont 21 617 sur les sites caennais[2].
Elle regroupe 11 unités de formation et de recherche, et comprend également un institut de préparation à l’administration générale (IPAG), un institut d’administration des entreprises(IAE), un Institut de biologie fondamentale et appliquée (IBFA), un institut universitaire de formation des maîtres (IUFM) et une école d’ingénieur. L’École nationale supérieure d'ingénieurs de Caen est rattachée à l’université.
Sommaire
Historique
Les deux fondations au XVe siècle
La prise de la ville de Caen en 1417 par le roi Henri V d'Angleterre ayant entraîné la destruction ou l’abandon des institutions éducatives précédentes, il se contenta d’y établir des écoles de théologie et de droit. C’est sous son fils Henri VI, duc de Normandie, que le duc de Bedford a fondé l’université de Caen en 1432[1] pour se concilier la population. Les lettres patentes accordées l’année précédente ne la dotaient que de facultés de droit canonique et droit civil mais les facultés des arts, médecine et théologie sont instituées dès 1437. Les statuts régissant l’université sont donnés en 1439 lors de l’inauguration solennelle dans l’église Saint-Pierre. Les armoiries de l’université étaient d’azur, au bras mouvant d’une nuée placé en chef, le tout au naturel, la main tenant un livre d’argent, droit et fermé accosté à dextre d’une fleur de lys d’or et à senestre d’un léopard de même. C'est alors la troisième université anglaise après Oxford (fondée en 1096) et Cambridge (fondée en 1209).
Après avoir repris la ville, Charles VII reconnait le 31 juillet 1450 l'université de Caen[3]. Mais il supprime la faculté de droit civil sous le prétexte qu’il n’en existait pas dans l’université de Paris avant de la relever en 1452[4]. L’université en fut si reconnaissante qu’elle offrit de brûler les chartes d’Henri VI, ce que Louis XI ne permit pas, lui ordonnant même de célébrer le rétablissement d’Henri VI sur le trône d’Angleterre du 30 octobre 1470. Jusque là, les premiers enseignements étaient dispensés dans les locaux du bailliage et de la vicomté de Caen situés rue des Cordeliers. La demeure est acquise dans sa totalité en 1443 et agrandie grâce à des donations en 1444, puis en 1477. Une salle de la porte Saint-Julien était également utilisée comme amphithéâtre de médecine[5].
Le développement de l'université
L’université plaça alors sa ville et sa province au firmament du savoir, à tel point que lorsque le roi Louis XIV fit publier la liste des auteurs ad usum delphini, dont l’idée revient au Caennais P.-D. Huet, la ville de Caen fournit à elle seule plus d’hommes capables d’y travailler que des provinces entières.
L’érudit néerlandais Gaspard van Baerle y étudia la médecine au début du XVIIe siècle. L’université disposait de plusieurs collèges dans la ville, le collège du Mont, le collège du Bois, le collège du Cloutier et le collège des Arts. C’est à l’occasion de la Fête aux Normands que célébrait l’université chaque année le 8 décembre qu’en 1527, l’avocat Jean Le Mercier invita les poètes à concourir pour des prix, circonstance d’où est né le célèbre Palinod de Normandie auquel la Muse normande doit tant, et qui se pérennisa jusqu’à la Révolution.
Entre 1694 et 1704, l’architecte Brodon construisit le palais des facultés sur la rue Pasteur[5], alors appelée rue de la Chaîne car on tendait une chaîne au début des cours à l’entrée de la rue pour éviter le passage des chariots susceptible de gêner les étudiants. C’était un bâtiment composé d’un corps central de cinq travées à un étage flanqué de deux ailes latérales de trois travées, chacune à un seul niveau. Deux bâtiments à un niveau, parallèles au premier et en avant, complétaient ce dispositif qui formait ainsi une petite place ouverte sur la rue Pasteur. Au moment où la Révolution française se prépare, l'université de Caen est l'une des plus puissantes du royaume. Sa bibliothèque est l'une des mieux dotées et le traitement élevé dont disposent les professeurs montrent que la situation financière est favorable. En ce qui concerne les effectifs (388 étudiants en novembre 1788), la faculté de droit est la troisième de France (après Paris et Toulouse) et la faculté de médecine se place en quatrième rang (après Paris, Toulouse et Montpellier)[6].
Suppression et rétablissement de l'université
Quand le révolution éclate, l'université est atteinte à son tour. À la rentrée de novembre 1789, les effectifs s'effondrent et une partie des fonds de la bibliothèque est vendue par le bibliothécaire qui se prépare à s'exiler en Angleterre. La crise éclate en 1791 quand les professeurs appartenant à un ordre religieux refusent de prêter le serment que les "ecclésiastiques fonctionnaires publics" doivent prêter en vertu du décret du 27 novembre 1790. Par une déclaration du 25 mai 1791, le corps universitaire condamne la constitution civile du clergé et refuse également de prêter le serment exigé par le décret du 22 mars 1791. Suite à cette déclaration, l'université reçoit le soutien du pape Pie VI dans un bref apostolique du 9 juillet 1791. L'établissement est finalement fermé, anticipant ainsi de plus de deux ans la suspension de l'enseignement universitaire dans l'ensemble du pays le 15 septembre 1793[6]. Seuls les cours de médecine sont maintenus[7].
Un décret du 25 février 1795 modifié ensuite par la loi Daunou sur l'organisation de l'instruction publique crée les écoles centrales. Le 7 mai de cette même année, Jacques-Charles Bailleul, délégué de la Convention, décide par arrêté que l'école centrale du Calvados sera installée dans les anciens bâtiments de l'abbaye aux Hommes. Mais le projet est abandonné. Il reprend l'année suivante. La municipalité souhaite récupérer l'usage des anciens bâtiments conventuels et propose que les cours se tiennent dans l'ancien palais de l'Université. D'ailleurs une loi du 19 juillet 1796 préconise que les bâtiments nationaux des anciens collèges et universités soient employés de préférence pour l'établissement des écoles centrales. La municipalité obtient gain de cause et la rentrée solennelle a lieu dans l'ancien palais de l'Université le 31 décembre 1796. Les écoles centrales sont finalement fermées le 1er mai 1802[7].
Napoléon Ier rétablit l'université par la loi du 10 mai 1806.
Réaménagement et agrandissement de l'université
La plus grande partie des locaux est alors occupée par le tribunal civil. Pour pallier le manque de place, l'ancien collège des Arts est mis à disposition de l'université. Il est reconstruit en 1841 pour abriter la faculté des Sciences. En 1843, le tribunal s'installe définitivement dans le palais de justice de la place Fontette et les bâtiments sont alors remaniés[5]. En avril 1875, on prend la décision d’agrandir les bâtiments[8]. On rehausse les bâtiments latéraux d’un étage et on double en épaisseur le corps central, notamment en construisant un avant-corps central sur la cour arrière pour abriter l’escalier. Deux nouvelles ailes sont construites le long de la rue aux Namps, puis devant le chevet de l’église. Tous les nouveaux bâtiments, inaugurés le 6 juin 1894[8], sont construits sur un soubassement afin de rattraper la pente existant entre la rue Pasteur et la rue Saint-Sauveur. Hormis ce fait, les extensions reprennent le même code architectural que les bâtiments originaux de facture classique : fenêtre avec voûte en plein cintre au rez-de-chaussée, fenêtre à linteau droit à l’étage et toit mansardé. Enfin, le 4 octobre 1903[8], est posée la première pierre de la bibliothèque des facultés. Ce bâtiment est construit le long de la rue Saint-Sauveur entre les deux ailes construites quelque temps auparavant, fermant ainsi la cour arrière.
La destruction et la renaissance de l'université
En 1944, l’université accueillait un millier d’étudiants. Le 7 juillet, un mois après le débarquement de Normandie, lors de la bataille de Caen, un bombardement aérien britannique (l’« opération Charnwood »), vit en l’espace de quarante minutes le largage de 2 200 tonnes de bombes explosives qui détruisit les bâtiments de l’université, alors qu’elle devait être épargnée. Quelques bombes tombent sur l’aile de la chimie, provoquant l’incendie dévastateur des produits inflammables[9].
Entre la rentrée d’octobre 1944 et 1954, les bâtiments de l’école normale d’instituteurs accueillent les étudiants en attendant la construction d’une nouvelle université. Sous l’impulsion de Pierre Daure, préfet puis recteur, et en concurrence avec Rouen, une nouvelle université vit le jour dans le quartier du Gaillon, alors terrain vague, en tablant sur l’accueil de 3 500 étudiants[9]. Sa reconstruction s’étala de 1948 à 1957.
Pour marquer le souvenir douloureux de 1944, l’université a choisi comme symbole le phénix de la mythologie, en raison de sa capacité à renaître de ses cendres. L’oiseau fabuleux est désormais reproduit dans un logo stylisé omniprésent.
L’université de Caen, comme beaucoup de ses équivalentes, a connu une très forte croissance depuis l’inauguration de ses nouveaux locaux en juin 1957. Elle est passée de 4 000 étudiants à environ 25 000 en 2005.
Historique des présidents
- depuis le 12 juillet 2006 : Josette Travert[10]
- 12 juillet 2001 - 11 juillet 2006 : Nicole Le Querler
- 19 avril 1998 - 11 juillet 2001 : Josette Travert[10]
- 19 avril 1993 - 18 avril 1998 : Claude Larsonneur
- 19 avril 1988 - 18 avril 1993 : Max Robba
- 18 avril 1983 - 18 avril 1988 : Jacqueline Genet
- 30 mars 1978 - 17 avril 1983 : Max Robba
- 26 avril 1975 - 29 mars 1978 : Max Robba (par interim)
- 12 mars 1971 - 13 janvier 1975 : Jacques Izard
Composantes
Unité de formation et de recherche
- UFR des Sciences de l'Homme
- UFR de Géographie
- UFR d'Histoire
- UFR des Langues Vivantes Etrangères
- UFR de Droit et des Sciences Politiques
- UFR de Sciences Économiques et de Gestion
- UFR de Psychologie
- UFR de Sciences
- UFR des Sciences et techniques des Activités physiques et sportives
- UFR des Sciences Pharmaceutiques
- UFR de Médecine
Écoles et instituts
- Institut Universitaire de Technologie d'Alençon
- Institut Universitaire de Technologie de Caen
- Institut Universitaire de Technologie Cherbourg Manche
- Institut Universitaire de Formation des Maîtres
- Ecole d'Ingénieurs ESIX Normandie
- Institut d'Administration des Entreprises
- Institut de Biologie Fondamentale et Appliquée
- Institut Universitaire Professionnalisé de Banque-Assurance
- Institut de Préparation à l'Administration Générale
écoles doctorales
L’université comporte six écoles doctorales :
- École doctorale Droit Normandie
- École doctorale Économie - Gestion Normandie
- École doctorale Littératures, Cultures et Sciences sociales
- École doctorale Normandie Biologie intégrative, Santé, Environnement
- École doctorale Structures, information, matière et matériaux
- École doctorale Normandie Chimie - Biologie
Bibliothèques
La bibliothèque universitaire de Caen (Service commun de documentation) est Centre d'acquisition et de diffusion de l'information scientifique et technique (CADIST) pour l'histoire mondiale du XIXe siècle (à l'exception de l'Amérique latine et des anciennes colonies françaises).
Localisation
L’université a ses principales implantations à Caen, sur cinq campus différents.
- Campus 1 : Pôle Sciences de l’homme et du vivant (Esplanade de la Paix) (Carte)
- Campus 2 : Pôle Sciences et technologies (Côte de Nacre) (Carte)
- Campus 3 : Pôle Techniques de l’information et de la communication (Ifs) (Carte)
- Campus 4 : Pôle Économie-Gestion (Claude Bloch) (Carte)
- Campus 5 : Pôle Santé (CHU) (Carte)
Elle a également des antennes dans les trois départements de Basse-Normandie :
- Alençon (IUT, UFR de droit, IUFM),
- Cherbourg-Octeville (IUT, UFR Sciences, UFR Langues vivantes étrangères, école d’ingénieur),
- Saint-Lô (IUT, IUFM, école d’ ingénieur),
- Lisieux (IUT),
- Vire (IUT),
- Luc-sur-Mer (station marine).
Enseignement et recherche
L’université de Caen est membre du Pôle de recherche et d'enseignement supérieur « Normandie université ». Le siège de cet établissement public est fixé à Caen[11].
Formation
Onze mentions de DUT sont délivrées.
La licence est délivrée dans trois domaines qui se déclinent ensuite en mentions[12].
La licence professionnelle est délivrée dans 20 mentions[12] :
Le master est délivré dans quatre domaines qui se déclinent ensuite en mentions.
Une école interne à l’université, l’École supérieure d'ingénieurs de l'université de Caen Basse-Normandie (ESIX), délivre deux diplômes :
Relations internationales
Recherche
Vie étudiante
Évolution démographique
Évolution démographique de la population universitaire
Personnalités liées
Enseignants
Voir la catégorie : Enseignant à l'Université de Caen.En italique, personnes ayant été successivement élèves, puis professeurs à l'université.
Thomas Basin ~ Joseph Bédier ~ Maurice Besnier ~ Michel de Boüard ~ Marc Bouloiseau ~ Alain Boyer ~ René Brunet ~ Michel Chesnais ~ Pierre Chaunu ~ Louis Couturat ~ Jean-Baptiste Couture ~ Alfred Coville ~ Pierre Augustin Dangeard ~ Henri Delacroix ~ Yves Delage ~ Charles Demolombe ~ Ernest Desjardins ~ Frédéric Durand ~ Armand Frémont ~ Claude Frikart ~ Albert Gabriel ~ Christophe Gadbled ~ Julien Gracq ~ Constance Grewe ~ Louis Guillouard ~ Maurice Halbwachs ~ Antoine Halley ~ François Hinard ~ Célestin Hippeau ~ Lucien Jerphagnon ~ Claude Lecouteux ~ Claude Lefort ~ Émile-Guillaume Léonard ~ Yves Modéran ~ Robert Merle ~ Sylvère Monod ~ Jules Morière ~ Lucien Musset ~ Claude Nicolet ~ Henri Poincaré ~ Eugène Poubelle ~ Henri-François-Anne de Roussel ~ Jean-Henry Roussel de la Bérardière ~ Jean Rouxel ~ Raphaël Salem ~ Albert-Marie Schmidt ~ Bernard Sichère ~ Charles Thomine des Mazures ~ François-Henri Turpin ~ Pierre Vidal-Naquet ~ Daniel Villey ~ Edmond Villey ~ Édouard Zarifian
Galia Ackerman ~ Pierre Bauduin ~ Jean-Pierre Le Goff ~ Didier Houzel ~ Martine Lefeuvre-Déotte ~ Robert Legros ~ Serge Martin ~ Gaston Mialaret ~ Jean-Marc Moriceau ~ François Neveux ~ Bernard Raveau ~ Jean Renaud ~ Julie Wolkenstein
Anciens étudiants
Voir la catégorie : Étudiant de l'université de Caen.Thomas Campion, compositeur, poète et médecin (1567 – 1620)
Patrimoine
Plan de Rome
Article détaillé : Plan de Rome.L’université a reçu en legs, en 1942, la maquette en plâtre du plan de Rome (IVe siècle après J.-C.) que l’architecte Paul Bigot (1870-1942) a passé plusieurs décennies de sa vie à peaufiner. Cette maquette, d’une superficie d’environ 70 m² (11 m x 6 m, réalisée à l’échelle 1/400), protégée par les Monuments historiques, est exposée depuis 1995 dans les locaux de la Maison de la recherche en sciences humaines, à Caen. Les techniques informatiques donnent lieu à une reconstitution virtuelle dont une partie des travaux (images et vidéos de synthèse) sont visibles sur le site de l’université.
Sculpture du phœnix
Identité visuelle
Sources
Bibliographie
- Alexandre Bigot, Henri Prentout, 1432-1932. L’Université de Caen, son passé, son présent, Caen, Malherbe, 1932
- Amédée de Bourmont, La Fondation de l’Université de Caen et son organisation au XVe siècle, Caen, Le Blanc-Hardel, 1883
- Émile Bridrey, Les Études de droit normand au collège des droits de l’ancienne Université de Caen, Caen, Imprimerie A. Olivier, 1933
- Université de Caen, 5e Centenaire de la fondation de l’université de Caen, 1432-1932 : livre d’or, Caen, Imprimerie artistique Malherbe, 1933
- Jules Cauvet, Le Collège des droits de l’ancienne Université de Caen : essai historique, Caen, A. Hardel, 1858
- Jean Collin, Promenades à l’Université de Caen, Caen, Université de Caen, 1988
- Jean Collin, André Heintz, La Vie quotidienne des étudiants à Caen : de 1939 à 1955, Caen, Université de Caen, 1994
- Parlement de Normandie, Arrest de la Cour de Parlement de Rouen, du 2 mars 1763 ; Arrest de la Cour de Parlement de Rouen. Qui ordonne que le Collège Dumont sera & demeurera restitué & réuni au corps de l’Université de Caen, comme Collège en dépendant. Du 5 mars 1763, Rouen, Richard Lallemant, 1763
- Henri Prentout, Esquisse d’une histoire de l’Université de Caen, Caen, Imprimerie artistique Malherbe de Caen, 1932
- Henri Prentout, L’Université de Caen à la fin du XVIe siècle ; la contre-réforme catholique et les réformes parlementaires, Caen, Delesques, 1908
- Henri Prentout, La Faculté de médecine de l’Université de Caen au XVIe siècle, 1506-1618, Caen, Jouan, 1909
- Henri Prentout, La Réforme en Normandie et les débuts de la Réforme à l’Université de Caen, Paris, [S.n.], 1913
- Henri Prentout, La Vie de l’étudiant à Caen au XVIe siècle, Caen, H. Delesques, 1905
- Manuel Royo, Rome et l’architecte : conception et esthétique du plan-relief de Paul Bigot, Presses universitaires de Caen, 2006
- Lyse Roy, L’Université de Caen aux XVe et XVIe siècles : identité et représentation, Leiden ; Boston, Brill, 2006
- Émile Vaillancourt, Adresse présentée le 9 juillet 1932 à l’Université de Caen à l’occasion de son demi-millénaire, Rouen, A. Lestringant, 1932
- Inventaire des archives de l’Université de Caen conservée aux Archives départementales du Calvados, Caen, H. Delesques, 1892-1894
- Lettre à monsieur *** au sujet des libelles publiés contre l’Université de Caen, Caen, Pierre François Doublet, 1720
Notes et références
- université de Caen
- Chiffres officiels édition 2010
- Gervais de La Rue, Mémoires d'antiquités locales et annales militaires, politiques et religieuses de la ville de Caen et de la Basse-Normandie, Caen, Mancel, 1842, p. 322
- Guillaume-Stanislas Trébutien, Caen, son histoire, ses monuments, son commerce et ses environs, Caen, F. Le Blanc-Hardel, 1870 ; Brionne, le Portulan, Manoir de Saint-Pierre-de-Salerne, 1970, pp. 281–282
- Christophe Collet, Caen, cité médiévale : bilan d'histoire et d'archéologie, Caen, Caen Archéologie, 1996
- Jean Laspougeas, « La nation ou la liberté ? L'université de Caen contre la Révolution, 1791 » dans Revolution und Gegenrevolution 1789-1830 zur geistigen Auseinandersetzung in Frankreich und Deutschland Schriften des Historischen Kollegs. Kolloquien: Zur geistigen Auseinandersetzung in Frankreich und Deutschland, Oldenbourg Wissenschaftsverlag, 1991, p. 63-77
- Charles-Hippolyte Pouthas, « L'École centrale du Calvados – Organisation et fonctionnement depuis l'ouverture de l'École jusqu'à la fin de l'an X (1796-1802) », dans les Mémoires de l'Académie nationale des sciences, arts et belles-lettres de Caen, Caen, Henri Delesques, 1912, pp. 257–334 [lire en ligne]
- Éditions Charles Corlet, Condé-sur-Noireau, 1989. Philippe Lenglart, Le Nouveau Siècle à Caen,
- 29 janvier 2008. G. Louis, C. Leloche et F. Thibert, reportage sur l’histoire de l’université de Caen, 19-20, France 3 Normandie,
- « Fiche personnalité : Josette Travert », Educpro, consulté sur www.educpros.fr le 28 juillet 2011
- lire en ligne] Décret n°2011-1306 du 14 octobre 2011 portant création de l'établissement public de coopération scientifique « Normandie Université » [
- Liste des diplômes niveau Licence de l'université de Caen sur Portail étudiant de l'université de Caen
- Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2001, Imprimerie nationale, p. 161, (ISBN 2-11-092136-6), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010 Jean-Richard Cytemann,
- Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2002, Imprimerie nationale, p. 159, (ISBN 2-11-092152-8), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010 Jean-Richard Cytemann,
- Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2003, Imprimerie nationale, p. 155, (ISBN 2-11-093455-7), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010 Claudine Peretti,
- Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2004, Imprimerie nationale, p. 159, (ISBN 2-11-094345-9), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010 Claudine Peretti,
- Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2005, Imprimerie nationale, p. 175, (ISBN 2-11-095390 X), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010 Claudine Peretti,
- Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2006, Imprimerie nationale, p. 179, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2007, Imprimerie nationale, p. 181, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2008, Imprimerie nationale, p. 173, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2009, Imprimerie moderne de l’Est, p. 175, (ISBN 978-2-11-097805-9), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010 Daniel Vitry,
- Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2010, Imprimerie moderne de l’Est, p. 173, (ISBN 978-2-11-097819-6), consulté sur www.education.gouv.fr le 17 septembre 2010 Michel Quéré,
- Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2011, Imprimerie moderne de l’Est, p. 175, (ISBN 978-2-11-097810-3), consulté sur www.education.gouv.fr le 2 septembre 2011 Michel Quéré,
- Le nouveau logo, université de Caen Basse-Normandie, consulté sur www.info.unicaen.fr le 2 avril 2011
Voir aussi
Articles connexes
Catégories :- Université de Caen
- Études supérieures à Caen
- Monument de Caen
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