Sébastien Bourdais

Sébastien Bourdais
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Sébastien Bourdais
Sébastien Bourdais en 2007
Sébastien Bourdais en 2007
Date de naissance 28 février 1979 (1979-02-28) (32 ans)
Lieu de naissance Drapeau de la France Le Mans (France)
Nationalité Drapeau de la France France
Qualité Pilote automobile
Nombre de courses 27 en F1 - 72 en CART - 33 en F3000 - 10 en IndyCar - 25 en Endurance.

Sébastien Olivier Bourdais (né le 28 février 1979 au Mans) est un pilote automobile français. Après avoir remporté à quatre reprises le championnat nord-américain Champ Car, il a évolué en 2008 et 2009 dans le championnat du monde de Formule 1 au sein de la Scuderia Toro Rosso. Après deux années où il court en Superleague Formula, Sébastien Bourdais poursuit en 2011 sa collaboration avec Peugeot Sport en ILMC sur Peugeot 908 et il dispute les 10 courses sur circuits routiers et urbains pour Dale Coyne Racing en IndyCar Series.

Sommaire

Biographie

Les débuts

Né au Mans à la clinique du Tertre Rouge (située à côté du célèbre virage du Tertre Rouge du circuit des 24 heures), habitant longtemps la commune de Laigné-en-Belin près du Mans (tout près du circuit des 24 heures), il plonge dans le monde automobile très jeune par l'intermédiaire de son père Patrick qui participa à sept éditions des 24 heures du Mans entre 1993 et 2005. Il commence par faire du karting, discipline dans laquelle il obtient ses premiers titres : champion de ligue Maine-Bretagne en 1991, 4e du championnat de France cadets la même année, champion de ligue cadets en 1993.

Il passe alors en monoplace, où ses débuts sont prometteurs et laissent entrevoir un fort potentiel. Vice-champion de Formule Renault en 1997, Sébastien réalise quelques belles performances mais est victime de malchance dans les trois dernières courses, ce qui lui coûte le titre. Après une première année pour apprendre, en 1998, il devient champion de France de Formule 3 en 1999, avant d'être sacré en Formule 3000 pour sa troisième saison dans la discipline en 2002, après une disqualification de son concurrent Tomas Enge pour usage de substances illicites. Il se fait aussi remarquer aux 24 heures du Mans avec l'équipe Pescarolo Sport.

Le Champ Car

Sébastien Bourdais lors de l'épreuve Champ Car de Houston en 2007

Aux portes de la Formule 1, il est sur le point de s'engager avec l'écurie Arrows durant l'été 2002 mais celle-ci fait faillite peu de temps après. En fin d'année, il brigue un poste de pilote essayeur chez Renault F1, mais l'écurie française lui préfère finalement son compatriote Franck Montagny. Après avoir un temps songé à s'engager en DTM avec Opel, il décide finalement de tenter sa chance aux États-Unis, où un test convaincant sur le tracé de Sebring lui permet d'être recruté par la puissante écurie de Champ Car Newman/Haas Racing (co-dirigée par Carl Haas et le célèbre acteur Paul Newman).

Les débuts de Bourdais dans ce championnat sont remarquables. Qualifié en pole position pour sa toute première course, il égale la performance réalisée en 1993 par Nigel Mansell. Particulièrement performant, Bourdais empoche trois victoires au cours de sa première saison, mais trop irrégulier, n'est pas en mesure de se battre pour le titre. Il remporte toutefois le titre honorifique de meilleur débutant de l'année (Rookie Of The Year 2003), terminant 4e du championnat. Mais en 2004, 2005, 2006 et 2007, il domine le championnat et décroche quatre titres de champion, un record dans les championnats américains majeurs de monoplace, battant aussi le record de 3 titres consécutifs de Ted Horn (1946-1948) dans le championnat AAA de l'époque. Durant ces quatre saisons, l'emprise du Français est réelle, et il finira à chaque fois la saison avec plusieurs dizaines de points d'avance sur ses plus sérieux rivaux, parmi lesquels Paul Tracy, Bruno Junqueira, Justin Wilson, A. J. Allmendinger ou Robert Doornbos.

Bourdais a également participé en 2005 aux 500 Miles d'Indianapolis (épreuve du championnat concurrent IndyCar), mais a abandonné sur touchette à deux tours de l'arrivée alors qu'il occupait la 5e place, obtenant au final une 12e place au classement.

Sébatien Bourdais a remporté les quatre dernières éditions (2004, 2005, 2006, 2007) de la Coupe Vanderbilt, manche du championnat Champ Car et plus ancienne compétition automobile américaine.

La trajectoire quasi-parfaite de Bourdais en Champ Car sera également ponctuée par quelques accrocs avec certains pilotes, notamment Paul Tracy (en 2006) et Robert Doornbos (en 2007). Le Français ayant un certain franc-parler, il n'hésitera pas à critiquer ouvertement l'attitude peu sportive des deux hommes dans chaque cas.

Enfin, il est le seul Français à s'être imposé dans une manche du prestigieux IROC, une compétition américaine qui regroupe la plupart des champions automobiles de l'année passée (Nascar, Champ Car, IRL,...) et qui s'affrontent sur des voitures identiques lors de certaines courses Nascar[1].

Endurance

24 heures du Mans

Sébastien Bourdais fait ses débuts aux 24 Heures du Mans en 1999 sur une Porsche 911 GT2 de l'équipe Larbre Compétition. L'équipage est contraint à l'abandon sur problème moteur. Il obtient son premier grand résultat dans l'épreuve en 2000 en terminant 4e sur la Courage-Peugeot de l'équipe Pescarolo Sport.

Le calendrier 2007 du Champ Car lui permet de faire son retour aux 24 heures du Mans, où il est engagé au volant de la Peugeot 908 n°8 qu'il partage avec Stéphane Sarrazin et Pedro Lamy. Il termine à la seconde place derrière l'Audi R10 TDI n°1. Son arrivée déchaine les passions et c'est une véritable ovation qui est faite pour "l'enfant du pays", alors qu'il stoppe sa Peugeot juste devant la grande tribune. Malgré une envie manifeste d'être de retour en 2008 pour jouer la victoire, il ne pourra y participer cette année, sa priorité étant la F1.

En 2009, Sébastien Bourdais court en Endurance lors des 12 Heures de Sebring et lors des 24 Heures du Mans avec Peugeot, Frank Montagny et Stéphane Sarrazin étant ses équipiers. Ils terminent 2e des 24 heures du Mans avec 1 tour de retard sur la Peugeot n°9 des vainqueurs. Un grand sentiment de déception envahit le Français, car il avait mené une bonne partie de la course avec Frank Montagny et Stéphane Sarrazin, avant de casser une pièce de la suspension arrière, puis un peu plus tard, de percuter une Porsche à Mulsanne et d'endommager la partie avant. Il aura passé environ 30 minutes dans les stands, à intervalles différents, pour réparer les dégâts commis sur la voiture.

En 2010, Sébastien dispute les 24 Heures du Mans sur la Peugeot 908 n°3, avec Simon Pagenaud et Pedro Lamy. Sébastien signe la pole mais un problème de coque contraint l'équipage à l'abandon après moins de trois heures de course, sans que Sébastien ait pu prendre le volant. En 2011, le même équipage termine en seconde position, à treize secondes du vainqueur.

12 heures de Sebring

Sébastien Bourdais a également remporté les 12 heures de Sebring 2006 en catégorie GT2 avec l'écurie Multimatic Motorsports Team Panoz aux côtés de David Brabham et Scott Maxwell. Lors des 12 heures de Sebring 2009, la Peugeot de Bourdais, Montagny et Sarrazin, partie des stands suite à un problème hydraulique, prendra la tête dès la 3ème heure. A la mi-course la voiture fut victime d'une crevaison lente. Cette crevaison fit gagner Audi. En 2010, il termine 2e de l'épreuve derrière l'autre Peugeot engagée. Sebastien Bourdais est le détenteur du record du tour à Sebring avec une Peugeot 908 avec un temps de 1' 43 274.

La Formule 1

Saison 2008 avec la Scuderia Toro Rosso

Sébastien Bourdais, lors des tests hivernaux à Valence, sur Toro Rosso, en janvier 2008
Sébastien Bourdais à Monaco
Sébastien Bourdais au GP de Grande-Bretagne

Malgré sa domination en Champ Car et alors que les médias ont souvent fait état de discussions positives avec Mario Theissen, le directeur de BMW Sauber, les portes de la Formule 1 restent closes pour Bourdais en 2007 et il demeure chez Newman-Haas Racing. En décembre 2006, son nouveau manager Nicolas Todt lui permet d'obtenir trois jours de test avec la Scuderia Toro Rosso. Puis, en juillet 2007, il est à nouveau convié à des essais privés sur le circuit belge de Spa-Francorchamps. Ces tests s'avèrent concluants et l'écurie italo-autrichienne officialise le 10 août son engagement à compter de la saison 2008 de F1.

Lors de la première course, en Australie, il abandonne à trois tours de la fin alors qu'il était quatrième. Il est cependant classé à la septième place au terme d'une course chaotique où seulement six voitures finirent la course. Il marque donc deux points pour ses débuts. Un abandon regrettable car Sébastien avait profité des nombreux accidents et problèmes mécaniques de la course, ainsi que de la pénalité de Rubens Barrichello et s'était hissé à la quatrième place, tenant tête à Fernando Alonso (Renault) et Heikki Kovalainen (McLaren Mercedes) pendant dix tours, les ayant même distancés à quelques tours de la fin. Ce dernier s'est dit quelque peu déçu, d'autant plus qu'il était parti d'une modeste dix-septième position sur la grille de départ.

En revanche, au Grand Prix suivant, en Malaisie, il abandonne dès le premier tour, victime d'une sortie de piste (voiture déventée). Au Grand Prix de Bahreïn il débute la course en 15e place et finit la course à la même place. Au Grand Prix d'Espagne sur le circuit de Montmelo, il est 16e sur la grille de départ mais fait les frais d'un accrochage avec Nelsinho Piquet au huitième tour. En Turquie, il abandonne au vingt-septième tour suite à une rupture mécanique alors qu'il avait pris le départ à la dix-huitième position.

Au Grand Prix de Monaco, où débute la STR3, il n'atteint pas la Q2. Il finit sa course dans le rail de la courbe du Casino, en conditions de pluie. Début juin, lors du Grand Prix du Canada, il finit en treizième et dernière position. Le 22 juin a lieu le Grand Prix de France où Sébastien doit se battre avec un train arrière survireur mais il réussit à passer la Q1. Sa course est plus mitigée car il finit dix-septième. Au Grand Prix de Grande Bretagne, il passe pour la quatrième fois en Q2. En course, il est handicapé par une stratégie à un arrêt, il finit 11ème. En Allemagne, il passe en Q2 mais il ne se qualifie qu'en quinzième position. Il terminera la course à la douzième place.

En Hongrie, il passe en Q2 et se qualifie initialement en quatorzième position mais il sera pénalisé (Bourdais était néanmoins lancé dans un tour rapide) de cinq places sur la grille de départ pour avoir gêné Nick Heidfeld et partira en dix-neuvième position. Il terminera finalement dix-huitième. Lors du Grand Prix d'Europe, sur le nouveau tracé urbain de Valence, il passe pour la première fois de sa carrière en Q3, se qualifie en dixième position et termine la course à la même place.

Au GP de Belgique, en Q1, Sébastien signe un exceptionnel meilleur temps qui le propulse en Q2 où il fait le 8ème temps et en Q3 où il finit 9ème. Le lendemain, il prend un excellent départ pour se retrouver 5e derrière les gros calibres (Lewis Hamilton, Kimi Räikkönen, Felipe Massa et Fernando Alonso) Au dernier tour, tandis qu'il pointe à la 3e place (synonyme de podium) et que la pluie s'intensifie, il perd quatre places au profits d'Alonso et Heidfeld (équipés de pneus pluie) mais aussi de Vettel, Kubica, pourtant en pneus sec comme le français . Il termine finalement 7e de la course.

Lors du Grand Prix d'Italie, le pilote français effectue la meilleure séance de qualification de sa carrière, puisqu'il accède pour la troisième fois de suite à Q3 et se qualifie en quatrième position, alors que son coéquipier Sebastian Vettel obtient la pole. Sa course du lendemain est faite complètement dans l'ombre de ce dernier (surprenant vainqueur), la panne de son système anti-calage lui faisant perdre un tour dès le départ. La course ayant commencé sous voiture de sécurité, il se retrouve dans le groupe du fond de grille avec son tour de retard. Malgré cela, l'écart à l'arrivée avec les premiers est sensiblement analogue. Il défait notamment son retard sur Adrian Sutil, qu'il passe, et sur Rubens Barrichello. Il pointe régulièrement dans le top 8 des meilleurs tours en course. Il est également compétitif en fin de course sur piste asséchée, et prend donc finalement la deuxième place de ce classement.

Au Grand Prix du Japon Sébastien Bourdais, se voit retirer ses points de la sixième position, les commissaires estimant qu'il avait gêné Massa lors de sa sortie des stands.

Lors de la dernière course de la saison au Brésil, Il finira en 14e position suite a une sortie de piste.

Saison 2009 avec la Scuderia Toro Rosso

Bourdais au GP de Malaisie

Le 6 février 2009, la Scuderia Toro Rosso le confirme en tant que deuxième pilote aux côtés du Suisse Sébastien Buemi pour la saison 2009 après avoir été mis en concurrence avec Takuma Sato.

Pour l'ouverture de la saison, Bourdais termine 8ème du Grand Prix d'Australie après une course agitée et grâce au déclassement de Lewis Hamilton qui a menti aux commissaires de courses pour avoir dit que Jarno Trulli l'avait doublé sous drapeaux jaunes.

Il enchaîne ensuite avec un Grand Prix assez terne à Sepang, puisqu'il termine à la 10e place après l'interruption de la course au 33e tour.

En Chine, il finit onzième, derrière son coéquipier Sebastien Buemi, qui termine 8e, éclipsant ainsi les bons chronos réalisés par Bourdais en essais libres, mais qui ne se sont pas concrétisés en qualifications. A Bahreïn, il termine treizième après être parti bon dernier.

Pour le retour en Europe sur le Circuit de Montmelo en Catalogne, Sébastien fait jeu égal avec Buemi en essais libres mais cependant il sera éliminé en Q1 en 17ème place entre Räikkönen et Kovalainen, mais surtout derrière le jeune Suisse. Le week-end espagnol démarre mal pour le français. Pour la course il est pris dans le carambolage du départ provoqué par Nico Rosberg qui percute la Toyota de Jarno Trulli. Le Français voit sa Toro Rosso décoller avant de retomber quelques mètres plus loin sans roue avant gauche. Premier abandon du français depuis le GP de Monaco 2008.

Au Grand Prix de Monaco, Bourdais parvient à se hisser en Q2 et s'élance de la 14e place. En course, il bénéficie d'une stratégie à un seul arrêt ainsi que de l'abandon d'un certain nombre de pilotes partis devant lui (Vettel, Kovalainen, Buemi) pour finir à la 8e place et apporter un point précieux à Toro Rosso.

Après 9 courses, la Scuderia Toro Rosso, décide le 16 juillet 2009 de rompre le contrat de Sébastien Bourdais. Ce dernier sera remplacé dès le Grand Prix de Hongrie par Jaime Alguersuari qui devient le plus jeune pilote de l'histoire de la F1[2].

Superleague Formula

Sébastien Bourdais fait ses débuts en Superleague Formula lors du meeting d'Estoril le 6 septembre 2009 au volant de la voiture du FC Séville[3]. Il termine onzième de sa première course puis second de la deuxième. Il gagne ensuite la super finale de la SuperLeague Formula d'Estoril disputée en cinq tours. Sébastien n'avait plus remporté de course depuis près de deux ans. Il s'impose lors de la première course du meeting de Monza le 4 octobre 2009 et termine troisième de la seconde course en s'élançant du fond de la grille, du fait du système de "grille inversée".

Il pilote la voiture de l'Olympique lyonnais lors de la saison 2010 dans l'écurie Laurent Redon Motorsport. Il réalise une bonne prestation lors du GP d'ouverture à Silverstone, remportant la seconde course de la manche et finissant 4ème lors de la Super Finale[4].

Indycar séries

Sébastien Bourdais à l'Indy Japan 300 en 2011

Six ans après avoir participé aux 500 miles d'Indianapolis, Sébastien Bourdais dispute les dix courses sur circuits routiers et urbains pour Dale Coyne Racing en IndyCar Series 2011.

Carrière et palmarès

Résultats sportifs

Champ Car

Sébastien Bourdais lors de sa victoire au GP de Long Beach en 2005

(Après le Grand Prix de Mexico 2007)

  • 5 saisons
  • 4 titres
  • 73 courses disputées
  • 31 victoires (soit 42,47 %)
  • 14 hat tricks (soit 19,18 %)
  • 1627 points marqués
  • 31 pole positions (soit 42,47 %)
  • 44 podiums (soit 60,27 %)
  • 46 départs en 1re ligne (soit 63,01 %)
  • 7 deuxièmes places (soit 9,59 %)
  • 6 troisièmes places (soit 8,22 %)
  • 68 fois dans les points (soit 93,15 %)
  • 35 meilleurs tours (soit 47,95 %)
  • 52 courses en ayant mené (soit 71,24 %)
  • 2103 tours en tête (soit 30,5 % des tours parcourus)
  • 15 abandons (soit 20,55 %)
  • Moyenne de points par course : 22,29 points
  • Moyenne de points par saison : 325,40 points

Formule 1

Saison Écurie Châssis Moteur Pneus GP disputés Dans les points Abandons Tours en tête Points inscrits Classement
2008 Scuderia Toro Rosso STR2B
STR3
Ferrari V8 Bridgestone 18 2 5 3 4 17e
2009 Scuderia Toro Rosso STR4 Ferrari V8 Bridgestone 9 2 3 0 2 19e

American Le Mans Séries

Saison Écurie Voiture Moteur Pneus Courses disputées Pole Victoires Podiums Dans les points Meilleur tour en course Tours en tête Points inscrits Classement
2009 Team Peugeot Total Peugeot 908 HDI Fap Michelin 1 - - 1 1 1 - 26 14e

Le Mans Séries

Saison Écurie Voiture Moteur Pneus Courses disputées Pole Victoires Podiums Dans les points Meilleur tour en course Tours en tête Points inscrits Classement
2010 Team Peugeot Total Peugeot 908 HDI Fap Michelin 1 1 1 1 1 - 65 18 14e

Intercontinental Le Mans Cup

Saison Écurie Voiture Moteur Pneus Courses disputées Pole Victoires Podiums Dans les points
2011 Team Peugeot Total Peugeot 908 HDI Fap Michelin 6 0 3 4 5


24 Heures du Mans

Année Voiture Équipe Équipiers Résultat
1999 Porsche 911 GT2 Larbre Compétition Jean-Pierre Jarier / Pierre de Thoisy Abandon
2000 Courage C52-Peugeot Pescarolo Sport Emmanuel Clérico / Olivier Grouillard 4e
2001 Courage C60-Peugeot Pescarolo Sport Jean-Christophe Boullion / Laurent Redon 13e
2002 Courage C60-Peugeot Pescarolo Sport Jean-Christophe Boullion / Franck Lagorce 10e
2004 Pescarolo C60-Judd Pescarolo Sport Emmanuel Collard / Nicolas Minassian Abandon
2007 Peugeot 908 HDi FAP Team Peugeot Total Pedro Lamy / Stéphane Sarrazin 2e
2009 Peugeot 908 HDi FAP Team Peugeot Total Franck Montagny / Stéphane Sarrazin 2e
2010 Peugeot 908 HDi FAP Team Peugeot Total Pedro Lamy / Simon Pagenaud Abandon
2011 Peugeot 908 Team Peugeot Total Pedro Lamy / Simon Pagenaud 2e

Résultats aux 500 miles d'Indianapolis

Année Châssis Moteur Départ Arrivée Équipe
2005 Panoz Honda 15 12 Newman/Haas

Superleague Formula

Saison Écurie Club Pneus GP disputés Pole Victoires Podiums Dans les points Abandons Tours en tête Points inscrits Classement
2009 Ultimate Motorsport FC Séville Michelin 8 1 2 6 6 0 0 253 9e
2010 LRS Formula Olympique lyonnais Michelin 6 - 1 1 3 2 - 81 13

Indycar Séries

Saison Écurie Sponsor GP disputés Pole Victoires Podiums Meilleur tour Points inscrits Classement
2011 Dale Coyne Racing Boy Scouts of America 10 0 0 0 1 188 23e


V8 Supercars

Saison Écurie Courses disputés Pole Victoires Podiums Dans les points Abandons Tours en tête Points inscrits Classement
2011 Team Vodafone-Triple Eight 2 2 1 2 2 0 73 288/300 39e

Vie privée

Sébastien Bourdais s'est marié avec sa compagne Claire en mai 2006. Parmi les invités de la cérémonie, célébrée en la cathédrale du Mans, figurait notamment son patron Paul Newman. Les deux époux ont eu leur premier enfant (une fille prénommée Emma) en décembre de la même année. En 2009 naît leur second enfant Alexandre.

Livre

Notes et références

Liens externes


Précédé par Sébastien Bourdais Suivi par
David Saelens
Champion de France de Formule 3
1999
Jonathan Cochet
Justin Wilson
Champion « Intercontinental » de Formule 3000
2002
Björn Wirdheim
Paul Tracy
Champion de Champ Car
2004 - 2005 - 2006 - 2007
Aucun


IndyCar Series 2011
Ganassi Penske Andretti Autosport Panther D&R
Dixon
10 Franchitti
38 Rahal
83 Kimball
Castroneves
Briscoe
12 Power Patrick
26 Ma. Andretti
27 Conway
28 Hunter–Reay
Hildebrand 22 Wilson
24 Beatriz
Foyt Schmidt KVRT Coyne Newman/Haas HVM Conquest
14 Meira 77 Tagliani Sato
59 Viso
82 Kanaan 18 Jakes
19 Bourdais/Lloyd
Servià
06 Hinchcliffe
78 de Silvestro 34 Saavedra



Wikimedia Foundation. 2010.

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