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Saint-Martin-sous-Montaigu
Pour les articles homonymes, voir Saint-Martin.Saint-Martin-sous-Montaigu Administration Pays France Région Bourgogne Département Saône-et-Loire Arrondissement Chalon-sur-Saône Canton Givry Code Insee abr. 71459 Code postal 71640 Maire
Mandat en coursPierre Voarick
2008-2014Intercommunalité Le grand Chalon Démographie Population 346 hab. (2006) Densité 95 hab./km² Géographie Coordonnées Altitudes mini. 214 m — maxi. 397 m Superficie 3,65 km² Saint-Martin-sous-Montaigu est une commune française, située dans le département de Saône-et-Loire et la région Bourgogne. C'est un village viticole, dont une partie est classé dans l'appellation Mercurey. Les habitants sont appelés les Acimontimartinois(e).
Sommaire
Géographie
Situé en Bourgogne, dans le département de la Saône-et-Loire, à environ 12 kilomètres au nord-ouest de Chalon-sur-Saône. Village viticole.
Accès et transports
Situé à proximité des grands axes de circulation, à 13 kilomètres de l'autoroute A6 (Chalon-sur-Saône), à 7 kilomètres des voies ferrées Paris-Lyon-Marseille et 21 kilomètres du TGV (Le Creusot) et à 8 kilomètres de la Route Nationale 80 Chalon-Moulins.
Géologie et relief
Village viticole, dans un paysage vallonné. Les sols sur lesquels se sont déposés les sédiments marno-argilo-calcaires des mers jurassiques (230 à 135 millions d'années). Les roches qui dominent Saint Martin-sous-Montaigu, sont de la période du Jurassique moyen et début du Jurassique supérieur. Une couche assez épaisse de marnes grises forme le sous-sol (époque de l'oxfordien). Une deuxième crête rocheuse est formée par le calcaire que l'on appelle la dalle nacrée.
Le vignoble est implanté sur des sols argilo-calcaires provenant du soubassement rocheux calcaire d'âge jurassique. On retrouve sur ces sols argilo-calcaires des sols lourds, des sols pierreux et d'autres un peu plus sableux. L'altitude de la commune va de 200 mètres (A l'orbise) jusqu'a 397 mètres (au lieu dit du Chatelet).Lieux-dits
Voici les lieux-dits du vignoble du village :
- Appellation « village » : la Pidancerie, les Libertins, les Eriglats, en Boussoy, le Chatelet, Vignes de Chateaubeau, Sous les Roches, les Vignes Blanches, la Châgnée, les Arotes, le Cray, les Hattes, la Ratte, au Retrait, a la Ponsote, en Marrian Froid, les Bouères, les Bourguignons, Sur le Teu, la Grelode, la Moinerie et la Mourandine.
- Appellation « premier cru » : le Clos des Montaigus, le Clos Paradis, la Chassière, les Fourneaux, le Clos des Fourneaux et les Ruelles.
Hydrographie
Une rivière traverse le bas du village, elle se nomme l'Orbise.
Climat
C'est un climat tempéré à légère tendance continentale avec des étés chauds et des hivers froids[1], avec une amplitude thermique assez importante entre ces deux saisons. Les précipitations sont assez hétérogène sur l'année, avec un mois de mai le plus pluvieux de l'année. Le vent qui souffle une partie de l'année est la bise. Les gelées tardives sont peu fréquentes sur le village en général. Il y a bien quelques lieux-dits ou les risques de gelées sont plus importante (on parle de zones gelives). De violents orages peuvent s'abbatre sur la commune avec rarement de la grêle.
Valeurs climatiques de Dijon et Mâcon, car Saint Martin-sous-Montaigu est situé entre ces deux villes.
- Dijon
Pour la ville de Dijon (316 m), les valeurs climatiques jusqu'à 1990 :
Relevés Dijon ????-1990 mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année Température minimale moyenne (°C) -1 0,1 2,2 5 8,7 12 14,1 13,7 10,9 7,2 2,5 -0,2 6,3 Température moyenne (°C) 1,6 3,6 6,5 9,8 13,7 17,2 19,7 19,1 16,1 11,3 5,6 2,3 10,5 Température maximale moyenne (°C) 4,2 7 10,8 14,7 18,7 22,4 25,3 24,5 21,3 15,5 8,6 4,8 14,8 Précipitations (mm) 49,2 52,5 52,8 52,2 86,3 62,4 51 65,4 66,6 57,6 64,2 62 732,2 Source : Infoclimat : Dijon (????-1990)[2]En 2007 :
Relevés Dijon 2007 mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année Température moyenne (°C) 5,3 6,4 6,9 14,7 15,6 18,5 18,7 18,2 14,4 10,7 5,3 1,6 11,3 Source : Infoclimat : Dijon (2007)[3]En 2008 :
Relevés Dijon 2008 mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année Température moyenne (°C) 3,8 4,7 6,3 9,1 15,8 17,8 19,9 18,6 13,8 10,3 6,4 2,1 10,7 Source : Infoclimat : Dijon (2008)[4]- Mâcon
Pour la ville de Mâcon (216 m), les valeurs climatiques de 1961 à 1990 :
Relevés Mâcon 1961-1990 mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année Température minimale moyenne (°C) -0,6 0,7 2,5 5,2 8,9 12,3 12,4 13,9 11,1 7,5 2,9 0,1 6,6 Température moyenne (°C) 2,1 4 6,8 10 13,9 17,5 20,1 19,4 16,4 11,7 6 2,7 10,9 Température maximale moyenne (°C) 4,9 7,3 11,1 14,8 18,9 22,8 25,7 24,9 21,7 15,9 9,1 5,3 15,2 Précipitations (mm) 66,3 60,9 58,7 69,4 85,9 74,7 58,1 77,1 75,7 71,7 72,7 70,4 841,4 Source : Infoclimat : Mâcon (1961-1990)[5]Histoire
Préhistoire et antiquité
Au lieu dit du Le Gros Theu (une énorme roche), à vu la mise au jour de pierres taillées, témoins de la présence de l'homme préhistorique à Saint-Martin[6]. Un sondage effectué au pied de la corniche de Châteaubeau et au Châtelet a révélé la présence d'un magma de cheveaux et d'un camp préhistorique, avec mur d'enceinte en arc de cercle, qui remonterait au Néolithique[6]. Par la suite, le site a été occupé par les Gallo-romains[6]. Ce sont les Romains qui ont implanté de la vigne dans ce village. L'empereur romain Domitien, en 92, ordonna l'arrachage partiel des vignes dans le Midi et en Bourgogne afin d’éviter la concurrence[7]. Mais Probus annula cet édit en 280[8]. Dans une maison, découverte d'une stèle gallo-romaine de la déesse Epona. Les Mérovingiens se sont à leur tour installés dans le pays, comme en témoigne la présence de 7 sépultures découvertes près de Châteaubeau[6].
Moyen-Âge et renaissance
Pendant cette période, est construit le Château de Montaigu par Robert le Valentinois, comte de Chalon (aux alentours de 950)[9]; ce château possède de la vigne sur un coté. En 1180, elle passa sous l'autorité d'Hugues III, duc de Bourgogne qui l'attribua à son fils Alexandre (ceci voit le début de la lignée des "Montaigu-Bourgogne")[10]. Un seul seigneur (Guillaume) y réside de manière permanente[10]. En 1348, à la mort d'Henri de Montaigu, le château est partagé entre le duc de Bourggone et la famille Damas[10], et le lieu n'est plus occupé que par un prévot[N 1] et une petite garnison[9]. En février 1371, le Duc de Bourgogne décide une grosse campagne d'achats de vin, il en fait acheter une quantité notable à Montaigu[8]. C'est à Montaigu encore que Méliore, l'envoyé du Pape, trouva à acheter du vin qui sera par la suite recherché par la cour pontificale[8]. Philippe le Hardi fut détenteur de la moitié du fief de Montaigu, en 1392 il en fit le partage et en donna une partie à Philippe le Bon, qui contribua à sa réputation[11]. Le chateau de Montaigu tomba dans les mains des rois de France en 1477, à la mort du duc de Bourgogne Charles le Téméraire[10]. Pendant les Guerres de religion, la garnison de Montaigu, qui est du parti du roi, n'hésite pas à faire des incursions sur le territoire de Chalon, ville ligueuse[9]. Les chalonnais font appel au duc de Nemours, gouverneur du Lyonnais, qui vient investir la forterrese de Montaigu en 1591[9]. Le roi Henri IV décide peu après de démanteler tout château féodal qui pourrait nuire à l'autorité royale[9]. Quelques pièces de canon sont dréssées sur le lieu dit du Theurot de la Perche et de là on démantèle la forteresse de Montaigu[12][10].
Période moderne
Ce qu'il restait du château de Montaigu, servi de logements et d'entrepôts par des vignerons; puis en 1803, les restes de la forteresse fut vendu à un maçon du Bourgneuf, pour servir de carrière de pierres[10]. C'est le marquis d'Arcelot qui devint acquereur des ruines de ce chateau, en 1823[10][12]. Au XVIIIe siècle, le vignoble de Mercurey s'étendait sur les communes de Mercurey, Bourgneuf Val d'Or, Touches et Saint-Martin-sous-Montaigu. Avant le Phylloxéra, le territoire de Mercurey comptait 300 hectares de vignes, celui de Touches et Bourgneuf Val d'Or 400 hectares et celui de Saint Martin-sous-Montaigu 300 hectares[13]. Le phylloxéra est apparu dans ce vignoble en 1878[14], et le Mildiou en 1885[15]. Après le phylloxéra, le vignoble fut reconstitué en 1902. En 1899 un classement (Revue des viticulteurs) des climats de la Côte chalonnaise est établie :
- Première classe rouge (les Naugues, les Crêts, le Voyen, les Champs Martin, les Combins, Clos de l'Evêque, le Clos Druard, le Clos Migland, en Moutot, en Mauvarenne, Les Veley, en Sazenay, Clos Marcilly, le Theurot, le Clos du Roy, le Clos des Corvées, Champ Renard, La Chassière, la Roche, le Paradis, les Atres, les Fourneaux, les Ruelles et Libertin)[16]
- Deuxième classe rouge (Croichot, les Chaseaux, Tonnerre, Vignes Blanches, Cortechats, Grandes Plantes, les Caudroyes, Poizot, Châteaubeau, les Châgnées, Montaigu et Retrait)[16]
- Première classe blanc (la Rochelle, Teurot de la Perche et Poizot)[16]
A la fin du XIXe siècle, il y a dans le village 3 exploitants de carrières, 1 meunier, 1 facteur de vin, 1 voiturier marchands de vins, 4 loueurs d'alambics, 2 bouilleurs, 2 aubergistes, 1 mercirer et 2 marchands de tissus[14].
Période contemporaine
Le 29 mai 1923 est institué l'appellation Mercurey par le tribunal de Chalon-sur-Saône dont Saint Martin-sous-Montaigu fait partie[17]. Les années 20-30, voient s'abattre sur le vignoble, le mildiou (1926), la grêle (1927 et 1928) et des gelées importante (1930 et 1932)[18]. Le 11 septembre 1936 est créée par l'INAO, l'appellation Mercurey, dont une partie des vignes de Saint Martin-sous-Montaigu est englobée dans cette appellation[19]. Une modification de l'AOC intervient avec la reconnaissance de cinq premiers crus en 1943 (le Clos du Roy, le Clos-Voyen, le Clos Marcilly, le Clos des Fourneaux et le Clos des Montaigus), ces deux derniers font partie de la commune[20]. Aux environs des années 1950, il est recensé 2 épiciers, 1 aubergiste, 1 mercirer, 1 receveur-buraliste, 1 marchands de vins, 6 loueurs d'alambics, 1 messager, 1 garde-champêtre et 1 entrepreneur de transports en commun[14]. 1981 voit la fusion des syndicats viticoles de Mercurey et de Saint-Martin-sous-Montaigu[21]. En 1988, sont reconnues de nouvelles délimitations de premier cru[22] (tous les premiers crus actuels). 1990 voit le jumelage de la commune avec Corcelles-près-Concise (Suisse)[14].
Administration
Liste des maires
Liste des maires successifs Période Identité Parti Qualité 1934 1948 Antoine Roussot - - 1948 1959 Marcel Isaïe - - 1959 1982 Emile Voarick Ancien Conseiller Général du canton de Givry 1982 1988 Robert Size - - 1988 ? Pierre Voarick UMP Conseiller Général du canton de Givry Toutes les données ne sont pas encore connues. Jumelages
Village jumelé avec Corcelles-près-Concise, en Suisse dans le canton de Vaud, située dans le district du Jura-Nord vaudois.
Démographie
Économie
Il n'y a pas de commerces dans ce village. Mais il y quelques artisans comme un menuisier, un électricien... Le village possède aussi deux gites. Mais la principale acitivité dans cette commune est représenté par la viticulture, avec la présence d'une dizaine de viticulteurs :
Domaine du Taluchot (Boudriot) Duriaut Anne et Therry Domaine Garrey Hubert et fils Domaine Garrey Pierre Domaine du Clos Moreau (Masénot Domaine Narjoux-Normand Domaine Patrick Size Domaine Robert Size et fils Domaine Emile Voarick (Picard) Domaine Virot Paul Vignoble
Article détaillé : Mercurey (AOC).Article détaillé : Bourgogne côte-chalonnaise (AOC).Village viticole de la Côte Chalonnaise, d'une superficie de 200 hectares de vignes plantées dont 120 hectares en appellation Mercurey[26], comprenant des parcelles en appellation village et en premier cru. Possède aussi des appellations régionales (Bourgogne Côte Chalonnaise, Bourgogne...).
Vie locale
Éducation
Il existe une école primaire qui compte environ 30 élèves.
Sport
Randonné dans les chemins du village et des vignes.
Santé
Il n'y a pas de docteur, pas de pharmacie, pas de kinésithérapeute, pas de dentiste sur ce village. Les plus proches se trouvent à Givry, Mercurey ou Mellecey. Le Centre Hospitalier se trouve sur Chalon-sur-Saône.
Écologie et recyclage
Le Grand Chalon gère la collecte de la commune. Il y a une collecte hebdomadaire des ordures ménagères. La commune possède également une déchèterie faisant partie aussi des déchèteries du Grand Chalon.
Culte
Culte catholique en alternance avec d'autres paroisses.
Associations
Il y a quelques associations à Saint-Martin-sous-Montaigu, comme les amis de l'école, montaigu amitié, renaissance de montaigu...
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Article détaillé : Château de Montaigu.Plusieurs monuments sont à voir sur cette commune :
- Les ruines du Château de Montaigu (ancien château fort), avec son donjon roman.
- Les différentes croix dont la croix du Teux d'où il y a un panorama sur toute la vallée.
- L'église Saint-Martin, au centre du village, qui présente une très ancienne fresque restaurée récemment et une cloche de 1778.
- Les différentes caves des viticulteurs du village.
- Une carrière de pierre.
- Les 2 lavoirs.
Personnalités liée à la commune
- Pierre Voarick : Maire actuel et conseiller général du canton de Givry. Ancien viticulteur.
- Emile Voarick : Ancien maire et conseiller général du canton de Givry, † en 1982. Viticulteur.
- Robert Size : Ancien maire, † en 1988. Viticulteur.
- Le comte Mathieu Joblot (fin du 19e siécles), a été un grand acteur pour le développement des vins du village. Grand passionné de la vigne et de l'écologie, il fit beaucoup pour sa commune. Il est aussi l'un des premiers à utiliser le moteur à explosion. Il a reçu pour cela les honneurs du Président de la République Mac-Mahon.
- La donzelle Boinet (compagne du comte Mathieu Joblot) fut nommée à la tête de l'Opéra de Paris par ce même Mac Mahon.
- Merlin Holland : Journaliste anglais, unique petit-fils d'Oscar Wilde. Actuellement conseiller municipal.
- Antoine Roussot (1895-1951). Ancien maire. Président du Syndicat Viticole depuis 1922. Maire pendant l'occupation allemande. A l'issue d'un long procès, le Tribunal de Chalon-sur-Saône rendait enfin un arrêt accordant le bénéfice de l'appellation contrôlée Mercurey aux vins fins de la commune. Ce résultat est l'oeuvre d'Antoine Roussot [27].
Galerie photos
Ruines du Chateau de Montaigu
Bibliographie
- Henri Cannard : AOC Mercurey "En Côte Chalonnaise", Auteur-éditeur : Henri Cannard, 3e semestre 2006, 110 pages, (ISBN 2-9514792-7-1)
- Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs, éditions : JPM, 2005, 400 pages, (ISBN 2-84786-036-3)
- Hubert Duyker : Grands vins de Bourgogne , édition : Fernand Nathan, Paris, 1980, 200 pages, (ISBN 2-09-284 562-4)
- La Saône-et-Loire les 573 communes, éditions Delattre, Granvilliers, 2006, 255 pages, (ISBN 2-915907-23-4)
- Charles Quittanson : Connaissance des vins et eaux de vie, édition Bres, Paris, 848 pages, dépot légal : 4e trimestre 1984 - N°24.501/O
- André Dominé : Le Vin, éditions Place des Victoires, Paris, 2000, 928 pages, (ISBN 2844591086)
Notes
- ↑ Un prévot est magistrat royal ou ségneurial
Références
- ↑ André Dominé : Le vin, « La Bourgogne », p. 181.
- ↑ Archives climatologiques mensuelles - Dijon (????-1990) Consulté le 17 Décembre 2008
- ↑ Moyennes de températures sur Dijon en 2007 Consulté le 17 Décembre 2008
- ↑ Moyennes de températures sur Dijon en 2008 Consulté le 17 Décembre 2008
- ↑ Archives climatologiques mensuelles - Mâcon (1961-1990) Consulté le 17 Décembre 2008
- ↑ a , b , c et d Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs (Saint-Martin-sous-Montaigu : p. 259)
- ↑ Marcel Lachiver, op. cit., pp. 37-38.
- ↑ a , b et c Henri Cannard : AOC Mercurey (Le vignoble d'hier : p. 27)
- ↑ a , b , c , d et e Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs (Saint-Martin-sous-Montaigu : p. 260)
- ↑ a , b , c , d , e , f et g Dépliant de l'association : Renaissance de Montaigu
- ↑ Henri Cannard : AOC Mercurey (Le vignoble d'hier : p. 30)
- ↑ a et b Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs (Saint-Martin-sous-Montaigu : p. 261)
- ↑ Henri Cannard : AOC Mercurey (Le vignoble d'hier : p. 28)
- ↑ a , b , c et d Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs (Saint-Martin-sous-Montaigu : p. 264)
- ↑ Henri Cannard : AOC Mercurey (Le vignoble d'hier : p. 31)
- ↑ a , b et c Henri Cannard : AOC Mercurey (Le vignoble d'hier : p. 32)
- ↑ Henri Cannard : AOC Mercurey (La réglementation : p. 20)
- ↑ Henri Cannard : AOC Mercurey (La réglementation : p. 24)
- ↑ Charles Quittanson : Connaissance des vins et eaux de vie (page 286 sur Mercurey)
- ↑ Hubert Duyker (édition "Fernand Nathan") : Grands vins de Bourgogne (P. 150 : Mercurey)
- ↑ Henri Cannard : AOC Mercurey (La réglementation : p. 23)
- ↑ Henri Cannard : AOC Mercurey (La réglementation : p. 21)
- ↑ Saint-Martin-sous-Montaigu sur le site de l'Insee
- ↑ Saint-Martin-sous-Montaigu sur le site de Cassini
- ↑ a et b La Saône-et-Loire : Les 573 communes (page 198 sur Saint Martin-sous-Montaigu)
- ↑ Henri Cannard : AOC Mercurey (Le Site : p. 27)
- ↑ Le journal de Saône-et-Loire : "Le Courrier de Saône et Loire" du 22 février 1952
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
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