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Ploërmel
DétailAdministration Pays France Région Bretagne Département Morbihan Arrondissement Vannes Canton Ploërmel (chef-lieu) Code commune 56165 Code postal 56800 Maire
Mandat en coursBéatrice Le Marre
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes de Ploërmel Site web Site officiel Démographie Population 8 538 hab. (2006[1]) Densité 168 hab./km² Aire urbaine 14 900 hab. () Gentilé Ploërmelais Géographie Coordonnées Altitudes mini. 19 m — maxi. 106 m Superficie 50,81 km2 Ploërmel est une commune française, située dans le département du Morbihan et la région Bretagne.
Sommaire
Géographie
Situation
Ploërmel est située au nord-est du Morbihan, à proximité de la forêt de Brocéliande, à 50 km au sud-ouest de Rennes, 35 km au nord-est de Vannes et 47 km au nord-est de Redon, appoximativement au centre géographique de l'ancienne province de Bretagne.
Les communes limitrophes sont Loyat, Campénéac, Augan, Monterrein, La Chapelle-Caro, Montertelot, Le Roc-Saint-André, Guillac et Taupont.
Selon le classement établi par l'INSEE[2], Ploërmel est une ville isolée, c'est-à-dire une unité urbaine d'une seule commune. Elle forme le pôle de l'aire urbaine de Ploërmel, qui est aussi l'espace urbain de Ploërmel.
Géographie physique
La commune est située au cœur du Massif armoricain.
Voies de communication
Ploërmel se trouve au croisement de l'axe Rennes-Lorient (voie express N 24) et de l'axe Vannes-Saint-Malo (voie express N 166 puis D 766).
Histoire
Les états de Bretagne à Ploërmel
Les réunions des états de Bretagne n'avaient pas de lieu fixe et ont été tenues à plusieurs reprises à Ploërmel, qui apparaît donc comme une ville importante du duché de Bretagne. D'après un document de la D.R.A.C. (Direction Régionale des Affaires Culturelles), de provenance inconnue, les états de Bretagne siégèrent au moins treize fois à Ploërmel, en 1240, 1309, 1315, 1394, 1408, 1411, 1428, 1442, 1498, 1521, 1523, 1580, 1587 et 1606.
Ploërmel au XIVe siècle
Le combat des Trente : durant la Guerre de Succession de Bretagne (1341-1381), le fameux Combat des Trente se déroula le 26 mars 1351 au lieu-dit le Chêne de Mi-voie, à mi-chemin entre Ploërmel et Josselin. Un obélisque inauguré en 1828 par la duchesse de Berry commémore cet événement. Par la suite, Ploërmel est occupée par les Anglais de 1350 à 1370.
Par ailleurs, de 1348 à 1350, la ville subit comme presque toute l'Europe, les ravages de la peste noire.
Ploërmel au XIXe siècle
Elle fut chef-lieu de district de 1790 à 1795 et d'arrondissement de 1800 à 1926. Le chemin de fer arrive sur la commune en 1881[3], la gare va se développer en lien avec plusieurs lignes, l'histoire ferroviaire de la ville prend fin avec l'ouverture de la voie verte, qui remplace la voie ferrée en 1994[4].
Article détaillé : Gare de Ploërmel.Loi de séparation des Églises et de l’État
La loi du 9 décembre 1905 est mal vécue à Ploërmel dont la population est conservatrice comme la plus grande partie de celle de la Bretagne. Des habitants manifestent place La Mennais lors de l'arrivée de l'armée (500 hommes) venue déloger les Frères de l'école La Mennais. L'école est cernée mais des officiers refusent d'ordonner l'assaut, désobéissant aux ordres reçus[5]. Des Frères sont contraints de s'exiler au Canada.
La Seconde Guerre mondiale
Pendant l'Occupation, l'école La Mennais est transformée en caserne allemande.
Dans la nuit du 21 au 22 décembre 1942, la mission Cokle fut parachutée près de l'étang au Duc. Elle était composée de 2 Français libres : le lieutenant Guy Lenfant et le radio André Rapin, ils furent réceptionnés par les résistants ploërmelais. Pendant le 1er semestre 1943, ils organisèrent la réception de plusieurs parachutages d'armes et d'explosifs qui furent cachés dans des fermes de confiance à Ploërmel, Loyat, Taupont et Campénéac. Les 2 parachutistes repartirent en Angleterre par un petit avion, venu les récupérer le 15 juillet 1943, ils emportèrent avec eux, le plan des défenses allemandes dans le Morbihan que leur remit le chef des gendarmes du département, le commandant Maurice Guillaudot, résistant.
La ville fut bombardée par l'aviation américaine le 12 juin 1944 : le bombardement fit 31 morts, 125 blessés et 490 habitations furent détruites ou endommagées. Une partie des bombes tombèrent dans des zones inhabitées du côté de l'étang. La gare était l'objectif visé pour retarder l'envoi de renforts allemands vers le front de Normandie.
Les Allemands quittèrent la ville les 4 et 5 août en direction de Vannes. Ploërmel fêta sa Libération le dimanche 6 août lorsque des véhicules américains arrivant de Guer traversèrent la ville en direction de Vannes ou de Lorient. Le maire, le docteur Louis Guillois, reçut une délégation de militaires américains devant la mairie en présence de Ploërmelais qui se rendaient à la messe.
Un certain nombre de Ploërmelais avait participé à la Résistance. Les résistants Henri Calindre[6] (dit Mystringue), 37 ans, Louis Chérel, 24 ans, Lionel Dorléans, 20 ans et Paul Hervy, 18 ans, ont été fusillés le 30 juin 1944 à La Maltière sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande près de Rennes (35). Leur nom a été attribué à des rues de la ville. Julien Quatreville, 18 ans, Pierre Sassier 23 ans, ont été fusillés le 14 juin 1944 à Ploërmel, un monument porte leur nom, Gustave Le Meur, 18 ans, fusillé le 20 juin 1944 à Ploërmel, une rue porte son nom. René Dejean, parachutiste de la France libre ayant combattu en Libye en 1942, parachuté en Bretagne le 10 juin 1944, blessé et fait prisonnier près de Plumelec, fut fusillé par les Allemands le 24 juin 1944, une rue porte son nom. Ange Mounier, 39 ans, transporteur à Ploërmel, fut tué au combat le 4 août 1944 près du village de Lézonnet à Loyat, son nom figure sur un monument sur la route de Ploërmel à Loyat. D'autres furent déportés, Robert Turpin, 33 ans, est mort en déportation, une rue porte son nom.
Le commandant de la gendarmerie, le lieutenant Théophile Guillo, également chef de la Résistance à Ploërmel, fut arrêté, torturé et déporté (ainsi que son fils Joseph), le 31 mars 1944. Il sera décoré de la Légion d'Honneur par le général De Gaulle, en 1947.
Blasonnement
Les armoiries de Ploërmel se blasonnent ainsi :
D’hermines au léopard lionné de sable couronné d’azur tenant de sa patte dextre une bannière du même chargée de cinq mouchetures d’hermine d’argent ordonnées trois et deux.
Ploërmel a pour devise : Tenax in fide
Le logo de Ploërmel - La ville à vivre - (à droite) a été adopté en 2009Administration
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité 2008 en cours Béatrice Le Marre PS Enseignante - Conseillère régionale 1977 2008 Paul Anselin UMP Gérant de Société - Conseiller général - Conseiller régional 1965 1977 Jules Bouchaud DVD Notaire - Conseiller général 1961 1965 Madeleine Pelletier 1952 1961 Jean Toutain Commerçant 1904 1952 Louis Guillois Fédération républicaine Médecin- Conseiller régional - Député - Sénateur 1896 1904 François Goupil 1878 1896 Joseph Zudaire Avoué 1876 1878 Gabriel Peschart 1871 1876 Armand Lucas 1850 1871 Arthur de Préaudot 1848 1850 Jean Druais 1843 1848 Bouju 1835 1843 Rodolphe Duportal Lamotte 1832 1835 Claude Desgoulle 1831 1832 Pierre Brobant 1830 1831 Claude Desgoulle 1821 1830 Pierre Duportal 1808 1821 Jean Eonnet Toutes les données ne sont pas encore connues. Vie locale
En 2006, Paul Anselin a reçu le prix Orwell Localités des Big Brother Awards, pour avoir installé 63 caméras de vidéosurveillance dans une commune de 8 600 habitants malgré une délinquance nulle et, accessoirement, avoir mis en place un numéro vert pour dénoncer les voisins bruyants. Ce sujet provoque une polémique[7].
Sports et loisirs
- le Lac au Duc : centre nautique (voile, aviron, canoë-kayak, ski nautique, label handivoile)
- Golf 9 trous. AS golf du Lac au Duc.
- Piscine, halle des sports, tennis couverts.
- Savate, boxe française : Club Gant Ploërmelais
- Football : Ploërmel Football Club (PFC)
- Sports de combat : centre régional d'arts martiaux
- Handball : Ploërmel Handball Club
- Hippodrome de Malleville, inauguré en 1905 ; chaque année ont lieu plusieurs réunions en août et en septembre (trot, plat, steeple-chase, cross-country).
- Voies vertes : V3 St Malo - Rhuys, voie départementale Ploërmel - Guer, chemins de randonnée Ploërmel - Josselin et Ploërmel - La Trinité Porhoët
Démographie
Étymologie
en 865 la commune était notée : Plebs Arthmael ; ce qui qui signifie la paroisse d'Arthmael qui se dit aujourd'hui Arzhel ou Armel. Sa signification est arth: ours et mael: prince. le prince aux qualités de l'ours. A l'époque, pour les Bretons, donner les attributs d'un animal comme l'ours était valorisant. D'autre prénom comme Conan (personnes aux qualités du chien) peuvent également être mal compris actuellement, alors que contemporainement c'étaient des qualités.
Cependant, une autre étymologie indiquerait que arth viendrait de ard qui voudrait dire haut. Aussi, Arthmael pourrait signifier Haut-prince.
Langues
À la rentrée 2007, 2,6 % des enfants de la commune étaient inscrits dans le primaire bilingue français-breton[10].
Si on a parlé localement breton au Moyen Âge, depuis on y parle gallo, langue romane et non celtique, (Ploërmel se dit Pieurmè en gallo). Le Conseil général a installé des panneaux bilingues français-breton.
Économie
- La ville dispose d'une maison des entreprises « Cométias » qui regroupe les 3 chambres consulaires: Chambre de commerce et d'industrie du Morbihan, Chambre de Métiers et de l'Artisanat et Chambre d'Agriculture.
- Site de production de l'entreprise Babolat spécialisée dans les cordages en boyau naturel,
- Les Aciéries de Ploërmel, spécialisée essentiellement dans la fabrication de matériel ferroviaire, a le statut de SCOP.
- Capsugel, site de fabrication de gélules et de capsules molles, utilisées à la fois par l’industrie du médicament et celle des compléments alimentaires.
- Les Celluloses de Brocéliande, fabrique d'articles d'hygiène pour l'enfant et la femme.
- La MPAP (Manufacture Produits Automobiles de Ploërmel), spécialisée dans les pièces techniques à base de matières plastiques pour l'automobile.
- ABCD et PEP (Produits Elaborés Ploërmel), deux usines spécialisées dans le secteur des oeufs.
Lieux et monuments
Dans la vieille ville :
- les vestiges des fortifications de la ville érigées en 1175 (source: Marquis de Bellevue, Résumé de l'histoire de Ploërmel, M.A.B., t28, 1909, p. 5);
- le cloître des Carmes (XIIIe siècle) ;
- la chapelle bleue Sainte-Marie-des-Carmes (XIXe siècle).
Dans l'ancienne ville close :
- maison des Marmousets - 1586 qui porte dans sa partie ouest une tour et un pan de mur, vestiges des anciennes fortifications;
- ancien hôtel des ducs de Bretagne - 1150 ; porte lui aussi des traces des anciennes fortifications
- maison Bigarré - 1669 ;
- église Saint-Armel de Ploërmel (XVe siècle). À l'intérieur, on trouve une voûte en bois ornée de sablières richement sculptées, des verrières (dont l'Arbre de Jessé, 1552), des ornementations, les gisants des ducs Jean II et Jean III ainsi que celui de Philippe de Montauban, chancelier d'Anne de Bretagne. Elle a été classée monument historique en 1840[11] ;
- l'horloge astronomique (1850-1855) qui est classée Monument historique en 1982 ;
- musée des Sciences naturelles ;
- musée Jean-Marie de La Mennais.
- Statue de Jean-Paul II de 9 mètres de haut, sculpture en bronze surplombée d'une croix, située au centre de la ville. L'œuvre, offerte à Paul Anselin et à la ville par l'artiste russe Zourab Tsereteli, fut inaugurée le 10 décembre 2006 et suscita une polémique[12]. Elle est rejointe par la statue en bronze de 3 mètres et 7 tonnes de Jean-Paul II érigée le 5 octobre 2011 sur le parvis de la basilique de Fourvière à Lyon en mémoire de son passage le 5 octobre 1986. Elle est intégralement financée par le mécénat et la fondation Fourvière à hauteur de 200 000 euros[13]
Personnalités liées à la commune
- Jean-Louis Dubreton (1773-1855),général des armées de la République et de l'Empire (nom gravé sous l'Arc de Triomphe).
- Jean-Marie de La Mennais, né en 1780 à Saint-Malo, mort en 1860 à Ploërmel, fondateur de la congrégation des Frères de l'instruction chrétienne de Ploërmel en 1819 et du lycée qui porte son nom.
- Giacomo Meyerbeer (1791-1864), musicien allemand, compositeur de l'opéra-comique Le Pardon de Ploërmel.
- Alphonse Guérin, né à Ploërmel en 1817, mort à Paris en 1895, médecin et chirurgien, inventeur du pansement.
- Raoul de Navery, pseudonyme masculin de Mme de Navery , née Marie Saffray. Poète et romancière, elle est née en 1831 à Ploërmel et morte à La Ferté-sous-Jouarre (Seine-et-Marne) en 1885.
- Stendhal est passé à Ploërmel au cours de son voyage en Bretagne : « ... Ploërmel, dont j'ai admiré la charmante église. Ses formes, quoique gothiques, écartent l'idée du minutieux ; mais il faudrait deux pages pour expliquer suffisamment mon idée ou plutôt ma sensation, et rien ne serait plus difficile à écrire (...) Eh bien ! l'église de Ploërmel, comparée aux autres édifices gothiques, n'a l'air ni pauvre, ni laid. »
- Louis Guillois, médecin, sénateur et député, fut maire de Ploërmel pendant quarante-huit ans (1904-1952).
Ploërmel au cinéma
- Dans Un taxi pour Tobrouk, film réalisé en 1960 par Denys de la Patellière, dont l’action se passe en 1942 dans le désert de Libye où des commandos des Forces françaises libres attaquent les arrières de l’armée allemande, le personnage joué par Lino Ventura informe ses trois camarades, dont Charles Aznavour, que le vœu du lieutenant qui vient d’être tué au combat, était de retourner à Ploërmel. Il ajoute : « On n'y est pas encore ! ».
Il s'agit peut-être d'un hommage au parachutage en juin 1944, d'un bataillon de Français Libres sur le maquis de Saint-Marcel près de Ploërmel, dans le cadre du débarquement en Normandie.
- Dans le film Vipère au poing, le personnage de Folcoche joué par Catherine Frot s'arrête dans la gare de Ploërmel.
- Dans le 16 à Kerbriant, feuilleton en noir et blanc réalisé en 1971 par Michel Wyn, dont l'action se passe pendant l'été 1944 dans le sud du Morbihan, deux Résistants décident de saboter une ligne de chemin de fer comme le sabotage réalisé quelques jours plus tôt à... Ploërmel. Un sabotage fut réellement exécuté par des maquisards dans le secteur de Ploërmel, précisément à la gare de Loyat, en mai 1944, sur le chemin de Rennes et de la Normandie à l'approche du Débarquement attendu, pour montrer aux alliés les capacités de la Résistance bretonne.
- Dans le film Le Monocle Noir de Georges Lautner avec Paul Meurisse tourné en 1961, quelques scènes l'ont été dans le vieux Ploërmel et dans une maison de la place d'Armes.
Sources
Notes et références
- données officielles 2006 sur le site de l’INSEE
- [1] ; cheminement : sur la petite carte de France, onglet Départements, puis choisir le département, puis menu déroulant Couches d'aide à la sélection Page INSEE
- ISBN 2-9519898-5-7). Jean-Pierre Nennig, « 11 Questembert - Ploërmel », Le chemin de fer de Bretagne sud, JPN, Guérande, 2008, pp. 163-168 (
- lire (consulté le 26/09/2009). Jean-Charles Guimard, « de la voie ferrée à la voie verte », La voie verte Mauron-Questembert (Morbihan) ..., CESA Magistère d'Aménagement, 1ère année, 2009, p. 11
- Photo des 5 officiers exposée dans le musée de l'école et cartes postales d'époque
- http://www.istorhabreiz.fr/spip.php?article24
- lire. Polémique sur l'installation des caméras de surveillance
- http://cassini.ehess.fr/ Population par commune avant 1962 (résultats publiés au journal officiel ou conservés aux archives départementales)
- INSEE : Population depuis le recensement de 1962
- (fr) Ofis ar Brezhoneg: Enseignement bilingue
- Notice no IA00010266 et Notice no PA00091506, sur la base Mérimée, ministère de la Culture.
- « Subvention illégale pour la statue de Jean Paul II », Le Télégramme de Brest, 7 janvier 2010.
- http://www.lefigaro.fr/medias/2011/10/03/20111003PHOWWW00507.jpg
Bibliographie
- Messire Beaudeville, La légende de Saint Armel, L. Prud-homme, Saint-Brieuc, 1855.
- Marquis de Bellevue, Résumé de l'histoire de Ploërmel, M.A.B., t.28, 1909, p. 3-9.
- Marquis de Bellevue, Tuault de la Bouvrie, dernier sénéchal de la Sénéchaussée de Ploërmel, Député aux états généraux, M.A.B., tome 28, 1909, p. 10-19
- Marquis de Bellevue, Monographie de l'église Saint Armel de Ploërmel, M.A.B., t.28, 1909, p. 26.
- Marquis de Bellevue, Ploërmel et sénéchaussée, Campion, Paris, 1915.
- Marquis de Bellevue, L'assemblée de Saint-Armel à Beaucé, M.A.B., t.28, 1909, p. 135-220
- Comte de Berthou, Notes d'un vieux Ploërmelais, M.A.B., t.28, 1909, p. 177-182.
- Du Halgouët, Ploërmel, gouverneurs, syndics et sénéchaux, M.A.B., t.28, 1909, p. 56-68.
- J. Ealet, Ploërmel, Mémoire en image, A.Sutton, 1995, p. 18.
- E. Gilles, Au cœur de la Bretagne, de Pontivy à Locminé, Josselin à Ploërmel, première série, lettre de préf. De J.M. Bellec, Pontivy, C. Anger, 1912
- A. Hede, « Ploërmel, au palmarès de la croissance économique », Ploërmel Brocéliande, Maguil et Bressy, LMC Mosaïque, Paris, 1993, p. 45-48
- JF. Lagneau, Maison des Marmousets, Ploërmel, Morbihan, Ministère de la culture et de la francophonie, D.R.A.C., S.D.
- Le Bouteiller, L'assemblée de Saint-Armel à Beaucé, M.A.B., t.28, 1909, p. 135-140
- Abbé Marmagnant, Histoire de Ploërmel, Ploërmel, t.I-II, S.D.
- M. de Mauny, De Josselin à Ploërmel, Ouest-France, Rennes, 1977.
- Y. Renard, Ploërmel et son église Saint-Armel, Lyon, 1968.
- Hélène Roinel, Ploërmel cité ducale et sa région, Le Ploërmelais, Ploërmel, 1987.
- S. Ropartz, Histoire de Ploërmel, Monographies des villes et villages de France, Rasserts-Lorisse, Office d'édition du livre d'histoire, 1988.
Voir aussi
Liens internes
- Liste des communes du Morbihan
- Ligne Châteaubriant - Ploërmel
Liens externes
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