Ploërmel

Ploërmel

47° 55′ 57″ N 2° 23′ 46″ W / 47.9325, -2.39611111111

Ploërmel
Image illustrative de l'article Ploërmel
Armoiries
Détail
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Vannes
Canton Ploërmel (chef-lieu)
Code commune 56165
Code postal 56800
Maire
Mandat en cours
Béatrice Le Marre
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes de Ploërmel
Site web Site officiel
Démographie
Population 8 538 hab. (2006[1])
Densité 168 hab./km²
Aire urbaine 14 900 hab. ()
Gentilé Ploërmelais
Géographie
Coordonnées 47° 55′ 57″ Nord
       2° 23′ 46″ Ouest
/ 47.9325, -2.39611111111
Altitudes mini. 19 m — maxi. 106 m
Superficie 50,81 km2

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Voir la carte administrative

Ploërmel est une commune française, située dans le département du Morbihan et la région Bretagne.

Sommaire

Géographie

Situation

localisation de Ploërmel au nord-est du Morbihan

Ploërmel est située au nord-est du Morbihan, à proximité de la forêt de Brocéliande, à 50 km au sud-ouest de Rennes, 35 km au nord-est de Vannes et 47 km au nord-est de Redon, appoximativement au centre géographique de l'ancienne province de Bretagne.

Les communes limitrophes sont Loyat, Campénéac, Augan, Monterrein, La Chapelle-Caro, Montertelot, Le Roc-Saint-André, Guillac et Taupont.

Selon le classement établi par l'INSEE[2], Ploërmel est une ville isolée, c'est-à-dire une unité urbaine d'une seule commune. Elle forme le pôle de l'aire urbaine de Ploërmel, qui est aussi l'espace urbain de Ploërmel.

Géographie physique

La commune est située au cœur du Massif armoricain.

Voies de communication

Ploërmel se trouve au croisement de l'axe Rennes-Lorient (voie express N 24) et de l'axe Vannes-Saint-Malo (voie express N 166 puis D 766).

Histoire

Les états de Bretagne à Ploërmel

Les réunions des états de Bretagne n'avaient pas de lieu fixe et ont été tenues à plusieurs reprises à Ploërmel, qui apparaît donc comme une ville importante du duché de Bretagne. D'après un document de la D.R.A.C. (Direction Régionale des Affaires Culturelles), de provenance inconnue, les états de Bretagne siégèrent au moins treize fois à Ploërmel, en 1240, 1309, 1315, 1394, 1408, 1411, 1428, 1442, 1498, 1521, 1523, 1580, 1587 et 1606.

Ploërmel au XIVe siècle

Le combat des Trente : durant la Guerre de Succession de Bretagne (1341-1381), le fameux Combat des Trente se déroula le 26 mars 1351 au lieu-dit le Chêne de Mi-voie, à mi-chemin entre Ploërmel et Josselin. Un obélisque inauguré en 1828 par la duchesse de Berry commémore cet événement. Par la suite, Ploërmel est occupée par les Anglais de 1350 à 1370.

Par ailleurs, de 1348 à 1350, la ville subit comme presque toute l'Europe, les ravages de la peste noire.

Ploërmel au XIXe siècle

Elle fut chef-lieu de district de 1790 à 1795 et d'arrondissement de 1800 à 1926. Le chemin de fer arrive sur la commune en 1881[3], la gare va se développer en lien avec plusieurs lignes, l'histoire ferroviaire de la ville prend fin avec l'ouverture de la voie verte, qui remplace la voie ferrée en 1994[4].

Article détaillé : Gare de Ploërmel.

Loi de séparation des Églises et de l’État

La loi du 9 décembre 1905 est mal vécue à Ploërmel dont la population est conservatrice comme la plus grande partie de celle de la Bretagne. Des habitants manifestent place La Mennais lors de l'arrivée de l'armée (500 hommes) venue déloger les Frères de l'école La Mennais. L'école est cernée mais des officiers refusent d'ordonner l'assaut, désobéissant aux ordres reçus[5]. Des Frères sont contraints de s'exiler au Canada.

La Seconde Guerre mondiale

Pendant l'Occupation, l'école La Mennais est transformée en caserne allemande.

Dans la nuit du 21 au 22 décembre 1942, la mission Cokle fut parachutée près de l'étang au Duc. Elle était composée de 2 Français libres : le lieutenant Guy Lenfant et le radio André Rapin, ils furent réceptionnés par les résistants ploërmelais. Pendant le 1er semestre 1943, ils organisèrent la réception de plusieurs parachutages d'armes et d'explosifs qui furent cachés dans des fermes de confiance à Ploërmel, Loyat, Taupont et Campénéac. Les 2 parachutistes repartirent en Angleterre par un petit avion, venu les récupérer le 15 juillet 1943, ils emportèrent avec eux, le plan des défenses allemandes dans le Morbihan que leur remit le chef des gendarmes du département, le commandant Maurice Guillaudot, résistant.

La ville fut bombardée par l'aviation américaine le 12 juin 1944 : le bombardement fit 31 morts, 125 blessés et 490 habitations furent détruites ou endommagées. Une partie des bombes tombèrent dans des zones inhabitées du côté de l'étang. La gare était l'objectif visé pour retarder l'envoi de renforts allemands vers le front de Normandie.

Les Allemands quittèrent la ville les 4 et 5 août en direction de Vannes. Ploërmel fêta sa Libération le dimanche 6 août lorsque des véhicules américains arrivant de Guer traversèrent la ville en direction de Vannes ou de Lorient. Le maire, le docteur Louis Guillois, reçut une délégation de militaires américains devant la mairie en présence de Ploërmelais qui se rendaient à la messe.

Un certain nombre de Ploërmelais avait participé à la Résistance. Les résistants Henri Calindre[6] (dit Mystringue), 37 ans, Louis Chérel, 24 ans, Lionel Dorléans, 20 ans et Paul Hervy, 18 ans, ont été fusillés le 30 juin 1944 à La Maltière sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande près de Rennes (35). Leur nom a été attribué à des rues de la ville. Julien Quatreville, 18 ans, Pierre Sassier 23 ans, ont été fusillés le 14 juin 1944 à Ploërmel, un monument porte leur nom, Gustave Le Meur, 18 ans, fusillé le 20 juin 1944 à Ploërmel, une rue porte son nom. René Dejean, parachutiste de la France libre ayant combattu en Libye en 1942, parachuté en Bretagne le 10 juin 1944, blessé et fait prisonnier près de Plumelec, fut fusillé par les Allemands le 24 juin 1944, une rue porte son nom. Ange Mounier, 39 ans, transporteur à Ploërmel, fut tué au combat le 4 août 1944 près du village de Lézonnet à Loyat, son nom figure sur un monument sur la route de Ploërmel à Loyat. D'autres furent déportés, Robert Turpin, 33 ans, est mort en déportation, une rue porte son nom.

Le commandant de la gendarmerie, le lieutenant Théophile Guillo, également chef de la Résistance à Ploërmel, fut arrêté, torturé et déporté (ainsi que son fils Joseph), le 31 mars 1944. Il sera décoré de la Légion d'Honneur par le général De Gaulle, en 1947.

Blasonnement

Blason ville fr Ploërmel (Morbihan).svg

Les armoiries de Ploërmel se blasonnent ainsi :

D’hermines au léopard lionné de sable couronné d’azur tenant de sa patte dextre une bannière du même chargée de cinq mouchetures d’hermine d’argent ordonnées trois et deux.


Ploërmel a pour devise : Tenax in fide


Le logo de Ploërmel - La ville à vivre - (à droite) a été adopté en 2009

blason

Administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2008 en cours Béatrice Le Marre PS Enseignante - Conseillère régionale
1977 2008 Paul Anselin UMP Gérant de Société - Conseiller général - Conseiller régional
1965 1977 Jules Bouchaud DVD Notaire - Conseiller général
1961 1965 Madeleine Pelletier    
1952 1961 Jean Toutain   Commerçant
1904 1952 Louis Guillois Fédération républicaine Médecin- Conseiller régional - Député - Sénateur
1896 1904 François Goupil    
1878 1896 Joseph Zudaire   Avoué
1876 1878 Gabriel Peschart    
1871 1876 Armand Lucas    
1850 1871 Arthur de Préaudot    
1848 1850 Jean Druais    
1843 1848 Bouju    
1835 1843 Rodolphe Duportal Lamotte    
1832 1835 Claude Desgoulle    
1831 1832 Pierre Brobant    
1830 1831 Claude Desgoulle    
1821 1830 Pierre Duportal    
1808 1821 Jean Eonnet    
Toutes les données ne sont pas encore connues.

Vie locale

En 2006, Paul Anselin a reçu le prix Orwell Localités des Big Brother Awards, pour avoir installé 63 caméras de vidéosurveillance dans une commune de 8 600 habitants malgré une délinquance nulle et, accessoirement, avoir mis en place un numéro vert pour dénoncer les voisins bruyants. Ce sujet provoque une polémique[7].

Sports et loisirs

  • le Lac au Duc : centre nautique (voile, aviron, canoë-kayak, ski nautique, label handivoile)
  • Golf 9 trous. AS golf du Lac au Duc.
  • Piscine, halle des sports, tennis couverts.
  • Savate, boxe française : Club Gant Ploërmelais
  • Football : Ploërmel Football Club (PFC)
  • Sports de combat : centre régional d'arts martiaux
  • Handball : Ploërmel Handball Club
  • Hippodrome de Malleville, inauguré en 1905 ; chaque année ont lieu plusieurs réunions en août et en septembre (trot, plat, steeple-chase, cross-country).
  • Voies vertes : V3 St Malo - Rhuys, voie départementale Ploërmel - Guer, chemins de randonnée Ploërmel - Josselin et Ploërmel - La Trinité Porhoët

Démographie

Évolution démographique
(Source : Ehess[8] et INSEE[9])

1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
5 200 4 694 4 758 4 918 4 851 5 207 4 987 5 190 5 635
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
5 202 5 478 5 697 5 472 5 505 5 761 5 881 5 913 6 041
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
6 062 5 424 5 370 5 237 5 436 5 380 5 687 6 036 6 037
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2007    
5 723 5 907 6 218 6 563 6 996 7 525 8 664    

Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes


Étymologie

en 865 la commune était notée : Plebs Arthmael ; ce qui qui signifie la paroisse d'Arthmael qui se dit aujourd'hui Arzhel ou Armel. Sa signification est arth: ours et mael: prince. le prince aux qualités de l'ours. A l'époque, pour les Bretons, donner les attributs d'un animal comme l'ours était valorisant. D'autre prénom comme Conan (personnes aux qualités du chien) peuvent également être mal compris actuellement, alors que contemporainement c'étaient des qualités.

Cependant, une autre étymologie indiquerait que arth viendrait de ard qui voudrait dire haut. Aussi, Arthmael pourrait signifier Haut-prince.

Langues

À la rentrée 2007, 2,6 % des enfants de la commune étaient inscrits dans le primaire bilingue français-breton[10].

Si on a parlé localement breton au Moyen Âge, depuis on y parle gallo, langue romane et non celtique, (Ploërmel se dit Pieurmè en gallo). Le Conseil général a installé des panneaux bilingues français-breton.

Économie

  • La ville dispose d'une maison des entreprises « Cométias » qui regroupe les 3 chambres consulaires: Chambre de commerce et d'industrie du Morbihan, Chambre de Métiers et de l'Artisanat et Chambre d'Agriculture.
  • Site de production de l'entreprise Babolat spécialisée dans les cordages en boyau naturel,
  • Les Aciéries de Ploërmel, spécialisée essentiellement dans la fabrication de matériel ferroviaire, a le statut de SCOP.
  • Capsugel, site de fabrication de gélules et de capsules molles, utilisées à la fois par l’industrie du médicament et celle des compléments alimentaires.
  • Les Celluloses de Brocéliande, fabrique d'articles d'hygiène pour l'enfant et la femme.
  • La MPAP (Manufacture Produits Automobiles de Ploërmel), spécialisée dans les pièces techniques à base de matières plastiques pour l'automobile.
  • ABCD et PEP (Produits Elaborés Ploërmel), deux usines spécialisées dans le secteur des oeufs.

Lieux et monuments

Dans la vieille ville :

  • les vestiges des fortifications de la ville érigées en 1175 (source: Marquis de Bellevue, Résumé de l'histoire de Ploërmel, M.A.B., t28, 1909, p. 5);
  • le cloître des Carmes (XIIIe siècle) ;
  • la chapelle bleue Sainte-Marie-des-Carmes (XIXe siècle).

Dans l'ancienne ville close :

  • maison des Marmousets - 1586 qui porte dans sa partie ouest une tour et un pan de mur, vestiges des anciennes fortifications;
  • ancien hôtel des ducs de Bretagne - 1150 ; porte lui aussi des traces des anciennes fortifications
  • maison Bigarré - 1669 ;
Église Saint-Armel.

Personnalités liées à la commune

  • Jean-Louis Dubreton (1773-1855),général des armées de la République et de l'Empire (nom gravé sous l'Arc de Triomphe).
  • Jean-Marie de La Mennais, né en 1780 à Saint-Malo, mort en 1860 à Ploërmel, fondateur de la congrégation des Frères de l'instruction chrétienne de Ploërmel en 1819 et du lycée qui porte son nom.
  • Giacomo Meyerbeer (1791-1864), musicien allemand, compositeur de l'opéra-comique Le Pardon de Ploërmel.
  • Alphonse Guérin, né à Ploërmel en 1817, mort à Paris en 1895, médecin et chirurgien, inventeur du pansement.
  • Raoul de Navery, pseudonyme masculin de Mme de Navery , née Marie Saffray. Poète et romancière, elle est née en 1831 à Ploërmel et morte à La Ferté-sous-Jouarre (Seine-et-Marne) en 1885.
  • Stendhal est passé à Ploërmel au cours de son voyage en Bretagne : « ... Ploërmel, dont j'ai admiré la charmante église. Ses formes, quoique gothiques, écartent l'idée du minutieux ; mais il faudrait deux pages pour expliquer suffisamment mon idée ou plutôt ma sensation, et rien ne serait plus difficile à écrire (...) Eh bien ! l'église de Ploërmel, comparée aux autres édifices gothiques, n'a l'air ni pauvre, ni laid. »
  • Louis Guillois, médecin, sénateur et député, fut maire de Ploërmel pendant quarante-huit ans (1904-1952).

Ploërmel au cinéma

  • Dans Un taxi pour Tobrouk, film réalisé en 1960 par Denys de la Patellière, dont l’action se passe en 1942 dans le désert de Libye où des commandos des Forces françaises libres attaquent les arrières de l’armée allemande, le personnage joué par Lino Ventura informe ses trois camarades, dont Charles Aznavour, que le vœu du lieutenant qui vient d’être tué au combat, était de retourner à Ploërmel. Il ajoute : « On n'y est pas encore ! ».
    Il s'agit peut-être d'un hommage au parachutage en juin 1944, d'un bataillon de Français Libres sur le maquis de Saint-Marcel près de Ploërmel, dans le cadre du débarquement en Normandie.
  • Dans le 16 à Kerbriant, feuilleton en noir et blanc réalisé en 1971 par Michel Wyn, dont l'action se passe pendant l'été 1944 dans le sud du Morbihan, deux Résistants décident de saboter une ligne de chemin de fer comme le sabotage réalisé quelques jours plus tôt à... Ploërmel. Un sabotage fut réellement exécuté par des maquisards dans le secteur de Ploërmel, précisément à la gare de Loyat, en mai 1944, sur le chemin de Rennes et de la Normandie à l'approche du Débarquement attendu, pour montrer aux alliés les capacités de la Résistance bretonne.

Sources

Notes et références

  1. données officielles 2006 sur le site de l’INSEE
  2. Page INSEE [1] ; cheminement : sur la petite carte de France, onglet Départements, puis choisir le département, puis menu déroulant Couches d'aide à la sélection
  3. Jean-Pierre Nennig, « 11 Questembert - Ploërmel », Le chemin de fer de Bretagne sud, JPN, Guérande, 2008, pp. 163-168 (ISBN 2-9519898-5-7).
  4. Jean-Charles Guimard, « de la voie ferrée à la voie verte », La voie verte Mauron-Questembert (Morbihan) ..., CESA Magistère d'Aménagement, 1ère année, 2009, p. 11 lire (consulté le 26/09/2009).
  5. Photo des 5 officiers exposée dans le musée de l'école et cartes postales d'époque
  6. http://www.istorhabreiz.fr/spip.php?article24
  7. Polémique sur l'installation des caméras de surveillance lire.
  8. http://cassini.ehess.fr/ Population par commune avant 1962 (résultats publiés au journal officiel ou conservés aux archives départementales)
  9. INSEE : Population depuis le recensement de 1962
  10. (fr) Ofis ar Brezhoneg: Enseignement bilingue
  11. Notice no IA00010266 et Notice no PA00091506, sur la base Mérimée, ministère de la Culture.
  12. « Subvention illégale pour la statue de Jean Paul II », Le Télégramme de Brest, 7 janvier 2010.
  13. http://www.lefigaro.fr/medias/2011/10/03/20111003PHOWWW00507.jpg

Bibliographie

  • Messire Beaudeville, La légende de Saint Armel, L. Prud-homme, Saint-Brieuc, 1855.
  • Marquis de Bellevue, Résumé de l'histoire de Ploërmel, M.A.B., t.28, 1909, p. 3-9.
  • Marquis de Bellevue, Tuault de la Bouvrie, dernier sénéchal de la Sénéchaussée de Ploërmel, Député aux états généraux, M.A.B., tome 28, 1909, p. 10-19
  • Marquis de Bellevue, Monographie de l'église Saint Armel de Ploërmel, M.A.B., t.28, 1909, p. 26.
  • Marquis de Bellevue, Ploërmel et sénéchaussée, Campion, Paris, 1915.
  • Marquis de Bellevue, L'assemblée de Saint-Armel à Beaucé, M.A.B., t.28, 1909, p. 135-220
  • Comte de Berthou, Notes d'un vieux Ploërmelais, M.A.B., t.28, 1909, p. 177-182.
  • Du Halgouët, Ploërmel, gouverneurs, syndics et sénéchaux, M.A.B., t.28, 1909, p. 56-68.
  • J. Ealet, Ploërmel, Mémoire en image, A.Sutton, 1995, p. 18.
  • E. Gilles, Au cœur de la Bretagne, de Pontivy à Locminé, Josselin à Ploërmel, première série, lettre de préf. De J.M. Bellec, Pontivy, C. Anger, 1912
  • A. Hede, « Ploërmel, au palmarès de la croissance économique », Ploërmel Brocéliande, Maguil et Bressy, LMC Mosaïque, Paris, 1993, p. 45-48
  • JF. Lagneau, Maison des Marmousets, Ploërmel, Morbihan, Ministère de la culture et de la francophonie, D.R.A.C., S.D.
  • Le Bouteiller, L'assemblée de Saint-Armel à Beaucé, M.A.B., t.28, 1909, p. 135-140
  • Abbé Marmagnant, Histoire de Ploërmel, Ploërmel, t.I-II, S.D.
  • M. de Mauny, De Josselin à Ploërmel, Ouest-France, Rennes, 1977.
  • Y. Renard, Ploërmel et son église Saint-Armel, Lyon, 1968.
  • Hélène Roinel, Ploërmel cité ducale et sa région, Le Ploërmelais, Ploërmel, 1987.
  • S. Ropartz, Histoire de Ploërmel, Monographies des villes et villages de France, Rasserts-Lorisse, Office d'édition du livre d'histoire, 1988.

Voir aussi

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