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Gustav Mahler
Pour les articles homonymes, voir Mahler (homonymie).Gustav Mahler Naissance 7 juillet 1860
Kaliště, aujourd’hui en République tchèqueDécès 18 mai 1911
Vienne, AutricheActivité principale Compositeur
Activités annexes chef d’orchestre Maîtres Gustav Mahler, né à Kaliště (Empire austro-hongrois, actuellement République tchèque), le 7 juillet 1860 et mort à Vienne le 18 mai 1911, était un musicien autrichien. Bien qu’il soit principalement connu à son époque comme chef d’orchestre de premier plan, il est surtout célèbre aujourd’hui comme un compositeur important dont l’œuvre jette un pont entre la fin du XIXe siècle et la période moderne. Il a écrit dix symphonies (la dernière étant complète au niveau de la réduction d’orchestre (en) mais inachevée au niveau de la partition complète) et plusieurs cycles de Lieder.
Sommaire
Biographie
Gustav Mahler voit le jour à Kaliště le 7 juillet 1860, en Bohême. Pendant sa première année, ses parents s’établissent en Moravie à Jihlava, où il passe son enfance. En 1875, il est admis au conservatoire de Vienne où il étudie le piano avec Julius Epstein et partage la chambre d’Hans Rott. Il suit parallèlement des conférences données par Anton Bruckner à l’université de Vienne. Sa première composition importante fut Das Klagende Lied qu’il présente à un concours en tant qu’opéra, mais qu’il transformera plus tard en cantate.
L’échec de cette tentative le persuade de se tourner vers la direction d’orchestre. Après un premier engagement à Bad Hall, il obtient des postes dans des opéras de plus en plus grands ; Ljubljana en 1881, Olomouc en 1882, Kassel en 1884, Opéra d’État de Prague en 1885 (il y dirige la neuvième symphonie de Beethoven), Leipzig en 1886 et Budapest en 1891. Son premier poste de longue durée est à l’opéra de Hambourg en 1891, où il restera jusqu’en 1897. C’est pendant les vacances d’été qu’il prend alors à Steinbach-am-Attersee, qu’il se remet à la composition et acheva sa première symphonie et les Lieder aus « Des Knaben Wunderhorn ».
Mahler se convertit en 1897 du judaïsme au catholicisme et devient directeur artistique du prestigieux opéra de Vienne. Il passe les dix années suivantes à Vienne et y acquit une réputation de perfectionniste. Une analyse de ses relations avec les membres de l'orchestre confirme chez Gustav Mahler une tendance à obtenir d'eux le meilleur, jusque dans les plus petits détails. On dit par ailleurs qu'il imposa au public l'obligation d'assister à la représentation des opéras en leur entier sans quitter sa place, ce qui laisse supposer que l'on pouvait ne pas suivre cette règle jusque-là. A la Wiener Hofoper, il s'imposa dans les opéras de Mozart, Beethoven et Wagner, entre autres, mais ne dédaigna pas non plus les répertoires italien, français et russe et veilla aussi à donner des oeuvres contemporaines. Pendant cette période, il alterne la direction pour neuf mois de l’année et la composition le reste du temps — principalement à Maiernigg, où il avait une petite maison sur le Wörthersee — il y compose ses symphonies de la deuxième à la huitième.
Il épouse Alma Schindler (1879-1964) en 1902, et en a deux filles, Maria et Anna. En 1907, sa fille aînée Maria décède, emportée par la scarlatine. La même année, il se découvre une maladie de cœur et perd son emploi à Vienne, après avoir défendu ses propres œuvres. Ce triple coup du sort, Mahler l’a involontairement anticipé quelques mois auparavant quand il compose le finale de sa sixième symphonie, ce finale comporte en effet, trois puissants et terribles coups de marteau censés symboliser trois coups du destin frappant fatalement un héros et le précipitant dans un gouffre de desespoir sans fond comme l’exprime la poignante fin de l’œuvre. En 1910, craignant que sa femme ne le quitte, il consulte Sigmund Freud avec qui il fait une discussion-promenade de 4 heures durant laquelle il se «guérit»: il écrira à sa femme : «...Suis joyeux. Conversation intéressante... ». Alors que sa quatrième symphonie a reçu un accueil assez favorable, il lui faut attendre 1910 pour rencontrer un vrai succès public avec la huitième symphonie à la création de laquelle assisteront les plus grands artistes et écrivains de l'époque (et parmi ces derniers, on trouve Thomas Mann).
Mahler, alors en butte à quelques attaques antisémites, reçoit une offre pour diriger le Metropolitan Opera à New York. Il y dirige une saison en 1908 mais est écarté au profit d’Arturo Toscanini. Il revient à New York l’année suivante pour y diriger l’Orchestre philharmonique de New York. De cette période datent l’achèvement de Das Lied von der Erde et de sa dernière œuvre achevée, la neuvième symphonie. C’est durant sa dernière visite aux États-Unis qu’il tombe gravement malade et demande à retourner à Vienne, où il meurt le 18 mai 1911, laissant inachevée sa dixième symphonie (seul l’Adagio initial sera achevé). Le dernier mot qu’il prononce, un doigt levé dirigeant un orchestre invisible, est : « Mozartl ! » (« mon petit Mozart ») adressé à Alma. Mahler meurt le 18 mai 1911 à 51 ans. Il est enterré non loin de la capitale autrichienne, au cimetière de Grinzing.
La musique de Gustav Mahler
La musique de Mahler est ancrée dans la tradition austro-allemande, celle de Jean-Sébastien Bach, de la première « école de Vienne » de Haydn, Mozart, Beethoven et Schubert et de la génération romantique, Schumann, Brahms et Mendelssohn, mais surtout de Franz Liszt et d’Anton Bruckner, dont les vastes symphonies à prétentions métaphysico-existentielles anticipent les siennes. Cependant l’influence décisive de son œuvre fut Richard Wagner, le seul selon lui dont la musique possédait réellement un « développement » (cf. Forme sonate).
La musique de Mahler combine des influences romantiques — comme le fait de donner des titres à ses symphonies, ou de leur associer des programmes — avec l’utilisation de la musique populaire viennoise ou autrichienne et l’art contrapuntique, en utilisant les immenses ressources de l’orchestre symphonique. Le résultat de sa recherche pour étendre son univers musical fut qu’il développa la forme symphonique au point d’en faire éclater le moule formel. Une symphonie se devait d’être, dans ses termes, un univers entier. De ce fait, Mahler fut confronté à des difficultés dans la présentation de ses œuvres et eut tendance à en réviser sans fin les détails d’orchestration.
On divise généralement ses symphonies selon trois périodes :
- La première période, marquée par son interprétation des poèmes du recueil « des Knaben Wunderhorn » et parsemée de mélodies venant de sa propre mise en musique de ces mêmes poèmes, comprend les quatre premières symphonies.
- Dans la deuxième période, comprenant les trois symphonies suivantes, l’expression devient plus sévère, plus tragique. Elle impressionna le public viennois tout autant qu’elle influença d’autres compositeurs.
- La dernière période est marquée par une importance croissante de la polyphonie et comprend la symphonie n° 8 dite « des mille », la neuvième symphonie, la dixième, inachevée, ainsi que le cycle de lieder avec orchestre Das Lied von der Erde (le Chant de la terre).
Mahler était obsédé par l’héritage de Beethoven. Tout en étant terrifié à l’idée d’écrire une symphonie qui portât le numéro neuf, il déclarait que chacune de ses propres symphonies était une « neuvième », avec autant d’impact et d’importance que celle de l’Ode à la joie. Peu de compositeurs ont à ce point mêlé leur vie personnelle et leur œuvre. Le manuscrit de la dixième symphonie de Mahler comporte des notes destinées à sa femme, qui avait une liaison avec Walter Gropius, et d’autres références autobiographiques.
Ces aspects conduisirent à considérer sa musique, encore longtemps après sa mort, comme emphatique, voire enflée. Debussy, qui avait quitté ostensiblement la salle lors de la première de la 2e symphonie à Paris, avait déclaré : « Ouvrons l’œil (et fermons l’oreille)… Le goût français n’admettra jamais ces géants pneumatiques à d’autre honneur que de servir de réclame à Bibendum. »
Pourtant, quelle que soit la durée de ces œuvres, ou l’effectif requis pour leur exécution, il est vrai aussi qu’elles constituent toujours une démonstration d’orchestration magistrale, ce que même les pires détracteurs de sa musique, à l’époque, étaient bien contraints de reconnaître. Même dans des œuvres se contentant d’un orchestre « minimal » (comme sa 4e symphonie), la délicatesse de l’orchestration, son inventivité, le fait que les timbres soient partie intégrante de la composition font de Mahler, sous bien des aspects, un héritier direct de Berlioz.
Il est vrai que Mahler avait toujours cherché à innover et à étendre le genre symphonique, mais cela ne doit pas faire oublier qu’il était aussi un artisan minutieux, ce qui se voit dans ses méthodes de travail méticuleuses, dans la planification ordonnée de ses œuvres et dans ses études des maîtres antérieurs.
Mahler, grand maître d’un romantisme crépusculaire qu’il fait entrer dans la modernité, chaînon manquant entre Bruckner et Schoenberg, est un compositeur qui a merveilleusement synthétisé la leçon de ses maîtres (Beethoven, Wagner, Bruckner) en portant le langage symphonique classique à un point de non-retour qui ne lui survivra pas. Certes les Français des années 1900 n’appréciaient pas vraiment son œuvre. C’était peu visionnaire, mais bien caractéristique d’une époque où la musique française et la musique allemande se livraient une guerre ouverte. La 4e symphonie qui comporte une partie vocale (Ilse Eerens), fut sifflée à sa création en 1901 et ne fut acceptée par le public qu’en 1904 à Amsterdam.
« L’homme mûr peut-il, disait Mahler, sans en éprouver nulle honte, retrouver la bienheureuse candeur, le bonheur perdu de son enfance ? ».
L’héritage de Mahler
Le rôle charnière de Mahler entre la période romantique et la période moderne n’est pas sans rappeler le rôle qu’avait joué Haydn pour la musique romantique. Ses compositions eurent une influence décisive sur les compositeurs Alexander von Zemlinsky,Richard Strauss, Arnold Schönberg, Alban Berg et Anton Webern, ainsi que sur les chefs d’orchestre Bruno Walter et Otto Klemperer, qu’il a tous les deux aidés dans leur carrière.
Ses mélodies, parfois à la limite de la rupture, son goût des grands intervalles expressifs, ses modulations abruptes, l’utilisation d’accords dissonants sur des points clefs quand le programme le requiert, quitte à violer quelque peu la conduite des voix du contrepoint classique, ont rendu possible le grand saut vers l’atonalité. Parmi ses autres innovations, on trouve l’introduction d’autres instruments dans l’orchestre (guitare, mandoline, glockenspiel), l’extension de la section des percussions, l’usage de chœurs et de solistes vocaux dans la musique symphonique.
En tant que chef d’orchestre, sa technique et ses méthodes ont survécu jusqu’à notre époque. Célèbre pour avoir dit que « la tradition, c’[est] la paresse (ou de la négligence) », il exigeait un intense travail de répétitions avant un concert, ce qui conduisait à des tensions avec les orchestres qu’il dirigeait, quelle que pût être par ailleurs l’amélioration du résultat final.
« Mon temps viendra » disait Mahler face aux difficultés qu’il rencontrait pour faire accepter ses œuvres et c’est en effet ce qui se produisit vers les années 1960, notamment grâce à Leonard Bernstein, puis, plus tard, en 1971, grâce à l’illustration musicale du film chef-d’œuvre de Luchino Visconti, tiré d’une nouvelle de Thomas Mann, Mort à Venise par l'utilisation de l’Adagietto de la 5e symphonie, ce qui va engendrer un véritable engouement pour sa musique et sortir définitivement son œuvre tout entière du purgatoire relatif dans lequel elle était confinée depuis sa mort.
Œuvres
SYMPHONIES Titre Surnom Tonalité Composition Mouvements Orchestration Durée Symphonie n° 1 « Titan » ré majeur 1888-1896 4 (certaines versions comprennent le mouvement "Blumine" écarté par Mahler.) Orchestre 50 minutes environ Symphonie n° 2 « Résurrection » ut mineur 1888-1894 5 Orchestre, contralto, soprano, chœur 70-80 minutes Symphonie n° 3 ré mineur 1893-1896 6 Orchestre, alto, chœurs 90 minutes environ Symphonie n° 4 sol majeur 1899-1900 4 Orchestre, soprano 55 minutes environ Symphonie n° 5 ut dièse mineur 1901-1902 5 Orchestre 70 minutes environ Symphonie n° 6 « Tragique » la mineur 1903-1904 4 Orchestre 75-85 minutes Symphonie n° 7 « Chant de la nuit » mi mineur 1904-1905 5 Orchestre 80-85 minutes Symphonie n° 8 « Symphonie des mille » mi bémol majeur 1906-1907 2 Orchestre, solistes, chœurs 80-85 minutes Symphonie n° 9 ré majeur 1909-1910 4 Orchestre 80-85 minutes Symphonie n° 10 « Inachevée » fa dièse majeur 1910 5 Orchestre 25 minutes ŒUVRES VOCALES Titre Traduction Texte Composition Chants Durée Das klagende Lied Le chant plaintif Gustav Mahler 1878-1880 3 parties 60-70 minutes Lieder aus der Jugendzeit Chants de jeunesse Trois Lieder, Cinq Lieder et Neuf premiers Wunderhorn Lieder
Gustav Mahler 1880-1883 17 Lieder eines fahrenden Gesellen Chants d'un compagnon errant Gustav Mahler 1884-1885 4 15-20 minutes Lieder nach Gedichten aus »Des Knaben Wunderhorn« Lieder sur des poèmes du « Knaben Wunderhorn » 1888-1894 13 55-60 minutes Rückert-Lieder Rückert-Lieder Friedrich Rückert 1901-1902 5 17-23 minutes Kindertotenlieder Chants pour des enfants morts Friedrich Rückert 1901-1904 5 25-30 minutes Das Lied von der Erde Le Chant de la Terre Hans Bethge 1908-1909 6 65-70 minutes Voir aussi
Bibliographie
Ouvrages en français
- Theodor Reik : Variations psychanalytiques sur un thème de Gustav Mahler, Denoël, 1973, ISBN 2-207-21879-1
- Jean Matter : Connaissance de Mahler, Ed. L’Âge d’Homme, 1974.
- Theodor W. Adorno : Mahler, une physionomie musicale, Ed. de Minuit, 1976.
- Bruno Walter : Gustav Mahler, préface de Pierre Boulez, Mahler actuel ?, collection Pluriel, Le Livre de Poche, 1979.
- Kurt Blaukopf : Gustav Mahler, Ed. Robert Laffont, 1979.
- Henry-Louis de La Grange : Gustav Mahler. Chronique d’une vie. I Vers la Gloire 1860-1900. Fayard, 1979.
- Henry-Louis de La Grange : Gustav Mahler. Chronique d’une vie. II L’âge d’Or de Vienne 1900-1907. Fayard, 1983.
- Henry-Louis de La Grange : Gustav Mahler. Chronique d’une vie. III Le Génie foudroyé 1907-1911. Fayard, 1984.
- Alma Mahler : Ma vie, Hachette, 1985.
- Otto Klemperer : Ecrits et entretiens, Collection Pluriel, Le Livre de Poche, 1985.
- Françoise Giroud : Alma Mahler, ou l’art d’être aimée, Robert Laffont, 1988.
- Philippe Chamouard : Gustav Mahler tel qu’en lui-même, Méridiens-Klincksieck, 1989.
- Marc Vignal : Mahler, Seuil, 1996.
- Natalie Bauer-Lechner : Souvenirs de Gustav Mahler, L'Harmattan, 2000.
- Stéphane Friédérich : Gustav Mahler, Actes Sud, 2004.
Ouvrages en allemand
- Wolfgang Johannes Bekh : Gustav Mahler, oder die letzten Dinge, Almathea, 2005.
- Jens Malte Fischer : Gustav Mahler, der fremde Vertraute, Biografie, Zsolnay, 2003.
- Constantin Floros : Gustav Mahler, Wiesbaden, 1985.
- Christian Glanz : Gustav Mahler, Holzhausen Verlag, 2001.
- Stefan Hanheide : Mahlers Visionen vom Untergang. Interpretationen der Sechsten Symphonie und der Soldatenlieder, Universität Osnabrück, 2004.
- Erich Partsch et Oska Pausch : die Ära Gustav Mahler, Böhlau, 1997.
- Ferdinand Pfohl, Gustav Mahler, Eindrücke und Erinnerungen aus den Hamburger Jahren. (Éd. Knud Martner), Verlag der Musikalienhandlung Karl Dieter Wagner, Hamburg, 1973
- Wolfgang Schreiber : Gustav Mahler, Rowohlt Taschenbuch, Reinbek, 1971.
- Bruno Walter : Gustav Mahler, Noetzel Florian, 2001 (réédition).
Ouvrages en anglais
- Jonathan C. Carr : Gustav Mahler, Overlook TP, 1999.
- Stuart Feder : Gustav Mahler, a life in crisis, Yale University Press, 2004.
- Norman Lebrecht : Mahler Remembered, Faber and Faber, 1987.
Théâtre
- Ronald Harwood : Mahler’s Conversion, Faber Publishing, 2001 (en anglais).
- Francis Huster : Putzi, 1991.
- Francis Huster : Mahler, 2000.
Romans
- Thomas Mann : Der Tod in Venedig (La Mort à Venise), 1912.
Filmographie
- Mahler, un film de Ken Russell, Royaume-Uni, (1974), avec Robert Powell.
- Alma, la fiancée du vent (Bride of the Wind), un film de Bruce Beresford, Royaume-Uni/Allemagne/Autriche, 2001, avec Sarah Wynter et Jonathan Pryce.
- Mort à Venise (Morte a Venezia), un film de Luchino Visconti, Italie/France, 1971, avec Dirk Bogarde, d'après Thomas Mann.
- Mort à Venise (Death in Venice), un TV film de Robin Lough, Royaume-Uni, 1990, avec Robert Tear, d'après Thomas Mann.
- Mort à Venise (Death in Venice), un TV film de Tony Palmer, Royaume-Uni, 1981, avec Robert Gard, d'après Thomas Mann.
- To live, I will die (Sterben werd ich um zu leben - Gustav Mahler), un film de Wolfgang Lesowsky, 1987, avec Reinhard Hauser.
- Conducting Mahler, un documentaire de Frank Scheffer, Pays-Bas, 1995, avec Simon Rattle, Riccardo Muti et Bernard Haitink.
- Dracula, pages tirées du journal d'une vierge (Dracula, Pages from a Virgin's Diary), un film-ballet expressionniste de Guy Maddin, Canada, 2001
Liens externes
- Page consacrée à Mahler sur le site de l’IRCAM
- Classic Cat - Mahler
- Partitions libres de Mahler dans International Music Score Library Project
- Extraits d'archives sonores d'œuvres de Gustav Mahler, sur ContemporaryMusicOnline (portail de la musique contemporaine).
Précédé de :
Wilhelm JahnDirecteur, Opéra d'État de Vienne
1897–1907Suivi de :
Felix WeingartnerPrécédé de :
Hans RichterChef principal, Orchestre philharmonique de Vienne
1898–1901Suivi de :
Joseph Hellmesberger, Jr.Précédé de :
Vassili SafonovDirecteur musical, Orchestre philharmonique de New York
1909–1911Suivi de :
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