- Errico Malatesta
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Errico Malatesta Errico MalatestaNom de naissance Errico Malatesta Naissance 14 décembre 1853
Santa Maria Capua Vetere (Italie)Décès 12 juillet 1932 (à 78 ans) Formation études de médecine Errico Malatesta (né le 14 décembre 1853 à Santa Maria Capua Vetere, dans la province de Caserte, en Campanie, Italie - mort le 12 juillet 1932) est un propagandiste et un révolutionnaire anarchiste très actif tout au long de sa vie.
Il se réclama plus particulièrement de la tendance de l'anarchisme communiste. Il occupe une place importante dans le mouvement anarchiste, du fait de sa capacité critique et pratique.
Sommaire
Biographie
Malatesta naît le 14 décembre 1853 à Santa Maria Capua Vetere dans une famille de propriétaires terriens. Le père Federico et son épouse Lazzarina Rastoin (originaire de Marseille) possède aussi la fabrique de tannage de cuir la plus florissante de la région. Il fait ses études dans un collège tenu par les pères scolopi. Très jeune, il se range aux idées républicaines de Giuseppe Mazzini. À l'âge de 14 ans, il écrit une lettre au roi Victor-Emmanuel II, se plaignant de l'injustice locale, il est inquiété par la police, mais à raison de son âge, il est laissé libre. En mars 1870, il est arrêté une première fois pour une réunion organisée dans un cercle d'étudiants républicains. Il est alors inscrit à l'Université de Naples, où il fait des études de médecine pendant trois ans sans obtenir de diplôme. En effet, il est expulsé de l'université parce qu'en 1871, il adhère à la Première Internationale. Il devient le secrétaire de la section italienne. Entre temps, après la commune de Paris, il abandonne les idées républicaines pour adopter les idées anarchistes. La même année, il apprend la mécanique et l'électricité.
En 1872, durant le congrès de Saint-Imier, pour la création de l'internationale anti-autoritaire, il rencontre le révolutionnaire libertaire Michel Bakounine. Sur cette période "bakouniniste", il écrira plus tard :
« Nous voulions, par une action consciente, imprimer au mouvement ouvrier la direction qui nous semble la meilleure, contre ceux qui croient au miracle de l'automatisme et aux vertus de la masse travailleuse... Nous qui dans l'Internationale, étions désignés sous le nom de bakouninistes, et étions membres de l'Alliance, nous criions très fort contre Marx et les marxistes parce qu'ils tentaient de faire triompher dans l'Internationale leur programme particulier ; mais à part la loyauté des moyens employés et sur lesquels il est maintenant inutile d'insister, nous faisions comme eux, c'est-à-dire que nous cherchions à nous servir de l'Internationale pour atteindre nos buts de parti. »
— Volontà, 1914
Durant les quatre années suivantes, il participe à la propagande internationaliste en Italie, il est emprisonné deux fois pour ses activités. Après le congrès, il commence une intense période de subversion : en 1873, il est arrêté à Bologne, en 1874, il participe avec un petit groupe à une tentative infructueuse d'insurrection à Castel del Monte ; il est arrêté peu après à Pesaro. Le procès se termine par l'acquittement de tous les inculpés, résultat d'une grande popularité pour les insurgés et en particulier pour Malatesta.
Le 19 octobre 1875, Malatesta entre dans la franc-maçonnerie afin de tenter de diffuser l'idéal socialiste et en sort définitivement le 18 mars 1876, indigné de la décision de sa loge d'organiser une réception d'honneur pour Giovanni Nicotera, élu depuis peu ministre de l'intérieur.
Le communisme anarchiste est proclamé pour la première fois à la Fédération italienne de l'AIT anti-autoritaire au congrès de Florence de 1876 par Costa, Malatesta, Cafiero et Covelli. Cette prise de position suscite l'opposition au collectivisme qui est la position officielle de l'AIT anti-autoritaire (l'influence de Michel Bakounine) de cette époque.
En avril 1877, Malatesta, Cafiero, le Russe Sergius Stepniak et une trentaine d'autres commencent une insurrection dans le Bénévent, prenant les villages de Letino et Gallo sans un combat. Les révolutionnaires brûlent les registres communaux sur les propriétés et déclarent la fin du règne du roi. Ils sont accueillis par la population avec enthousiasme, même un prêtre montre son soutien. Après avoir quitté Gallo, ils sont arrêtés par les troupes gouvernementales et mis en prison pendant 16 mois avant d'être acquittés.
Après un certain nombre d'attaques terroristes contre la famille royale italienne et leurs amis, la police commence à garder sous une surveillance constante les radicaux et révolutionnaires. Bien que les anarchistes clament n'avoir aucun lien avec ces attaques, Malatesta, en tant que militant pour la révolution sociale, fait partie des éléments sous surveillance. Après son retour de Naples, il sera obligé de quitter l'Italie, et commence une longue période d'exil.
Le départ de l'Italie
En 1878, Malatesta commence une longue période de pérégrinations : il fait un brève passage en Égypte où il visite quelques amis italiens avant d'être expulsé par le consul italien, à cause de son implication dans les révoltes anticoloniales survenues en Égypte. Après avoir travaillé sur un bateau français, et s'être vu refusé son entrée en Syrie, en Turquie et en Italie, il débarque à Marseille, d'où il part pour la Suisse, à Genève (à ce moment-là un haut lieu de l'anarchisme) et où il fait la connaissance d'Elisée Reclus et de Pierre Kropotkine, dont il devient un grand ami et avec qui il publie Le Révolté. Il est expulsé de Suisse et part pour Londres en 1880, en passant par la Roumanie, Paris et la Belgique où il organise avec Kropotkine le Congrès international socialiste révolutionnaire.
En 1882, il prend connaissance de la révolte de Arabi Pacha et il retourne en Égypte pour essayer de transformer le mouvement nationaliste en révolte sociale. Il est arrêté par les soldats anglais et rentre en Italie clandestinement en débarquant à Livorno. Peu de temps après, il est arrêté pour conspiration avec son ami Francesco Merlino et d'autres révolutionnaires. Profitant de sa liberté provisoire, il se rend à Florence où il commence la publication de La Questione sociale.
Malgré une condamnation à trois ans de réclusion, en 1884, il se rend à Naples, pour aider la population touchée par une épidémie de choléra, qu'il quitte précipitamment pour l'Amérique du Sud afin d'éviter l'emprisonnement.
L'exil en Argentine
Il s'installe à Buenos Aires, où il entre en contact avec le Cercle communiste Anárquico et reprend la publication - en langue italienne - de La Questione sociale. En 1886, il tente l'expérience qui se révéla désastreuse, de chercheur d'or en Patagonie et en 1887, il participe à la naissance du premier syndicat argentin, le Sindacat des boulangers, dont il écrit les statuts.
En 1888, il est accusé d'avoir falsifié de la monnaie, cela se révélera faux. Il prend la décision de partir et après un court séjour à Montevideo, il rentre en Europe en 1889.
Retour en Europe
Il s'établit d'abord à Nice, où il publie le quotidien clandestin L'avvenire. Le police française se met rapidement sur ses traces, l'obligeant à se réfugier de nouveau à Londres.
Entre 1891 et 1892 il tient une série de meetings en Espagne avec son ami Pedro Esteve, et il participe à une révolte populaire à Jerez de la Frontera. Recherché par la police, il retourne à Londres où en 1896, il assiste au Congrès socialiste international. À Paris, on parle de contacts entre Marie Sophie de Bourbon, surnommé romantiquement la Reine des Anarchistes et Malatesta, rapports probablement seulement de connaissance compte tenu du peu de sympathie politique que montre l'aristocratie à l'égard des "subversifs".
En 1897, il voyage clandestinement jusqu'à Ancône, où il participe à la création de L'agitazione. L'année suivante, à l'occasion du Mouvement pour le pain, il est arrêté et condamné à sept mois de réclusion. À peine a-t-il fini sa peine qu'il est condamné à cinq ans de résidence forcée à Ustica, puis à Lampedusa d'où il s'évade en 1899 pour se rendre en Tunisie. En 1900, après deux bref séjours à New York et à Cuba, il s'installe à Londres où il reste douze ans à l'exception d'un voyage à Amsterdam en 1907 pendant lequel il participe au Congrès Anarchiste International.
À Londres
Pendant le séjour dans la capitale britannique, Malatesta gagne sa vie comme électricien et mécanicien. Pendant cette période, on note un certain ralentissement de son activité subversive. Très rapidement, il gagne l'estime des travailleurs anglais qui tiendront d'importantes manifestations de protestation lorsque Malatesta rencontre des problèmes judiciaires. L'épisode du 20 mai 1912 est emblématique, quand la cour de Bow Street le condamne à trois mois de réclusion suite à la plainte pour diffamation de la part de l'espion italien Ennio Belelli, la condamnation est accompagnée d'un décret d'expulsion qui est annulé suite à la manifestation populaire du 12 juin.
Il laisse le Royaume-Uni en 1913 pour rentrer en Italie où il commence la publication d'un hebdomadaire Volontà. En 1914, il est le principal artisan de la Semaine Rouge (settimana rossa) ; recherché de nouveau par la police, il est obligé de revenir pour la énième fois dans la capitale britannique.
À la veille de la Première Guerre mondiale il se sépare douloureusement de son ami Kropotkine, après un âpre débat sur l'attitude que les anarchistes doivent tenir sur le sujet de l'interventionnisme, Malatesta soutient les idées de l'antimilitarisme et de l'internationalisme. Cette position est encore plus évidente en 1916, au travers de sa réponse au Manifeste des Seize publiée en avril par Freedom.
Le retour en Italie
En 1919, après plusieurs tentatives vaines, Malatesta obtient un passeport du consul italien à Londres, il s'embarque pour Taranto le 24 décembre. En Italie, il utilise immédiatement sa popularité pour mener une intense activité de propagande et de subversion qui en fait l'un des acteurs principaux de la période biennio rosso. Il prend contact avec les Arditi del Popolo.
Entre 1919 et décembre 1921, il participe avec Gabriele D'Annunzio au coup de force sur la ville de Fiume. Son influence se fait sentir dans la charte du Carnaro écrite par le syndicaliste révolutionnaire Alceste de Ambris, et finalisée par D'annunzio sous la forme d'une régence pirate autonome et littéraire.
En 1920 il dirige à Milan le quotidien anarchiste Umanità Nova ; la même année il est arrêté et enfermé dans la prison de San Vittore. Il commence avec d'autres détenus une grève de la faim qui le mène presque à la mort. La grève est arrêtée suite à un attentat perpétré par quelques anarchistes du courant individuel, le 23 mars 1921 dans un hôtel situé à proximité du Théâtre Diana.
Le fascisme et la fin de l'activité subversive
La même année Malatesta est libéré. Il continue à diriger Umanità Nova jusqu'en 1922, année au cours de laquelle les fascistes prennent le pouvoir et interdisent le journal qui rouvrira en 1945 sous la forme d'un hebdomadaire. Malatesta, fuyant les contrôles fascistes, se rend clandestinement en Suisse pour assister au cinquantième congrès de Saint-Imier, puis s'installe définitivement à Rome avec sa compagne Elena Melli et sa fille Gemma.
Pendant les premières années du gouvernement fasciste, il poursuit son activité de propagande, de 1924 à 1926, malgré le rigide contrôle de la censure, il publie le journal clandestin Pensiero e Volontà. Les années suivantes, le régime fasciste impose à Malatesta le contrôle continu d'un groupe de gardiens, le condamnant ainsi à un isolement qui l'éloigne des mouvements anarchistes.
Il passe les dernières années de sa vie reclus dans sa maison avec sa famille, subissant une détérioration progressive de son état de santé. En mars 1932, il survit à une grave infection pulmonaire, et meurt le 22 juillet d'une crise respiratoire.
Principes politiques
Errico Malatesta tente une synthèse de la concession anarchiste, sans pourtant l'emprisonner dans un système. Pour atteindre ce but, il distingue l'anarchie de l'anarchisme. Le premier est la finalité, il a une valeur mi-historique et universelle : il représente le vouloir être et comme tel n'est pas déductible d'aucune situation historique. L'anarchisme est la traduction de cette fin dans la concrétisation d'une situation historique. La division correspond à celle entre jugements de valeur et jugements de fait.
Les valeurs fondamentales de l'anarchie –liberté, égalité, solidarité- sont des expressions rationnelles d'une aspiration universelle et comme telles ne sont liées à aucune doctrine. Malatesta refuse autant le droit naturel que le positivisme. Le premier, car il considère l'idée d'une société naturelle comme le résultat de la paresse de ceux qui rêvent que les aspirations humaines se réalisent spontanément, sans lutte ; le second, parce que l'exaltation de la science amène à un nouveau dogme, comme cela arrive à Pierre Kropotkine.
Malatesta développe dans ses différents écrits des principes révolutionnaires anarchistes, tels le volontarisme, le gradualisme révolutionnaire et bien d'autres principes.
Il expérimente divers principes révolutionnaires dont l'insurrectionalisme dans le Bénévent, mais aussi dans d'autres pays, où il dut s'exiler.
« Une chose est de comprendre, une autre de pardonner certains faits, les revendiquer, en être solidaires. Nous ne pouvons accepter, encourager et imiter de tels actes. Nous devons être résolus et énergiques, mais nous devons également nous efforcer de ne jamais dépasser les limites nécessaires. »
— Errico Malatesta, Un peu de théorie (1892), dans Articles Politiques (10/18). [1]
Il met en garde contre les tendances à la bureaucratisation dans les organisations anarchistes :
« Évidemment si, dans une organisation, on laisse à quelques uns tout le travail et toutes les responsabilités, si on subit ce que font certains sans mettre la main à la pâte et chercher à faire mieux, ces quelques uns finiront, même s'ils ne le veulent pas, par substituer leur propre volonté à celle de la collectivité. Si dans une organisation tous les membres ne se préoccupent pas d'exercer sur tout et sur tous leurs facultés critiques et laissent à quelques-uns la responsabilité de penser pour tous, ces "quelques uns" seront les chefs, les têtes pensantes et dirigeantes. »
— Errico Malatesta, L'Agitation à Ancône (1897) dans Articles Politiques (10/18).
Il est très critique vis-à-vis du syndicalisme révolutionnaire que défendait Pierre Monatte, il exprime son point de vue sur cette question au congrès international anarchiste d'Amsterdam en 1907 [2].
Il critique également la plateforme d'Piotr Archinov (Makhno participa à son élaboration), cette plateforme étant une proposition d'organisation avec de nouveaux principes, et qui fut lancé par le groupe russe Dielo Trouda (pourchassé par les bolcheviques) en exil. Malatesta remarque dans « la plateforme », des principes peu libertaires dans le fond, sur la responsabilité collective par exemple, et quant au fonctionnement sur les prises de décisions peu claires, laissant le champ vide à de possibles prises de pouvoir. [3]
La révolution, un acte de volonté
La volonté est l'élément décisif pour la transformation sociale. La société libertaire dépend uniquement de la volonté des hommes. L'histoire échappe à toute philosophie et à toute tentative de prévisions. Pour cela, il n'est pas possible de savoir quand la période est faste pour la révolution et il faut profiter de toutes les occasions. La révolution n'est pas un fait économique et social mais un acte de volonté. La révolution doit rassembler les masses, mais les masses ne deviendront pas anarchistes avant que la révolution ait commencé ; les anarchistes doivent alors se joindre aux masses et les accepter comme elles sont, sans projets pédagogiques inévitablement autoritaires et en adaptant plutôt l'idéologie à leur ressentir. L'action révolutionnaire a deux objectifs : la destruction violente des obstacles à la liberté, et la diffusion graduelle de la pratique de la liberté, privée de toutes coercitions.
La violence, triste mais nécessaire
La violence est ennemie de la liberté. Elle est une triste nécessité de l'anarchisme, non seulement dans la phase négative de la destruction des formes oppressives. Malatesta est opposé à toute terreur révolutionnaire qui conduit nécessairement à la dictature, ainsi il repousse l'idée communiste de la dictature du prolétariat et juge très sévèrement les résultats de la révolution bolchévique qui a arrêté l'expérimentation des soviets et a instauré un état autoritaire.
Il critique la violence comme fin en soi :
« Nous comprenons que cela puisse arriver, dans la fièvre de la bataille, chez des natures généreuses mais manquant de préparation morale -fort difficile à acquérir actuellement- qui peuvent perdre de vue le but à atteindre et prennent la violence comme une fin en soi et se laissent entraîner à des actes sauvages. »
L'intérêt, toujours conservateur
« Le danger le plus grand qui menace le mouvement ouvrier est la tendance du leader à considérer la propagande et l'organisation comme un métier »
— cité dans L'espresso, 3 août 2006, p. 118
Pour Malatesta, il n'est pas possible de réaliser la révolution en poursuivant des intérêts économiques, puisque l'intérêt est toujours conservateur : seul l'idéal est révolutionnaire. De là, la suprématie du politique – qui poursuit l'idéal universel – sur l'économique, qui poursuit toujours des fins réformistes et conservateurs. Pour cela, même les syndicats sont considérés réformistes, jamais réellement révolutionnaires (aussi pour leurs caractères inévitablement corporatif).
L'organisation sociale préférable est celle communiste, mais cela doit être un communisme non imposé, librement choisi et voulu. Le communisme de Malatesta n'est pas tant une concession économique, qu'un principe de justice sociale, une tension semi-économique. Les problèmes économiques doivent être traités en mode empirique, en choisissant l'organisation économique appropriée aux idéaux politiques anarchistes.
La démocratie comme mal inacceptable
Comme l'anarchie est fondée sur l'éthique (et sur une éthique de la conviction, en termes weberiens), elle ne peut pas accepter la démocratie comme un mal mineur. De là, la sous-évaluation du fascisme de la part de Malatesta. Le système démocratique fait appel à l'autorité de la majorité, celui anarchiste à l'entente volontaire (bien que dans certains cas, on soit obligé de recourir au vote). La volonté de la majorité ne peut prétendre à la possession de la vérité absolue puisque une telle vérité n'existe pas. Le principe de liberté interdit de reconnaitre une seule vérité : chacun possède sa propre vérité et aussi sa propre anarchie. En société, la liberté ne peut être absolue mais doit être limitée par le principe de la solidarité et de l'amour envers les autres.
Les écrits
- L'Anarchie Lire en ligne
- L'organisation Lire en ligne
- Le Programme Anarchiste Lire en ligne
- La terreur révolutionnaire Lire en ligne
- Majorités et minorités Lire en ligne
- Au Café Lire en ligne
- Entre paysans (1897) Lire en ligne
- Réponse au Manifeste des 16 Lire en ligne
- Anarchie et organisation Lire en ligne
- Sur Kropotkine Lire en ligne
- 1897
- Majorité et minorité, dans L'Agitazione, 14 mars
- Pour la libertté, dans L'Agitazione, 2 juillet
- 1899
- Vers l'anarchie, dans La questione sociale, 9 décembre
- 1913
- Pour la liberté, dans Volontà, 27 septembre
- Science et réforme sociale, dans Volontà, 27 décembre
- 1920
- Nos propositions, dans Umanità Nova, 27 février
- Encore sur la république, dansUmanità Nova, 21 mai
- Tant pis, tant mieux, dans Umanità Nova, 26 juin
- Les deux vies. Réforme ou révolution? Liberté ou dictature ?, dans Umanità Nova, 12 août
- Réforme et révolution, dans Umanità Nova, 10 septembre
- Majorité et minorité, dansUmanità Nova, 11 septembre
- La révolution en pratique, dans Umanità Nova, 7 octobre
- 1921
- Michail Bakunin, dans Pensiero e Volontà, 1er juillet
- 1922
- Les fonctions des syndicats dans la révolution, dans Umanità Nova, 13 avril
- Encore sur la liberét du travail, dans Umanità Nova, 16 avril
- Républicanisme sociale et anarchisme, dans Umanità Nova, 27 avril
- Les bases morales de l'anarchisme, dans Umanità Nova, 16 septembre
- Encore sur la révolution en pratique, dans Umanità Nova, 14 octobre
- Morale et violence, dans Umanità Nova, 21 octobre
- Parlant de révolution, dans Umanità Nova, 25 novembre
- 1924
- Anarchisme et réforme, dans Pensiero e Volontà, 1er mars
- Démocratie et anarchie, dans Pensiero e Volontà, 15 mars
- République et révolution, dans Pensiero e Volontà, 1er juin
- Anarchie et violence, dans Pensiero e Volontà, 1er septembre
- La foi et la science, dans Pensiero e Volontà, 15 septembre
- La terreur révolutionnaire, dans Pensiero e volontà, 1er octobre
- Dans le brouillard de la philosophie, dans Pensiero e Volontà, 1er novembre
- 1925
- Science et anarchie, dans Pensiero e Volontà, 1er juin
- La base morale de l'anarchisme, dans Pensiero e Volontà, 1er juillet
- Encore sur la science et l'anarchie, dans Pensiero e Volontà, 1er septembre
- Gradualisme, dans Pensiero e Volontà, 1er octobre
- 1929
- À propos de la « Plateforme », dans Il Risveglio Anarchico, 14 décembre
Voir aussi
Bibliographie
- Daniel Colson, L’Anarchisme de Malatesta, Atelier de création libertaire, 2010.
Filmographie
- Malatesta de Peter Lilienthal (1970) [4]
Articles connexes
- Anarchisme
- Anarcho-communisme
- Anarchisme insurrectionnaliste
- Andrea Costa
- Carlo Cafiero
- Mikhaïl Aleksandrovitch Bakounine
- Propagande par le fait
Liens externes
- Biographie sur le site Increvables-anarchistes.org
- Site de l'université de Montpellier
- Textes sur kropot.free.fr
- A propos d'Errico Malatesta sur Anti.Mythes
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