Transports dans les Yvelines

Transports dans les Yvelines

Les transports dans les Yvelines s'appuient sur un réseau dense d'infrastructures routières et ferroviaires, complété par l'axe de navigation important que constitue la Seine canalisée. Ce réseau est dominé par des axes radiaux convergents vers Paris, tandis que les liaisons transversales tant à l'intérieur du département qu'avec les départements voisins (Val-d'Oise, Essonne) sont moins développées.

Les transports yvelinois se caractérisent par l'importance des navettes voyageurs avec le centre de l'agglomération parisienne, en particulier Paris et La Défense, ainsi qu'avec d'autres pôles d'affaires de la banlieue parisienne tels que Cergy-Pontoise et le plateau de Saclay (Essonne).

Les services ferroviaires assurent une part significative des trajets domicile-travail vers Paris et la première couronne, tandis que les trajets internes au département ont très largement recours aux véhicules individuels.

Sommaire

Infrastructures

Article détaillé : Liste de ponts des Yvelines.

Transport routier

Article détaillé : Réseau routier des Yvelines.
Autoroute A13 à Morainvilliers.

Le réseau routier des Yvelines comprend :

Il s'organise selon trois grands axes rayonnant depuis Paris et suivant des itinéraires antiques :

  • la route nationale 13 suit la vallée de la Seine jusqu'à Bonnières-sur-Seine. Elle a été déclassée en CD 113 entre Saint-Germain-en-Laye et Mantes-la-Jolie et est doublée par l'autoroute de Normandie, gratuite jusqu'à cette dernière ville
  • la route nationale 10 traverse la frange est du département via Versailles et Rambouillet. En partie déclassée en route départementale, elle est doublée pour les destinations lointaines par l'autoroute A10 qui passe plus à l'est dans l'Essonne et traverse la pointe sud du département, avec la barrière de péage de Saint-Arnoult-en-Yvelines ;
  • la route nationale 12, aménagée en voie express à 2x2 voies, se détache de la précédente à Saint-Cyr-l'École et traverse le département en son milieu via Houdan selon une direction est-ouest.

Deux autres autoroutes « radiales » desservent le département :

Le réseau des routes départementales et communales assure un maillage relativement dense du territoire, en particulier dans le nord-est du département, partie la plus urbanisée. Cependant il existe peu de voies rapides reliant les axes radiaux tant à l'intérieur du département qu'avec les départements voisins de la grande couronne (91 et 95).

Il existe dans les Yvelines seize franchissements routiers de la Seine, dont deux viaducs de l'autoroute A14. Le plus récent est le viaduc de Triel, à 2 x 2 voies, long de 3650 m, construit en 2003 pour désenclaver la boucle de Chanteloup-les-Vignes[2].

À fin octobre 2009, dans le cadre de la lutte contre l'insécurité routière, 23 radars de contrôle de vitesse[3] et trois radars de feux rouges (au Vésinet[4]) ont été implantés dans les Yvelines.

Transport ferroviaire

Article détaillé : Catégorie:Gare des Yvelines.
Gare de Versailles-Rive Droite

Plus encore que le réseau routier, le réseau ferroviaire des Yvelines est fortement polarisé vers Paris, avec trois lignes radiales aboutissant à Paris-Saint-Lazare pour la première et Paris-Montparnasse pour les deux autres, toutes trois en double voie électrifiée :

  • la ligne Paris - Rouen, après avoir franchi deux fois le fleuve en coupant la boucle de Montesson, suit la rive gauche de la Seine via Poissy et Mantes-la-Jolie ; dans cette ville, se débranche la ligne vers Caen et Cherbourg ; entre Paris et Mantes-la-Jolie, une deuxième ligne réservée au trafic de banlieue suit la rive droite via Conflans-Sainte-Honorine ;
  • la ligne Paris - Granville, moins importante, suit plus ou moins l'itinéraire de la RN 12 via Plaisir et Houdan ;
  • la ligne Paris - Chartres, est parallèle au tracé de la RN 10 via Versailles et Rambouillet ; cette ligne a perdu l'essentiel de son trafic « grandes lignes » à la suite de la mise en service du TGV Atlantique.

La LGV Atlantique et la ligne Brétigny - Tours traversent le département, sans le desservir, dans sa pointe sud parallèlement à l'autoroute A10.

Réseau ferré dans les Yvelines

Il n'existe que deux lignes transversales :

  • la rocade ferroviaire de Paris, dite de Grande Ceinture, qui est en grande partie désaffectée dans la traversée des Yvelines et dont sont exploitées la partie située à l'est de Versailles vers Massy-Palaiseau, et depuis sa réouverture en 2004, la Grande Ceinture Ouest (GCO), tronçon isolé reliant Saint-Germain-en-Laye à Noisy-le-Roi) ; le tronçon reliant Sartrouville à Argenteuil est exclusivement réservé au trafic de marchandises ;
  • la ligne de la vallée de la Mauldre, reliant Plaisir à Épône, qui permet un accès direct de Mantes-la-Jolie à Versailles.

La partie est du département, la plus urbanisée, est aussi la mieux desservie par le réseau de transport en commun de l'Île-de-France. À noter en particulier les branches du RER A aboutissant à Poissy et Saint-Germain-en-Laye, du RER B à Saint-Rémy-lès-Chevreuse et du RER C à Versailles-Rive-Gauche et Saint-Quentin-en-Yvelines.

La future ligne 6 du tramway d'Île-de-France aboutira à Viroflay.

Transport fluvial

Barrage-écluses de Méricourt.
Article détaillé : Navigation dans les Yvelines.

La Seine canalisée est une importante voie de transit entre l'agglomération parisienne et la mer, communiquant aussi par l'Oise avec les canaux du Nord de la France et du Benelux. Dans la traversée des Yvelines, trois barrages-écluses (de l'amont vers l'aval : Chatou/Bougival, Andrésy et Méricourt) délimitent quatre biefs. Le fleuve, accessible aux bateaux et convois de 5 000 tonnes, dessert diverses installations privées ou publiques. Ces dernières, incluent notamment le port fluvial de Limay-Porcheville[5], accessible également aux caboteurs fluvio-maritimes et géré par le Port autonome de Paris, et divers ports de plaisance.

L'aqueduc de l'Avre qui contribue à l'approvisionnement en eau potable de la ville de Paris traverse le département d'ouest en est.

Transport aérien

Entrée de l'aéroport de Toussus-le-Noble

Le département dispose de plusieurs aérodromes secondaires fréquentés par des aéroclubs : Chavenay-Villepreux, Saint-Cyr-l'École, Toussus-le-Noble, Les Mureaux et Beynes-Thiverval. Les trois premiers sont exploités par la société Aéroports de Paris, celui des Mureaux est géré par un SIVU regroupant les communes des Mureaux et de Verneuil-sur-Seine et le dernier, où se pratique le vol à voile, dépend de la commune de Thiverval-Grignon. Toussus-le-Noble est le plus grand aéroport d'affaires de la région parisienne.

L'aérodrome militaire de Vélizy-Villacoublay abrite la base aérienne 107, qui héberge notamment l'escadron de transport, d'entraînement et de calibration (ETEC) qui assure les transports du président de la République[6].

Transport d'énergie

Les Yvelines sont traversées par diverses canalisations de transport d'hydrocarbures enterrées desservant les dépôts pétroliers de Gargenville et de Coignières ainsi que les stockages souterrains de gaz naturel de Beynes et de Saint-Illiers-la-Ville, qui représentent une longueur totale de 919 km[1].

Il s'agit du réseau d'oléoducs LHP (Le Havre-Paris), exploité par Trapil (société des transports pétroliers par pipeline), qui suit le cours de la Seine et dessert notamment le site de Gargenville, d'où se détache une conduite à destination d'Orléans qui dessert au passage un terminal de livraison à Coignières[7], du pipeline Île-de-France (PLIF) de la société Total qui relie le port du Havre à la raffinerie de Grandpuits[8], et du réseau de gazoducs de la société GRTgaz (ex-GdF).

La « boucle 400 000 volts », ligne à très haute tension de Réseau de transport d'électricité (RTE) qui ceinture l'Île-de-France, traverse les Yvelines dans le sens nord-sud, desservant deux postes électriques 400 000 / 225 000 V qui alimentent le département : celui de Mézerolles (commune de Boinville-en-Mantois) dans le nord-ouest relié également à la centrale thermique de Porcheville (EDF) et à la Normandie par une autre ligne THT et le poste « Yvelines » (commune de Méré), situé dans le centre géographique du département. Ce dernier, relié par une ligne souterraine à 225 000 volts au poste d'Élancourt qui dessert un million d'habitants dans les Yvelines, a été inauguré le 6 mars 2009[9].

Infrastructures « douces »

Les infrastructures pour « circulations douces » sont destinées à accueillir les déplacements non motorisés, principalement la marche à pied et le cyclisme. Le Conseil général des Yvelines favorise leur développement en aménagement les routes départementales hors agglomérations et en subventionnant les communes. Il a également défini des schémas départementaux de randonnée pédestre et de randonnée équestre. En 2009, le département des Yvelines dispose de 193 km de routes départementales équipées en aménagements cyclables, et d'environ cinquante kilomètres de pistes cyclables en forêt de Rambouillet, ainsi que de 1000 km de sentiers de randonnée pédestre et 352 km de sentiers de randonnée équestre[10].

Les Yvelines adhèrent à l'association des départements cyclables, tandis que les communes de Conflans-Sainte-Honorine, Guyancourt, Houdan, Mantes-la-Jolie, Les Mureaux, Rambouillet, Le Vésinet et Versailles, ainsi que la communauté d'agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines, adhèrent au club des villes cyclables.

Grands projets d'infrastructures

Infrastructures routières

Des infrastructures routières de maillage transversal sont en construction ou en projet :

  • l'autoroute A86, deuxième rocade périphérique de Paris, est partiellement bouclée. La section manquante, de Rueil-Malmaison - Jouy-en-Josas, partiellement ouverte en juillet 2009 devrait être achevée en 2011, sous la forme d'une autoroute à péage, le duplex A86, réservée aux véhicules légers et construite sur deux niveaux, un pour chaque sens de circulation ;
  • plus à l'ouest, le tronçon nord de la Francilienne, connue aussi sous le nom d'autoroute A104, est encore à l'état de projet entre Méry-sur-Oise et Orgeval (A13), le tracé étant contesté[11] ;
  • encore plus à l'ouest, le projet de liaison « Seine-Aval - Saint-Quentin-en-Yvelines » (précédemment dénommée voie nouvelle de la vallée de la Mauldre) est mis en avant par le conseil général des Yvelines[12].

Une ligne de transport en commun en site propre (TCSP) reliant Versailles (Pont Colbert) au Chesnay (hôpital Mignot) est projetée. Cette ligne, prévue pour une mise en service en 2012, sera en correspondance avec les gares de Versailles-Chantiers, Versailles-Rive-Gauche et Versailles-Rive-Droite.

Infrastructures ferroviaires

Dans le domaine ferroviaire, deux projets de réouverture de la « Grande Ceinture » sont à l'étude : la Tangentielle Nord entre Sartrouville et Noisy-le-Sec, et la Tangentielle Ouest entre Achères et Versailles, dont la GCO est le premier tronçon.

Un autre projet est inscrit au contrat de plan État - Région 200-2006 : l'aménagement de l’axe Paris - Mantes via Poissy dans le cadre de la liaison rapide Normandie-Val de Seine (LNRVS).

Services collectifs

Pour les services propres à l'Île-de-France, qu'il s'agisse de transport ferroviaire (RER et lignes de banlieue) ou routier, l'autorité organisatrice, qui définit la consistance des dessertes et arrête la tarification, est le syndicat des transports d'Île-de-France (STIF). Les Yvelines sont représentées au Conseil du STIF par Jean-Marie Tétard, maire de Houdan et vice-président du Conseil général des Yvelines[13].

Réseaux de bus

Lignes régulières

Bus du réseau Sqybus à Plaisir-les-Gâtines

Différents réseaux de bus desservent le territoire des Yvelines. Il s'agit soit de réseaux urbains desservant une commune ou une communauté de communes, soit de réseaux interurbains desservant des parties plus étendues du territoire yvelinois. Ils sont pour la plupart exploités par des filiales des grands groupes français : Veolia, Keolis (groupe SNCF) et RATP, ainsi que par des transporteurs locaux, tels Hourtoule basé à Plaisir.

Les principaux réseaux urbains sont Bus en Seine (Veolia) dans la Boucle de Montesson, Phébus (Keolis) à Versailles, Rive Droite (Limay et environs), r-bus (Veolia) à Rambouillet, Sqybus (RATP) à Saint-Quentin-en-Yvelines, Tam en Yvelines (RATP) dans la communauté d'agglomération de Mantes-en-Yvelines.

Basé à Argenteuil (Val-d'Oise), le réseau R'Bus (Veolia) dessert aussi Sartrouville et Houilles.

Principaux réseaux interurbains : les cars Hourtoule (centre-est du département), Veolia Rambouillet (sud du département) et Veolia Houdan (centre-ouest du département).

L'Express A14 est une liaison express entre La Défense et l'ouest des Yvelines, exploitée par la Compagnie des transports collectifs de l’Ouest parisien (filiale commune de Veolia et Keolis). Empruntant l'autoroute A14, cette ligne a été mise en place en 1997 pour pallier l'absence de liaison ferroviaire directe entre La Défense et Mantes-la-Jolie. Elle dessert aussi Les Mureaux, Orgeval et Vernouillet.

Mobilien

En 2009, treize lignes labellisées « Mobilien » sont en service dans les Yvelines, dont huit internes au département et cinq reliant un pôle des Yvelines à des pôles extérieurs (La Défense, Cergy-Pontoise, Massy - Saclay et Les Ulis[14]. Ces lignes sont destinées à compléter le maillage ferroviaire très insuffisant dans la « grande couronne » parisienne.

Noctilien

Quatre ligne de bus « Noctilien » relient certains points des Yvelines au centre de Paris, au départ des gares de La Verrière vers la gare de Paris-Est, Saint-Rémy-lès-Chevreuse vers Châtelet, Mantes-la-Jolie et Saint-Germain-en-Laye vers la gare Saint-Lazare, ainsi que de Vélizy (hôtel de ville) vers la gare Montparnasse. Il s'agit de services de bus de nuit destinés à pallier l'arrêt des services ferroviaires entre 1 h et 5 h du matin.

Transport à la demande

En complément des lignes de bus régulières, trois services de transport à la demande ont été mis en place dans les Yvelines : Créabus (groupe Veolia) à Saint-Nom-la-Bretèche, Allo Phébus à Saint-Cyr-l’École[15] et Tamy en Yvelines dans la communauté d'agglomération de Mantes-en-Yvelines.

Transports scolaires

Services ferroviaires

Rame du Transilien SNCF en gare d'Épône - Mézières
Rame RATP en gare de Saint-Rémy-lès-Chevreuse, terminus du RER B

Les services ferroviaires dans les Yvelines sont exploités :

Transilien et RER

TER

Les services régionaux TER (Haute et Basse-Normandie, Pays de la Loire et Centre) desservent plusieurs gares du département.

Grandes lignes

Certains trains de grandes lignes (services Intercités) desservent les gares de Mantes-la-Jolie et de Versailles-Chantiers.

Ces deux gares sont également desservies par des liaisons TGV quotidiennes : Le Havre - Marseille et, pour la première seulement, Le Havre - Strasbourg et Cherbourg - Dijon.

Trafics

Voyageurs

Marchandises

Transit

Histoire

A l'époque gallo-romaine, un réseau de voies romaines assez développé quadrillait le territoire actuel des Yvelines. Reconnu par diverses méthodes alliant les observations sur le terrain à la prospection aérienne, il comportait de grands axes est-ouest et nord-sud reliant Paris à la Normandie et Beauvais à Chartres, et trois points de franchissement de la Seine à Mantes, Meulan et Poissy.

Les Yvelines ont été aussi le témoin de la première ligne de chemin de fer ouverte aux voyageurs en France entre Paris et Le Pecq en 1837, puis au XXe siècle de la première autoroute française entre Saint-Cloud et Orgeval à partir de 1939.

L’Avion III de Clément Ader

Le 11 novembre 1876 est mis en service le premier réseau, à traction hippomobile, des tramways versaillais[16]. Il sera par la suite, en octobre 1895, repris et électrifié par la SVTE (Société versaillaise de tramways électriques). Le réseau fonctionna jusqu'en octobre 1953 avant d'être remplacé par des services de bus urbains.

Les Yvelines sont le théâtre de plusieurs épisodes des débuts de l'aviation.

  • 1852, le 24 septembre, Henri Giffard fait un vol de démonstration entre Paris et Trappes à la vitesse de 7 km/h dans un aérostat[, ballon de 2 500 m³ qui utilise une petite machine à vapeur pour se propulser.
    Le dirigeable Giffard en 1852
  • Clément Ader effectue sur le plateau de Satory près de Versailles un de ses premiers vols en 1890 avec Éole, puis le 14 octobre 1897 avec l' Avion n° 3, son premier vol de 300 mètres, essai qui se termine mal et entraîne la destruction de l'appareil et l'abandon de ses recherches par Ader[17]. Un monument situé à Versailles célèbre cet exploit intervenu six ans avant le premier vol des frères Wright. En 1909, Santos-Dumont relie Satory à Buc, distant de huit kilomètres en cinq minutes à bord de la Demoiselle. En février 1910, Le comte de Lambert découvre le site de Villacoublay où rapidement s'installent une école de pilotage et une usine de montage d'avion[18].

Notes, sources et références

  1. a et b ORSEC, dispositions spécifiques - Transport de matières dangereuses, Préfecture des Yvelines. Consulté le 11 octobre 2009
  2. Pont à Triel-sur-Seine - Présentation, Conseil général des Yvelines. Consulté le 15 octobre 2009
  3. Les radars automatiques gagnent du terrain, Le Parisien. Consulté le 8 novembre 2009
  4. Au Vésinet, trois radars flasheront au feu rouge début juillet, Le Parisien. Consulté le 8 novembre 2009
  5. Port de Limay-Porcheville, Port autonome de Paris. Consulté le 24 octobre 2009
  6. Escadron de Transport, d'Entraînement et de Calibration 00.065 "GAËL" (ETEC), Base aérienne 107. Consulté le 25 octobre 2009
  7. Schéma du réseau LHP, Trapil. Consulté le 5 octobre 2009.
  8. Acteur en Île-de-France, Total. Consulté le 11 octobre 2009
  9. RTE inaugure le nouveau poste électrique Yvelines, RTE. Consulté le 5 octobre 2009
  10. Les circulations douces en Yvelines, Conseil général des Yvelines. Consulté le 8 novembre 209
  11. Le désastre A104 vu du ciel., A104.org. Consulté le 15 octobre 2009
  12. Les orientations stratégiques du schéma départemental d'aménagement pour un développement équilibré des Yvelines, Conseil général des Yvelines. Consulté le 15 octobre 2009
  13. Composition du Conseil du STIF, STIF. Consulté le 9 novembre 2009
  14. Le développement des liaisons de transports en commun routiers de pôle à pôle : 1er objectif du Département, Conseil général des Yvelines. Consulté le 8 novembre 2009
  15. Services de transport à la demande - Préconisations pour la mise en place de tels services en Île-de-France, IAU Île-de-France. Consulté le 8 novembre 2009
  16. Histoire des tramways versaillais, site personnel
  17. Clément Ader et ses vols, EADS.
  18. Jean-Gérard Pimpaneau, Un riche passé aéronautique, Les Yvelines, Projet Éditions, 1990, p. 390.

Voir aussi

Articles connexes

Bibliographie

  • Claude Wagner, Les petits trains et les tramways des Yvelines et de l'Ouest parisien du XIXe siècle aux années 2000, Valhermeil, 1997, 264 p. (ISBN 2-905684-85-2) 
  • Michèle Caminade, L'Escarbille - Tramway de Seine-et-Oise, Michèle Caminade, 1996, 174 p. (ISBN 2-9510223-0-1) 
  • Collectif, La ligne Paris - Saint-Germain dans le réseau de l'Ouest parisien - Actes du colloque tenu le 1er avril 2006, Bulletin des Amis du Vieux Saint-Germain, n° 43, 2006, 250 p. 
  • Jean-Pierre Rigouard, Chemins de fer de la banlieue Ouest - Saint-Lazare, Alan Sutton, 2006, 128 p. (ISBN 2-84910-419-1) 

Liens externes



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