Tipasa de Maurétanie

Tipasa de Maurétanie
Tipasa *
Patrimoine mondial de l'UNESCO
Ruines romaines de Tipasa
Ruines romaines de Tipasa
Coordonnées 36° 33′ 00″ N 2° 23′ 00″ E / 36.55, 2.3833336° 33′ 00″ Nord
       2° 23′ 00″ Est
/ 36.55, 2.38333
  
Pays Drapeau d'Algérie Algérie
Subdivision Wilaya de Tipaza
Type Culturel
Critères (iii) (iv)
Superficie 52 ha
Numéro
d’identification
193
Zone géographique États arabes **
Année d’inscription 1982 (6e session)
Classement en péril 2002-2006
* Descriptif officiel UNESCO
** Classification géographique UNESCO

À 70 km à l'ouest d'Alger, près de la ville côtière de Tipaza, les ruines d'une ville romaine : Tipasa de Maurétanie.

Sommaire

Historique

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Localisation de Tipasa dans l'Afrique romaine

Sur un promontoire, à l'abri du mont Chenoua, les Phéniciens fondèrent un comptoir vers le Ve siècle av. J.‑C. : c'est de cette origine que la ville tire son nom qui signifie « lieu de passage » ou « escale ». Pour d'autres sources, Tipasa serait la déformation du mot berbère "Tafsa", qui signifie grès ou pierre calcaire, toujours en usage dans beaucoup de régions du Maghreb.

Le comptoir se développe et devient une véritable cité punique, d'abord inféodée à Carthage, puis incluse dans les royaumes numides et maurétaniens.

La ville connaît un certain essor sous le roi Juba II et devient avec Caesaria (Césarée) l'un des foyers de la culture gréco-romaine en Afrique du Nord.

En 40 ap. JC, Ptolémée de Maurétanie, fils de Juba II est exécuté par Caligula. La Maurétanie Césarienne devient romaine avec pour capitale administrative Iol (Césarée).

En 46, sous l'empereur romain Claude Ier, Tipasa prend le statut de municipe de droit latin et se dote d'une muraille longue de plus de deux kilomètres.

Hadrien éleva par la suite Tipasa au rang de colonie honorair : colonia Aelia Tipasensis. La cité reçoit toutes les prérogatives de la citoyenneté romaine et à la fin du IIe siècle , la ville connaît son apogée avec une population qui s'élève, selon les estimations de Stéphane Gsell, à 20 000 habitants. Limitée initialement au promontoire sur lequel a été bâti le phare moderne, elle va s’agrandir vers l’ouest aux dépens d’une ancienne nécropole punique.

Dans la première moitié du IIIe siècle, le christianisme y fait son apparition. L'épitaphe de Rasinia Secunda est la plus ancienne inscription datée d'Afrique (238). Comme beaucoup de cités d'Afrique du Nord, Tipasa va subir les affres du schisme donatiste de la moitié du IVe siècle.

En 370, elle résiste avec succès aux assauts du chef berbère Firmus.

Bien qu’elle fut entourée d’une enceinte de protection, cela n’a pas empêché sa destruction en l’an 430 par les Vandales menés par Genséric. A la fin du Ve siècle, sous Huneric, les chrétiens sont persécutés et fuient par mer vers l'Espagne.

En 534, les Byzantins reprennent Césarée et sans doute Tipasa.

Au delà du VIe siècle, la vie continue dans la précarité et le provisoire et Tipasa finit par subir le devenir de toutes les cités abandonnées; livrée aux alluvions des oueds et à l'ensevelissement des dunes.

C'est au XIXe siècle que les premières fouilles eurent lieu. Stéphane Gsell publia une monographie en 1894, mais c'est Jean Baradez en 1946 qui introduisit des méthodes de travail modernes et scientifiques et qui constitua les premières collections du musée.

Présentation générale

À l'inverse de Timgad et Djémila dont les ruines apparaissent compactes et facilement lisibles, Tipasa offre à décrire un site éclaté. Ceci est dû au fait que tout n'a pas été dégagé et qu'une bonne partie de la ville est encore sous les sédiments. Pour preuve[évasif] les restes des grands thermes, en bordure de la rue qui relie le musée au parc archéologique, dont la base est à quatre mètres au dessous du niveau du sol actuel.

En l'état actuel, les ruines se présentent en deux grandes masses. La première, située en dehors des murs, à l'entrée de la ville actuelle, à droite de la route qui vient d'Alger, correspond à une grande nécropole avec la basilique funéraire de Sainte Salsa. La seconde, c'est le parc archéologique, situé à la sortie ouest de la ville moderne, qui regroupe la majorité des monuments mis au jour.

Entre les deux, près du port, le musée.

La colline de Sainte Salsa

Portant le nom d'une jeune martyre[Laquelle ?] de la chrétienté du IVe siècle, elle abrite la nécropole orientale de la ville qui s'étend au delà de l'enceinte est de la ville. C'est un immense cimetière où "les sarcophages se serrent autour de l'église comme brebis autour du bon pasteur"[réf. nécessaire]. C'est une des plus belles nécropoles chrétiennes du monde occidental[évasif]. Son édification avait néanmoins débuté à l'époque païenne, ce dont atteste des tombes d'époques antérieures dont l'une des plus représentatives est le caveau punique débité dans la falaise qui a secondairement basculé dans la mer.

Adossée et s'ouvrant sur les remparts, les vestiges d'une petite basilique datant de la fin du Ve siècle où le culte était rendu aux martyrs Pierre et Paul.

Au sommet de la colline se dresse l'église de Sainte Salsa qui se compose d'une nef centrale flanquée de deux collatéraux. La nef centrale se prolonge par une abside débordante et au dessus des deux collatéraux couraient deux tribunes dont les escaliers existent encore de part et d'autre de l'entrée. Au nord, une petite porte ouverte dans le mur mène à une area[Quoi ?] qui descend en pente vers la falaise. Une chambre quadrangulaire renferme une table à agapes ou mensa. Au sud, l'église est flanquée d'un enclos funéraire plus somptueux et d'une pièce "des combattants".

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Le jardin archéologique et les grands thermes

Ancienne propriété privée, le jardin situé à l'est du parc archéologique est devenu, par donation, une annexe de ce dernier. On y voit toute une série d'éléments architecturaux tels que colonnes, chapiteaux, claustras, linteaux mais aussi des amphores, des jarres et quelques sarcophages.

On remarque aussi de gros massifs de blocage et de maçonnerie d'élévation importante qui correspondent aux vestiges des Grands Thermes dont la superficie était équivalente à celle de l'amphithéâtre mais dont le dégagement reste minime en raison de l'enfouissement sous les constructions de la ville moderne. Sur le chemin du musée, on apprécie la masse de ses piliers qui s'élèvent à neuf mètres au dessus de la mosaïque du sol du frigidarium situé quatre mètres au dessous du niveau actuel de la rue.

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Le parc archéologique

Avant de franchir l'enceinte, un sentier grimpe en escalier vers la partie la plus ancienne de la ville où furent retrouvés les vestiges du forum et d’une basilique judiciaire du IIIe siècle av. J.‑C.

L’entrée du site archéologique se trouve à l’est des ruines. On accède au parc national de Tipasa à hauteur des restes d’un imposant amphithéâtre. Comme toute ville romaine, deux voies principales la traversent : le decumanus maximus et le cardo. La première est un prolongement de la route qui reliait Icosium (Alger) à Césarée. La seconde, la voie perpendiculaire qui fait angle avec le decumanus maximus, plonge au nord vers la mer.

En allant vers l’ouest, la grande voie decumane, qui étale sur une largeur de quatorze mètres ses dalles bosselées, conduit au Nymphée, une fontaine monumentale, d’où l’eau ruisselait en cascades, sur les marches, entre les colonnes de marbre et considéré comme le plus beau d’Afrique du Nord. Toujours plus à l’ouest, du côté de la porte de Césarée, se trouve le théâtre construit sur une élévation. Y sont préservés la scène, les voûtes extérieures et quelques gradins.

De là, un sentier, qui serpente au milieu d'une végétation dense, nous mène à la grande basilique chrétienne, édifiée au IVe siècle après J-C, après avoir passé une piscine et un puits. La basilique, bâtie sur un promontoire, domine la Méditerranée et jouxte une nécropole dont l'édifice principal est le mausolée circulaire. Non loin de là, à l'extrémité occidentale du parc archéologique, fut érigée en 1961, face à la mer et au mont Chenoua, une stèle à la mémoire d'Albert Camus.

Au pied des contreforts de l'abside, un chemin escarpé permet de rejoindre plus bas le quartier résidentiel du bord de mer. On descend en surplombant une construction avec escalier monumental que prolonge des petits thermes en bon état de conservation. On passe près des cuves (dolia) d'une fabrique de garum. Plus loin, d'autres petits thermes et une villa romaine où sont visibles des traces de mosaïque. C'est la Villa des Fresques qui est la demeure la plus remarquable de cet ensemble.

On aboutit au cardo. Remonter la voie vers le sud permet l'étude du système de distribution d’eau et d’égouts qui a été mis au jour. À l'intersection du cardo et du decumanus maximus, deux temples disposés presque symétriquement: le Temple Anonyme et le Nouveau Temple.

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Les monuments

L'amphithéâtre

Sitôt franchie l'entrée du parc, à droite, l'amphithéâtre est le premier édifice qui s'offre à la vue. Long de 80 m, orienté est-ouest, seule la partie nord du monument a été dégagée. elle laisse apparaitre les voutes supportant les gradins, les hauts murs qui limitaient l'arène et les portes. Il y a deux portes principales situées à l'est et à l'ouest et trois portes secondaires de chaque côté. L'amphithéâtre a été construit tardivement, empiétant sur les temples voisins.

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Les temples

Le temple voisin de l'amphithéâtre, en l'absence de tout indice permettant son attribution, est dénommé Temple Anonyme. De la cella, il ne subsiste que le podium ainsi qu'une partie de l'escalier d'accès. On y entrait par trois portes qui s'ouvraient sur la place engendrée par un élargissement de la voie décumane.

Le Nouveau Temple, de l'autre côté de la place, présente le même agencement, la même disposition pour l'entrée , la cour, le portique et la cella. Les différences sont, un dallage régulier, un meilleur état de conservation de l'escalier du temple et l'existence de vestiges témoignant de constructions ultérieures qui vinrent encombrer l'ensemble. La destination cultuelle est également ignorée. Il est daté de fin IIe siècle, début IIIe siècle.

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La basilique judiciaire

Elle est datée de fin Ier siècle, début IIe siècle. Dégagée en 1914-1917, on y a retrouvé la mosaïque des captifs exposée au musée, ce qui laisse supposer qu'elle avait bien une fonction de tribunal. L'édifice est d'inspiration hellénistique à trois nefs séparés par deux rangées de colonnes encore à demi dressées. L'estrade en forme d'abside, orientée nord-est, est peu surélevée. Les cinq gradins de l'escalier d'accès ont été posés sur le dallage du decumanus de la ville haute, rétrécissant la chaussée. Du côté est, la basilique empiète sur un escalier monumental qui conduit au forum situé en élévation.

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Le forum

De la basilique, un escalier nous permet d'accéder au forum en passant au dessus d'un cryptoportique (passage couvert en voûte). On aboutit à une vaste esplanade dépouillée, parfaitement dallée de 50 m de long et 25 m de large.

Au nord, le Capitole domine le forum. Il n'en subsiste que les soubassements de l'escalier et les trois cellas accolées qui abritaient les trois divinités protectrices de la cité.

De la Curie qui s'ouvrait sur le portique nord-est, il ne reste que quelques ruines indistinctes.

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La villa des fresques

Cette demeure est dénommée ainsi en raison du recueil de fragments de peinture sur enduit qui ornait les murs. On y pénètre par une porte cochère, doublée d'une entrée pour piétons, qui donne sur le portique du cardo. Le vestibule mène à une cour intérieure, la patio, bordé sur quatre côtés par un péristyle autour duquel s'ordonnent les pièces d'habitation. La principale pièce est le salon ou œcus, disposé dans le grand axe de la cour avec la meilleure vue sur le patio et la mer par delà la terrasse (solarium). La villa était peut-être pourvue d'un étage.

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La grande basilique

Juchée sur un cap, la Grande Basilique, par ses dimensions (58mx42m) est le plus vaste édifice chrétien fouillé à ce jour sur le sol algérien. Mais aussi l'un des plus dégradés. A l'époque de sa construction, elle comptait une très large nef centrale de plus de treize mètres flanquée de trois collatéraux de chaque côté. Quatre arcades sont encore debout au niveau du premier collatéral de gauche. L'abside déborde sur l'a-pic de la falaise. Au nord de la basilique, s'étaient développés toute une série de bâtiments annexes: une chapelle, un baptistère, des bains, la maison de l'évêque. Au delà, les vestiges d'une tour située à l'angle nord-ouest des remparts.

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Le mausolée circulaire

Après avoir franchi le rempart par une poterne située à droite de la tour et suivi un sentier en bordure de la falaise jonché de sarcophages en pierre posés çà et là, on aboutit à la nécropole de l'ouest. C'est un vaste cimetière dont on ne peut dire que toutes les sépultures soient chrétiennes.

Caractéristique de cette époque est le mausolée circulaire. Entre les colonnes, des niches arciformes qui servaient d'abri à un ou deux sarcophages. Au centre une sépulture particulièrement importante dont l'emplacement est nettement distinct. D'autres sarcophages gisent dans l'enceinte du sanctuaire. Un pan de falaise à proximité est creusé de cavités; des hypogées comparables aux hanout d'origine punique.

Deux cents mètres plus loin, au sud-ouest, une basilique dédiée à Alexandre, évêque de la cité, jouxte un cimetière des martyrs. Bâtie sur un terrain rocheux, accidenté, l'église est de forme irrégulière, trapézoïdale et développe une contre-abside à l'ouest. A son chevet, neuf sarcophages réunis forment une estrade qui était recouverte d'une inscription en mosaïque conservée au Musée national des antiquités et des arts islamiques.

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Le théâtre

Le théâtre de Tipasa fut gravement mutilé en 1847, lorsqu'on utilisa ses maçonneries pour construire un hôpital aux malades atteints de choléra[1]. Contrairement à nombre de théâtres classiques bâtis à flanc de colline, celui-ci est tout entier construit, sur terrain plat, comme à Madaure et Sabratha en Tripolitaine. On verra, en en faisant le tour, les piliers massifs qui supportaient l'édifice. L'auditorium était conforme à la conception traditionnelle en usage chez les Romains. Il pouvait contenir trois à quatre mille spectateurs. On y accédait par des passages sous-terrains qui débouchaient devant la scène et par quatre escaliers extérieurs donnant sur une galerie courant à mi-hauteur.

Seuls sont conservés les trois premiers gradins. Au delà d'une balustrade dont il ne reste que quelques fragments, l'orchestre semi-circulaire, séparé de la scène par un mur de briques indenté dont la fonction était de briser les échos. Au delà de ce mur, la fosse munie des piliers qui supportaient les planches de la scène. Le mur de scène a été détruit.

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Le nymphée

La fontaine publique est de forme semi-circulaire. L'eau s'écoulait en cascades de vasque en vasque avant de parvenir dans un bassin d'où l'on puisait l'eau, ce dont témoigne les profondes échancrures de la margelle. Vestiges de colonnades de marbre bleu et d'un revêtement de marbre polychrome. Derrière le nymphée, on verra l'aqueduc qui amenait l'eau à la ville.

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Le musée

Il est constitué d'un patio et d'une salle.

Stèles, urnes et poteries sont exposées dans le patio au milieu duquel une sculpture "l'enfant à l'amphore" et une fontaine viennent donner plus de volume à l'ensemble.

La salle est dominée par la mosaïques "les captifs" qui ornait l'abside de la basilique judiciaire. Sont également exposés de remarquables collections de verrerie et de poterie de différentes périodes: punique, berbère, romaine. Quelques sculptures et deux jolis sarcophages en marbre blanc travaillé dont l'un figure la "légende de Pelops et d'Oenomaüs".

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Bibliographie

  • Roger Wood, Sir Mortimer Wheeler, L'Afrique romaine, Arthaud, Grenoble, 1966.
  • Serge Lancel, Mounir Bouchenaki, Tipasa de Maurétanie, Agence Nationale d'Archéologie et de Protection des Sites et Monuments Historiques, Alger, 1990

Notes et références

  1. * Roger Wood, Sir Mortimer Wheeler, L'Afrique romaine, Arthaud, Grenoble, 1966

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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Tipasa de Maurétanie de Wikipédia en français (auteurs)

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