- Jijel
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Administration Nom algérien جيجل Nom kabyle Ǧiǧel Pays Algérie Wilaya Jijel Daïra Jijel Code ONS 1801 Code postal 18000 Président de l'APC Dr Mokrache (2007-2012) Site web consulter Culture et démographie Population 134 839 hab. (2008[1]) Densité 2 162 hab./km2 Gentilé jijelien, jijelienne. Saint patron Sidi Ahmed Amokrane, Yemma Mezghitane. Géographie Coordonnées Superficie 62,38 km2 Localisation de la commune dans la wilaya de Jijel Jijel ou Djidjelli (en arabe : جيجل, transcrit en tifinagh Ighil-Ighil : ⵉⵖⵉⵍ ⵉⵖⵉⵍ) est une commune de la wilaya de Jijel, dont elle est le chef-lieu.
Ville côtière d'Algérie, elle est située au nord-est du pays à environ 314 km à l'est d'Alger, à 99 km à l'est de Béjaia et à 135 km au nord de Sétif.
Jijel est l'une des principales villes du pays Kotama et de la petite Kabylie.
Ses habitants sont les Jijeliens et les Jijeliennes.
Sommaire
Géographie
Situation
Jijel est un port sur la mer Méditerranée, au nord-est de l'Algérie, à l'extrémité est d'une côte à falaises nommée la Corniche Jijellienne (ou corniche kabyle). Elle est adossée au massif montagneux de la petite kabylie.
Le territoire de la commune se situe au nord de la wilaya de Jijel.
Relief et géologie
Article détaillé : Géographie de la wilaya de Jijel.Climat
La ville de Jijel bénéficie d'un climat tempéré et humide avec un hiver doux caractéristique des zones méditerranéennes et une pluviométrie importante, comme toutes les villes de la moitié Est du littoral algérien. Jijel est la ville la plus arrosée d'Algérie, avec en moyenne 1 180 mm de précipitations par an, juste devant Tizi Ouzou (1 050 mm/an).
On note aussi qu'au col de Texanna, qui se situe à 725 m d'altitude, l'enneigement dure plus de 11 jours/an[réf. nécessaire].
Les vents dominants soufflent généralement de la mer vers le continent (NNW - SSE).
Transports
Jijel est desservie par l'aéroport international de Jijel - Ferhat Abbas situé 14 km à l'est de la ville.
Localités de la commune
La commune de Jijel est composée de vingt localités[2] :
- Ahraten
- Amezoui
- Assoul
- Béni Ahmed
- Boughdir
- Boukhenous
- Bouyadra
- Dar El Battah
- Douemna
- El Aryèche
- El Djarf
- El Haddada
- El Mkasseb
- Jijel
- Leghrifet
- Ouled Aïsaa
- Ouled Bounar
- Ouled Taffer
- Thora
- Zebiria
Toponymie
Le nom originel de la ville vient du berbère « Ighil Gili » qui signifie, la colline de l'exil ou encore « Ighil Ighil » qui voudrait dire de colline en colline. Selon certaines versions, son nom chez les Phénicien était « Igilgili », ce qui donnera par la suite « Igilgilis » puis « Djidjel » et « Djidjelli ». Elle porta aussi le nom de Gigeri[3] au XVIIe siècle.
Histoire
Antiquité (Xe siècle av. J.‑C. - 698 ap. J.-C.)
La région est peuplée depuis la préhistoire par les Berbères sédentaires et agriculteurs, du rameau Baranis, dont les Kutama sont les plus connus.
Vers le Xe siècle avant l'ère chrétienne, les Phéniciens, marins et marchands, en quête de bases pouvant offrir le maximum de sécurité à leur commerce, s'installent dans la région où ils fondent un comptoir.
À partir du Ve siècle av. J.‑C., Carthage domine les cités phéniciennes de la cote africaine, dont Igilgili, et la ville sera un territoire carthaginois jusqu'à la défaite de Carthage face à Rome lors de la première guerre punique en 264 av. J.-C.. La ville est alors intégrée au royaume numide des Masaesyles (Numides occidentaux) et subira le règne de Syphax jusqu'en 202 av. J.-C.. À cette date, elle est rattachée au royaume unifié de Numidie sous le roi Massinissa, avant de passer sous le règne de son fils Micipsa, puis de son petit-fils Jugurtha.
Après la défaite de Jugurtha face aux Romains en 105 av. J.-C., la ville passe sous la domination du royaume de Maurétanie, royaume berbère vassal de Rome (occupant le nord du Maroc et les deux tiers centre et ouest de l'Algérie actuels), dont la capitale était Volubilis (Maroc) puis Yol (Cherchell) sous Juba II ) avant d'être finalement occupée par les Romains et transformée en colonie romaine sous Octave Auguste en 33 av. JC, et dotée d'un sénat à l'instar des villes romaines importantes. Dès le début, ses habitants jouissent de la pleine citoyenneté romaine. Une fois que les Romains occupent la totalité de l'Afrique du nord, la ville d'Igilgili est rattachée administrativement à la province romaine de Maurétanie césarienne, puis à celle de Maurétanie sétifienne.
La population d'Igilgili et de ses environs se convertit massivement au christianisme au IVe siècle, avec l'officialisation de cette religion sous l'empereur Constantin, même si les premières conversions datent bien de deux siècles plus tôt.
La ville restera romaine jusqu'à son attaque et à sa destruction par les Vandales en 429. Farouches guerriers germaniques venus du Nord de l'Allemagne via l'Espagne et le détroit de Gibraltar pour fonder un royaume en Afrique du Nord, ils combattent le catholicisme et imposent à la population l'arianisme, doctrine chrétienne adoptée par les peuples germaniques à l'époque et qui prône que Jésus n'était qu'un envoyé de Dieu et non le fils de Dieu ou Dieu lui même, ce qui s'opposait à la doctrine catholique. On pense que la diffusion de l'arianisme sous les Vandales en Afrique du Nord prépare la voie à la diffusion de l'Islam deux siècles plus tard, par son monothéisme stricte, son refus de la trinité, et sa non-reconnaissance de la divinité de Jésus, caractéristiques qu'on retrouve aussi dans l'islam[4].
Par la suite, la ville est reprise en 533 par les Byzantins (empire Romain d'Orient) et leurs partisans romano-africains (berbères citadins romanisés), sur les Vandales, qui furent définitivement chassés du pouvoir, mélangés à la population ou recrutés dans l'armée byzantine, et le catholicisme ainsi que le mode de vie romain furent restaurés sous les Byzantins, sans pour autant faire complètement disparaitre l'arianisme.
Il y a donc, au moment de l'arrivée des Omeyyades et de l'islam dans la région à la fin du VIIe siècle, quelques fonctionnaires byzantins et des romano-africains latinisés et catholiques dans la ville d'Igilgili, alors que les environs de la ville étaient peuplés par des paysans berbères Kutama (nommés Ucutamani par les Byzantins) [5] qui n'étaient pas latinisés mais berbérophones, et de religion catholique ou arienne ou encore attachés aux croyances anciennes berbères[réf. nécessaire].
Moyen Âge islamique (698-1514)
Vers 650, les premiers cavaliers de l'Islam firent leur apparition. La Kahina fut défaite en 698 par les troupes musulmanes de Hassan Ibn Numan et la ville d'Igilgili fut rebaptisée Jijel et intégrée à l'empire omeyyade vers l'an 700 . La population de la région, qui était alors en majorité chrétienne, se convertit rapidement à l'islam, et à la fin du VIIIe siècle déjà elle était devenue très majoritairement musulmane, et la langue arabe s'y diffusa lentement et progressivement, remplaçant d'abord le latin à Jijel[réf. nécessaire], puis au fil des siècles (et jusqu'à très récemment) le berbère dans les environs de la ville.
Après la chute de l'empire omeyyade en 750, la ville passa sous les Abbassides puis à partir de 800 sous la dynastie arabe des Aghlabides qui régnait depuis Kairouan et était vassale aux Abbassides de Bagdad.
Puis, au début du Xe siècle, un missionnaire chiite originaire du Yémen du nom d'Abou Abd Allah répand le chiisme dans la région de Jijel et incite les habitants à se révolter contre les Aghlabides, ce qu'ils font, et la dynastie Aghlabide est détruite en 909 par les Berbères Kutamas chiites de la région de Jijel et remplacée par la dynastie Fatimide, dynastie qui règnera ensuite sur l'Egypte, et à son extension maximale sur un territoire très vaste, allant du Maroc actuel au Hedjaz[6].
Puis la ville passe sous la dynastie berbère chiite (et vassale des fatimides) puis sunnite des Zirides à la fin du Xe siècle, puis sous celle de leurs cousins Sanhadja Hammadides dans le courant du XIe siècle. La ville est ensuite brièvement attaquée, occupée et incendiée par les Normands (Vikings) en 1143 , ensuite elle passe sous les Almohades en 1152 puis sous les Hafsides de Tunis à partir du milieu du XIIIe siècle, vint ensuite une période d'instabilité où l'autorité des Hafsides faiblit progressivement et où la ville devint par périodes indépendante de leur pouvoir et totalement autonome, et par périodes passant sous l'autorité des gouverneurs de Béjaia ou de Constantine, voire sous la république italienne de Gênes (d'où son nom italien génois de « Djidjelli », nom sous lequel la ville sera ensuite connue en Europe occidentale), période qui va durer jusqu'à l'arrivée des ottomans dans la ville en 1514[7].
Période Ottomane (1514-1830)
Appelés à la rescousse par les habitants d'Alger, les frères Arudj Barberousse et Khayr ad-Din Barberousse débarquent à Jijel en 1514 et font de la ville leur base arrière pour organiser la lutte contre les Espagnols chrétiens qui avaient occupé par la force plusieurs villes de la cote algérienne, et depuis Jijel , ils recrutèrent les soldats et préparèrent les munitions et les armées avec lesquels ils libérèrent Béjaia en 1516 puis Alger en 1518 et toutes les autres villes occupées par les Espagnols comme Cherchell et Mostaganem, à l'exception d'Oran.
Et en reconnaissance de l'aide apportée par les jijeliens à l'installation des ottomans en Algérie, ceux-ci leur accordèrent durant toute la période ottomane en Algérie des privilèges dont ne jouissaient pas les autres algériens, comme par exemple le privilège de pouvoir porter des armes en ville, qui n'était réservé qu'aux janissaires et aux jijeliens.
Sous les Ottomans, la ville de Jijel devint un important port pour l'activité corsaire, elle était la ville de beaucoup de corsaires de renom, connus dans toute la régence d'Alger à l'époque. Elle était rattachée au Beylik de Constantine, qui représentait le tiers Est de l'Algérie (régence d'Alger), et comptait un grand nombre de janissaires de l'armée ottomane, souvent originaires d'Europe de l'est, chargés de maintenir l'ordre et de prélever l'impôt, et dont il existe aujourd'hui encore de nombreux descendants à Jijel, avec des noms de famille à consonance turque, la ville reçut aussi aux XVIe et début du XVIIe siècles grâce à ses corsaires un certain nombre de réfugiés musulmans d'Espagne, mais dont on ignore avec précision le nombre et l'impact ethnique et socio-culturel réel sur la population de la ville.
Durant cette période aussi, l'activité des Marabouts (Mrabtines) connut son rôle le plus important, et la ville compte de nombreux saints patrons vénérés à ce jour et qui datent de cette époque , comme Sidi Ahmed Amokrane et Yemma Mezghitane, époque qui fut riche en activité religieuse, spirituelle et mystique, à travers notamment la forte implication des zaouias dans la société et l'émergence de différents courants religieux spirituels comme le soufisme et ses différentes "voies" (tariqa) dont la plus connue et pratiquée à Jijel et sa région était la "Tariqa Rahmaniyya" .
Et en 1664, les armées de Louis XIV tentèrent d'occuper la ville, avec une expédition maritime dirigée par le Duc de Beaufort, ils y débarquèrent en juillet 1664 avant d'être repoussés par les habitants de la ville et de ses environs, et complètement défaits le 31 octobre de la même année, mais seulement la moitié d'entre eux pourront regagner la France, les autres seront faits prisonniers à Jijel, convertis à l'islam et mélangés à la population, ou rendus à leurs familles contre une rançon[8].
Colonisation française (1839-1962)
Le 13 mai 1839, neuf ans après la chute d'Alger , les troupes françaises s'emparèrent de la ville de Jijel. Ils s'établirent à Dusquens et construisirent le fort Dusquens qui devint plus tard la première CPE ou commune de plein exercice. Les émissaires de l'Émir Abdelkader bien accueillis, furent suivis par toute la population de la région. La lutte populaire dura jusqu'à en 1842.
Les insurrections armées reprirent en 1845-1847-1851. Celle de 1851 fut la plus meurtrière.
En 1856, un terrible tremblement de terre frappa Jijel. Seuls deux femmes et trois enfants périrent dans la catastrophe. La vieille cité marquée par plus de 20 siècles d'histoire fut détruite et sur ses restes fut construit un port militaire.
La ville de Jijel est intégrée au département de Constantine en 1848 puis érigée en commune en 1860 et de nombreux colons européens y furent installés par l'administration coloniale française.
Durant la guerre d'indépendance, la ville de Jijel faisait partie de la Wilaya 2 du FLN , et ses maquis abritèrent le QG de cette wilaya et jouèrent un rôle important durant la guerre, notamment grâce à la densité du couvert végétal et au relief accidenté de la région.
Depuis l'Indépendance de 1962
Le 5 juillet 1962, Jijel comme toute l’Algérie, redevient indépendante après 132 ans de colonisation française (1839-1962).
Jijel a été élevée au rang de chef-lieu de wilaya après le découpage administratif de 1974 et connut dès lors un développement économique important et un exode rural qui la fit passer de 37 000 habitants en 1977 (qui était à peu près le même nombre d'habitants que sous la colonisation française, mais sans les européens) à 63 000 habitants en 1987 à 106 000 en 1998[9], notamment durant les années 1990 (croissance de la population de la ville de pratiquement 70% entre 1987 et 1998, en 11 ans seulement) où la ville connut un fort apport de population des villages et douars environnants réfugiés en ville à cause de l'insécurité qui régnait à la campagne, causée par la guerre civile et la forte présence des maquis de l'AIS dans la région couplée à la forte présence militaire.
Tout cet apport de population rurale poussa la ville à s'étendre au sud sur les hauteurs abruptes qui dominent la ville, et à l'ouest jusqu'à la montagne de Yemma Mezghitane ainsi qu'à l'est (village Moussa), quand au vieux centre de la ville, qui date du XIXe siècle, il abrite encore la vieille société citadine jijelienne, réfugiée de la vieille ville des siècles précédents qui fut détruite en 1856 par un tremblement de terre et transformée en espace contrôlé par les militaires, dont un port militaire.
Au début des années 1990, la ville de Jijel devint un fief du FIS (Front Islamique du Salut) en Algérie, peut être le principal fief de ce parti dans l'est algérien, et la région devint le théâtre de combats acharnés entre l'armée algérienne et l'AIS (bras armé du FIS) entre 1993 et septembre 1997 (date où un cessez-le-feu fut signé entre les deux protagonistes). Au total les affrontement auront fait des milliers de morts et de disparus (souvent enlevés de leurs maisons par des hommes armés), et pas moins de 125 000 déplacés (soit 20 à 25 % de la population de la wilaya), fuyant la campagne et les montagnes très touchées par la violence, vers les centres urbains plus sécurisés (villes de la région ou d'autres régions), faisant de la wilaya de Jijel la deuxième wilaya d'Algérie en termes de déplacés à cause de la guerre civile, après la wilaya de Médéa[10].
Le retour de la sécurité dans les années 2000 a permis le retour chez eux de nombreux ruraux réfugiés à Jijel durant la décennie 1990 et qui y vivaient souvent dans des conditions difficiles, et fortement réduit l'exode rural, ce qui a quelque peu stabilisé la population de la ville durant cette décennie 2000 (augmentation de la population de 106 000 à 135 000 habitants entre 1998 et 2008, soit une agmentation de 27 % seulement, contre 70 % d'augmentation durant la période 1987-1998).
Économie
Durant les années 2000, la sécurité étant rétablie, la ville a repris son développement économique, avec notamment la mise en service du grand port commercial de Djen Djen situé à quelques kilomètres à l'est de Jijel, l'amélioration de la qualité des routes et donc une augmentation des contacts et des échanges avec les autres régions du pays, la construction d'une nouvelle université dans les environs de la ville (à Tassoust) pouvant accueillir jusqu'à 20 000 étudiants[11], et l’agrandissement et l'internationalisation de l'aéroport Ferhat Abbas qui assure depuis 2010 des vols vers la France notamment[12].
L'activité touristique estivale a aussi connu un boom durant ces années 2000 et fait mieux connaitre la région aux algériens des autres régions, mais a aussi probablement conduit ( ou du moins aidé ) à une montée des prix, notamment dans l'immobilier [13], et à une dégradation de l'environnement sur certains points du littoral.[réf. nécessaire]
Activités économiques
Tourisme
Jijel est une ville touristique connue pour la beauté de ses plages. Le littoral jijelien s’étend sur 120 km, il compte 50 plages, dont 23 plages surveillées. Les plus connues sont : Kotama, la Crique, le Grand Phare, Andreu, Rocher noir, Cavallo, Ziama Mansouria, Tassoust, Bni Belaid.
Jijel comporte un infrastructure d'accueil de 25 hôtels, 20 campings et 5 agences touristiques.
Le parc animalier de Taza contient une grande variété animalière rare et protégée[évasif].
Certaines grottes, découvertes lors de l'ouverture de la RN 43 en 1917, sont d'une rare splendeur. Situées à 35 km à l'Ouest de Jijel sur les falaises rocheuses, elles représentent une vraie merveille de par les formes de sculptures qu'elles englobent.
Ghar el Baz est un véritable musée préhistorique. Son nom est en rapport avec la forme naturellement façonnée de la roche intérieure dont la ressemblance rappelle étrangement celle d'El Baz (l'oiseau).
Vie quotidienne
Dialecte local
Le dialecte djidjelien est parlé à Jijel et dans sa région.
Les traditions orales des habitants de Jijel sont essentiellement d'origine berbère, semblables aux traditions orales de la Grande Kabylie, mais dites en arabe jijelien, un dialecte arabe citadin pré-hilalien basé sur un substrat berbère Kutama, de la famille Sanhaja[14].
Gastronomie
Quant aux plats traditionnels de Jijel, ils sont pour beaucoup d'entre eux assez spécifiques et typiques de cette ville , comme "bouicha", "Kotama" , etc.[évasif]
Le « seksou bel hout », un couscous au poisson généralement à base d'orge, est un plat populaire typique de cette région côtière.
Personnalités liées à la commune
- Ferhat Abbas, homme politique algérien, leader nationaliste, fondateur de l'Union démocratique du manifeste algérien et membre du FLN durant la guerre d'indépendance de l'Algérie.
- Mohamed Seddik Benyahia, homme politique algérien, militant nationaliste durant la guerre d'Algérie.
- El Yamine Soum, auteur et sociologue influent en France et en Europe.
Notes et références
- Recensement 2008 de la population algérienne, wilaya de Jijel, sur le site de l'ONS. [PDF]
- Journal officiel de la République Algérienne, 19 décembre 1984. Décret n° 84-365, fixant la composition, la consistance et les limites territoriale des communes. Wilaya dde Jijel, page 1520.
- Louis XIV en Algérie
- Histoire du christianisme en Afrique , Dominique Arnauld
- http://benizoundai.dzblog.com/article-35493555.html
- http://www.larousse.fr/encyclopedie/groupe-personnage/Fatimides/119108
- Gilbert Meynier l'Algérie cœur du Maghreb classique : de l'ouverture islamo-arabe au repli (698-1518) Editions La découverte, Paris, 2010
- Bernard Bachelot, Louis XIV en Algérie : Gigeri, 1664 , éditions du rocher, 2003
- http://gazetteer.de/wg.php?x=&men=gpro&lng=fr&des=wg&geo=-66&srt=npan&col=abcdefghinoq&msz=1500&pt=c&va=&geo=456606577
- http://www.algeria-watch.org/pdf/pdf_fr/idp_mars_2004.pdf
- http://www.djazairess.com/fr/lesoirdalgerie/33188
- Aéroport Ferhat Abbas : Atterrissage du premier avion en provenance de Paris, journal El Watan du 29/06/2010. Consulté le 17/07/2011.
- http://lkeria.com.over-blog.com/article-le-marche-de-l-immobilier-a-jijel-62961729.html
- Philippe Marçais, Le parler arabe de Djidjelli (Nord constantinois, Algérie), Paris, Librairie d'Amérique et d'Orient (Publications de l'Institut d'Études Orientales d'Alger, XVI), 1952, 648 p.
Voir aussi
Articles connexes
- Wilaya de Jijel
- dialecte djidjélien
- pays Kotama
Liens externes
Catégories :- Commune de la wilaya de Jijel
- Chef-lieu de wilaya d'Algérie
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