Bernard Laporte

Bernard Laporte
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Fiche d'identité
Naissance 1er juillet 1964 (1964-07-01) (47 ans)
à Rodez (France)
Position Entraîneur
Carrière en senior
Période Équipe M (Pts)*
198?-1984
1984-1993
Gaillac
Bègles-Bordeaux
Carrière d'entraîneur
1993-1995
1995-1999
1999-2007
2011-
CA Bègles-Bordeaux
Stade français Paris
Drapeau : France France
RC Toulon

* Matchs joués et points marqués dans chaque équipe comptant
pour les compétitions nationales et continentales officielles.

Bernard Laporte
Mandats
Secrétaire d'État aux Sports
22 octobre 200723 juin 2009
Président Nicolas Sarkozy
Gouvernement Francois Fillon II
Successeur Rama Yade
Biographie
Nom de naissance Bernard Laporte
Date de naissance 1er juillet 1964 (1964-07-01) (47 ans)
Lieu de naissance Rodez (Aveyron)
Nationalité Drapeau de la France Française
Parti politique Sans étiquette

Bernard Laporte, né à Rodez, le 1er juillet 1964, est un joueur puis entraîneur de rugby à XV français. Il a été le sélectionneur du XV de France de 1999 à 2007. Il est également homme d'affaires. Il a été secrétaire d'État chargé des Sports auprès de la ministre de la Santé, de la Jeunesse et des Sports dans le second gouvernement Fillon du 22 octobre 2007 au 23 juin 2009. Bernard Laporte est desormais entraîneur du RC Toulon.

Sommaire

Biographie

Il a eu un accident de voiture à l'âge de 20 ans, qui le plongea quelques mois dans un coma profond dont il réchappa miraculeusement. Il considère cet événement comme étant un tournant de sa vie[1].

Rugby

Carrière en tant que joueur

Évoluant au poste de demi de mêlée, il a commencé sa carrière comme joueur dans son club formateur l'UA Gaillac. En 1984, il rejoint Bègles-Bordeaux, avec notamment la première ligne Vincent Moscato (qu'il a connu à Gaillac), Serge Simon et Philippe Gimbert surnommée les Rapetous, il remporte le titre de champion de France en 1991.

Parcours

Palmarès

Carrière en tant qu'entraîneur

Entre 1993 et 1995, il fait ses classes en tant qu'entraîneur-joueur au Stade bordelais université club.

Il prend ensuite les rênes du Stade français en tant qu'entraîneur en mai 1995 qui évolue au Groupe B (équivalent de la troisième division). Avec lui à sa tête, le club franchit chaque année un échelon : Groupe B en 1995, puis Groupe A2 en 1996, puis Groupe A1 de première division en 1997, en faisant venir des joueurs "prestigieux" comme Denis Charvet ou son ami Vincent Moscato. En 1998, il remporte le championnat de France de rugby et amène le Stade français en demi-finale européenne. En 1999, il remporte la Coupe de France. Profitant de la fortune du mécène Max Guazzini, il fait signer pas moins de 23 nouveaux joueurs, dont Serge Simon et Philippe Gimbert, plus David Auradou, Diego Dominguez, Christophe Juillet, Christophe Dominici, Marc Lièvremont, Olivier Roumat, Sylvain Marconnet ou Richard Pool-Jones.

Puis il est nommé sélectionneur de l'équipe de France après la coupe du monde. Il devient le premier sélectionneur de l'histoire du XV de France à ne jamais avoir connu ce maillot en tant que joueur. Durant la durée de son mandat, le XV de France remporte le Tournoi des 6 nations à quatre reprises en 2002, 2004, 2006 et 2007, réalise le grand chelem à deux reprises en 2002 et 2004, et termine à la quatrième place lors des coupes du monde de 2003 et de 2007. Il est resté à la tête de l'équipe de France plus longtemps que la plupart de ses prédécesseurs, alors même qu'il a obtenu dans l'ensemble de moins bons résultats : ainsi, le sélectionneur précédent, Jean-Claude Skrela, avait en quatre ans remporté le grand chelem à deux reprises (1997 et 1998), et mené la sélection en finale de la coupe du monde en 1999. Cela ne l'avait pas empêché de perdre son poste à la suite de cette finale.

Bernard Laporte est une personnalité très charismatique, qui fait le bonheur des humoristes, particulièrement des Guignols de l'info et de l'imitateur Nicolas Canteloup.

Ses huit ans passés à la tête du XV de France auront été marqués par le renforcement de l'assise défensive de l'équipe, qui est devenue au fil des années difficilement franchissable en cours de jeu et qui concède un nombre limité de pénalités. Cependant cette évolution s'est globalement accompagnée d'une quasi-disparition du French flair, cette imprévisibilité et cette capacité à marquer des essais improbables quelles que soient les conditions de jeu.

Le 19 octobre 2007, Bernard Laporte quitte définitivement son poste de sélectionneur du XV de France après une défaite contre l'Argentine (10-34) lors du match pour la troisième place de la coupe du monde de rugby 2007. Au cours de ses deux mandats, l'équipe de France aura disputé 98 matchs avec un bilan de 62 victoires contre 34 défaites et 2 matchs nuls.

Le 30 septembre 2011, Bernard Laporte remplace Philippe Saint-André au poste d'entraîneur du RC Toulon[2].

Parcours

Parcours comme entraîneur

Palmarès

Palmarès comme entraîneur avec le Stade français Paris
Palmarès comme sélectionneur avec l'Équipe de France de rugby à XV

Carrière en tant que dirigeant

De décembre 2010 à mars 2011, il fut administrateur de l'Aviron bayonnais.

En mai 2011, Bernard Laporte rejoint le Stade français en tant que manager. Il entre alors dans le capital du club avec le fonds canadien FACEM. À ce moment, Bernard Laporte pense permettre ainsi au club de sauver sa place dans le Top 14 en résorbant son déficit, estimé à 6 millions d'euros. Toutefois, la FACEM ne verse pas les 12 millions d'euros promis; Laporte se dit victime d'une escroquerie : le club replonge dans la crise financière et suspend son avenir au jugement de la DNACG le 27 juin. Cependant, à cette date, un nouvel actionnaire, Thomas Savare, arrive pour présider le club de la capitale à la place de Max Guazzini, et décide de se séparer de Bernard Laporte.

Activités médiatiques

À l'automne 1999, il commente les matches de la coupe du monde au Pays de Galles sur TF1 avec Christian Jeanpierre.

En septembre 2006, un an avant la coupe du monde 2007, alors qu'il est sélectionneur du XV de France, il devient animateur d'une émission hebdomadaire Direct Laporte sur RMC. Parallèlement, il rédige aussi une chronique dans le journal gratuit Metro et anime son site internet bernardlaporte.fr.

Pendant les Jeux olympiques d'été de 2008 à Pékin, Bernard Laporte alors secrétaire d'État aux sports, tient une chronique quotidienne Le regard de Bernard Laporte dans l'émission de Vincent Moscato sur l'antenne de RMC.

Depuis janvier 2011, il est de retour sur RMC comme consultant. Il a animé Direct Laporte avec Christophe Cessieux et Denis Charvet jusqu'en juin 2011. Dans cette émission, il a reçu et invité les plus grands noms du sport français (David Douillet, Alain Prost, Luc Alphand, Yannick Noah, Sébastien Chabal, Claude Onesta...).

Pour la coupe du monde de rugby 2011, Bernard Laporte rejoint Canal+ comme consultant.

Politique

Après avoir soutenu Nicolas Sarkozy pour l'élection présidentielle de 2007, Bernard Laporte est nommé secrétaire d'État chargé des Sports, lors de la constitution du Gouvernement François Fillon (2) avec une entrée en fonction reportée à la fin de la Coupe du monde, le 22 octobre 2007, un portefeuille réduit par rapport à ce qui avait été annoncé le 19 juin. Son ministre de tutelle est Roselyne Bachelot.

Dès le 22 octobre 2007, le Parti socialiste a pris clairement position contre cette nomination lors du point de presse qu'il organise chaque semaine. « Bernard Laporte n'a rien à faire au gouvernement » a déclaré Stéphane Le Foll, l'un des porte-parole de ce parti, qui a précisé qu'une telle nomination relevait d'une « confusion entre le sport, les affaires et la politique » et qu'elle s'expliquait par « une amitié forte entre Nicolas Sarkozy et Bernard Laporte. ». Stéphane Le Foll a conclu son intervention en soulignant que « Bernard Laporte n'a pas sa place dans le gouvernement de François Fillon ».

Son domaine de compétence ministériel est étendu à la Jeunesse et à la Vie associative, suite au remaniement ministériel du 18 mars 2008 mais après la nomination de Martin Hirsch au poste de haut-commissaire à la Jeunesse, il redevient simplement chargé des Sports.

Il quitte le gouvernement après le remaniement ministériel du 23 juin 2009 et est remplacé par Rama Yade[3]. Son bilan politique est jugé médiocre[réf. nécessaire]. Faute de s'être imposé sur les enjeux d'actualité comme la libéralisation des paris sportifs ou le dopage (contrairement à son prédécesseur), son périmètre d'action s'est restreint, alors même que le monde sportif contestait la réduction des moyens des filières de détection des sportifs de haut niveau comme les CREPS[4].

Actions politiques

En juillet 2008, le parlement a adopté le projet de loi « dopage » défendu par Bernard Laporte. Objectif : affaiblir les filières de distribution de produits dopants avec la création d'une infraction pénale de détention de produits et une information immédiate du procureur de la République en cas d'infraction constatée par les agents habilités.

Le 11 décembre 2008, il a engagé la réforme du sport de Haut niveau : pour le secrétaire d’État, il s’agit de réformer en profondeur le modèle français qui date de plus de 50 ans si l’on veut voir la France retrouver son rang parmi les toutes premières nations sportives. Avec 4 grandes orientations : la création du « campus français de l’excellence sportive» pour lequel le secrétaire d’État a annoncé un investissement total de 200 millions d’euros d’ici à 2008, « redonner du sens aux mots quand on parle de haut niveau, en se concentrant sur les meilleurs » : il s’agit de passer des 15 000 sportifs dit de « haut niveau », à 5000 (la Grande-Bretagne n'en compte que 1500), passer d’un pilotage administratif à une logique de management et de la performance : pour Laporte l'enjeu est de réinsuffler la culture de « la gagne » au sport français et la démocratisation du monde sportif (évolution du système électoral au sein des fédérations, « Charte de la parité et de la diversité dans le monde du sport » : Bernard Laporte a déclenché de vives réactions au sein du mouvement sportif en déclarant son intention de limiter le nombre de mandats des présidents de fédérations pour « mettre fin au décalage inacceptable entre le mouvement sportif et la réalité de la société française ». Lors de ses vœux au monde sportif, le 19 janvier 2009, le président de la République, Nicolas Sarkozy, est allé au soutien de son secrétaire d'État sur cette question en déclarant qu'à la tête d'une fédération comme en politique « l'énergie que l’on met à durer, on ne la met pas à agir ».

Bernard Laporte a également présenté, le 16 décembre 2008, sa réforme du sport professionnel. Deux rapports avaient été commandés par Bernard Laporte : l'un à Eric Besson, sur la compétitivité du football français, l'autre à Philippe Séguin sur les grandes enceintes sportives. L'objectif du secrétaire d'État chargé des Sports est de traduire les propositions recueillies à travers un projet de loi annoncé pour le printemps 2009. Cette réforme vise à refondre l'environnement juridique des clubs pour les faire évoluer vers un statut unique de société anonyme, à lutter contre les phénomènes de violences et de racisme dans les stades. Elle s'accompagne d'un volet économique destiné à accroitre leur puissance financière (régime assoupli de prêts aux clubs, réforme de la taxe sur les spectacles avec une TVA fixée à 5%, renforcement des directions nationales de contrôle de gestion des clubs professionnels

Lors de la réunion informelle des ministres des Sports présidée par Bernard Laporte à Biarritz les 26 et 27 novembre, les ministres européens ont adopté une déclaration commune autour des priorités françaises. C'est notamment la reconnaissance de la « spécificité du Sport » à travers la question du nombre de joueurs sélectionnables en équipe nationale (règle du « 6+5 » en football). Une unanimité des ministres qui a conduit la Commission européenne, d'abord très fermée sur la question, à se montrer plus ouverte. D'autant que cette position quant à la « spécificité du sport » a été intégrée dans les conclusions du conseil européen des chefs d'État et de gouvernement présidé par Nicolas Sarkozy le 12 décembre 2008.

Affaires

Son agent est Serge Benaïm, homme d'affaires fondateur de la société de conseil en marketing sportif Paulimaxi. Pour 2007, ses contrats publicitaires avec dix-sept marques sont estimés à 700 000 €.

Bernard Laporte était un ami de Robert Fargette, frère de Jean-Louis Fargette (abattu en 1993). Bernard Laporte s’associe avec la famille Fargette pour monter le restaurant « les Princes » à Paris. Robert Fargette est abattu à La Valette-du-Var dans le Var en octobre 2000[5].

Bernard Laporte a investi dans plusieurs casinos. Associé à deux anciens internationaux de rugby, William Téchoueyres et Philippe Saint-André, et à la famille Guidicelli. Bernard Laporte acquiert en 1996 les casinos de Mimizan et Biscarosse, puis celui de Lacanau. Pour le casino de Lacanau, la licence de machine à sous est refusée par le ministère de l’Intérieur du gouvernement Jospin. Le rapport d'enquête de la section "Courses et jeux" RG est négatif pour les casinos de Biscarosse et Mimizan. Bernard Laporte a revendu ses trois casinos en juillet 2000. Fin 2006, Bernard Laporte s'associe avec l'ancien international français de rugby Denis Charvet pour acheter le casino de Saint-Julien-en-Genevois, à la frontière suisse.

Il a annoncé en mai 2006, qu'après la Coupe du Monde de 2007, il quitterait son poste d'entraîneur pour se consacrer pleinement à ses affaires. Il a investi dans l'immobilier, dans des campings, mais aussi dans la restauration tout en étant propriétaire d'un casino[6]. L'ensemble de son « empire » comprendrait plus de quinze sociétés diversifiées dans l'immobilier (Groupe LeRoof), dans la publicité, dans l'organisation de séminaires, dans l'équipement sportif (« BeRugBe » et une salle de gymnastique à Toulouse), dans l'alimentaire (usine de biscuits du Pilat, un vignoble à Gaillac), dans le tourisme (deux campings près d'Arcachon, sur la dune du Pyla « Pyla camping » et un autre en Dordogne), dans les casinos de jeu (deux casinos dont celui de Saint-Julien-en-Genevois), et dans la restauration (trois restaurants « Olé Bodega » et « Chez Pierre » à Arcachon).

Avec son entrée au gouvernement, Bernard Laporte n'a pas abandonné ses affaires comme son site Internet, ses contrats publicitaires, ses activités dans les casinos de jeu et son projet de complexe immobilier à Arcachon. Il a en revanche arrêté sa chronique dans le journal Metro. Toutes ses autres activités, hors l'organisation des séminaires, sont en train d'être regroupées au sein d'un trust géré par une banque privée.

En 2010, il devient actionnaire et ambassadeur de L'Officiel des Paris en ligne. En mai 2010, Bernard Laporte accompagné de Yannick Noah, Basile Boli et Denis Charvet fonde Fan2sport, le premier réseau communautaire du monde du sport.

Engagement humanitaire

Il est le parrain de la fondation Greffe de Vie et s'engage pour la cause du don d'organes et de la greffe. Il a monté une opération de vente de maillots, en violation de la charte de la Fédération Française de Rugby, dont il dit destiner les bénéfices à la fondation Greffe de Vie[7] (après avoir prétendu antérieurement qu'ils seraient destinés à une association choisie après la coupe du monde de rugby 2007[8])

Démêlés judiciaires

Après 12 mois d'enquêtes et 15 perquisitions, Bernard Laporte est interrogé pour de nombreuses actions, notamment sur la tenue d'une comptabilité, des biens sociaux, des actifs, des transferts, des factures, du travail, et des retraits. Une perquisition a été menée en mars 2007 dans ses bureaux et de nombreux documents ont été saisis[9].

Frédérique Ruggieri, propriétaire du casino de Gujan-Mestras (Gironde), accuse Bernard Laporte d’avoir tenté en 2005 d’obtenir des parts dans le capital de la société, juste avant l’ouverture du casino. Il aurait évoqué ses appuis politiques, en particulier Nicolas Sarkozy, ministre de l’Intérieur[5].

Fin octobre 2007, une plainte pénale a été officiellement déposée auprès du Parquet de Paris par la direction du casino de Gujan-Mestras »[10].

Françoise Néher, doyenne des juges du pôle financier parisien, a décidé fin octobre 2007 d'ouvrir une enquête contre l’avis du parquet, qui estimait cette plainte irrégulière juridiquement.

Bibliographie

Notes et références

Liens externes

Précédé par Bernard Laporte Suivi par
Jean-François Lamour
Secrétaire d'État chargé des Sports
2007-2009
Rama Yade

Wikimedia Foundation. 2010.

Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Bernard Laporte de Wikipédia en français (auteurs)

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