Histoire de Batna

Histoire de Batna
Article principal : Batna.

Cet article présente les faits marquants de l’histoire de Batna la capitale des Aures.

Sommaire

Avant la colonisation française

Articles détaillés : Chaouis et Histoire des Aurès.
Le mausolée de Medghassen dans les Aurès près de Batna, date de 300 ans avant J.-C. Il s'agit d'un monument numide et du plus ancien mausolée de l'Algérie[1].

La région de Batna faisait partie de la Numidie et des premiers royaumes indépendants Berbères comme l'atteste le monument de Madracen non loin de la ville. La vallée dans laquelle est installée la ville de Batna faisait jadis partie d'un territoire sous la domination de la vieille ville romaine de Lambèse. Les effets du temps et de l'érosion, notamment des pluies diluviennes et des glissements de terrain, ont peu à peu conduit à l'enfouissement de la ville romaine de Batna et d'une bonne partie des vestiges de la ville de Lambèse. La vallée était habitée par des Berbères chaouis. La tribu Fezzan (Fezazna), d'origine tripolitaine, sera concentrée à la Zaouïa de Zmella ou le village de Zmella, situé dans la vallée. Les Français l'ont baptisé à leur arrivée « Village Nègre », car il y avait une population noire : les Zenagas (qui parlent le Berbère subsaharien), des descendants des Sanhadjas. Les Ayth Adi, tribu berbère, possédaient la plus grande partie de la terre de la vallée. Les Ayth Sidi Yahia, tribu berbère, habitaient la vallée jusqu'à Lambèse, eux aussi avaient une zaouïa. Les Ayth Chlihs, tribu berbère, étaient également établis dans la vallée et avaient, eux aussi, une zaouïa. Les Hraktas, tribu berbère, avaient des terres pour leurs pâturages et des lieux saints dans cette vallée.

Les routes étaient protégées par toutes ces tribus contre les Razzias des autres tribus proches et les attaques ottomanes. Le commerce était prospère dans cette vallée, les gens passaient par cette vallée pour aller à Constantine. Ils venaient de Khenchela, d'Arris, de Menaa, de Biskra, etc. Le voyage durait une journée à dos de cheval ou d'âne. Plusieurs zaouïas étaient, à cette époque, des lieux de visite mystique, de culte des saints. Cependant la ville de Baitnah a existé avant la colonisation française, elle a été déjà citée dans les écrits du voyageur britannique Thomas Shaw, dans son livre qui fut publié en 1738[2],[3]

La colonisation française

Naissance de la ville

Article détaillé : Conquête de l'Algérie.
Henri d'Orléans, duc d'Aumale

Dans le seuil sépare les monts du Belezma de l’Aurès proprement dit, il n’y avait, en 1840 qu’un terrain marécageux et quelques mechta. Stéphane Gsell dans son atlas archéologique ne signale que quelques vestiges romains épars[4] : des restes d’enceinte et de constructions, un poste de guet au-dessus de Bouzourane, une borne marquant les 8 milles de Lambèse, et, au col de Batna sur la ligne de partage des eaux à 1 083 m, les traces d’une villa romaine importante, avec source, thermes et bassins, pressoir et tombeaux (un sarcophage chrétien)[R 1].

malgré le traité de Tafna, l’armée française avait franchi les portes de fer et pris Constantine, la même année[R 1]. Ahmed Bey avait rejoint, à Biskra, un lieutenant d’Abd el-Kader, Mohamed-Seghir. le Duc d’Aumale, nommé gouverneur de Constantine en 1843, décide d’aller rétablir l’ordre dans les Zibans[R 1]. Une colonne sous les ordres du colonel Buttafoco se met en route fin janvier 1844 et bivouaque le 12 février juste a mi-route de Biskra (119 km)[R 1]. Une stèle situa encore l’endroit de ce bivouac prés de la ferme des tourelles[R 1]. une redoute en pierres et fascines est dressée où seront laissés les malades et une partie des provisions. des traces de semblables bordj se voient encore prés de Aïn Yagout et de la ferme Dris-Amor[R 1].

On appela cet endroit Batna (écrit ainsi sur une carte de 1848), ce qui signifie le bivouac ou plus probablement, une colline ne forme de ventre[R 2].

L’expédition de Biskra s’é tant dérouler sans grands problèmes (sauf un combat à M’Chouchène, le 21 mars), les 3 000 hommes rentrent vers le camp de Batna, qui avait été assailli en leur absence par les Ouled soltane. Ceux-ci sont repoussés, mais le camp est déplacé en avril à 2 km[R 2]. au sud-est prés des ruines de Ras El Aioun (Village Nègre). On demande aux soldats de respecter les pierres romaines. quelques maisons se bâtissent prés du camp: cantines, ateliers, etc. le colonel fait tracer les alignements des futures rues qui vont toutes se couper à angle droit[R 2].

Développement

vieux plan de Batna a l’époque de sa fondation et développement[R 3]

Le décret de 1848 qui créait la nouvelle ville lui donnait le nom de Nouvelle-Lambèse, mais celui de juin 1849 lui rendit le nom de Batna[R 2].

Sources et climat favorisent moins les vergers que la forêt voisine et les céréales ( blé dur et orges). L’Oued Batna permet d’irriguer prairies et jardins à l’ouest : ce secteur est baptisé La Verdure[R 2].

La mosquée du Camp est de 1845, les deux écoles (Jules-Ferry et Gambetta) de 1851, la justice de paix de 1853, l’église de 1858. le P.Pourchié, premier curé, arrivé en juin 1840 dispose d’une chapelle provisoire au camp. L’église, commencée en 1855, fut utilisée dès 1858 et consacrée en 1863[R 2]. Il ya eut un vicaire dès 1850. Des sœurs de la doctrine, arrivées en 1851, tinrent l’école communale jusqu’en 1880. Ce fut ensuit l’école libre de 1880 1910[R 2].

un décret de février 1860 fit Batna une commune de plein exercice. Elle comptait, à cette époque, 5 990 habitants : 1 947 français 647 juifs (avant le décret Crémieux de 1870), 273 étrangers naturalisés, 384 étrangers et 2 739 "indigènes" elle eut un conseil municipal élu en 1866[R 2].

Paludisme et choléra en 1855 éprouvèrent soldats et ouvriers. Un bel hôpital militaire fut bâti en 1866. Il faut noter, au passage, le tremblement de terre de 1867 qui fit de nombreuses victimes dans la ville[R 2].

L’empereur Napoléon III visita Biskra, Batna et Lambèse au début de juin 1865. Les colons, agacés par les vols que provoqua la famine de 1866 et de 1867 dont souffrirent cruellement les habitants de la région, s’opposèrent en mai 1870 à cette politique d’assimilation[R 4].

Crises de 1871 et 1916

La défaite de l’empereur à Sedan en septembre 1870 et la proclamation de la république réjouissent la population européenne qui choisi, dans l’effervescence, de nouvelles municipalités. l’armée affaiblie, n’intervient pas[R 4].

La crise d’autorité provoquée par la commune de 1871, des injustices et des maladresses causant la mutinerie des spahis favorisent le soulèvement de Mokrani, auquel les Rahmanya ajoutent, en mai 1871, un goût de guerre sainte dix villes, dont Batna, sont assiégées. La milice défend la place ou viennent se réfugier les fermiers isolés[R 4]. Fin avril, des ouvriers sont massacrés à la scierie Sallerin de Chaabet Ouled Chlih et au Ravin Bleu. La peur entraîne une répression disproportionnée : arrestations en ville, razzias au dehors, meurtres pour des raisons futiles, massacre de goumiers à Ain Yagout, etc. Des combats sanglants se déroulent au Djbel Kasrou et au Djbel Mestaoua (dant les soldats n’arrivent pas à prendre le Kef fortifié)[R 4]. Le calme se rétablit peu à peu. Pour eviter le retour de telles secousses, la division de Constantine s’installe à Batna en décembre, et l’on construit un mur d’enceinte percé de quatre portes et flanqué de redoutes : le fortin et le Bourj Bou Diaf[R 4].

Il fallait 14 heurs de diligence pour aller â Biskra : on construit le chemin de fer dès 1875[R 4].

On distribue aux nouveaux colons, émigrés d’Alsace-Lorraine, les terres confisquées aux tribus rebelles. Quelques uns s’aventurent dans les région entre 1871 et 1880[R 4]. Des centres seront crées entre Setif et Batna apres 1891 : ainsi Merouana en 1905, Batna devient, en 1885 sous-préfecture du département de Constantine, et siège d’une subdivision militaire avec bureau arabe et sous-intendance. La population, européenne aux 4/5, ne dépasse pas les 4 000 personnes[R 4].

Le soulèvement, mené en 1879 par Mohamed Ameziane, dura peu et ne troubla pas la vie de Batna. par contre celui des Ouled Soltane autour de Mac Mahon en novembre 1916 préoccupa vivement les autorités[R 4]. Provoqué par le rappel de la classe 17, il entraine des désertions, des pillages et des assassinats. Barika, Medina, Aïn Touta sont assaillies par des groupes que mène Benali[R 4]. le sous-préfet de Batna est tué, ainsi que l’administrateur de Mac Mahon[R 4]. les europeens doivent quitter Merouana pendant que les insurgees du Djbel Mestaoua font parler la poudre avec le Medfâa Kerrouch (un canon en bois de chêne qui explose au 5e obus. la répression durera jusqu’à avril 1917, faisant appel à des troupes de Tunisie, à l’artillerie et à une escadrille d’avions[R 4].

la guerre 1914-1918 terminée, Batna compte ses morts : 82 français et un nombre non connu de tirailleurs. La vie reprend, avec ses affaires et ses plaisirs : une société sans dieu, dira un officier vers 1920[R 4].

Vers la révolution (1919 - 1954)

Article détaillé : Massacres de Sétif et Guelma.

Pendant 20 ans, Batna va jouer son rôle de centre administratif et commercial[R 5]. Hotel de ville, tribunal, justice de paix, hôpital, bureau arabe accueillent paysans et montagnards. Trésor, recette des postes, marché, halle aux grains épaulent commerçants et artisans : armuriers, bourreliers, forgerons, charpentiers, grossistes, etc. Un nouvel apport de colons (espagnols et italiens) accroît la population[R 5].

La guerre de 1930-40 mobilise, sans distinction, les hommes valides. Après le débarquement américain de 1942, un bataillon sera formé, dans l’est, pour participer aux compagnes d’Italie, de France et d’Allemagne. Certains suivront en Indochine[R 5].

les évènement de mai 1945 toucheront peu Batna où tous se connaissent et s’estiment souvent depuis l’école. Pourtant l’influence des Oulémas de 1930, les poussées nationalistes, et non-application du Statut Organique de 1947, favorable à l’assimilation, conduiront les militants vers la lutte armée[R 5].

Batna dépasse en 1949 les 25 000 habitants. Avec le soutien de l’Egypte, des hommes tels que Mostefa Ben Boulaïd, Abbas Laghrour, Hocine Lamrani, etc, vont réussir, par leur ténacité, à soulever tout le pays[R 5]. Au lendemain du tremblement de terre d’Orleansville le 9 septembre 1954 et avant la visite du ministre de l’intérieur François Mitterrand ils vont soutenir le C.R.U.A. jeter les bases du parti FLN et de l’armée ALN, diviser le pays en 6 wilayas, stocker prés d’Arris des armes et des équipements, et decider la date de l’insurrection[R 5].

A Batna, Les autorités s’inquietent et se consultent. Chacun, croyant connaitre les Chaouia, pense : ils ne bougeront pas[R 5].

La guerre de libération (1954 - 1962)

Article détaillé : Guerre d'Algérie.

la révolution éclate le 1er novembre 1954, à l’aube[R 5]. Deux sentinelles sont tuees au camp[R 5]. le caid Ben-Sadok et Guy Monnerot sont tuer a Tighanimine. Arris est isolé. Au début, les autorités croient a des actions ponctuelles, dans la ligne des bandits d’honneur (Grine Belkacem, tué le 1911) et se contentent de renforcer la surveillance militaire des Aures : 9e chasseurs d’Afrique vont s’ajouter la légion des sénégalais, des parachutistes, de l’artillerie, des blindés (AMX) et de l’aviation[R 5].

Au fur et a mesure que l’armée va contrôler le massif, la population va, sous la poigne ferme du FLN, basculer de la sympathie a l’engagement total[R 6]. le maquis prend peu a peu de l’extension, avec ses structures (relais, cotisations, cour martial, etc.) et ses liaisons avec Alger et l’extérieur)[R 6].

De son cote, la repression est brutale : le Camp, le Fortin, la Ferme Rouge (F. Lahmar, prés de Fesdis) vont servir de lieux de torture; la ferme Lucas, a Fontaine-Chaude, regroupera les suspects avant leur envoi a Constantine. la population, maire en tête A. Malpel, manifestera dès 1955 contre les abus du LT.Têtard (dont les chiens ont déchiqueté un aveugle)[R 6]. On découvrira même a Khenchela, en 1981, un charnier de plus de 900 corps[R 6].

En ville, l’état d’urgence s’installe[R 6]. Les quartiers sont quadrillés pas les territoriaux, des contrôles sont effectués aux portes, il faut un laissez-passer pour sortir en zone interdite[R 6]. Des convois se constituent pour Merouana ou Arris, avec couverture aérienne ou la protection des tours de guet qui veillent sur les passages névralgique. Malgré tout, de fréquents attentas ont lieu, et la police est sur les dents, en quête de renseignements[R 6].

240 soldats mourront a Batna en novembre 1954 a avril 1957, d’après les registres paroissiaux. et un nombre inconnu de Chouhada seront inhumés, a la hate, dans un coin du djbel là même où ils sont tombés[R 6].

En 1956 Batna devient le chef-lieu du département des Aures, qui est encore très dépendant de Constantine et où se tient, en août, le congrès de La Soummam (C.N.R.A.)[R 6].

Batna, qui a un général qui as le nom de Georges Parlange depuis avril 1955 et une préfecture depuis 1956 dans la daira actuelle, reste calme au moment du cessez-le-feu[R 6]. L’O.A.S y a peu de crédit et l’exode qui touche les français de l’Algeroise dès cette époque n’y sera sensible qu’en juin, a l’approche de l’été, Donnant cours a un florissant marché de meubles, vaisselle, linge hétéroclites la population dépasse 55 000 habitants, mais il ne restera bientôt qu’une poignée des 3 000 chretiens et juifs de la ville[R 7].

En juillet Ferhat Abbas fait une visite a Batna pour célébré la victoire de la liberté[R 7].

L’expansion (1962 - 2000)

Article détaillé : Guerre civile algérienne.
Ancien batiment datant de l'époque coloniale utilisé comme bureau de poste.

De 1962 à 1965, Batna garda le découpage militaire de l'ALN : elle était le chef-lieu de toute la région des Aurès. Pendant ces toutes premières années de l'Indépendance, la ville a connu une croissance économique importante. Pendant le mandat du président Houari Boumédiène (1965 - 1979), plusieurs millions d'arbres seront plantés par les jeunes appelés de l'armée dans les montagnes avoisinant la ville (Kasrou, pic des cèdres ou col de Telmet (forêt de Belezma), Bouarif, Mont Chélia, etc.), pour remplacer les arbres calcinés par les bombardements français. L'église de la ville fut détruite dans les années 1970[5] pour être remplacée par une placette en marbre. Le Wali (préfet) ayant décidé cette destruction mourut tragiquement dans un mystérieux accident de la circulation quelques jours après la démolition de l'édifice religieux !

Dans les années 1970, la ville de Batna s'agrandira harmonieusement et se développera grâce au secteur industriel où plusieurs projets vont aboutir (complexes textile, cuirs, etc.) grâce à la contribution des entreprises de l'État ainsi qu'aux entrepreneurs locaux. Malgré un régime socialiste, la vie à Batna était agréable à tel point que plusieurs cadres de l'État, après une mutation à Batna, décidèrent d'y résider définitivement. Cependant, cette croissance sera brutalement freinée pendant l'ère du président Chadli Bendjedid (1978-1991), d'une part par la corruption naissante et vite généralisée et d'autre part par les conflits d'intérêts tribaux et le clanisme despotique (« بن عميس  »). Alors que la ville commençait à manquer cruellement d'eau, de routes et d'espace, quelques travaux de prestige furent réalisés, comme l'édification du stade omnisport du 1er novembre, face au cimetière de la ville, la rénovation du théâtre colonial de la ville, la construction de quelques cités d'habitations et de la maison de la culture ainsi que d'une salle de cinéma (le Colisée), d'une gare routière, etc. C'est aussi pendant cette période que Batna voit sa territorialité administrative nettement amputée : elle n'est plus que le chef-lieu de la Wilaya de Batna qui ne comprend plus les départements de Khenchela, de Aïn Béïda, de Biskra et d' Oum-El-Bouaghi.

En 1992, Batna fut le théâtre d'affrontements entre l'Armée et les partisans du Front islamique du salut[6]. Plusieurs centaines de militants du FIS ont été tués ou exilés dans les camps du Sud. Ces évènements se sont déroulés lors de la présidence de Mohamed Boudiaf. Par ailleurs, la ville de Batna paya un lourd tribut lors de la guerre civile, avec plusieurs milliers de victimes en 10 ans.

Les grands travaux furent relancés petit à petit pendant la décennie noire. Ainsi, pour désenclaver les Aurès, l'ex-président algérien, Liamine Zéroual, décida en 1997 la construction de l'aéroport international Mostefa Ben Boulaïd, près du monument Medghassen. Il lancera aussi la construction du barrage de Timgad pour satisfaire la demande en eau potable de la région. La radio publique régionale de Batna fut créée à cette période et ses ondes couvrent aujourd'hui tous les Aurès.

Batna de nos jours

Pendant la décéenie 90, un exode massif des populations rurales provoqua une brutale croissance démographique de la population batnéenne, ce qui entraîna une urbanisation anarchique et un étouffement de la circulation automobile[7], une flambée de l'immobilier mais surtout fera exploser la délinquance juvénile à la fin des années 2000[8],[9].

Fin 2007, le président Abdelaziz Bouteflika relancera pour la ville quelques projets vitaux bloqués, comme le recouvrement des deux canaux d'eaux usées à ciel ouvert qui traversent la ville[10] ou l'ordre de finalisation en un an du barrage de Timgad destiné au développement de l'agriculture, dont la construction avait débuté en 1994[11].

Le soir du 8 septembre 2007, un attentat, revendiqué par Al-Qaida, eut lieu au centre-ville, visant Bouteflika, qui y échappa de peu. Il fit de nombreuses victimes : 19 morts et 100 blessés graves[12].

Pour désengorger le transport urbain de la ville de Batna, une étude de faisabilité pour un projet de tramway a été lancée en 2008[13]. Après plusieurs mois de conflit d'intérêts intra-municipal, des travaux de bitumage des rues et ruelles de certains quartiers de la ville de Batna, d'un coût de 200 millions de DA (2 M€), ont débuté en mai 2009[14].

Bibliographie

  • Philippe thiriez, En flânant dans les Aures, Éditions Numidia, Ain M’lila, 1986.
  • Mostefa Merarda "Bennoui", Sept ans de maquis en Aures, Dar El-Houda, Ain M’lila, 2004.

Notes et références

Livre de Philippe Thiriez  : En flânant dans les Aurès
  1. a, b, c, d, e et f (fr)Philippe thiriez, En flânant dans les Aures page 33
  2. a, b, c, d, e, f, g, h et i (fr)Philippe thiriez, En flânant dans les Aures page 34
  3. (fr)Philippe thiriez, En flânant dans les Aures page 35
  4. a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l et m (fr)Philippe thiriez, En flânant dans les Aures page 36
  5. a, b, c, d, e, f, g, h, i et j (fr)Philippe thiriez, En flânant dans les Aures page 38
  6. a, b, c, d, e, f, g, h, i et j (fr)Philippe thiriez, En flânant dans les Aures page 39
  7. a et b (fr)Philippe thiriez, En flânant dans les Aures page 40
Notes
  1. Recueil des notices et mémoires de la Société archéologique, historique
  2. Thomas Shaw, Voyages dans plusieurs provinces de la Barbarie et du Levant..., volume 1, p. 144
  3. Pierre inaugurale de la ville de BatnaI, Rachid Hamatou, lundi 19 juillet 2010, Liberté.
  4. (fr)Stéphane Gsell - Atlas archéologique de l’Algérie (1902 - 1911)
  5. Jean-Pierre Marin (préf. Jean Deleplanque), Au forgeron de Batna, Paris, L'Harmattan, coll. « Graveurs de mémoire », 2005, 493 p. (ISBN 2747593118) (OCLC 123475998) [lire en ligne], p. 268 
  6. Jean-Pierre Marin (préf. Jean Deleplanque), Au forgeron de Batna, Paris, L'Harmattan, coll. « Graveurs de mémoire », 2005, 493 p. (ISBN 2747593118) (OCLC 123475998) [lire en ligne], p. 264 
  7. Le Soir d'Algérie
  8. Radia Zerrouki, La Nouvelle République.
  9. « La délinquance juvénile en Algérie ».
  10. http://www.elwatan.com/Ressources-hydriques-a-Batna-7
  11. Le soir d'Algérie, Le soir d'Algérie.
  12. « Al-Qaida revendique les attentats de Dellys et Batna », LeMonde.fr.
  13. http://www.lemaghrebdz.com/lire.php?id=11910
  14. http://www.elwatan.com/Vaste-operation-de-rehabilitation



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