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Migré
L'entrée du village de MigréAdministration Pays France Région Poitou-Charentes Département Charente-Maritime Arrondissement Saint-Jean-d'Angély Canton Loulay Code commune 17234 Code postal 17330 Maire
Mandat en coursJean-Yves Grolleau
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes du canton de Loulay Démographie Population 335 hab. (2007) Densité 23 hab./km² Gentilé Migréen Géographie Coordonnées Altitudes mini. 26 m — maxi. 88 m Superficie 14,3 km2 Migré est une commune française, située dans le département de la Charente-Maritime et la région Poitou-Charentes. Ses habitants sont appelés les Migréens et les Migréennes.
Sommaire
Géographie
Article connexe : Géographie de la Charente-Maritime.Présentation et cadre général
La commune de Migré est située dans la partie occidentale du canton de Loulay et est desservie par la route départementale qui relie Surgères à Aulnay-de-Saintonge.
Elle est située à 17 km au nord-ouest de Saint-Jean-d'Angély, à 20 km à l'ouest d'Aulnay-de-Saintonge et à 6 km à l'ouest de Loulay qui est le plus petit chef-lieu de canton de la Charente-Maritime.
Confinée dans les marges septentrionales de la Saintonge, Migré est très proche de l'Aunis où l'influence de Surgères s'y fait nettement ressentir, cette ville n'étant distante que de 16 km à l'ouest.
L'évolution du paysage agricole
Le finage communal de Migré, d'une superficie relativement moyenne de 14,3 km2, est composé de trois paysages naturels différents.
- Au nord, des collines boisées portent les plus hautes altitudes de la commune avec une colline qui domine la commune du haut de ses 88 mètres. Cette zone de collines comporte en particulier le bois des Chaumes, relique de l'antique Forêt d'Argenson qui, de la Forêt de Benon à la Forêt d'Aulnay et bien au-delà, séparait les anciennes provinces de la Saintonge et du Poitou.
- Au centre de la commune s'écoule la vallée agreste de la Trézence qui est un affluent de rive droite de la Boutonne et en même temps son plus long émissaire. A ses abords, l'habitat rural y a été fixé dont le village de Migré et de petits hameaux et écarts comme ceux de Thouars, La Dorlière, La Planche et La Flamancherie. En aval du hameau de La Flamancherie, la Trézence s'enfonce dans une pittoresque vallée encaissée en limite de la commune voisine de Bernay-Saint-Martin.
- Enfin, au sud et sud-est, s'étend une plaine calcaire et fertile fermée dans sa bordure méridionale par une chaine de petites collines portant à l'état résiduel des bois de la Forêt d'Essouvert dont une grande partie a été essartée lors de l'essor fulgurant de la vigne au XIXe siècle.
Les activités agricoles ont longtemps été dominées par la viticulture pour la production des eaux de vie de cognac où elles y ont atteint leur paroxysme en 1875, année où le phylloxéra a ruiné l'économie locale.
A partir du début du XXe siècle, les vignes ayant été arrachées, les agriculteurs se sont ensuite tournés vers la polyculture avec l'élevage laitier prédominant dont le cheptel alimentait la laiterie coopérative. Cette dernière a fonctionné jusqu'à la fin des années 1960.
A partir des années 1980, la céréaliculture intensive a gagné l'ensemble de la commune avec la mise en culture du blé, du maïs, du tournesol et du colza. Il ne reste plus qu'un seul producteur laitier dans la commune, toutes les autres exploitations agricoles étant tournées essentiellement vers les céréales dont les surfaces se sont considérablement agrandies, plus d'une centaine d'hectares en moyenne.
D'un paysage semi-bocager d'avant-guerre, hérité de l'installation des colons vendéens qui y ont introduit l'élevage laitier, jusqu'aux années de remembrement intensif entamées dès 1970, la campagne de cette commune doucement vallonnée a aujourd'hui des allures de Beauce, avec ses grands champs ouverts que seuls ponctuent à l'horizon les résidus de forêts et les collines.
Liste des hameaux et écarts
Autour du village de Migré, arrosé par la Trézence et par un petit ruisseau affluent de rive droite de la rivière, portant le nom de ruisseau de la Pierre, des hameaux et des écarts - ou fermes isolées - se sont successivement créés depuis la période médiévale, époque à partir de laquelle l'antique Forêt d'Argenson a commencé à être défrichée. Aujourd'hui, près d'une dizaine d'entre eux est éparpillé dans le finage communal de Migré.
Le village de Migré demeure le centre villageois le plus important de la commune et regroupe toutes les activités administratives de la municipalité avec sa mairie, La Poste et, encore jusqu'en 2009, l'école publique en structure de RPI avec la commune voisine de Saint-Félix.
Au nord de la commune, la route départementale qui relie Surgères à Aulnay-de-Saintonge a permis de fixer des hameaux qui sont d'est en ouest les suivants :
- La Cavaterie
- Les Petites Tannières
- Les Grandes Tannières
Au sud-ouest de la commune, c'est la petite rivière de la Trézence qui a servi à fixer l'habitat :
- La Planche
- La Flamancherie
De même, à l'est et au centre de la commune les petits écarts sont nés au bord ou à proximité de la rivière :
- Thouars
- La Dorlière
Au sud-est de la commune, les terrains difficiles à travailler ont donné à un écart un toponyme très révélateur :
- La Pouillère
Enfin, un seul hameau doit son origine à une clairière aménagée dans la forêt tout au nord du village et en limite de la commune voisine de Dœuil-sur-le-Mignon :
- Les Chaumes
Communes limitrophes
Climat
Article connexe : Climat de la Charente-Maritime.Le climat est de type océanique aquitain : la pluviométrie est relativement élevée en automne et en hiver et les hivers sont doux. L'été reste tempéré grâce à la brise marine. Deux vents venant de l'océan, le noroît et le suroît , soufflent sur les côtes du département. L'ensoleillement de la côte charentaise est très important : avec 2 250 heures par an, il est comparable à celui que connaît une partie de la côte méditerranéenne[1].
Les relevés de la station météorologique de La Rochelle entre 1946 et 2000 permettent de déterminer quelques dates majeures au point de vue climatique en Charente-Maritime : ainsi, au cours de cette période, la température la plus froide est relevée le 15 février 1956 : -13,6° C.
Un pic de température (dépassé seulement au cours de la canicule de 2003) est atteint le 8 juillet 1982 avec près de 39° C à l'ombre.
Si 1953 est considérée comme l'année la plus sèche, 2000 est au contraire la plus pluvieuse[2].La Charente-Maritime est le département français qui a été le plus durement touché par la tempête Martin du 27 décembre 1999. Les records nationaux de vents enregistrés ont été atteints avec 198 km/h sur l'île d'Oléron et 194 km/h à Royan.
Données générales
Ville Ensoleillement
(h/an)Pluie
(mm/an)Neige
(j/an)Orage
(j/an)Brouillard
(j/an)Moyenne nationale 1 973 770 14 22 40 Migré 2250 755 1 13 26 Paris 1 630 642 15 19 13 Nice 2 668 767 1 31 1 Strasbourg 1 633 610 30 29 65 Brest 1 492 1 109 9 11 74 Données climatiques à La Rochelle mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année Température minimale moyenne (°C) 3,4 2,8 5,4 7,4 10,7 13,7 15,8 15,7 13,7 10,5 6,3 3,9 9,2 Température moyenne (°C) 5,9 6,9 8,7 11,1 14,3 17,5 19,8 19,6 17,8 14,2 9,4 6,6 12,7 Température maximale moyenne (°C) 8,5 9,9 12,1 14,7 17,9 21,3 23,8 23,5 21,8 18,0 12,6 9,2 16,1 Ensoleillement (h) 84 111,0 174,0 212,0 239,0 272,0 305,0 277,0 218,0 167,0 107,0 85,0 2 250,0 Précipitations (mm) 82,5 66,1 57,0 52,7 61,1 42,9 35,1 46,4 56,5 81,6 91,8 81,8 755,3 Source : Climatologie mensuelle à la station départementale de La Rochelle de 1961 à 1990[3].Toponymie
Le nom du village de Migré demeure obscur et deux interprétations sont émises.
Certains étymologistes y voient simplement une origine liée à l'implantation d'un grand domaine agricole qui aurait appartenu à un riche propriétaire gallo-romain du nom de Macrius[4]. Cependant, cette dernière interprétation ne semble toujours pas satisfaisante et laisse place à l'incertitude[5].
Selon d'autres historiens, ce nom proviendrait de Migy, dont la signification serait territoire de Mercure suite à l'implantation des Romains dans ces lieux mais il n'en demeure pas moins énigmatique. Peut-être est-il à lier à la présence d'un temple gallo-romain rural aujourd'hui totalement disparu? Ou bien plus probablement s'agissait-il d'un poste-relais des Romains sur l'antique voie romaine qui reliait Aunedonnacum, l'ancien camp militaire, à la côte Atlantique. Le mystère reste entier.
Histoire
Article connexe : Histoire de la Charente-Maritime.Le village est incontestablement d'origine gallo-romaine et des vestiges de cette époque qui y ont été retrouvés sont maintenant exposés au Musée archéologique de Saintes.
Les Romains donnèrent le nom au village actuel situé sur les rives de plusieurs ruisseaux dont les vallées étaient beaucoup plus profondes et plus larges qu'aujourd'hui. Des vestiges de leur implantation ont pu être découverts comme celles de la piscine romaine, ainsi que des pièces romaines près de cette construction antique, au lieu dit la Grand-Leigne. Ce dernier site, aujourd'hui disparu, atteste que la forêt était profonde en ce temps-là et que le territoire de Migré était en effet situé aux abords immédiats de l'immense Forêt d'Argenson[6] qui séparait les antiques provinces des Pictons, au nord, des Santons, au sud et qui s'étendait de la Forêt de Benon à celle d'Aulnay. La présence de cette piscine romaine prouve l'implantation d'une villa gallo-romaine au sein d'une clairière culturale défrichée sur la forêt. Des briques et des fragments de mosaïque ont aussi été découverts au Moulin de la Tanière, au nord-ouest de l'actuel bourg, attestant le fait que les premiers habitants ont occupé un site de collines, peut-être comme lieu d'observation ou mieux encore de poste-relais d'un détachement de garnison romaine, Migré étant situé sur l'antique via romaine qui reliait la garnison romaine d'Aunedonnacum aux rivages de l'Atlantique.
Après l'effondrement de l'Empire romain et l'éclipse barbare aux siècles suivants, le village renaît au milieu de l'époque médiévale et se dote, comme la plupart des villages de cette époque, d'une église au XIIe siècle. Celle-ci fut dédiée à Saint-Benoît et fut remaniée au début du XIVe siècle. Mais l'absence de toute référence au style roman prouve qu'elle dut subir une destruction totale. Sa reconstruction dans le style gothique a donc du avoir lieu vers la seconde moitié du XVe siècle, c'est-à-dire après la guerre de Cent Ans.
Plus tard, au début du XVIIe siècle, le village fut doté d'un château qui fut entouré de profondes douves. En 1792, il a été incendié suite aux évènements de la Révolution française, seule a subsisté une porte d'entrée de l'époque Louis XIII.
En 1862, le 23 septembre, la foudre détruisit le clocher de l'église et entraîna la destruction d'une grande partie du bâtiment. Il fut reconstruit selon le type néo-gothique de l'époque[7].
A partir de 1875, le phylloxéra a exercé son effet dévastateur sur le vignoble de la commune, alors principale source de richesse du village où fonctionnaient pendant la période glorieuse du Second Empire 22 distilleries d'eaux de vie de cognac. C'est à partir des années 1880 que la commune a commencé à perdre considérablement de la population, les vignes ayant été en très grande partie abandonnées et remplacées par les prairies artificielles pour l'élevage laitier introduits par des fermiers vendéens vers la fin du XIXe siècle.
La première laiterie coopérative est implantée en 1892[8] mais les bâtiments de l'usine pour la production laitière et la fabrication du fromage sont édifiés en 1908 et une trentaine d'ouvriers y sont employés[9].
Dans le courant du XXe siècle, grâce à l'essor fulgurant de l'élevage laitier, la laiterie coopérative accroit ses activités en y produisant de la caséine. Elle fermera définitivement ses portes en 1966 et n'employait plus que 6 personnes[10].
Administration
Municipalité
Liste des maires successifs[11] Période Identité Étiquette Qualité depuis 2001 mandat en cours Jean-Yves Grolleau[12] 1995 2001 Jacques Maroteix Suite de la liste des mairesPériode Identité Étiquette Qualité 1977 1995 Charles Martineau 1972 1977 Claude Pinsonneau 1945 1972 Joseph Passebon 1944 1945 Raymond Drapeau 1940 1944 Joseph Passebon 1919 1940 Paul Maroteix 1892 1919 Lucien Bevin 1871 1892 Louis Chaussegroux 1858 1871 Louis Marchesseau 1848 1858 Jean Meunier 1826 1848 Charles Doignon 1798 1826 Pierre Drahonnet 1795 1798 Charles Martineau 1792 1795 Christophe Tierce 1790 1792 Charles Doignon Canton
La commune de Migré est l'une des 15 communes qui forment le canton de Loulay qui est l'un des moins peuplés de la Charente-Maritime.
Intercommunalité
La commune adhère à la Communauté de communes du Canton de Loulay dont le siège administratif est situé à Loulay.
Démographie
Article connexe : Démographie de la Charente-Maritime.Évolution de la population
Histogramme
(élaboration graphique par Wikipédia)La situation contemporaine de l'évolution démographique de la commune de Migré
Comme bien des communes rurales de l'arrondissement de Saint-Jean-d'Angély, la commune de Migré a été très fortement affectée par l'exode rural, qui a surtout touché les jeunes générations dans les années d'après-guerre (période 1946-1962), puis dans les années de déprise agricole (des années 1970 aux années 1990).
La période 1962-1968 qui montre une courte période de stabilité démographique de la commune est due à la fois à un solde naturel fortement positif (années du babyboum) et à la présence de la laiterie coopérative qui assurait des revenus pour les agriculteurs autant qu'une source d'emplois.
Ce n'est que depuis le dernier recensement de population (1999-2007) que la commune de Migré a vu croître légèrement sa population après de longues décennies d'exode rural. Cette petite croissance démographique trouve son explication dans la villégiature d'une population retraitée de plus en plus importante et, dans une moindre proportion, dans la résidence de personnes travaillant à Surgères. Elle est le fait d'un solde migratoire positif mais qui n'empêche pas le vieillissement accéléré de la population communale où plus de 40 % des habitants ont plus de 65 ans, à l'instar de ce qui est observé partout ailleurs dans le canton de Loulay.
Ce solde migratoire positif est également du à l'installation récente de plusieurs familles d'origine britannique, résultant d'un vaste mouvement d'immigration en terres charentaises. La Charente et la Charente-Maritime sont en effet devenus parmi les tout premiers départements d'accueil des Britanniques en France.
Pyramide des âges
Économie
Article connexe : Économie de la Charente-Maritime.La commune abrite une population nettement moins active que la moyenne nationale (34,1 % contre 45,2 %), avec un taux d'activité des 25-59 ans également un peu en deçà des chiffres nationaux (78 % contre 82,2 %). Les catégories socio-professionnelles les mieux représentées sont les ouvriers (28 %), immédiatement suivis — à parts égales — des employés et des agriculteurs (20 %), des artisans et des cadres (12 % pour chaque catégorie) et des professions intermédiaires (8 %)[17].
Le taux de chômage était supérieur à la moyenne nationale en 1999, touchant 13,8 % de la population active (soit 15 personnes)[17].
Les retraités forment une importante composante de la population (32,5 %), suivant de peu les actifs (34,1 %) et largement devant les jeunes scolarisés (17,5 %)[17].
Lieux et monuments
- L'église Saint-Benoît est située face à une jolie place plantée de tilleuls sur les hauteurs d'une petite éminence du village. Mêlant éléments romans, gothiques et modernes, elle est dominée par un clocher entièrement reconstruit en 1862. La nef est couverte d'une voûte en berceau brisé portant la date de 1892[18].
- Le lavoir, modeste construction édifiée en 1892, fait partie du petit patrimoine rural heureusement préservé.
- La mairie est représentée par un grand bâtiment en pierre de taille, typiquement saintongeais, et datant de la période de la Troisième République dans le dernier tiers du XIXe siècle. C'est le plus vaste bâtiment de la commune donnant également sur une place arborée.
- La porte Louis XIII de l'ancien château est l'unique témoignage d'une ancienne propriété nobiliaire dans le village.
- Le Moulin de Migré est situé au sud du village éponyme et est arrosé par la Trézence. Cette rivière avait alimenté un temps un moulin à eau à l'époque où les céréales étaient transformées sur place en farine. Suite à un violent orage, il fut détruit et laissé pendant de longues décennies à l'abandon. Il est aujourd'hui le siège d'un bar-restaurant auprès duquel une aire de pêche particulièrement fréquentée apporte une animation bienvenue dans la commune.
- La Trézence qui arrose la commune d'est au sud-ouest est une rivière qui paresse dans une vallée tranquille et qui dessine de longs méandres dans la campagne saintongeaise.
Le patrimoine rural de Migré en imagesPersonnalité liée à la commune
- Auguste Baril (1830-1914)[19], instituteur dans le village de Migré, a établi une monographie sur la commune de Migré qui a paru en 1867 dans le bulletin de la Société historique et scientifique de Saint-Jean-d'Angély[20].
Notes et références
- Données Météo France.
- Relevés Météo-France de 1946 à 2000, sur le site Bernezac.com
- (fr) Climatologie mensuelle à La Rochelle sur infoclimat.fr. Consulté le 22 octobre 2009
- "Le village se serait donc développé à partir du domaine de Macrius, un riche propriétaire terrien de l'époque gallo-romaine" in Jean Marie CASSAGNE et Mariola KORSAK, Origine des noms de villes et villages de la Charente-Maritime, éditions Bordessoules, p.193
- « Sans qu'on en ait la certitude, on pense que Migré est l'héritière de l'ancienne Macriaccum » in Jean Marie CASSAGNE et Mariola KORSAK, Origine des noms de villes et villages de la Charente-Maritime, éditions Bordessoules, p.193
- L'antique sylve d'Argenson
- Voir ancienne image de l'église
- La laiterie coopérative de Migré dans les Annales de la Géographie, lire p.212 dans le format pdf
- La laiterie coopérative de Migré
- Laiterie et caséinerie de Migré dan l'inventaire industriel de Poitou-Charentes
- Les maires de Migré sur http://www.francegenweb.org/mairesgenweb. Consulté le 24 mai 2010
- LISTE DES MAIRES DE LA CHARENTE-MARITIME » sur http://www.maires17.asso.fr, 2010. Consulté le 24 mai 2010Les nouveaux maires de Charente-Maritime en 2008 Association des maires de la Charente-Maritime, «
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur site de l'École des hautes études en sciences sociales. Consulté le 20 mai 2010
- Recensement de la population au 1er janvier 2007 sur INSEE. Consulté le 20 mai 2010
- Pyramide des âges de Migré, Recensement 2006 sur le site de l'INSEE
- Pyramide des âges de la Charente-Maritime, Recensement 2006 sur le site de l'INSEE
- Données économiques sur le site l'Internaute
- Le patrimoine des communes de la Charente-Maritime, éditions Flohic, p.349
- Son nom est mentionné dans un ouvrage de François Julien-Labruyère, L'alambic de Charentes, éditions Rupella, La Rochelle, 1989, p.298
- Monographie de la commune de Migré établie en 1867 par Auguste Baril
Voir aussi
Liens internes
Liens externes
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