Migré

Migré

46° 04′ 31″ N 0° 33′ 23″ W / 46.0753, -0.5564

Migré
L'entrée du village de Migré
L'entrée du village de Migré
Administration
Pays France
Région Poitou-Charentes
Département Charente-Maritime
Arrondissement Saint-Jean-d'Angély
Canton Loulay
Code commune 17234
Code postal 17330
Maire
Mandat en cours
Jean-Yves Grolleau
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes du canton de Loulay
Démographie
Population 335 hab. (2007)
Densité 23 hab./km²
Gentilé Migréen
Géographie
Coordonnées 46° 04′ 31″ Nord
       0° 33′ 23″ Ouest
/ 46.0753, -0.5564
Altitudes mini. 26 m — maxi. 88 m
Superficie 14,3 km2

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Voir la carte administrative

Migré est une commune française, située dans le département de la Charente-Maritime et la région Poitou-Charentes. Ses habitants sont appelés les Migréens et les Migréennes.

Sommaire

Géographie

Présentation et cadre général

Carte de la commune de Migré au sein de la Charente-Maritime
Position de Migré en Charente-Maritime

La commune de Migré est située dans la partie occidentale du canton de Loulay et est desservie par la route départementale qui relie Surgères à Aulnay-de-Saintonge.

Elle est située à 17 km au nord-ouest de Saint-Jean-d'Angély, à 20 km à l'ouest d'Aulnay-de-Saintonge et à 6 km à l'ouest de Loulay qui est le plus petit chef-lieu de canton de la Charente-Maritime.

Confinée dans les marges septentrionales de la Saintonge, Migré est très proche de l'Aunis où l'influence de Surgères s'y fait nettement ressentir, cette ville n'étant distante que de 16 km à l'ouest.

L'évolution du paysage agricole

La rivière Trézence, principal affluent de la Boutonne, arrose la commune de Migré.

Le finage communal de Migré, d'une superficie relativement moyenne de 14,3 km2, est composé de trois paysages naturels différents.

  • Au nord, des collines boisées portent les plus hautes altitudes de la commune avec une colline qui domine la commune du haut de ses 88 mètres. Cette zone de collines comporte en particulier le bois des Chaumes, relique de l'antique Forêt d'Argenson qui, de la Forêt de Benon à la Forêt d'Aulnay et bien au-delà, séparait les anciennes provinces de la Saintonge et du Poitou.
  • Au centre de la commune s'écoule la vallée agreste de la Trézence qui est un affluent de rive droite de la Boutonne et en même temps son plus long émissaire. A ses abords, l'habitat rural y a été fixé dont le village de Migré et de petits hameaux et écarts comme ceux de Thouars, La Dorlière, La Planche et La Flamancherie. En aval du hameau de La Flamancherie, la Trézence s'enfonce dans une pittoresque vallée encaissée en limite de la commune voisine de Bernay-Saint-Martin.
  • Enfin, au sud et sud-est, s'étend une plaine calcaire et fertile fermée dans sa bordure méridionale par une chaine de petites collines portant à l'état résiduel des bois de la Forêt d'Essouvert dont une grande partie a été essartée lors de l'essor fulgurant de la vigne au XIXe siècle.

Les activités agricoles ont longtemps été dominées par la viticulture pour la production des eaux de vie de cognac où elles y ont atteint leur paroxysme en 1875, année où le phylloxéra a ruiné l'économie locale.

A partir du début du XXe siècle, les vignes ayant été arrachées, les agriculteurs se sont ensuite tournés vers la polyculture avec l'élevage laitier prédominant dont le cheptel alimentait la laiterie coopérative. Cette dernière a fonctionné jusqu'à la fin des années 1960.

A partir des années 1980, la céréaliculture intensive a gagné l'ensemble de la commune avec la mise en culture du blé, du maïs, du tournesol et du colza. Il ne reste plus qu'un seul producteur laitier dans la commune, toutes les autres exploitations agricoles étant tournées essentiellement vers les céréales dont les surfaces se sont considérablement agrandies, plus d'une centaine d'hectares en moyenne.

D'un paysage semi-bocager d'avant-guerre, hérité de l'installation des colons vendéens qui y ont introduit l'élevage laitier, jusqu'aux années de remembrement intensif entamées dès 1970, la campagne de cette commune doucement vallonnée a aujourd'hui des allures de Beauce, avec ses grands champs ouverts que seuls ponctuent à l'horizon les résidus de forêts et les collines.

Liste des hameaux et écarts

La place de l'église à Migré

Autour du village de Migré, arrosé par la Trézence et par un petit ruisseau affluent de rive droite de la rivière, portant le nom de ruisseau de la Pierre, des hameaux et des écarts - ou fermes isolées - se sont successivement créés depuis la période médiévale, époque à partir de laquelle l'antique Forêt d'Argenson a commencé à être défrichée. Aujourd'hui, près d'une dizaine d'entre eux est éparpillé dans le finage communal de Migré.

Le village de Migré demeure le centre villageois le plus important de la commune et regroupe toutes les activités administratives de la municipalité avec sa mairie, La Poste et, encore jusqu'en 2009, l'école publique en structure de RPI avec la commune voisine de Saint-Félix.

Au nord de la commune, la route départementale qui relie Surgères à Aulnay-de-Saintonge a permis de fixer des hameaux qui sont d'est en ouest les suivants :

  • La Cavaterie
  • Les Petites Tannières
  • Les Grandes Tannières

Au sud-ouest de la commune, c'est la petite rivière de la Trézence qui a servi à fixer l'habitat :

  • La Planche
  • La Flamancherie

De même, à l'est et au centre de la commune les petits écarts sont nés au bord ou à proximité de la rivière :

  • Thouars
  • La Dorlière

Au sud-est de la commune, les terrains difficiles à travailler ont donné à un écart un toponyme très révélateur :

  • La Pouillère

Enfin, un seul hameau doit son origine à une clairière aménagée dans la forêt tout au nord du village et en limite de la commune voisine de Dœuil-sur-le-Mignon :

  • Les Chaumes

Communes limitrophes

Climat

Article connexe : Climat de la Charente-Maritime.

Le climat est de type océanique aquitain : la pluviométrie est relativement élevée en automne et en hiver et les hivers sont doux. L'été reste tempéré grâce à la brise marine. Deux vents venant de l'océan, le noroît et le suroît , soufflent sur les côtes du département. L'ensoleillement de la côte charentaise est très important : avec 2 250 heures par an, il est comparable à celui que connaît une partie de la côte méditerranéenne[1].

Les relevés de la station météorologique de La Rochelle entre 1946 et 2000 permettent de déterminer quelques dates majeures au point de vue climatique en Charente-Maritime : ainsi, au cours de cette période, la température la plus froide est relevée le 15 février 1956 : -13,6° C.
Un pic de température (dépassé seulement au cours de la canicule de 2003) est atteint le 8 juillet 1982 avec près de 39° C à l'ombre.
Si 1953 est considérée comme l'année la plus sèche, 2000 est au contraire la plus pluvieuse[2].

La Charente-Maritime est le département français qui a été le plus durement touché par la tempête Martin du 27 décembre 1999. Les records nationaux de vents enregistrés ont été atteints avec 198 km/h sur l'île d'Oléron et 194 km/h à Royan.

Données générales

Ville Ensoleillement
(h/an)
Pluie
(mm/an)
Neige
(j/an)
Orage
(j/an)
Brouillard
(j/an)
Moyenne nationale 1 973 770 14 22 40
Migré 2250 755 1 13 26
Paris 1 630 642 15 19 13
Nice 2 668 767 1 31 1
Strasbourg 1 633 610 30 29 65
Brest 1 492 1 109 9 11 74
Données climatiques à La Rochelle
mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 3,4 2,8 5,4 7,4 10,7 13,7 15,8 15,7 13,7 10,5 6,3 3,9 9,2
Température moyenne (°C) 5,9 6,9 8,7 11,1 14,3 17,5 19,8 19,6 17,8 14,2 9,4 6,6 12,7
Température maximale moyenne (°C) 8,5 9,9 12,1 14,7 17,9 21,3 23,8 23,5 21,8 18,0 12,6 9,2 16,1
Ensoleillement (h) 84 111,0 174,0 212,0 239,0 272,0 305,0 277,0 218,0 167,0 107,0 85,0 2 250,0
Précipitations (mm) 82,5 66,1 57,0 52,7 61,1 42,9 35,1 46,4 56,5 81,6 91,8 81,8 755,3
Source : Climatologie mensuelle à la station départementale de La Rochelle de 1961 à 1990[3].


Toponymie

Le nom du village de Migré demeure obscur et deux interprétations sont émises.

Certains étymologistes y voient simplement une origine liée à l'implantation d'un grand domaine agricole qui aurait appartenu à un riche propriétaire gallo-romain du nom de Macrius[4]. Cependant, cette dernière interprétation ne semble toujours pas satisfaisante et laisse place à l'incertitude[5].

Selon d'autres historiens, ce nom proviendrait de Migy, dont la signification serait territoire de Mercure suite à l'implantation des Romains dans ces lieux mais il n'en demeure pas moins énigmatique. Peut-être est-il à lier à la présence d'un temple gallo-romain rural aujourd'hui totalement disparu? Ou bien plus probablement s'agissait-il d'un poste-relais des Romains sur l'antique voie romaine qui reliait Aunedonnacum, l'ancien camp militaire, à la côte Atlantique. Le mystère reste entier.

Histoire

La porte d'entrée Louis XIII de l'ancien château de Migré

Le village est incontestablement d'origine gallo-romaine et des vestiges de cette époque qui y ont été retrouvés sont maintenant exposés au Musée archéologique de Saintes.

Les Romains donnèrent le nom au village actuel situé sur les rives de plusieurs ruisseaux dont les vallées étaient beaucoup plus profondes et plus larges qu'aujourd'hui. Des vestiges de leur implantation ont pu être découverts comme celles de la piscine romaine, ainsi que des pièces romaines près de cette construction antique, au lieu dit la Grand-Leigne. Ce dernier site, aujourd'hui disparu, atteste que la forêt était profonde en ce temps-là et que le territoire de Migré était en effet situé aux abords immédiats de l'immense Forêt d'Argenson[6] qui séparait les antiques provinces des Pictons, au nord, des Santons, au sud et qui s'étendait de la Forêt de Benon à celle d'Aulnay. La présence de cette piscine romaine prouve l'implantation d'une villa gallo-romaine au sein d'une clairière culturale défrichée sur la forêt. Des briques et des fragments de mosaïque ont aussi été découverts au Moulin de la Tanière, au nord-ouest de l'actuel bourg, attestant le fait que les premiers habitants ont occupé un site de collines, peut-être comme lieu d'observation ou mieux encore de poste-relais d'un détachement de garnison romaine, Migré étant situé sur l'antique via romaine qui reliait la garnison romaine d'Aunedonnacum aux rivages de l'Atlantique.

Après l'effondrement de l'Empire romain et l'éclipse barbare aux siècles suivants, le village renaît au milieu de l'époque médiévale et se dote, comme la plupart des villages de cette époque, d'une église au XIIe siècle. Celle-ci fut dédiée à Saint-Benoît et fut remaniée au début du XIVe siècle. Mais l'absence de toute référence au style roman prouve qu'elle dut subir une destruction totale. Sa reconstruction dans le style gothique a donc du avoir lieu vers la seconde moitié du XVe siècle, c'est-à-dire après la guerre de Cent Ans.

Plus tard, au début du XVIIe siècle, le village fut doté d'un château qui fut entouré de profondes douves. En 1792, il a été incendié suite aux évènements de la Révolution française, seule a subsisté une porte d'entrée de l'époque Louis XIII.

Le clocher néo-gothique de l'église de Migré est une reconstruction de la fin du XIXe siècle.

En 1862, le 23 septembre, la foudre détruisit le clocher de l'église et entraîna la destruction d'une grande partie du bâtiment. Il fut reconstruit selon le type néo-gothique de l'époque[7].

A partir de 1875, le phylloxéra a exercé son effet dévastateur sur le vignoble de la commune, alors principale source de richesse du village où fonctionnaient pendant la période glorieuse du Second Empire 22 distilleries d'eaux de vie de cognac. C'est à partir des années 1880 que la commune a commencé à perdre considérablement de la population, les vignes ayant été en très grande partie abandonnées et remplacées par les prairies artificielles pour l'élevage laitier introduits par des fermiers vendéens vers la fin du XIXe siècle.

La première laiterie coopérative est implantée en 1892[8] mais les bâtiments de l'usine pour la production laitière et la fabrication du fromage sont édifiés en 1908 et une trentaine d'ouvriers y sont employés[9].

Dans le courant du XXe siècle, grâce à l'essor fulgurant de l'élevage laitier, la laiterie coopérative accroit ses activités en y produisant de la caséine. Elle fermera définitivement ses portes en 1966 et n'employait plus que 6 personnes[10].

Administration

La mairie de Migré

Municipalité

Liste des maires successifs[11]
Période Identité Étiquette Qualité
depuis 2001 mandat en cours Jean-Yves Grolleau[12]    
1995 2001 Jacques Maroteix    
(Tableau version 11/11/2006)

Canton

La commune de Migré est l'une des 15 communes qui forment le canton de Loulay qui est l'un des moins peuplés de la Charente-Maritime.

Intercommunalité

La commune adhère à la Communauté de communes du Canton de Loulay dont le siège administratif est situé à Loulay.

Démographie

Évolution de la population

Années 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
Population 562 529 533 605 674 727 795 781 774
Années 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
Population 746 772 789 767 783 721 658 585 619
Années 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
Population 606 630 613 566 571 562 555 633 504
Années 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 -
Population 479 480 406 338 329 320 335 335 -
Notes, sources, ...
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes - Sources : Cassini[13]et Insee 01.01.2007[14]

Histogramme
(élaboration graphique par Wikipédia)

La situation contemporaine de l'évolution démographique de la commune de Migré

La rue principale du village de Migré

Comme bien des communes rurales de l'arrondissement de Saint-Jean-d'Angély, la commune de Migré a été très fortement affectée par l'exode rural, qui a surtout touché les jeunes générations dans les années d'après-guerre (période 1946-1962), puis dans les années de déprise agricole (des années 1970 aux années 1990).

La période 1962-1968 qui montre une courte période de stabilité démographique de la commune est due à la fois à un solde naturel fortement positif (années du babyboum) et à la présence de la laiterie coopérative qui assurait des revenus pour les agriculteurs autant qu'une source d'emplois.

Ce n'est que depuis le dernier recensement de population (1999-2007) que la commune de Migré a vu croître légèrement sa population après de longues décennies d'exode rural. Cette petite croissance démographique trouve son explication dans la villégiature d'une population retraitée de plus en plus importante et, dans une moindre proportion, dans la résidence de personnes travaillant à Surgères. Elle est le fait d'un solde migratoire positif mais qui n'empêche pas le vieillissement accéléré de la population communale où plus de 40 % des habitants ont plus de 65 ans, à l'instar de ce qui est observé partout ailleurs dans le canton de Loulay.

Ce solde migratoire positif est également du à l'installation récente de plusieurs familles d'origine britannique, résultant d'un vaste mouvement d'immigration en terres charentaises. La Charente et la Charente-Maritime sont en effet devenus parmi les tout premiers départements d'accueil des Britanniques en France.

Pyramide des âges

Pyramide des âges à Migré en 2006[15] en pourcentage.
Hommes Classe d'âge Femmes
0,6 
Avant 1916
2,3 
13,8 
1917-1931
14,1 
18,8 
1932–1946
22,6 
23,1 
1947-1961
21,5 
17,5 
1962-1976
12,4 
8,8 
1977-1991
10,2 
17,5 
1992-2006
16,9 
Pyramide des âges de la Charente-Maritime en 2006[16] en pourcentage.
Hommes Classe d'âge Femmes
0,6 
Avant 1916
1,5 
8,4 
1917-1931
11,7 
16,1 
1932–1946
16,9 
21,3 
1947-1961
21,1 
19,5 
1962-1976
18,8 
16,8 
1977-1991
14,9 
17,3 
1992-2006
15,2 

Économie

La commune abrite une population nettement moins active que la moyenne nationale (34,1 % contre 45,2 %), avec un taux d'activité des 25-59 ans également un peu en deçà des chiffres nationaux (78 % contre 82,2 %). Les catégories socio-professionnelles les mieux représentées sont les ouvriers (28 %), immédiatement suivis — à parts égales — des employés et des agriculteurs (20 %), des artisans et des cadres (12 % pour chaque catégorie) et des professions intermédiaires (8 %)[17].

Le taux de chômage était supérieur à la moyenne nationale en 1999, touchant 13,8 % de la population active (soit 15 personnes)[17].

Les retraités forment une importante composante de la population (32,5 %), suivant de peu les actifs (34,1 %) et largement devant les jeunes scolarisés (17,5 %)[17].

Lieux et monuments

Allée de l'église de Migré
  • L'église Saint-Benoît est située face à une jolie place plantée de tilleuls sur les hauteurs d'une petite éminence du village. Mêlant éléments romans, gothiques et modernes, elle est dominée par un clocher entièrement reconstruit en 1862. La nef est couverte d'une voûte en berceau brisé portant la date de 1892[18].
  • Le lavoir, modeste construction édifiée en 1892, fait partie du petit patrimoine rural heureusement préservé.
  • La mairie est représentée par un grand bâtiment en pierre de taille, typiquement saintongeais, et datant de la période de la Troisième République dans le dernier tiers du XIXe siècle. C'est le plus vaste bâtiment de la commune donnant également sur une place arborée.
  • La porte Louis XIII de l'ancien château est l'unique témoignage d'une ancienne propriété nobiliaire dans le village.
  • Le Moulin de Migré est situé au sud du village éponyme et est arrosé par la Trézence. Cette rivière avait alimenté un temps un moulin à eau à l'époque où les céréales étaient transformées sur place en farine. Suite à un violent orage, il fut détruit et laissé pendant de longues décennies à l'abandon. Il est aujourd'hui le siège d'un bar-restaurant auprès duquel une aire de pêche particulièrement fréquentée apporte une animation bienvenue dans la commune.
  • La Trézence qui arrose la commune d'est au sud-ouest est une rivière qui paresse dans une vallée tranquille et qui dessine de longs méandres dans la campagne saintongeaise.


Le patrimoine rural de Migré en images

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Personnalité liée à la commune

  • Auguste Baril (1830-1914)[19], instituteur dans le village de Migré, a établi une monographie sur la commune de Migré qui a paru en 1867 dans le bulletin de la Société historique et scientifique de Saint-Jean-d'Angély[20].

Notes et références

  1. Données Météo France.
  2. Relevés Météo-France de 1946 à 2000, sur le site Bernezac.com
  3. (fr) Climatologie mensuelle à La Rochelle sur infoclimat.fr. Consulté le 22 octobre 2009
  4. "Le village se serait donc développé à partir du domaine de Macrius, un riche propriétaire terrien de l'époque gallo-romaine" in Jean Marie CASSAGNE et Mariola KORSAK, Origine des noms de villes et villages de la Charente-Maritime, éditions Bordessoules, p.193
  5. « Sans qu'on en ait la certitude, on pense que Migré est l'héritière de l'ancienne Macriaccum » in Jean Marie CASSAGNE et Mariola KORSAK, Origine des noms de villes et villages de la Charente-Maritime, éditions Bordessoules, p.193
  6. L'antique sylve d'Argenson
  7. Voir ancienne image de l'église
  8. La laiterie coopérative de Migré dans les Annales de la Géographie, lire p.212 dans le format pdf
  9. La laiterie coopérative de Migré
  10. Laiterie et caséinerie de Migré dan l'inventaire industriel de Poitou-Charentes
  11. Les maires de Migré sur http://www.francegenweb.org/mairesgenweb. Consulté le 24 mai 2010
  12. Association des maires de la Charente-Maritime, « LISTE DES MAIRES DE LA CHARENTE-MARITIME » sur http://www.maires17.asso.fr, 2010. Consulté le 24 mai 2010Les nouveaux maires de Charente-Maritime en 2008
  13. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur site de l'École des hautes études en sciences sociales. Consulté le 20 mai 2010
  14. Recensement de la population au 1er janvier 2007 sur INSEE. Consulté le 20 mai 2010
  15. Pyramide des âges de Migré, Recensement 2006 sur le site de l'INSEE
  16. Pyramide des âges de la Charente-Maritime, Recensement 2006 sur le site de l'INSEE
  17. a, b et c Données économiques sur le site l'Internaute
  18. Le patrimoine des communes de la Charente-Maritime, éditions Flohic, p.349
  19. Son nom est mentionné dans un ouvrage de François Julien-Labruyère, L'alambic de Charentes, éditions Rupella, La Rochelle, 1989, p.298
  20. Monographie de la commune de Migré établie en 1867 par Auguste Baril

Voir aussi

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