- Marine française
-
Marine nationale (France)
Marine nationale
(chiffres 2005)Moyens 146 bâtiments pour un tonnage de 307 000 tonnes
162 aéronefsPersonnels 42 866 militaires et plus de 10 000 civils Budget 5,8 milliards € Forces FAN : 115 bâtiments - 12 000 personnes
FSM : 10 bâtiments - 3 300 personnes
AVIA : 147 aéronefs en ligne - 7 300 personnes
FORFUSCO : 16 formations - 2 000 personnesAutres composantes et services bataillon de marins-pompiers de Marseille : 2 350 personnes
gendarmerie maritime : 1 500 personnes
commissariat de la marine : 2 700 personnes
service de soutien de la flotte : 1 550 personnes
service hydrographique et océanographique de la marine (SHOM) : 500 personneschef d'état-major Amiral Pierre-François Forissier La Marine nationale est la marine militaire de la République française.
Elle est appelée familièrement « La Royale », peut-être parce qu'avant d'être nationale elle a été royale et qu'on lui prête un attachement nostalgique à la monarchie — plus probablement parce que l'état-major de la marine est installé au 2, rue Royale à Paris.
La devise de la Marine, inscrite sur tous ses bâtiments, est : Honneur et Patrie — Valeur et Discipline.
Histoire
La Marine nationale a succédé à la Révolution à la Marine royale, créée en 1624 par Richelieu.
Article détaillé : Histoire de la marine française.Missions
Dissuasion
L'objet de la dissuasion est :
- d'empêcher une remise en cause de la survie de la France par une puissance majeure hostile ;
- de faire face aux menaces que pourraient faire peser des puissances régionales dotées d'armes de destruction massive sur les intérêts vitaux de la France par la menace d'une frappe nucléaire de riposte.
La stratégie de dissuasion reste au cœur de la défense nationale. L'objectif de la doctrine nucléaire reste néanmoins celle du non-emploi. La capacité nucléaire française repose sur :
- les missiles balistiques qui équipent les SNLE ;
- les missiles aérodynamiques (ASMP) pour la composante aéroportée dont font partie les avions de l'armée de l'Air et de l'aviation navale.
Article détaillé : Force de dissuasion nucléaire française.Action
L'action opérationnelle rassemble les missions de prévention et de projection de puissance ou de forces.
Prévention
Le contrôle des espaces maritimes est fondé sur un prépositionnement et une présence adaptés en :
- Atlantique Nord
- Méditerranée
- Océan Indien
- DOM, COM et ZEE
La France a de nombreux intérêts à travers le Monde. Pour les défendre, des forces prépositionnées en permanence hors métropole composées de 25 navires (frégates de surveillance, de bâtiments de transport léger, de patrouilleurs), 12 avions et hélicoptères, des commandos sont déployés sur tous les océans. Ils assurent présence et vigilance auprès des foyers de tension (zones de crise) ou à titre permanent dans les territoires Outre-Mer.
Projection
Si les actions de préventions n'ont pu empêcher le déclenchement d'une crise, il peut être nécessaire d'intervenir — le plus souvent dans un cadre interarmées et international. L'engagement peut varier de la simple présence, à la démonstration de force avec des actions de rétorsions avec des armes modernes tirées à grande distance.
Les principaux acteurs de ces forces de projection sont articulés autour :
- du groupe aéronaval
- du groupe amphibie
- du groupe de chasse aux mines
- d'un groupe d'action maritime (une ou plusieurs frégates)
La projection peut être de deux types :
- projection de forces : action avec mise à terre de troupes
- projection de puissance : action sans mise à terre de troupes
Sauvegarde maritime
Il s'agit d'assurer la protection et la sécurité des approches maritimes du territoire national, maîtriser les risques liés à l’activité maritime (accidents de mer, pollution, surveillance des ZEE…) et lutter contre les activités illicites en mer (terrorisme, narcotrafic, piraterie, transports illicites de migrants…). La sauvegarde maritime constitue la contribution de la Marine nationale à l' action de l'État en mer ; on parle encore de missions de service public pour ces activités non spécifiquement militaires.
La sauvegarde maritime représente 25 % des activités de la Marine.
Organisation
Organisation générale
L'organisation générale de la Marine nationale est fixée par le chapitre 3 du titre II du livre II de la troisième partie du code de la défense, où est codifié le décret no 91-671 du 14 juillet 1991.
La Marine est constituée de formations réparties entre :
- l'état-major de la Marine ;
- les forces maritimes ;
- les commandements maritimes à compétence territoriale ;
- les services ;
- les organismes de formation du personnel[1].
Organisation du commandement
Commandement opérationnel
Pour les opérations relevant de l'action de l'État en mer, elles sont mises en œuvre par les préfets maritimes sous l'autorité du Premier ministre qui dispose du secrétariat général de la mer.
Pour les opérations militaires, les forces maritimes, comme l'ensemble des forces armées, sont sous le commandement opérationnel du chef d'état-major des armées (CEMA). Le chef d'état-major de la Marine (CEMM) est le conseiller du CEMA pour l'emploi des moyens navals et aéronavals.
Pour faciliter la conduite des opérations, le CEMA désigne généralement des contrôleurs opérationnels chargés de déployer les forces qui leur sont affectées et de leur donner des ordres nécessaires pour accomplir la mission fixée par le CEMA.
Les contrôleurs opérationnels sont :
- soit, un officier général désigné pour la circonstance pour une mission particulière (opérations lourdes en général) ;
- soit, de manière permanente, les commandants de zone maritime qui assurent le contrôle opérationnel des forces déployées dans leur zone de compétence :
- en métropole :
- le commandant de la zone maritime Atlantique (CECLANT), basé à Brest
- le commandant de la zone maritime Méditerranée (CECMED), basé à Toulon
- le commandant de la zone maritime Manche et Mer du Nord (COMAR MANCHE), basé à Cherbourg
- et outre-mer
- le commandant de la zone maritime océan Indien (ALINDIEN)
- le commandant de la zone maritime océan Pacifique (ALPACI)
- en métropole :
- soit, pour le déploiement des SNLE, le commandant de la Force océanique stratégique (ALFOST)
Commandement organique
Comme les autres chefs d'état-major d'armées, le chef d'état-major de la Marine (CEMM) est responsable devant le CEMA et le ministre de la défense de l'organisation, de la préparation, de l'emploi de ses forces ainsi que de leur programmation.
Ces forces sont divisées en quatre grandes composantes :
- la force d'action navale (FAN) ;
- les forces sous-marines (FSM) ;
- l'aviation navale (AVIA) ;
- la force maritime des fusiliers marins et commandos (FORFUSCO).
Les forces
Pour la liste des unités de la Marine actuellement en service, consulter :
Articles détaillés : Liste des navires de la marine nationale française et liste des unités de l'aéronautique navale.Article détaillé : Force d'action navale.La force d'action navale regroupe les forces de surface. Elle comprend 12 000 marins et une centaine de bâtiments. Elle fournit l'essentiel de la contribution de la Marine aux missions de prévention et de projection. Elle est placée sous le commandement d'un amiral (ALFAN).
Elle comprend sept grandes catégories de bâtiments de surface :
- le groupe aéronaval : le porte-avions Charles de Gaulle et ses bâtiments d'accompagnement ;
- le groupe amphibie : les bâtiments de débarquement ;
- des frégates : frégates antiaériennes, frégates de lutte anti-sous-marine, frégates légères furtives et avisos;
- la force de guerre des mines : chasseurs de mines
- des bâtiments de service public (ou de souveraineté) : frégates de surveillance et patrouilleurs ;
- des bâtiments de soutien ;
- des bâtiments hydrographiques et océanographiques.
Les forces sous-marines (FSM)
Article détaillé : Force océanique stratégique.- la force océanique stratégique (FOST) :
La FOST est la composante principale de la force de dissuasion nucléaire française ; elle garantit l'assurance d'une frappe en second (frappe de riposte) avec une permanence d'un à deux sous-marins en patrouille à la mer. Elle est constituée de quatre sous-marins à propulsion nucléaire lanceurs d'engins balistiques (SNLE), basés à l'Île Longue.
Les 6 sous-marins d'attaque à propulsion nucléaire de classe Rubis, basés à Toulon, participent aux missions de prévention, de projection et de protection.
L'ensemble des forces sous-marines est placé sous le commandement de l'amiral commandant la FOST (ALFOST).
Tous les sous-marins sont dotés de deux équipages pour permettre leur déploiement à la mer plus de 200 jours par an (appelés "Bleu" et "Rouge").
Article détaillé : Aviation navale.L'aviation navale (anciennement aéronautique navale) compte 162 aéronefs et 6 800 personnes, ainsi que six bases d'aviation navale (BAN): Landivisiau, Lann-Bihoué, Hyères, Nîmes-Garons, Lanvéoc-Poulmic et Tontouta (Nouvelle-Calédonie).
- le groupe aérien embarqué, destiné à armer le porte-avions est composé de quatre flottilles de Rafale, de Super-Étendard et de E-2C Hawkeye;
- des hélicoptères embarqués sur les frégates, principalement des Panther et Lynx ;
- des hélicoptères de service public et de sauvetage en mer, basés à terre, des Super-Frelon et Dauphin;
- des avions de patrouille maritime (deux flottilles d'Atlantique II) et de surveillance maritime (trois flottilles de Gardian, et Falcon 50) ;
- une aviation de soutien qui assure des missions de transport et d'entraînement et de formation.
Les fusiliers marins et commandos (FORFUSCO)
Article détaillé : Force maritime des fusiliers marins et commandos.Ils sont regroupés au sein d'une force basée à Lorient et comptent 1 700 personnes. Cette force participe à des opérations terrestres à partir de la mer, d'intervention en mer dans le cadre des missions de sauvegarde, des opérations de forces spéciales, la protection des sites sensibles. Elle comprend deux composantes :
- Les commandos marine qui comprennent six commandos spécialisés : Jaubert (assaut), Trepel (assaut), de Penfentenyo (reconnaissance), de Montfort (appui et destruction à distance), Hubert (nageurs de combat) et Kieffer (technologies de pointe). Ils sont souvent déployés sous l'autorité du Commandement des opérations spéciales (COS).
- les formations en charge de la protection-défense : deux groupements (Brest et Toulon) et sept compagnies.
Autres composantes
Le bataillon de marins-pompiers de Marseille (BMPM)
Article détaillé : Bataillon de marins-pompiers de Marseille.Commandé par un contre amiral, le bataillon de marins-pompiers de Marseille (BMPM) est une unité atypique de la Marine nationale. Hors budget, car financée par la municipalité de Marseille, c'est la seule unité militaire placée sous l'autorité d'un maire. Le BMPM est chargé sous la direction et les ordres du maire de Marseille des secours tant contre l'incendie que les périls de toutes natures menaçant la sécurité publique sur le territoire de la commune, dans les ports de Marseille, ainsi que sur l'aéroport international Marseille-Provence. Avec un effectif de 2 500 personnel (dont 4% de femmes), le BMPM est numériquement l'unité opérationnelle la plus importante de la Marine nationale.
La gendarmerie maritime
Article détaillé : Gendarmerie maritime.Composante de la gendarmerie nationale, la gendarmerie maritime est mise pour emploi auprès du chef d'état-major de la Marine. Elle assure :
- des missions de sauvegarde maritime et de police générale dans les eaux territoriales et la ZEE, sous l'autorité du préfet maritime ;
- des missions de police judiciaire sous l'autorité du procureur de la République ;
- des missions de protection des établissements de la Marine à terre.
Son effectif compte 1 500 personnes et elle dispose d'une trentaine de patrouilleurs et vedettes répartis sur tout le littoral.
Le service hydrographique et océanographique de la Marine (SHOM)
Article détaillé : Service hydrographique et océanographique de la Marine.le Service hydrographique et océanographique de la Marine (SHOM), établissement public, a une mission de service public d'hydrographie et de cartographie marine et une mission de soutien aux forces navales d'océanographie et de météorologie militaire.
Les services
Le service du commissariat de la Marine (SCM)
Le service du commissariat de la Marine :
- organise le soutien logistique des forces :
- rechanges ;
- matériels techniques ou d'emploi commun ;
- combustibles ;
- habillement ;
- vivres et restauration ;
- assure l'administration financière ;
- exerce les fonctions de conseil juridique ;
- règlements des contentieux administratifs ;
- participation à l'élaboration des textes relatifs au droit de la mer et à l'action de l'État en mer.
Le service de soutien de la flotte (SSF)
Le service de soutien de la flotte est chargé du soutien technique des bâtiments de surface et des sous-marins. Ce service, composé de personnel de la Marine et de la DGA :
- pilote toute la maintenance programmée et les réparations effectuées par :
- les équipages
- les ateliers militaires de la flotte
- l'industrie, dont particulièrement DCNS
- assure le soutien logistique des munitions
- assure la gestion de la configuration des bâtiments et des matériels associés
- approvisionne les stocks de rechanges navals.
Le service des systèmes d'information de la Marine (SERSIM)
Le SERSIM met en œuvre les systèmes de télécommunication et de traitement de l'information de la Marine.
Article détaillé : Service des systèmes d'information de la Marine.Organismes de formation
La Marine comprend également des organismes de formation qui sont :
- l'École navale pour la formation des officiers ;
- l'École des officiers du commissariat de la marine ;
- le Centre d'instruction navale de Brest qui regroupe lui-même le Lycée naval, l'École de maistrance (formation des officiers mariniers) et un cours d'instruction des matelots.
- le Centre d'instruction navale de Saint-Mandrier, qui assure la formation de diverses spécialités de la Marine.
La préparation de l'avenir
Un format avait été défini, le modèle 2015, qui devait permettre à la Marine de mettre en œuvre 80 bâtiments de combat, 130 aéronefs de combat et 5 commandos. En 2008, il est abandonné pour raisons budgétaires.
Il prévoyait principalement :
- un deuxième porte-avions dit PA 2 ; à propulsion classique, construit en coopération avec les Britanniques. Le 17 juin, Nicolas Sarkozy a annoncé le report à 2011 ou 2012 de la décision de le construire, ou non. Cela amènerait la mise en service du PA2 aux alentours de 2023, soit environ 25 ans après la première sortie en mer du Charles de Gaulle.
- le renouvellement des sous-marins nucléaires d'attaque (SNA) : il s'agit du programme Barracuda (6 unités dotés de torpilles et de missiles de croisière).
- 2 frégates antiaériennes de type Horizon construites en coopération avec l'Italie ; dotées du missile ASTER. Elles doivent être achevées en 2007 et 2008
- le renouvellement des frégates avec le programme FREMM (frégate européenne multi-missions) en coopération avec l'Italie. Il prévoit la réalisation de 17 bâtiments, de deux types : action sous-marine et action vers la terre (missile de croisière).[2]
- le quatrième SNLE/NG et l'admission au service du missile M-51.
Marine nationale et environnement
La marine contribue aux plans Polmar et à la surveillance de l'environnement marin (pollutions par les hydrocarbures en particulier) et au contrôle de la surpêche. Des conventions lient le ministère de la défense et celui de l'environnement ; Une instruction du 19 septembre 2008, du Bureau de maîtrise des risques de l’état-major de la Marine nationale, précise les modalités de l’application de la réglementation environnementale et l’organisation en la matière de la Marine nationale[3]. Ce document promeut aussi un état d’esprit de prévention pour la protection de l'environnement.
Le personnel
Pour les grades et appellations dans la Marine, consultez : Grades de l'armée française
Du fait de la professionnalisation, les effectifs de la Marine sont passés entre 1996 et 2002, de 70 000 à 55 000 militaires et civils.
Ce personnel est réparti en 5 150 officiers 29 000 officiers mariniers, 8 400 quartier-maîtres et matelots et 10 000 civils. 5 000 femmes[4] servent aujourd’hui dans la Marine, soit 11,3 % de l’effectif militaire.
Chaque année, pour maintenir une moyenne d'âge jeune (31 ans), garantie de sa capacité opérationnelle, la Marine recrute environ 3 600 jeunes gens.
Les bases et l'infrastructure
Les bases navales sont au nombre de :
- 3 en métropole : Brest, Cherbourg et Toulon
- 5 outre-mer : Dégrad-Des-Cannes (Guyane), Fort-de-France (Martinique), Nouméa (Nouvelle-Calédonie), Papeete (Polynésie française) et Port-des-Galets (La Réunion).
- 1 à l'étranger : Implantation militaire française aux Émirats arabes unis
Ces bases ont pour mission d'accueillir les bâtiments stationnés et de passage et de leur fournir un soutien (protection, sécurité, administration, restauration et hôtellerie, soutien technique…). Elles disposent d'ateliers de réparation, de compagnies de marins-pompiers et de détachements de fusiliers marins.
À ces bases navales, il convient d'ajouter la base sous-marine de l'Île Longue et les BAN, déjà citées.
La Marine dispose également d'installations louées aux gouvernements locaux à Dakar et Djibouti.
À ces bases, s'ajoutent des installations diverses réparties sur tout le territoire dont notamment :
- des centres de télécommunications ;
- un réseau de sémaphores sur le littoral qui contribue à la mission de sauvegarde maritime et à la surveillance des eaux côtières.
Traditions
Pavillons, marques et flammes
Article détaillé : Pavillons et marques de la marine nationale.Voir aussi
Liens internes
- Navire de guerre
- Officier de marine
- Officier marinier
- Musée national de la Marine
- Salon de la Marine
- Histoire de la marine française
- Argot de la Marine
- Liste des bases de la Marine nationale
- Spécialités de la Marine nationale française
Liens externes
Sites officiels
- Le site officiel de la Marine nationale
- Le site de recrutement de la Marine nationale
- La plate-forme de jeux interactifs de la Marine nationale
- Les journaux de bord des bâtiments de la Marine nationale
- L'Ecole Navale L'école des officiers de la Marine nationale
- Le SHOM Service Hydrographique et Océanographique de la Marine
- Les clubs nautiques de la marine
Sites non officiels
- Association Net-Marine Site particulièrement complet sur la Marine nationale (10 000 pages)
- (fr) ALAMER Association pour LA Mémoire des Equipages de la Royale de 1939 à 1945
- Portail des amphibiens
- Magazine Le Lien - Fusiliers marins et commandos
Histoire - Stratégie
- La marine française, 1965-2015 par Jean Bétermier. Institut de Stratégie Comparée, Commission Française d'Histoire Militaire, Institut d'Histoire des Conflits Contemporains.
Bibliographie
- Pont libre, Georges Croulebois, Éditions des 7 vents, 1993, (ISBN 2877160521)
- Les navires français en images (1939-1945), Jean Moulin, Marines Éditions, 2005, (ISBN 2915379238)
- De la mer à la terre : Les enjeux de la marine française au XXIe siècle, Jean Moulin, Jacques Isnard, Librairie Académique Perrin, 2006, (ISBN 2262022623)
- Les gars de la marine. Ethnographie d'un navire de guerre, Serge Dufoulon, Éditions AM Métailié, 1998, (ISBN 2-86424-282-6)
Notes et références
- ↑ Code de la défense, art. R.3223-3.
- ↑ Selon des sources concordantes telles le blog de Libération [lire en ligne] et le blog de Joseph Henrotin [lire en ligne], la Marine nationale se contenterait des 8 frégates déjà budgétées, puis éventuellement de 3 de plus
- ↑ Bulletin officiel des armées du 23 janvier 2009.
- ↑ Marine Baron (2009). "Lieutenante. Etre femme dans l'armée française." Denoël.
Armée de terre Marine nationale Armée de l’air - Portail de l’histoire militaire
- Portail du monde maritime
Catégorie : Marine nationale
Wikimedia Foundation. 2010.