Georges Paul Leroux

Georges Paul Leroux
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Georges Paul Leroux

Naissance 3 août 1877
Paris
Décès 16 février 1957 (à 79 ans)
Meudon
Nationalité Français Drapeau de la France
Activité(s) artiste-peintre
Formation École nationale supérieure des arts décoratifs
École nationale supérieure des beaux-arts
Maître Léon Bonnat (1833-1922)
Œuvres réputées Retour de vendange en Toscane, l' Enfer, Dans la grande Galerie du Louvre
Récompenses Chevalier de la Légion d'honneur
Croix de guerre 1914-1918
Membre de l’Institut de France Académie des beaux-arts (Institut de France)

Georges Paul Leroux3 août 1877 - † 16 février 1957) est un peintre français.

Son frère aîné Jules Marie Auguste Leroux (° 1871 - † 1954), est également resté célèbre pour ses peintures et ses illustrations.

Signature de Georges Leroux

Sommaire

Biographie

Georges Paul Leroux est né à Paris le 3 août 1877. Son père, Gustave Leroux, normand de souche, éditeur d’estampes, s’était établi à Paris, rue Saint-André-des-Arts. La famille trouve ses racines dans les environs de Coutances (Manche), plus précisément dans le petit village de Trelly.

Attachés à leurs racines normandes, Georges et son frère Auguste viendront chaque année à Trelly et dans ses environs peindre et dessiner (Verger normand ; la vallée de la Bonde)[1], (l'église de Trelly); (Les laveuses - Gavray - 1903), portraits de famille , etc.

Après la Grande Guerre, Georges Leroux réalise une importante huile pour la mairie de Trelly, en hommage aux Trelliais morts au combat.

En 1898, il effectue son service militaire à Chartres au 130e régiment d'infanterie. Durant ses permissions, il visite la ville et dessine fréquemment la cathédrale. Là, un jour, sur le parvis, il rencontre un autre dessinateur. Il s'agit de Paul Jouve (1878 † 1973). Ce fut le début d'une très longue et fidèle amitié. 48 ans plus tard, en 1946, Georges Leroux fera de son ami, un remarquable portrait qui est aujourd'hui dans les collections de l'Institut de France.

De retour à Paris, il s'inscrit à l’École nationale supérieure des arts décoratifs, puis admis à l’École nationale supérieure des beaux-arts, rue Bonaparte, il entre dans l'atelier de Léon Bonnat (1833 † 1922) et étudie la peinture et le dessin[2].

Ses œuvres de jeunesse évoquent la vie parisienne : Le concert rouge (1901), À la Gaîté Montparnasse (1905), Le chansonnier Legay au cabaret - Les Noctambules (1906), Le Moulin de la Galette (1905), Le Cirque Zanfrettaetc.). En 1900, pour l’exposition universelle, il reçoit commande d’une affiche pour le Palais de l’Optique : La Grande Lunette de 1900.

Après de nombreux succès à l’École, il remporte le Second Grand Prix de Rome en 1904, puis le Grand Prix de Rome en 1906 avec La Famille dans l’Antiquité[3] - (conservé à l’École nationale supérieure des beaux-arts). C'est probablement à cette époque qu'il fait la connaissance d' Émile Aubry (1880 † 1964), qui devient par la suite son compagnon de guerre au 302ème régiment d' infanterie.

Il part pour Rome où il est pensionnaire à la Villa Médicis de janvier 1907 à décembre 1909. Il conservera de son séjour à la Villa Médicis un profond attachement pour l'Italie. Il y retournera pratiquement chaque année pour y peindre la campagne romaine, la Toscane, l'Ombrie, Florence.... Ses voyages le pousseront jusqu'en Sicile.

En 1924, il devient membre du jury de la Société des artistes français. Il est promu chevalier de la Légion d'honneur en 1926.

Il est élu membre de l’Institut de France le 26 novembre 1932 (fauteuil IV)[4],[5]. Il remplace Jean-Pierre Laurens (1875-1932).

En 1934, il est chargé de représenter l’Académie des beaux-arts au Canada pour le quatrième centenaire de la découverte du Canada par Jacques Cartier. Avant de regagner la France, il fait un cout séjour à New York.

En janvier 1935, il est nommé professeur de dessin d’imitation à l’École polytechnique. La même année, en décembre 1935, Georges Leroux est chargé de représenter l’Académie des beaux-arts aux Antilles, à la suite du président Albert Sarraut pour le troisième centenaire de la prise de possession des îles par Pierre Belain d'Esnambuc.

En 1937, il participe à L'Exposition internationale « Arts et techniques dans la vie moderne », qui se tient à Paris du 25 mai au 25 novembre (Exposition spécialisée de 1937). Il réalise des peintures pour le Pavillon du Bois ainsi que celui de l'Art français.

En 1940, l’École polytechnique s’étant repliée sur Lyon, il s’installe dans la banlieue lyonnaise. Il revient à Paris en 1943.

En 1945, Georges Leroux devient président de l’Institut[6]. (Emmanuel Pontremoli souvent absent, est remplacé dans la pratique par Georges Leroux).

En 1951, il retourne une dernière fois en Italie. Comme le note Nicolas Untersteller dans l'oraison funèbre du peintre : « en 1951, la nostalgie de l'Italie l'emporte et il repart encore pour Rome ; le fruit de son travail décore le salon de l'ambassade d'Italie à Paris[7] ».

Son frère, Auguste, décède le 26 mars 1954. Georges collabore à la rétrospective Auguste Leroux organisée au Grand Palais du 21 mai au 12 juin 1955[8].

Il meurt à Meudon le 16 février 1957. Ses funérailles ont lieu en l'église Saint-Germain-des-Prés à Paris et son oraison funèbre est prononcée par Nicolas Untersteller, président de l'Institut. Il repose dans la partie haute du cimetière de Jouy-en-Josas[9]. (Bas-relief circulaire en bronze, tête de profil par Louis Prost, sculpteur)[10].

M. Georges Cheyssial succède à Georges Leroux à l’Institut de France et prononce lors de son discours d’investiture, un hommage à l’artiste disparu[11].

Œuvres

Peintures

1907 - Il part pour la Villa Médicis pour 3 années d'études.

  • 1909 - Salon des artistes français. Envoi de Rome : Les Baigneurs du Tibre - conservé au Musée Départemental de Beauvais[13] ;
  • 1910 - Salon des artistes français. Envoi de Rome : La Villa Borghése à Rome - triptyque [14] (acquis par Mr Lazare Weiller - Sénateur)
  • 1911 - Salon des artistes français. Dernier envoi de Rome : La promenade du Pincio à Rome [15] - triptyque - Seconde Médaille H.C ;

Il revient à Paris.

  • 1912 - Diner dans une villa romaine[16] ; - Villa Médicis - Tableau acquis par un américain (Los-Angeles) [17]
  • 1913 - Salon des artistes français - Tivoli[18] ; - Le Bois sacré, campagne romaine[19] ; - sont acquis par l'État. "Prix Meurand" de l'Institut.
  • 1914 - Salon des artistes français. Le grand bassin au jardin du Luxembourg [20] ; - triptyque, (4 m × 1,3 m) acquis par l’État. Actuellement exposé au palais du Luxembourg (sénat), dans la salle de réunion de la Commission des Affaires Culturelles ;

Il est mobilisé au 302e d’infanterie.

  • 1916 - passé à la section de camouflage.
  • 1918? - Le général Dubail décore de la croix de guerre le drapeau du 42e d’infanterie le 20 mars 1916 - 1,47 m × 0,99 m - actuellement au Musée de la Légion d'honneur. (Hist: Coll. Georges Wildenstein, don au musée en 1926).
  • 1919 - Salon des artistes français. Les Vainqueurs[21] - Acquis par les Etablissements Gaumont, puis placé au musée du Luxembourg[22] ;
  • 1920 - Vue de Fiesole (1,02 x 0,76 m) - Collection du Musée national d'art moderne - Centre Georges Pompidou; Achat de l'Etat en 1926 ;
  • 1920 - Au bord du cratère du Vésuve[23] ; (1,00 x 0,85 m) - Musée des Beaux-Arts de Brest - don de Mme Pierre Massenet, 1974 ; Exp : 1933, Madrid ;
  • 1920 - Salon des artistes français. Le Dernier Communiqué, (Prix Henner), triptyque de 5 m de long, est acquis par la ville de Paris et exposé au Petit Palais; (il serait actuellement au dépôt des œuvres d'Art de la ville de Paris à Ivry);
  • 1921 - Salon des artistes français. L’Enfer [24] , est acquise par M. Lovelace. Elle est actuellement à l’Imperial War Museum, à Londres[25].
  • 1921 - Salon des artistes français. Paysage de guerre et Calme du matin ;
  • 1921 - Décoration du salon de vente de Monsieur Raymond Mallien, fourreur à Bruxelles, 40 place du Grand Sablon. Un grand panneau et 4 dessus de porte ; (ces panneaux, semble t-il, existent toujours; les locaux appartiennent actuellement à la société de Ventes aux enchères Pierre Bergé & Associés) ;
  • 1922 : Salon des Artistes français. Paysage Provençal : Roquemartine [26] ;
  • 1922 - Le jardin du Luxembourg, grand panneau décoratif pour le fumoir du Paquebot Paris (paquebot) de la Compagnie Générale Transatlantique. (détruit par un incendie en 1939);
  • 1923 - Salon des artistes français. Le pays de l’Angelico (Fiesole) [27] ;
  • 1924 - Salon des artistes français. Le Dernier Communiqué, repris et développé sur 20 m de long. (Localisation inconnue ? ) [28];.
  • 1925 - Décoration : La Danse à travers les ages, Frise de 17 m pour le Dancing des Noctambules, Rue Champollion à Paris ;
  • 1926 - Salon des artistes français. Sur les comédies de Molière;
  • 1926 - La place de Fiesole est acquis par l'état et placé au Musée du Luxembourg;
  • 1927 - Salon des artistes français. Paysage Florentin (acquis par un américain - Wisconsin) ;
  • 1928 - Salon des artistes français. La Vendange en toscane [29] ;
  • 1929 - Salon des artistes français. Le Lac du Bourget et le Revard - triptyque ; Tableau acquis par Antonin Brocard. (Demeuré dans la famille Brocard, il est évoqué par son fils dans son ouvrage "Antonin Brocard", p 319. Ouvrage consacré à la vie de son père)[30].
  • 1930 - Salon des Artistes Français. A la Science Française - triptyque (14 m de long) - Commande de la Ville de Paris pour la Bibliothèque de l'École nationale supérieure de chimie de Paris, rue Pierre Curie[31].
  • 1931 - Salon des artistes français. Retour de vendange en Toscane - (San Gimignano) 1,96 m × 1,30 m[32] - actuellement dans l’ambassade d'Italie à Paris. Hôtel de Boisgelin, rue de Varenne. (Chancellerie, coursive du premier étage)[33].
  • 1931 - Décoration de la Salle du Conseil des Messageries maritimes, Boulevard de la Madeleine - Un grand panneau et 4 dessus de portes ;
  • 1932 - La Grande allée de Saint-Cloud en automne - Musée des Beaux-Arts de Dijon - [34] ;
  • 1932 - Vue générale de la ville d'Auch[35]. - Grand panneau pour la Salle à manger du Paquebot Jean Laborde, des Messageries maritimes[36]. ;
  • 1932 - Vues du Roussillon - Dix panneaux pour la Salle à manger du paquebot Maréchal Joffre, des Messageries maritimes ;
  • 1932 - Salon des artistes français. Les Poilus de 1918 : Les artilleurs, les fantassins, les cavaliers, les aviateurs ;
  • 1932 - Salon des artistes français. Les Comédies de Molière - panneau pour le Normandie (paquebot) de la Compagnie générale transatlantique ;
  • 1932 - Attelage dans la campagne romaine - Musée des Beaux-Arts de Troyes ;
  • 1933 - Salon des artistes français. L'Air, l'Eau, le Feu - triptyque sur 14 mètres de long - pour la Bibliothèque de l'École nationale supérieure de chimie de Paris, rue Pierre Curie[37].
  • 1934 - Tristan dans la foret[38]. - Grand panneau pour le fumoir du Paquebot Paul Doumer, des Messageries maritimes ;
  • 1934 - Vue d' Alger - Grand panneau pour le Paquebot Ville d' Alger, de la Compagnie générale transatlantique ;
  • 1935 - Salon des artistes français. Rassemblement sous le bombardement[39] ;
  • 1936 - Salon des artistes français. Atlètes à l'entrainement - conservé au Musée Départemental de Beauvais ;
  • 1937 - pour l'Exposition internationale qui se tient à Paris (Exposition spécialisée de 1937), il réalise 9 panneaux (2 m x 0,80 m) : Les régions forestières de France pour le Pavillon du Bois (Eaux et Forets).Il obtient un Grand Prix. En outre, il peint 5 grands panneaux : Les métiers d' Art ( 5m x 3 m) pour le Pavillon de l'UCAF (Union corporative de l'art français) ;
  • 1938 - Salon des artistes français. Fin de la vie cachée[40] - Il se hate vers le Jourdain - d'après "La Vie de Jésus" de François Mauriac. Tableau acquis en 2009 par le Musée Départemental de Beauvais;
  • 1939 - Salon des artistes français. Aux Eparges, soldats enterrant leurs camarades au clair de lune. Avril 1915. [41] (183 cm × 262 cm) - musée national du château de Versailles[42]. Dernière peinture d'Histoire à entrer dans les collections du musée [43].
  • 1941 - Portrait du sculpteur Louis Prost - 80 cm × 65 cm - Musée des Beaux-Arts de Lyon[44],[45] ;
  • 1944 - L'Annonciation - (1,72 m × 1,23 m) - conservé au Musée Rolin à Autun[46].
  • 1944 - Salon des artistes français. Exposition de 2 grands panneaux (6 m × 3 m) : Les Fables de La Fontaine destinés à la décoration du réfectoire du Lycée de Jeunes Filles de Lyon, place Edgar-Quinet. Prix Bonnat ;
  • 1945 - Portrait du peintre animalier Paul Jouve, dédicacé : "A mon ami Jouve, Affectueusement" [47]; - tableau conservé par l'Institut de France[48].
  • 1946 - Commande de l'État pour la décoration du réfectoire du Lycée de Jeunes Filles de Lyon (Lycée Édouard Herriot, 6 Place Edgar Quinet) - huit panneaux : Les Fables de La Fontaine ;
  • 1947 - Salon des artistes français. Autoportrait - conservé au Musée Alphonse Georges Poulain à Vernon (Eure) - Natures mortes ;
  • 1948 - Apollon et Daphné - conservé au Musée Départemental de Beauvais ;
  • 1950 - Dans la grande Galerie du Louvre[49]. Huile sur toile, 89 cm × 151 cm. Musée du Louvre, Paris [50], don de Mme Pierre Massenet, 1974 ;
  • 1950 - Jésus et la Samaritaine - (Paysage provençal);
  • 1952 - Salon des artistes français. Matinée de printemps, Villa Borghése à Rome - 2,04 m × 1,24 m - actuellement dans l’Ambassade d'Italie à Paris. Hôtel de Boisgelin, rue de Varenne (Bureau Losavio)[51].
  • 1953 - Salon des artistes français. La charité ou Saint Martin donnant la moitié de son manteau - Musée des beaux-arts de Tours, don de Mme Pierre Massenet, 1976 ;
  • 1955 - Salon des artistes français. Portrait de ma petite nièce Martine et de son bébé ;

Dessins

  • 1901 - Portrait de Paul Jouve. (crayon comté et lavis) [52];
  • 1906 - Le chansonnier Legay au cabaret "Les Noctambules" [53];
  • 1908 - Les curés rouges - Rome - Red Vicars Seen from the Promenade on the Pincian Hill - conservé au Fine Arts Museums of San Francisco ;
  • 1908 - Publication de 30 Dessins de Georges Leroux sur Rome dans le Figaro Illustré - (envoi de Rome) - [54]
  • de 1915 à 1918 - Très nombreux dessins de guerre publiés par le journal L'Illustration;

Illustrations

Georges Leroux a notamment illustré :

  • 1911 – Jeanne. H. Chabal, Au souffle du Khamsin, éditions P. E. Pelletan ;
  • 1925 – Albert Du Bois, Le secret de la Villa des trois cyprès (deux fascicules brochés), collection « La Petite illustration » ;
  • 1927 – Anatole France, Le Puits de Sainte Claire , Œuvres Complètes Illustrées d’Anatole France, éditions Calmann Lévy, tome X ;
  • 1930 – Alfred de Vigny, Stello , Alphone Lemerre éditeur ;
  • 1930 – J.-H. Rosny aîné, Helgvor du fleuve bleu , Cent Centraux Bibliophiles ; gravure par Raoul Serres ; Tirage limité à 130 exemplaires ;
  • 1932 – Gaston Cherau, L’Enfant du pays ; Éd. L'Illustration, revue La Petite Illustration (quatre fascicules brochés); N° 561, 23 janvier 1932; N° 562, 30 janvier 1932; N° 563, 6 février 1932 ; N° 564, 13 février 1932 ;
  • 1933 – G.A Birmingham, L’Avoué disparu (3 fascicules brochés), collection « La Petite illustration » ;
  • 1934 – Marcelle Tinayre, Château en Limousin (3 fascicules brochés), collection « La Petite illustration » ;
  • 1935 – Gabriel Hanotaux, Voyage au Canada : La mission Jacques Cartier. (préface de Gabriel Hanotaux, 18 dessins et portraits de M. Georges Leroux, de l'Académie des Beaux-Arts), Éditions de l'Atlantique ;
  • 1937 – Rudyard Kipling, Sur le mur de la ville , Librairie Delagrave ;
  • 1950 - Jean Racine, Théâtre complet, volumes I, II, et III, La Belle Édition, Paris ;

Affiches

Autres

Expositions

Collections

  • Le Musée départemental de l'Oise (Beauvais), posséde environ 15 œuvres de Georges Leroux[67]. (La plupart sont des peintures provenant du don fait en 1974 par Madame Massenet, nièce du peintre, aux musées français.)
  • Le Musée Alphonse Georges Poulain à Vernon (Eure), posséde environ 19 œuvres de Georges Leroux. (ce sont des œuvres provenant du don fait en 1974 par Madame Massenet, nièce du peintre, entrées au Musée de Vernon en 1980).)
  • Le Musée des beaux-arts de Chartres possède dans ses collections de très nombreux dessins effectués par Georges Leroux sur le front pendant la Première Guerre mondiale (notamment 120 portraits de soldats de son régiment : le 302e R.I.) [68], ainsi que des photos et documents.
  • Le Musée des beaux-arts de Montréal possède dans ses collections, 10 dessins de Georges Leroux, réalisés lors de son séjour au Canada. (Mission pour le quatrième centenaire de la découverte du Canada par Jacques Cartier. Montréal - 1934) [69]. don de Mme Pierre Massenet, nièce de l'artiste en 1975 ;
  • Le Musée national d'art moderne - Centre Georges Pompidou - possède dans ses collections 19 dessins, 2 projets d’affiches et 1 huile de Georges Leroux [70] ; Don de Mme Pierre Massenet, nièce de l'artiste en 1975 ;

Voir aussi

Articles connexes

Notes et références

  1. Fonds de peinture de la ville d'Equeurdreville-Hainneville
  2. Voir son Cincinnatus : sur le site Cat'zArts de l'École des beaux-arts de Paris
  3. Voir notice et photographie : sur le site Cat'zArts de l'École des beaux-arts de Paris
  4. Voir : Photographies de Georges Leroux en membre de l'Institut sur le site RMN
  5. Voir :Photographie de Georges Leroux en membre de l'Institut sur le site RMN
  6. Voir : année 1945, sur le site de l'Institut de France
  7. Funérailles de M. Georges Leroux en l'église Saint-Germain-des-Prés- Discours de M. Nicolas Untersteller, p. 6 Paris, 1957, Institut de France, Firmin-Didot;
  8. Société des artistes français – Exposition rétrospective, quelques œuvres du peintre Auguste Leroux [Texte imprimé] : Salon 1955, du 21 mai au 12 juin. Catalogue. Grand Palais des Champs-Élysées. [J. M. Auguste Leroux, avant-propos de Claude Grange.]
  9. Photo de son tombeau et du médaillon sur le site du cimetière de Jouy-en-Josas
  10. Bas-relief de Louis Prost sur la base Mérimée du Ministère de la Culture ]
  11. Académie des beaux-arts (France) ; notice sur la vie et les travaux de Georges Leroux (1877-1957) / par M. Georges Cheyssial ; Paris : Typ. de Firmin-Didot, 1958 ; 8 p. ; 28 cm
  12. Exposition : Saint-Denis, Musée d'Art et d'Histoire, Salomé dans les collections françaises, 1989, no 54 - (reproduit dans le catalogue de l'exposition)
  13. Tome II "Les Collections du XXe siècle du musée départemental de Beauvais ; Historique : Cf. supra. Inv 81.2. Bibliographie : Gazette des Beaux-Arts, no 1358, mars 1982 (Chronique des arts, p. 81)
  14. reproduit dans L'Illustration du 30 avril 1910 - n° 3505
  15. Voir notice et reproduction : Notice de La promenade du Pincio à Rome sur le site RMN
  16. Voir notice et reproduction : Notice de Le "Dîner dans une villa romaine" (Villa Médicis) sur le site RMN
  17. Tableau reproduit en pleine page dans la revue Les Arts n° 126 - juin 1912
  18. Voir notice et reproduction : Notice de Paysage italien, Tivoli sur le site RMN
  19. Voir notice et reproduction : Notice de "Le Bois sacré, campagne roumaine" sur le site RMN
  20. Voir notice et reproduction : Notice de " Le grand bassin au jardin du Luxembourg" sur le site RMN
  21. Voir notice et reproduction : Notice de " Les Vainqueurs" sur le site RMN
  22. reproduit dans L'Illustration du 24 mai 1919 - n° 3977
  23. Voir notice et reproduction : Notice de " Au bord du cratère du Vésuve" sur le site RMN
  24. reproduit dans l'ouvrage de Béatrice Fontanel et Loïc Le Gall (Album - 10 mars 2006) : Le Aragon ; p. 25, (ISBN 2740419651) et (ISBN 978-2740419656)
  25. Voir reproduction et commentaire : la couleur des larmes les peintres dans la grande guerre
  26. reproduit dans L'Illustration du 13 mai 1922 - N°4122
  27. reproduit dans L'Illustration du 12 mai 1923 - N°4184
  28. "... qui ne représente rien moins que le tableau de la Victoire et le portrait d'une armée" - Louis Gillet - Le Gaulois (France) mai 1924
  29. reproduit dans L'Illustration du 12 mai 1928 - N°4445
  30. Antonin Brocard par Pierre Brocard, Éditions Atout Livres, octobre 2008 - (ISBN 978-2918023005)
  31. voir photo sur le site de l'École nationale supérieure de chimie de Paris : [1]
  32. reproduit dans L'Illustration du 9 mai 1931 - n° 4601
  33. Ouvrage L’Ambassade d’Italie à Paris - Hôtel de La Rochefoucauld-Doudeauville - auteurs  : Erminia Gentile Ortona - Maria Teresa Caracciolo - Mario Tavella - Patrizia Mussa - Éditions Skira, 2009.(ISBN 978-8857201085); Article de Jacques Foucart p 188 et 189. Tableau reproduit p 190 et 191 (double page en couleur)
  34. Pierre Quarré et Monique Geiger : Musée des Beaux-Arts de Dijon. Catalogue des peintures Françaises, Dijon, 1968
  35. dernière étude du panneau avant exécution définitive : collection particulière
  36. le panneau définitif dans la salle du restaurant : sur un site consacré aux Messageries maritimes
  37. le panneau central est reproduit dans L'Illustration du 13 mai 1933 - n° 4706
  38. panneau dans le fumoir du paquebot: sur un site consacré aux Messageries maritimes
  39. reproduit dans L'Illustration du 11 mai 1935 - N°4810
  40. Reproduit dans L'Illustration 14 mai 1938 - n° 4967
  41. reproduit dans l'ouvrage de Béatrice Fontanel et Loïc Le Gall (Album - 10 mars 2006) : Le Aragon ; p. 15 (ISBN 2740419651) et (ISBN 978-2740419656)
  42. Laurent Gervereau, Claire Constans, Collectif : Le Musée révélé : L'histoire de France au Château de Versailles, Robert Laffont (30 septembre 2005); (ISBN 2221102959) et (ISBN 978-2286017262) reproduit p 145 ; courte analyse p. 133
  43. Jérémie Benoit, site : l'Histoire par l'image, RMN, analyse du tableau de Georges Paul Leroux, Aux Eparges, soldats enterrant leurs camarades au clair de lune. Avril 1915.
  44. reproduit et commenté dans : La Peinture des XIXe et XXe siècles par Madeleine Vincent. , catalogue du Musée des Beaux-Arts de Lyon - 1956
  45. reproduit dans L'Illustration du 10 mai 1941 - n° 5122 Le Salon de printemps à Lyon
  46. Historique sur la base Joconde du Ministère de la Culture : L'Annonciation, pour laquelle le musée Rolin conserve 3 projets préparatoires (deux études pour l'ensemble, une pour la VIerge) rassemble deux genres fréquemment traités par l'artiste: la scène mystique et le paysage. Très marqué par la grande guerre, Leroux a produit de nombreuses scènes mystiques comme "Les Pèlerins d'Emmaüs" (Musée de St Quentin); de même les paysages méditerranéens lui ont inspiré de nombreuses toiles où l'on retrouve un rendu de la végétation, notamment des cyprès, et des constructions, analogue à celui de ce tableau. On remarquera le goût du peintre pour les aplats de couleurs dérivés de l'esthétique nabi qu'il adopte au contact de Maurice Denis ; Version finale des 3 esquisses possédées par le musée Rolin (H.V. 416, 417 et 418)
  47. reproduit dans la Biographie de Charles Terrasse : Paul Jouve, Éditions du Livre de Plantin, 1948.
  48. reproduit dans l'ouvrage de Félix Marcilhac, "Paul Jouve" page 276 - Les Editions de l'amateur, 2005.(ISBN 978-2-85917-409-5).
  49. peinture faisant la couverture du livre de Béatrice Fontanel L’odyssée des musées, Editions de La Martinière, 10/2007 (ISBN 2732436550) et (ISBN 978-2732436555)
  50. Pierre Fresnault-Deruelle, « Photographie peinte », Musée critique de la Sorbonne, analyse du tableau de Georges Paul Leroux, Dans la Grande Galerie du Louvre
  51. Ouvrage L’Ambassade d’Italie à Paris - Hôtel de La Rochefoucauld-Doudeauville - auteurs  : Erminia Gentile Ortona - Maria Teresa Caracciolo - Mario Tavella - Patrizia Mussa - Editions Skira, 2009 (ISBN 978-8857201085). Article de Jacques Foucart p 192. Tableau reproduit p 193 (en couleur)
  52. reproduit dans l'ouvrage de Félix Marcilhac, "Paul Jouve" page 24 - Les Editions de l'amateur, 2005.(ISBN 978-2-85917-409-5).
  53. reproduit et commenté dans le catalogue de vente Artcurial : "Dessins anciens et du 19e" 24 mars 2010 - lot n° 94 - p76
  54. Paul Ziégler :le Figaro Illustré: numéro spécial [Rome], no 216, mars 1908
  55. Bridgeman - la Grande Lunette de 1900 la Grande Lunette de 1900
  56. consulter le catalogue Byrrhl'Affiche Imaginaire- Réjane Bargiel (Conservateur du Musée de la Publicité), 1992, PERNOD S.A. mécénat.
  57. Voir notice et reproduction : Notice de " Projet d'affiche pour armes et sports" sur le site RMN
  58. jean Ajalbert : Les peintres de la Manufacture Nationale de Tapisseries de Beauvais. Georges-Paul Leroux, Madeleine Luka. - Louise Pascalis. - Jean-Camille Bellaigue. - Eric Bagge. - Jean Lurçat. - Louis Valtat. - Ch. A. Edelmann. - Achille Laugé ; Paris : Eug. Rey, 1933 ;
  59. Catalogue d’exposition : Elégance et modernité : 1908-1958 : Un renouveau à la française page 18 ; Olivier Kaeppelin (Auteur), Yves Badetz (Auteur), Marie-Hélène Massé-Bersani (Auteur), Collectif (Auteur), Bernard Schotter (Préface); Editeur : RMN (20 mai 2009) (ISBN 2711856100) et (ISBN 978-2711856107)
  60. Exposition "Beauvais, les années 25" - 1992 - Galerie nationale de tapisserie à Beauvais (catalogue par Chantal Gastinel-Coural, reprod. no 22. (ISBN 2868950361)
  61. Catalogue d'exposition : Exposition Georges Leroux. Paysages d'Italie et de Sicile : Du 8 au 22 janvier 1913 - Préface d' Henry Bérenger - Exposition. Paris. Galerie Devambez. 1913 [Paris] : Galerie Devambez, [s. d. ?] 8 p. ; 16
  62. voir Catalogue Exposition : Premiere Exposition Des Artistes Francais Du Groupe De l'Erable. Preface De Pul Gsell. Paris, 1924, petit in-4, 116 pages, 28 reproductions. Paris, Impr. par Louis Kaldor
  63. Catalogue d'exposition : Exposition. Paris. Galerie Adolphe Le Goupy. 1924 - Georges Leroux par Louis Hautecoeur Dessins aquarelles et peintures par Georges Leroux : exposition à partir du 14 mai 1924 Chez Le Goupy, Bd de la Madeleine.
  64. Lire sur cette exposition la critique de R.Chantereine dans Le Figaro - supplément artistique du 15 mars 1928 N° 185, p 345
  65. Texte critique de M. Gérard Morisset paru dans : L'Ordre, Montréal, 11 mai 1935, p. 6 - mis en ligne le 30 janvier 2003, par Robert DeromeTexte critique de M. Gérard Morisset paru dans : L'Ordre, Montréal
  66. Plaquette de l'exposition très bien documentée par Mme Lecuyer-Champagne (conservateur du Musée du Château Saint-Jean à Nogent-le-Rotrou)
  67. Les collections du XXe siècle du musée départemental de l’Oise - Tome II - « De Thomas Couture à Maurice Denis » - p. 159, 160, 161 et 162 Editions d'Art Monelle Hayot - (ISBN 2-903824-29-0)
  68. ces 120 portraits sont tous reproduits dans : Le Tableau d'honneur de la grande guerre, tome 3, Editeur : Archives & culture (1 juillet 2002) - (ISBN 2-911665-57-0) et (ISBN 978-2-911665-57-8)
  69. David Karel, Dictionnaire des artistes de langue française en Amérique du Nord : peintres, sculpteurs, dessinateurs, graveurs, photographes, et orfèvres, Presses de l’Université de Laval, 1992, 962 p. (ISBN 2763772358 et 9782763772356), p. 505 
  70. dans la collection en ligne du Centre Pompidou sur le site du musée national d’art moderne

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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Georges Paul Leroux de Wikipédia en français (auteurs)

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