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Icône (religion)
Pour les articles homonymes, voir Icône.Une icône, du grec εικόνα (eikona) «image », est une représentation de personnages saints dans la tradition chrétienne orthodoxe. L'icône possède un sens théologique profond qui la différencie de l'image pieuse. L'icône est complètement intégrée dans la catéchèse orthodoxe mais aussi dans celle des Églises catholiques orientales qui ont préservé la tradition de l'Icône. En devenant objets de vénération pour les fidèles, les icônes ont été soumises, dès le VIIIe siècle, par l'Église orthodoxe, à de sévères contraintes artistiques (sources d'inspiration stéréotypées, rigueur du trait, jeux des couleurs). Jusqu'à nos jours, ces canons se sont perpétués, assurant l'étonnante continuité de cette peinture dédiée à la gloire de Dieu.
Usage actuel
Dans la religion chrétienne orthodoxe, les icônes sont saintes et il est courant de voir des fidèles effectuer des gestes de dévotion en l'honneur des icônes. Pour la confession orthodoxe, il est aussi important de vénérer l'icône que d'écouter la parole ou de lire les écrits. Actuellement, les chrétiens de confession catholique réutilisent de plus en plus l'icône dans la liturgie, sans lui donner la même richesse que dans l'usage qu'en font les chrétiens orthodoxes. Aujourd'hui, ce mot voit son sens élargi pour se rapporter aux personnages sacrés de toute religion.
Les origines de l'icône
A l'origine, le terme "icône" désignait, dans le monde chrétien, toute image religieuse, quelle qu'en soit la technique (peinture, mosaïque, orfèvrerie, tissu...). Dans l'acception moderne, il désigne une "image religieuse" réalisée, selon des règles particulières, sur un panneau de bois mobile, et destinée au culte communautaire ou personnel.
Des représentations du Christ existent (selon le témoignage d'Eusèbe de Césarée) dès le IIe siècle (voire le Ier). Un temps important s'est écoulé pour que ces représentations échappent au cadre des religions anciennes et deviennent un élément du culte chrétien.
Le premier "art figuratif chrétien" se rencontre d'abord dans les catacombes de Rome. Il s'agissait d'un art de clandestinité, crypté, à valeur symbolique. Un païen voyant un homme avalé par un monstre marin ne pouvait y reconnaître l'épisode de Jonas avalé par le poisson, et encore moins y discerner la préfiguration de la résurrection du Christ.
Vers le Ive Ve siècle, à partir de la paix constantinienne, l'icône connaît une réelle floraison. Elle veut présenter l'exemple de saints personnages, en garder la mémoire, illustrer les principaux événements de l'Ancien et du Nouveau Testament. Son inspiration synagogale est indiscutable.
A partir du milieu du VIe siècle, dans le cadre d'un empire désormais christianisé, l'icône se répand dans la piété populaire. A cette époque apparaissent les légendes sur les icônes d'origine miraculeuse ou apostolique.
Le Mandylion d’Édesse ou Sainte Face est une représentation "acheiropoïète" ("non faite de main d'homme") du visage du Christ. Ne pouvant pas se déplacer jusqu’au roi d’Édesse en Syrie , Abgar V, Jésus lui aurait fait parvenir l’empreinte de son visage sur un linge. Le souverain se trouva ainsi guéri de la lèpre. L’image est ensuite transférée d’Édesse à Constantinople en 944 puis disparaît lors du sac de Constantinople par les croisés. (XIIIè siècle)
Le " Voile de ste Véronique" est le pendant occidental de cette histoire : sainte Véronique essuie le visage de Jésus à la sixième station du Chemin de croix. Sur le linge reste marquée la face du Christ. Le nom même de Véronique est une déformation du prénom "Bérénice". De cette manière, le prénom "Véronique" semble signifier par un assemblage latino-grec (vera eikona) la "vraie icône")
Les Icônes de la Vierge.
Selon ces traditions, Saint Luc a peint à trois reprises la Vierge, ouvrant la voie aux icônes peintes. C’est à l’une de ces icônes, acquise en Palestine par la femme de Théodose II et rapportée à Constantinople, que remonterait le type, très populaire, de la "Vierge Hodigitria", Vierge qui indique la Voie (le Christ enfant sur le bras gauche, la main droite ramenée devant le buste, désignant le Christ).
Plusieurs icônes sont traditionnellement attribuées à Saint Luc. Entre autres, les icônes Russes de la Vierge de Vladimir, de Jérusalem, de Tikhvine, de Smolensk, ainsi que, en Pologne, la Vierge de Częstochowa. Les icônes russes de la Vierge correspondent à des compositions iconographiques différentes.
La particularité de la représentation dans l’icône
L’icône ne représente pas le monde qui nous entoure. La transfiguration en est la clé en particulier dans le visage des personnages. La lumière est signifiée de deux manières: celle matérielle ou éclairage des objets mais surtout celle intérieure en chacun des personnages. Cette dernière est figurée par la carnation (couleur de fond pour la chair) pure et assez claire. L'origine de cette représentation reste discutée. Le contraste entre ces deux lumières est mis en relief sur l’icône de crucifixion: St Jean et Marie dégagent cette lumière intérieure alors que le Christ, mort à cet instant sur la croix, a la carnation plus sombre et éteinte, presque vert plombé.
D'autre part, le monde est représenté en perspective inversée afin que le contemplateur devienne le point convergeant de l’icône pour établir ainsi un lien intime avec elle. La perspective inversée prend le spectateur comme point de fuite.
Classification des icônes
Les thèmes des icônes sont très nombreux.
Les icônes se classent, en général, ainsi:
Les personnages : le Christ, Marie, les apôtres, les martyrs, les saints...
Les fêtes commémorant des épisodes de la vie du Christ (Nativité, Résurrection...), de Marie (Entrée au Temple, Annonciation...), de l'histoire de l'Église (L'exaltation de la Croix, le Concile de Nicée...)
Les représentations historiées : les scènes de l'Ancien Testament, les miracles de Jésus, les vies de saints...
Les représentations théologiques : le chemin du moine, le Jugement dernier...
Pour un même saint, les représentations sont aussi classée par thèmes. Ainsi, la Vierge est généralement représentée avec le Christ enfant dans les bras. Cependant, on parlera de "Vierge de Tendresse" si la joue de la mère et du Christ sont accolées, de "Vierge qui montre le Chemin" (Hodiguitria) si la mère désigne le Christ, de "Vierge de Kazan" si le Christ semble debout à côté de sa mère, de la "Vierge du signe" si la mère est en orante (les mains élevées en signe de prière), le Christ apparaissant en médaillon "en elle" (cette dernière représentation renvoie au texte du prophète Isaïe : "Le Seigneur lui-même vous donnera un signe : voici, la vierge sera enceinte, elle enfantera un fils qu'elle nommera Emmanuel..." Es. 7.14)... Chacune de ces représentations suit des règles précises, la "liberté" de l'iconographe étant balisée pour éviter de s'écarter de l'enseignement de l'Église.
Technique de l'icône
Les premières icônes chrétiennes ont presque toutes été détruites durant la période iconoclaste. Quelques unes ont survécu jusqu'à nous, ainsi au Monastère Sainte-Catherine du Sinaï. Réalisées selon la technique de l' encaustique, elles sont assez proches des peintures funéraires d'Égypte telles que nous les connaissons par les Portraits du Fayoum.
La technique évolua ensuite vers la "détrempe" (ou "Tempera"), encore utilisée aujourd'hui.
Préparation du support
Quoi que certains ateliers utilisent actuellement des panneaux de bois recomposés (contreplaqué, latté, aggloméré…) , il convient de présenter la technique traditionnelle.
L'icône est réalisée sur une planche de bois exempte de nœud. Tous les bois peuvent théoriquement être utilisés pour confectionner les planches, à condition d'être bien secs. En conséquence, durant des siècles, l'iconographe (généralement un moine) utilisa le bois qu'il trouvait dans les environs. Le tilleul semble le plus adéquat: très homogène et tendre, il fend peu. En outre, il se révèle facile à travailler. Certains bois durs, comme le chêne, ont tendance à se fendre. Le bois de résineux (pin, sapin…) doit être choisi avec grand soin de crainte de voir sa résine ressortir.
Si l'icône est prévue de grande taille, il est possible de renforcer la planche par des traverses à l'arrière, pour éviter un gauchissement ou des fissurations.
La surface à peindre, parfaitement plane, peut aussi être légèrement creusée sur 3 ou 4 mm d'épaisseur, en ménageant un bord d'un cm, environ.
Sur ce fond, on étend à chaud de la colle de peau, puis une fine toile. Cette toile est ensuite recouverte par plusieurs couches d'un mélange de colle et de poudre d'albâtre (le "Levka") qui, après séchage, est poncé pour obtenir une surface uniforme.
Dans la tradition orthodoxe russe l’on « écrit » une icône.
L’icône a pour but de faire transparaitre le divin. L’Etre divin transcendé à travers son image cultuelle doit se révéler au croyant. De nos jours, la plupart des icônes sont peintes sur un support en bois. Mais il n’en a pas toujours été ainsi. Si la première icône fut un linge (mandilion), au IXème siècle, il y avait des icônes en mosaïque, en or, en argent, en ivoire ou en émail cloisonné. La forme même des icônes est variable, généralement rectangulaires, il en existe des rondes et des ovales. La plupart sont peintes mais certaines sont sculptées ou brodées.
Ce qui fait une icône n’est donc ni son support, ni sa forme ni la façon dont elle est « écrite » mais le fait qu’elle soit canonisée par l’Eglise en étant acceptée et vénérée par le peuple dans son entier.
La technique d’écriture iconographique traditionnelle dite « à la tempera » et aux pigments naturels sur des supports aussi variés que les planches, les terres cuites, les bois flottés, les bas reliefs ou la chaux (fresque) ,se situe donc dans la tradition iconographique la plus authentique et la plus ancienne
Réalisation de l'icône
Sur la planche préparée, l'iconographe reporte le dessin de l'icône en suivant scrupuleusement les indications fournies par les maîtres et en s'aidant de modèles existants. Les traits du dessin sont ensuite légèrement gravés dans le levka. Si l'icône comporte de l'or (pour le nimbe, par exemple) il est, alors, posé.
Vient l'étape de la peinture, réalisée à partir de pigments naturels minéraux (ocres, oxydes métalliques…) ou animaux (noir d'ivoire…). Les pigments mélangés à du jaune d'œuf et de l'eau sont déposés au pinceau (technique dite de la "Tempera"), en commençant par les teintes les plus sombres puis en éclaircissant. Pour les parties du corps visibles (visage, mains…) l'iconographe pose d'abord un fond ocre sombre (le "Proplasme") à partir duquel il fait ressortir les traits.
Les icônes comportent généralement des indications écrites précisant la personne ou le thème représenté.
Enfin, l'icône est protégée par une préparation à base d'huile de lin (l'Olifa).
Notons enfin que s'il est possible de proposer un descriptif technique de la peinture de l'icône, on ne peut l'y réduire : l'iconographe, dans la conception orthodoxe, n'est pas à proprement parler un artiste, mais bien un témoin dans l'Église (par le trait et la couleur) de la splendeur divine, comme le sont les hymnographes. Son œuvre est intimement liée à la prière.
Le paradoxe de l'icône
Les images religieuses furent abondamment utilisées dans les cultes polythéistes. Un historien, Vitalij Ivanovitch Petrenko, a écrit que "l’emploi traditionnel des images est bien antérieur à l’ère chrétienne et tire ses origines du paganisme(...)" C'est le cas des religions de Babylone, d'Égypte et de Grèce. En Grèce, les images religieuses revêtaient souvent la forme de statues, prétendument investies de pouvoirs divins.
Il convient de formuler deux remarques quant à l'origine des images sacrées chrétiennes:
- Les chrétiens tracent leurs premières images saintes sur les murs des catacombes alors qu'ils sont persécutés.
- Leurs images ne se limitent pas à de simples illustrations ornementales: elles expriment une pensée théologique et exégétique.
La représentation iconographique occidentale et orthodoxe se différenciera lorsque l’Occident abordera la période gothique. Avant ce moment, c'est-à-dire jusqu'à la fin de l’époque romane, leur conception de la représentation s'avère identique. Ensuite, alors que toutes les églises autocéphales suivent le même chemin, seule Rome abandonne cette théologie de l’image. Elle évolue vers le gothique, la Renaissance et transforme la signification de la représentation religieuse.
Les premières icônes
Les iconoclastes ont fait disparaître bon nombre d'images et le temps a fait son œuvre si bien qu'il nous reste peu d'images antérieures à cette grave crise théologique. Il nous reste quatre séries d'images : les peintures murales des catacombes de Rome, les mosaïques monumentales de Rome, Ravenne et Kiti (Larnaka), les ampoules en terre cuite ramenées de Terre Sainte par des pèlerins et conservées à Monza, les portraits à l'encaustique conservés au Sinaï.
Sur les ampoules de Monza (Ve siècle) figurent déjà le canon iconographique actuel de toutes les représentations des grandes fêtes. Sur les icônes du Sinaï, le souci de la ressemblance du portrait est saisissant. Sur les images de Rome, la composition et le caractère catéchétique et pédagogique de l'image sont indéniables.
Les premières prises de position sur les images
À l'évêque de Marseille Serenus qui lui demandait conseil, le pape Grégoire le Grand répondit une lettre lui conseillant de tolérer les images qui sont un soutien pédagogique pour les fidèles illettrés. Cette doctrine a longtemps été présentée comme celle de l'Église latine. Pourtant elle est antérieure à l'iconoclasme et ignore les arguments élaborés lors de la lutte contre l'iconoclasme. Un siècle plus tard, en 691-692, le concile In Trullo dans son canon 82 stipule que le Christ ne doit pas être représenté sous les traits d'un agneau car il est un homme.
La querelle iconoclaste, les faits
En 726, l’empereur byzantin Léon III prend position, en public, contre le culte des images (ou icônes). Ainsi naît l'iconoclasme; mais le pape Grégoire II, ne l'approuve pas. Les persécutions commencent contre les défenseurs de icônes; certains mourront en martyrs.
Dans le palais de Hiéréia à Constantinople vers 754, l’empereur Constantin V, fils de Léon III, convoqua les évêques orientaux pour discuter de la vénération des icônes et des images ; il était farouchement opposé à ce qu'il considérait comme de l'idolâtrie. Presque tous les évêques, réunis à ce concile, suivirent l’empereur et condamnèrent la vénération des icônes comme un acte idolâtre. Ces événements marquèrent un choc culturel. Alors, la chasse aux images redoubla d'intensité : les mosaïques sont arrachées; les icônes et reliques, détruites. Les moines et les laïcs, partisans des icônes, sont fouettés, torturés, noyés. Cette persécution s'apaise après la mort de Constantin en 775.
Son fils Léon IV appelle au calme mais ne lève pas l’interdiction faite aux icônes. A sa mort, en 780, son épouse, Irène, assume la régence. Iconophile, elle convoque un concile œcuménique à Nicée, en 787, afin d'annuler les décisions du concile de 754. En conséquence, le culte des images est restauré.
Au IXe siècle survient une seconde crise iconoclaste. Elle se termine, elle aussi, par la restauration du culte des images, le 11 mars 843. Désormais, l’art religieux s'encadre de repères dogmatiques précisément rédigés.
Partisans et adversaires des images, le débat
Pour l'empereur Constantin V, les images proposent une apparence humaine sans rendre la gloire divine; elles trahissent leurs modèles, il faut donc les interdire. L'Ancien Testament édicte "Tu ne feras aucune image sculptée, rien qui ressemble à ce qui est dans les cieux, là-haut, ou sur la terre, ici-bas, ou dans les eaux, au-dessous de la terre" (Ex 20, 4-5).
Les partisans des images avancent deux arguments. D'abord, ils soulignent que l'interdit mosaïque est assorti d'une exception majeure puisque Dieu, lui même, ordonne de confectionner des images et de les placer dans le Saint des Saints (Ex 36, 35 et Ex 37, 7-9). Leur second argument est que les apôtres ont vu le visage du Christ, ils l'ont entrevu dans toute Sa gloire sur le mont Thabor, et de même qu'ils se souviennent de Ses paroles, ils se souviennent de Son image. Ils la transmettent à leurs disciples : l'incarnation de Dieu justifie les images. Elle les interdit donc avant l'incarnation et pour les personnes de la Trinité, restées invisibles.
Un argument secondaire engendra un effet décisif. Si un empereur iconoclaste ne supportait pas qu'on porte atteinte à son effigie, combien moins Dieu supporterait-il qu'on ose s'en prendre aux images saintes?
Œuvres d'Art
Une icône est une œuvre peinte ou sculptée selon une tradition précise, représentant un sujet ou un thème de religion chrétienne, et plus spécifiquement orthodoxe. Sa dimension peut varier de quelques centimètres à plusieurs mètres. On appelle iconographie, l'étude des sujets, des thèmes ou des attributs de cette tradition figurative. Les peintres ne peuvent représenter que des saints. Aussi n'y eut-il jamais de natures mortes. Les personnages sont souvent entourés d'un halo ou Nimbe, communément appelé auréole, le tout sur fond uni. Ils sont empreints de paix.
Les icônes montrent un style déterminé par leur patriarcat églises autocéphales d’origine (byzantin, grec, russe, éthiopien…) et leur école. Ces écoles d'iconographie étaient implantées dans les monastères. Chez les grands peintres, le trait est reconnaissable, bien que certaines icônes soient le fruit d'un atelier oeuvrant autour d’un iconographe. Les plus connus sont saint Andrei Roublev, Théophane le Grec, Dionissi et surtout Saint Luc. La tradition exige l'absence de signature car l’iconographe est seulement l’instrument de l’Esprit Saint.
Le style varie selon la date de réalisation ainsi les traits de caractère varient si elles appartiennent aux premiers siècles de la chrétienté, si elles proviennent du Moyen Age, de la Renaissance (où l’influence italienne est manifeste, du XIX siècle (au caractère saint-sulpicien) ou encore du XX siècle avec le retour aux traits théologiques originels.
La Russie, terre d'accueil
C'est en Russie, convertie au christianisme depuis le Xe siècle, que l'art de l'icône trouve une terre d'accueil particulièrement fertile. Très vite, des ateliers de peinture se développent à Kiev, Souzdal, Rostov, Novgorod, Pskov et Moscou, menant cette peinture à son apogée, de la fin du XIVe siècle au début du XVIe. A l'époque de Théophane le Grec, venu au XIVe siècle de Byzance à Moscou, de nombreux artistes se firent connaître. Et parmi eux, le plus célèbre de tous, le moine Andreï Roublev (1360-1430), récemment canonisé, dont le génie s'affirme notamment à travers plusieurs oeuvres exposées au Kremlin de Moscou et au monastère Laure de la Trinité-Saint-Serge de Serguiev Possad (Zagorsk de 1930 à 1991).
Textes sur les icônes orthodoxes en lien externe
- Panselios (Mont Athos) présenté par A. N. Didron, Le "manuel de l'iconographe", Imprimerie Royale , 1843, -
- Olivier Clément, Le Visage intérieur, STOCK , 01/01/1978 (ISBN 2-234-00801-8)
- L'Art de l'Icône: Iconographie, lecture des icônes religieuses, explications
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