Trait d'union

Trait d'union
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v · d · m
-

Ponctuation

Accolades ( { } ) · Parenthèses ( ( ) ) 
Chevrons ( < > ) · Crochets ( [ ] ) 
Guillemets ( « », “ ” ou ‘ ’ ) 
Apostrophe ( ' ou ’ ) · Virgule ( , ) 
Barre oblique ( / ), inversée ( \ ) 
Espace (   ) · Point médian ( · ) 
Espace insécable (   ) 
Point ( . ) · Points de suspension ( … ) 
Point-virgule ( ; ) · Deux-points ( : ) 
Point d’exclamation ( ! ), d’interrogation ( ? ) 
Trait d’union ( - ) · Tiret ( – )

Ponctuation non standard

Point exclarrogatif ( ‽ )
Point d’ironie ( Point d’ironie, image miroir du point d’interrogation.

Diacritique

Accent aigu ( ´ ), double (  ̋  ) 
Accent grave ( ` ), double (  ̏  )
Accent circonflexe ( ^ ) · Hatchek ( ˇ ) 
Barre inscrite ( - ) · Brève ( ˘ ) 
Cédille ( ¸ ) · Macron ( ˉ ) · Ogonek ( ˛ ) 
Corne (  ̛  ) · Crochet en chef (  ̉ ) 
Point souscrit ( ִ ), suscrit ( ˙ ) 
Rond en chef ( ˚ ) · Tilde ( ~ ) 
Tréma ( ¨ ) · Umlaut ( ˝ )

Symboles typographiques

Arobase ( @ ) · Esperluette ( & ) 
Astérisque ( * ) · Astérisme ( ⁂ ) 
Barre verticale ( | ou ¦ ) 
Cœur floral (❦❧ ) 
Croisillon ( # ) · Numéro ( № ) 
Copyright ( © )   Marque ( ® )  
Degré ( ° ) · Celsius ( ℃ ) 
Prime : minute, seconde et tierce ( ′ ″ ‴ ) 
Obèle ( † et ‡ ) · Paragraphe ( § ) 
Par conséquent ( ∴ ) · Parce que ( ∵ ) 
Pied-de-mouche ( ¶ ) · Puce ( • )  
Tiret bas ( _ ) 

Symboles mathématiques

Plus et moins ( + − ) · Plus ou moins ( ± ) 
Multiplié ( × ) · Divisé ( ÷ ) · Égal ( = ≠ ) 
Pour cent ( % ) · Pour mille ( ‰ )
Carré ( ² ) · Cube ( ³ ) · Micro ( µ )

Autres symboles

Symboles typographiques japonais
Symboles monétaires

Le trait d’union « - » est un tiret court. Il se nomme aussi parfois tiret, signe moins ou selon les typographes division[1].

Sommaire

Utilisation dans la langue française

Il sert à unir deux mots liés formant un mot composé, comme dans « brise-roche », « demi-sœur », « belle-mère », « chassé-croisé », etc. Il apparaît ainsi notamment dans les noms de fusion de genres musicaux : pop-rock, jazz-funketc.

Il est en outre utilisé pour marquer la présence d’une ancienne enclise pour les pronoms sous leur forme conjointe ; c’est le cas dans des syntagmes comme « dis-tu », « dis-moi », « dis-le-moi », « vas-y », etc. Quand apparaît le phonème éphelcystique (« phonème de liaison ») /t/ après un verbe et un pronom conjoint, ce phonème est représenté par un « t » séparé par des traits d’union : « donne-t-il », « y a-t-il » et non par une apostrophe comme on peut souvent le lire (« * donne-t’il », « y-a-t’il » ; dans ce dernier syntagme, il ne peut y avoir ni apostrophe ni trait d’union entre y et « a », qui sont naturellement liés dans la prononciation).

Enfin, c’est la marque de la césure.

Après un préfixe

En français, il y a parfois un trait d’union après un préfixe[2]. C’est le préfixe qui détermine s’il faut un trait d’union ou pas.

Les préfixes suivants réclament toujours un trait d’union : après-, mi-, non- (sauf dans nonchalance, nonobstant, nonpareil, et dans le cas où non est suivi d’un adjectif : non linéaire)[3], quasi- [4], sous-.

Il ne faut pas de trait d’union après les préfixes suivants : anti- (sauf lorsque le deuxième élément commence par i, dans des mots composés comportant d’autres traits d’union et dans les noms géographiques), archi-, auto- (sauf lorsque le deuxième élément commence par une voyelle et dans auto-stop et auto-stoppeur), bi-, bio-, brachy-, co-, ferro- (sauf lorsque le deuxième élément commence par une voyelle), inter-, intra- (sauf lorsque le deuxième élément commence par une voyelle), macro-, méta-, micro- (sauf lorsque le deuxième élément commence par une voyelle), mono-, multi-, pré-, tri-.

Mots composés avec « grand »

La forme « grand’ » est désuète : elle a disparu de la huitième édition du Dictionnaire de l’Académie française publiée en 1932 (A-G) et 1935 (H-Z). La forme « grand’ » était invariable ; on trouvait donc écrit dans la septième édition du Dictionnaire (1877-1878) « grands-pères » et « grand’mères ». On reprochait à l’Académie le caractère trompeur de ce groupe d’ qui pouvait faire croire que le d était à prononcer (comme dans aujourd’hui). Et puis l’apostrophe sert à noter l’élision en français : or en ancien français grand était la forme commune au masculin et au féminin (forme épicène donc) qui continuait le latin grandis (ou plus exactement son accusatif grandem) forme commune au masculin et au féminin ; le féminin grande est analogique et plus récent dans la langue française.

L’Académie a aussi été critiquée pour n’avoir pas précisé la graphie des pluriels qui avaient troqué leur apostrophe pour un trait d’union dans cette huitième édition de 1932-1935.

Concernant les mots masculins composés avec « grand- », leur pluriel s’accorde. Exemple : « des grands-pères ».

Pour les mots féminins, selon l’Académie française[5], « dans les noms féminins composés, grand ne s’accordant pas en genre, ne s’accorde pas non plus en nombre. ». On écrira donc, par exemple, « des grand-mères » pour suivre l’Académie. Mais cette recommandation ne datant que de 2005, il reste difficile d’établir si elle a eu le moindre impact sur la doctrine ou sur l’usage qui jusque-là accordait également les pluriels féminins. Exemples : « les grands-pères et les grands-mères », « la fête des grands-mères », « les mères-grands », « les grands-papas et les grands-mamans », « les grands-messes », « les grands-tantes », « les grands-voiles », etc.


Un piège « académique » : Le mot « grand-croix », féminin lorsqu’il désigne la décoration, s’écrit « grand-croix » au pluriel (en suivant l’Académie). Mais il devient traditionnellement masculin lorsqu’il désigne le récipiendaire et s’écrit alors « grands-croix » au pluriel ; exemple : « la liste des grands-croix de l’ordre national du Mérite ».

Conformément au sens, « grand- » reste toujours invariable dans les adjectifs : « grand-ducal » (voir l’article Grand-duc), « grand-maternel », « grand-paternel ».

Écriture des nombres

Ancienne orthographe

Pour les nombres composés inférieurs à 100, les différents éléments sont reliés entre eux par des traits d’union, sauf quand ils sont liés par la conjonction et [6].

  • 28 = vingt-huit
  • 31 = trente et un
  • 71 = soixante et onze ou septante et un
  • 92 = quatre-vingt-douze
  • 124 = cent vingt-quatre
  • 777 = sept cent soixante-dix-sept
  • 851 = huit cent cinquante et un

L’ancienne orthographe reste correcte et est encore largement enseignée.

Nouvelle orthographe (dite de 1990)

La nouvelle orthographe est obtenue en appliquant les rectifications orthographiques de 1990.

On écrit les numéros composés avec des traits d’union entre chaque élément (exemple : vingt-et-un-mille-trois-cent-deux).
La nouvelle orthographe est non ambigüe ; ainsi distingue-t-on :

  • mille-cent-vingt-septième (1127e)
  • de mille-cent-vingt septièmes (1120/7)
  • de mille-cent vingt-septièmes (1100/27)
  • de mille cent-vingt-septièmes (1000/127)

Ou encore :

  • vingt et un tiers (20 + 1/3)
  • de vingt-et-un tiers (21/3)

Noms de voies et d'organismes

Règles typographiques

Le Lexique des règles typographiques en usage à l’Imprimerie nationale indique à l’entrée « Rue (noms de) » (p. 156) que « dans une dénomination composée, tous les éléments, à l’exception de l’article initial, sont liés par des traits d’union. ». Les noms de voies s’écrivent donc sous la forme :

Et aussi les ouvrages d’art situés en ville ou non :

Prennent une capitale les substantifs, les adjectifs et les verbes.

Fronton du lycée Louis-le-Grand de Paris : LOUIS est graphié LOVIS à la façon des inscriptions antiques.

Ceci s’applique également à tout organisme, bâtiment ou monument public portant le nom d’une personne notamment :

La localité où se trouve un lieu de culte ne fait pas partie du nom du lieu de culte :

Pour les ordres, trait d’union uniquement au nom de saint, on écrit donc « l’ordre de l’Aigle noir », « l’ordre de l’Étoile rouge » mais :

Ces appellations sont parfois abrégées : Roland-Garros (le stade Roland-Garros et plus souvent encore les Internationaux de France de tennis) ne se confondant pas graphiquement avec Roland Garros (l’aviateur). Aurel Ramat fournit les exemples suivants : « J’aime Louis le Grand (lui-même) » et « J’aime Louis-le-Grand (le lycée) » et « Il a parlé à Jean Bouin (lui-même) et « Il a parlé à Jean-Bouin (le stade) ». [7]

Acceptation des règles typographiques

Pour certains, l’usage belge est de ne pas lier prénom et nom par un trait d’union, par exemple, la place Eugène Flagey et non la place Eugène-Flagey, l’Institut Lucien Cooremans et non l’Institut Lucien-Cooremans.

L’auteur belge Joseph Hanse indique dans son Nouveau dictionnaire des difficultés du français moderne, 3e édition (1994) (ISBN 2-8011-1089-2), écrit précisément (page 591, s. v. Noms) : « Noms de rues, de placesetc. On ne met pas de devant les noms propres de personnes rue Victor Hugo (plutôt que rue Victor-Hugo, préféré par un certain usage français non habituel), rue du Vingt-Neuf-Juillet, rue du Bois-Le-Vent, mais rue La Boétie. » et ne semble pas évoquer les noms d’organismes.

L’exception (qui n’en est pas une selon l’usage réputé « français ») concerne les saints, on met toujours une majuscule et un trait d’union :

D’après Joseph Hanse, l’incompréhension relative au trait d’union est à peine plus forte en Belgique qu’en France. Après tout, selon Le Bon Usage, le Français Albert Dauzat a lui aussi jugé « fautif » les traits d’union dans les noms de rues[8].

Le français canadien n’a aucun problème avec le trait d’union. Par exemple, il existe à Montréal une place Jacques-Cartier et un pont Jacques-Cartier portant tous deux le nom de Jacques Cartier.

Noms des entités politiques et administratives

Les mêmes règles que pour les noms de rues s’appliquent aux unités administratives et politiques françaises ou dont le nom a été, partiellement ou totalement, francisé[réf. nécessaire]. La règle s’applique également à nombre de noms du domaine de la géographie physique.

L’« unionisation » entraîne l’apparition d’une majuscule dans tous les noms et adjectifs unis dans l’expression. Trait d’union et majuscule sont donc les outils d’élaboration des noms composés des unités administratives et politiques.

Exemples : la Loire-Atlantique, Scey-sur-Saône-et-Saint-Albin, la Basse-Normandie, les Côtes-d’Armor, la Rhénanie-du-Nord-Westphalie, la Virginie-Occidentale, Chanteloup-les-Vignes, le Cap-Vert, la Bohême-du-Sud, les États-Unisetc.

La partie du nom qui sera « unionisée » est ce qu’on appelle le spécifique (le nom « propre »), par opposition au générique (nom « commun »).

Ainsi, dans « département du Pas-de-Calais », « département » est générique, « Pas-de-Calais » est spécifique. Dans « pas de Calais », « pas » est un générique (synonyme de détroit), « Calais » est spécifique. Le cas du « département du Puy-de-Dôme » et du « puy de Dôme » est analogue ainsi que celui du « département des Alpes-Maritimes » et des « Alpes maritimes ».

De même, on fera la différence entre :

- la province de l’Île-du-Prince-Édouard et l’île du Prince-Édouard qui donne son nom à la province ;

- la commune de L’Île-Saint-Denis et l’île Saint-Denis qui donne son nom à la commune ;

- le massif du Mont-Blanc et le mont Blanc ;

- la République du Cap-Vert et le cap Vert ;

La logique, si l’application de cette règle était et avait toujours été respectée, voudrait que l’on fasse la différence entre l’Afrique du sud comme synonyme d’« Afrique australe » et l’Afrique-du-Sud, l’État (tout comme « Timor oriental » et « Timor-Oriental », « îles Salomon » et « Îles-Salomon »). On ne rencontre guère plus « Irlande-du-Nord ». De même, Provence-Alpes-Côte d’Azur, Mecklembourg-Poméranie-Occidentale ou Frioul-Vénétie-Julienne ne sont pas toujours les formes les plus courantes.

L’usage n’a pas non plus retenu cette règle qui aurait permis de différencier le pays Basque (ou Pays basque), région humaine et historique, et le Pays-Basque, l’unité administrative qu’est la Communauté autonome basque.

Sur la mutilation de cette règle, voir les notes de Jean-Pierre Lacroux : Pays et territoires administrativement organisés [PDF] (à partir de la page 156 du PDF, à partir de la page 132 dans la numérotation des feuillets de l’auteur).

Échappent ainsi au trait d’union du fait d’un usage persistant : la Corée du Nord (la Corée-du-Nord pour le Petit Robert), la Corée du Sud (la Corée-du-Sud pour le Petit Robert), la Côte d’Ivoire (volonté politique du pays africain qui refuse également toute forme de traduction, alors que la forme Côte-d’Ivoire est la bonne pour le ministère des Affaires étrangères français, la Guinée équatoriale (la Guinée-Équatoriale pour le Petit Robert).

Jacques-Cartier (portant le nom de Jacques Cartier) et René-Lévesque (portant le nom de René Lévesque) sont des circonscriptions électorales situées au Québec.

Trait d'union avec pronom personnel ou démonstratif

  • Les tournures interrogatives demandent des traits d'union avec les pronoms personnels (ou le pronom démonstratif ce) : est-on fatigué ? viendrez-vous avec nous ? comment allez-vous ? habite-t-il près d'ici ? est-ce qu'il s'en ira bientôt ?
  • L'impératif non négatif nécessite l'usage d'un trait d'union entre le verbe et le pronom personnel complément (direct ou non) qui le suit : donne-lui tout de même à boire ! ; prends-la ! ; rendez-les ! ; excusez-moi ! ; laisse-moi, laisse-moi donc tranquille ! Il en est de même avec l'impératif des verbes pronominaux qui nécessite l'usage d'un trait d'union entre le verbe et le pronom personnel qui le suit : lève-toi ! ; dépêchons-nous ! ; asseyez-vous !

Il existe des tournures analogues avec les pronoms en et y : prends-en un peu et allons-y ! va-t'en d'ici ! laisses-en un peu ou retournes-y (avec dans ce dernier exemple un s euphonique avant chacun des traits d'union). Toutefois, si en ou y sont suivis d'un infinitif, ils s'écrivent sans s euphonique et sans trait d'union : va y mettre bon ordre !

Dans le cas de forme négative, on ne met pas de trait d'union devant le pronom car celui-ci précède le verbe au lieu de le suivre : ne vous fatiguez surtout pas ! ; ne me dérangez pas ! n'en prenez plus !

  • Double trait d'union :

L'impératif non négatif permet aussi des tournures avec deux pronoms personnels successifs précédés chacun d'un trait d'union : donne-la-lui ! ; redis-le-moi ! ; rappelle-le-toi ! ; chantez-la-nous ! ; tiens-le-toi pour dit ! ; tenons-nous-le pour dit ; ce livre, laisse-le-moi lire ! ; parlez-nous-en ! laisse-nous-en parler ! ; menez-nous-y ! ; mènes-y-moi ! . Mais on écrit aussi avec un seul trait d'union : laisse-moi le lire ! ; souviens-t'en ! ; garde-t'en bien ! ; laisse-nous en parler ; laisse-m'en parler ! ; mène-m'y !

Confusion avec le tiret

En raison de son accessibilité sur les dispositions de clavier (sur le pavé numérique et en accès direct sous la touche « 6 » sur l’azerty français), le trait d’union, qui sert aussi de signe moins, est fautivement utilisé de plus en plus fréquemment à la place du tiret (moins accessible) ; or, autant leur œil que leur fonction diffèrent voire sont opposés : le trait d’union unit, le tiret divise. Ainsi, les énoncés suivants sont mal écrits :

- Bonjour, dit-il.
- Au revoir, répondit-elle.

Une chose - ou plutôt un machin - en forme de poire.

On attendrait en effet un tiret cadratin pour le dialogue et demi-cadratin pour l’incise :

— Bonjour, dit-il.
— Au revoir, répondit-elle.

Une chose – ou plutôt un machin – en forme de poire.

Le Lexique des règles typographiques en usage à l’Imprimerie nationale indique à l’entrée « Régions administratives » (p. 155) les formes Nord – Pas-de-Calais et Provence – Alpes – Côte d’Azur alors que l’Insee écrit Nord-Pas-de-Calais et Provence-Alpes-Côte d’Azur.

Codage informatique

nom glyphe code HTML code ASCII codePage 1252 MacRoman ISO 8859-1 Unicode
trait d’union-signe moins
c.-à-d. tiret, trait d’union, signe moins,
également appelé « division » par les typographes
Oo - Oo
&#x2d; 45 (0x2d) 45 (0x2d) 45 (0x2d) 45 (0x2d) U+002d
trait d’union conditionnel
c.-à-d. trait d’union virtuel
Oo - Oo
&shy; ou
&#xad;
— impossible — 135 (0xad) — impossible — 135 (0xad) U+00ad
trait d’union
Oo  Oo
&#x2010; — impossible — — impossible — — impossible — — impossible — U+2010
trait d’union insécable
Oo  Oo
&#x2011; — impossible — — impossible — — impossible — — impossible — U+2011
tiret numérique
Oo  Oo
&#x2012; — impossible — — impossible — — impossible — — impossible — U+2012
tiret demi-quadratin
Oo  Oo
&ndash; ou
&#x2013;
— impossible — 150 (0x96) 208 (0xd0) — impossible — U+2013
tiret quadratin
Oo  Oo
&mdash; ou
&#x2014;
— impossible — 151 (0x97) 209 (0xd1) — impossible — U+2014
barre horizontale
Oo  Oo
&#x2015; — impossible — — impossible — — impossible — — impossible — U+2015
puce trait d’union
Oo  Oo
&#x2043; — impossible — — impossible — — impossible — — impossible — U+2043
signe moins
Oo  Oo
&minus; ou
&#x2212;
— impossible — — impossible — — impossible — — impossible — U+2212
note : 0x • •  indique un code hexadécimal ; les codes Unicode sont toujours indiqués en hexadécimal.

Notes et références

  1. (fr) Commande C0 et latin de base selon Unicode
  2. Le trait d’union dans les termes médicaux.
  3. Non peut aussi être adverbe, il ne prend alors pas de trait d’union.
  4. Quasi peut aussi être adverbe, il ne prend alors pas de trait d’union.
  5. Article « Grand » de la neuvième édition du Dictionnaire de l’Académie française, Tome 2 (Éoc - Map), éd. Imprimerie nationale/Fayard, Paris, 2005, (ISBN 2213621438).
  6. Lexique des règles typographiques en usage à l’Imprimerie nationale, Imprimerie nationale, 2002, édition octobre 2007 (ISBN 978-2-7433-0482-9), p. 127.
  7. Aurel Ramat, Le Ramat typographique, éditions Charles Corlet, 1994, 127 p. (ISBN 2-85480-468-6 et 978-2854804683), page 63.
  8. Grammaire raisonnée d’Albert Dauzat, p. 43, référence fournie dans Maurice Grevisse et André Goosse, Le Bon Usage, 14e édition, 2008, (ISBN 2-8011-1404-9), § 109, b, 6°.

Bibliographie

  • Nina Catach, Orthographe et lexicographie : les mots composés, Nathan, Paris, 1981.
  • Michel Mathieu-Colas, Les mots à trait d’union, CNRS-INaLF, éd. Didier Erudition, Paris, 1994.

Voir aussi

Liens externes


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