- Typographie
-
Histoire de l’imprimerie Technologies Sceau-cylindre 4100-500 av. J.‑C. Disque de Phaistos 1850–1400 av. J.‑C. Xylographie 200 ap. J.-C. Taille-douce années 1430 Imprimerie 1439 Typographie 1450 Lithographie 1796 Chromolithographie 1837 Presse rotative 1844 Flexographie années 1890 Impression offset 1903 Quadrichromie XIXe-XXe siècle Sérigraphie 1907 Sublimation 1957 Photocopieur années 1960 Tampographie années 1960 Imprimante laser 1969 Imprimante par matrice de points 1970 Imprimante thermique Jet d’encre 1976 Impression numérique 1993 Impression 3D La typographie (souvent abrégé en typo) désigne les différents procédés de composition et d’impression utilisant des caractères et des formes en relief.
La typographie est à l’origine l’art d’assembler des caractères mobiles afin de créer des mots et des phrases et de les imprimer. Cette technique a été mise au point vers 1440 par Gutenberg, qui n’a pas inventé l’imprimerie à caractères mobiles mais un ensemble de techniques conjointes : les caractères mobiles en plomb et leur principe de fabrication, la presse typographique, et l’encre grasse nécessaire à cet usage.
La typographie, par extension, est la technique d’impression qui utilise le principe du relief, comme les caractères mobiles en plomb et en bois, mais aussi les images en relief, d’abord gravures sur bois puis clichés en métal et en photopolymère. La typographie a été pratiquement la seule forme d’impression jusqu’au XXe siècle, où elle a été remplacée par l’offset, lui-même issu de la lithographie inventée à la fin du XVIIIe siècle. L’impression typographique existe encore pour des travaux artisanaux à tirage limité ainsi que pour la découpe, l’embossage et l’estampage.
Enfin, la typographie est l’art et la manière de se servir des caractères : choix de la police, du corps et de la mise en page.
On appelle prote le chef d'un atelier de typographie.
Sommaire
Histoire
L’histoire de la typographie est étroitement liée à l’histoire et à l’évolution de l’imprimerie.
Les typographes furent les pionniers du mouvement ouvrier nord-américain. Le plus vieux syndicat québécois et canadien toujours existant est l’Union internationale des typos. De plus, le premier député ouvrier canadien fut le typographe Alphonse-Télesphore Lépine.
Caractère
Les premiers caractères mobiles utilisés en Corée et en Chine étaient fabriqués en terre cuite, céramique, parfois en bois, enfin en cuivre, l’impression étant toujours réalisée à la main par frottage, sans utiliser de presse. En Europe, on utilisa le bois pour graver des pages entières de texte (xylographies). C’est Gutenberg et ses associés qui mirent au point les caractères mobiles fondus avec un alliage de plomb (80 %), d’antimoine (5 %) et d’étain (15 %) dans des matrices. Les caractères typographiques sont réunis en catégories – à empattements (comme le Times New Roman), sans empattements (comme l’Helvetica), fantaisie, etc. – puis en familles de caractères (garalde, humane, mécane, etc.) puis en polices (Helvetica, Caslon, Times New Roman, Arial), corps et graisses (gras, italique, etc.). Depuis l’ère de l’informatique ce sont des polices numériques.
L’utilisation des caractères typographiques dans un but artistique est ancienne ; elle a été renouvelée à la fin du XXe siècle par la généralisation de la publication assistée par ordinateur (PAO).
Parmi les créateurs de caractères célèbres on compte : Claude Garamont (Garamond), John Baskerville, Giambattista Bodoni, Firmin Didot, Hermann Zapf (Palatino, Optima, ITC Zapf Dingbats), Roger Excoffon (Mistral), Adrian Frutiger (Univers), Max Miedinger (Helvetica), Stanley Morison (Times).
Composition manuelle
Article détaillé : Composition (imprimerie).Le typographe se sert d’un composteur sur lequel il aligne les caractères, lus à l’envers, de gauche à droite, piochés dans une boîte en bois appelée casse. Les caractères du haut de la casse sont appelés les capitales (majuscules) et ceux du bas les bas-de-casse ou minuscules. Le composteur permet d’assurer la justification de la ligne, c’est-à-dire sa longueur. Entre chaque mot, on insère une espace[note 1] et on complète en insérant dans certains cas des espaces fines entre les lettres afin d’en parfaire la justification. Une fois les lignes composées, on les place sur une galée, maintenue en biais. Ces lignes sont attachées avec plusieurs tours de ficelle afin de rendre solidaire l’ensemble et le déplacer plus facilement. Ce bloc de lignes appelé composition est calé dans un châssis en fonte à l’aide de coins en bois dans un premier temps, et par la suite avec des noix de serrage. Ensuite, le typographe peut insérer près du texte des filets, des espaces vides, des ornements typographiques ou des clichés provenant de la photogravure. Le châssis est ensuite fixé sur une presse typographique.
Des ateliers de typographie permettent encore de réaliser certains travaux en petite quantité (cartes de visite, papier à lettres, faire-part) à moindre coût ainsi que la découpe, le rainage, la dorure et l’embossage.
Composition automatisée
Article détaillé : Machine à composer (imprimerie).La typographie a été ensuite automatisée avec la Monotype et la Linotype, semi-automatisée avec la Ludlow Typograph qui permettaient de fondre directement les lettres ou des lignes composées d’un seul tenant.
Photocomposition
La photocomposition a pris ensuite la relève de la composition au plomb dans les années 1960-1970.
Infographie
Aujourd’hui, l’infographie pratique à l’aide des ordinateurs et des différentes imprimantes un métier semblable à la typographie. Le graphiste utilise dans ses créations les caractères typographiques qui peuvent alors être qualifiées de typographie expressive. Certains s’en sont fait une spécialité comme Pierre Faucheux ou Robert Massin dans le domaine de l’édition française. Le graphiste britannique Neville Brody utilise la typographie à partir de la fin des années 1980 d’une manière originale dans toute son œuvre (affiches, maquettes de magazines, etc.) et a produit un grand nombre de caractères édités par FontShop, eux-mêmes largement utilisés par les générations suivantes de graphistes. Malte Martin fait la communication visuelle du Théâtre de l’Athénée-Louis-Jouvet en utilisant la typographie comme élément visuel principal[1]. Pierre di Sciullo travaille sur l’utilisation des caractères typographiques dans l’espace urbain[2],[3] et Philippe Apeloig utilise la typographie dans des affiches[4] du Théâtre du Châtelet.
Taille du caractère typographique
À l’origine, les différentes tailles de caractères étaient désignées, de manière approximative, par des appellations : Parisienne (équivalent à un corps 5 actuel), Nompareille (6), Mignone (7), Petit-texte (8), Gaillarde (9), Petit-romain (10), Philosophie (11), Cicéro (12), Saint-Augustin (14), Gros-texte (16), Gros-romain (18), Petit-parangon (20), Gros-parangon (22), Palestine (24), Petit-canon (28), Trismégiste (36), Gros-canon (44), Double-canon (56), Triple-canon (72), Grosse-nompareille (96).
Article détaillé : Point (unité).Le besoin d’une standardisation se faisant sentir, il y eut plusieurs tentatives de « point typographique » : par Truchet, Fournier, et enfin Didot, qui finit par s’imposer. En France, l’unité est donc le point (0,376 mm, soit deux points « géométriques ») qui se convertit en cicéros (ou douze, abrégé en dz, parce qu’il vaut douze points). Le cicéro a été utilisé pour toutes les mesures tant qu’a duré l’impression en typographie, notamment dans la presse quotidienne. Toute composition, longueur, largeur, est un multiple de points. Par exemple, vingt cicéros valent deux cent quarante points, soit approximativement neuf centimètres. Dans le domaine anglo-saxon, on emploie le point Pica (environ 0,353 mm). On retrouve encore ces points actuellement pour donner la dimension d’un caractère d’ordinateur. On dira alors du Times corps 24 (points).
Code typographique
En France, la typographie est encadrée par des règles regroupées dans le Lexique des règles typographiques en usage à l’Imprimerie nationale édité par l’Imprimerie nationale, ou le Code typographique édité par la Chambre typographique, réactualisé chaque année. D’une manière similaire, les typographes suisses romands utilisent le Guide du typographe. En Belgique, c’est l’Institut belge de normalisation qui détient les documents officiels[5]. Ces différents codes sont parfois contradictoires.
Le Code typographique impose parfois des spécifications différentes du Code dactylographique enseigné dans les écoles de secrétariat. Ainsi, le Code dactylographique impose de ne jamais mettre d’espace entre la dernière lettre d’un mot et le signe typographique qui la suit, tandis que le Code typographique demande d’y intercaler une espace protégée fixe lorsque le signe est une ponctuation de la hauteur d’un caractère (; : ? ! % etc.) (dont, moyen mnémotechnique, tous les signes doubles), pour des raisons de lisibilité en chasse variable (le procédé diminue au contraire la lisibilité en chasse fixe si l’espace protégée fixe est remplacée par une espace justifiante).
Le code typographique s’applique indifféremment à toute composition, qu’elle soit mécanique (typographie) ou informatique (PAO, traitement de texte).
Exemples des pratiques en typographie française
Abréviation
- Si les dernières lettres du mot abrégé sont omises, alors on termine le mot par un point. Exemple : on abrège monsieur par M. et non Mr ni Mr., qui sont l’abréviation de l’anglais mister ; on écrit en revanche Dr et Mgr (monseigneur) parce que dans leur cas ce r final se prononce.
- L’abréviation de messieurs est MM., madame s’abrège Mme et mademoiselle en Mlle, alors que Me renvoie à maître.
- Si la ou les dernières lettres d’un mot sont présentes dans son abréviation, alors celle-ci ne comportera pas de point à la fin. Exemples : Bd pour boulevard. En revanche, un point est requis lorsque l’on abrège un mot sans utiliser la lettre finale. Exemples : Av. pour avenue, App. pour appartement, Terr. pour terrain.
- Cependant, dans un texte encyclopédique, il est d’usage d’éviter les abréviations. On écrira alors « Le docteur Folamour a reçu monseigneur Don Camillo. »
Majuscule
Le code spécifie aussi des règles concernant l’usage des capitales et des minuscules. Ces règles diffèrent d’un pays à l’autre. Les usages des pays anglophones demandent de capitaliser les mots non triviaux des titres (exemple : The Art of Computer Programming), ce qui est considéré comme inacceptable en France (l’Art de la programmation). On ne décapitalise évidemment ni les noms propres, ni les substantifs allemands cités comme tels, même dans les titres. Contrairement à l'usage anglophone, on ne capitalise bien évidemment ni les noms de mois (janvier, février, ...) ni les noms de jours (lundi, mardi, ...), à moins que cela ne fasse référence à des évènements historiques (8 Mai 1945).
Trait d’union
Les noms de voies et des communes sont considérés comme un tout, munis de traits d’union et capitalisés. Ainsi, il faut écrire « rue Vieille-du-Temple », « Saint-Germain-en-Laye », etc.
Capitale accentuée
Le code rappelle que le français est une langue accentuée et que la « tolérance », à l’époque des machines à écrire à rouleau, de ne pas accentuer les capitales n’a aucune raison de s’étendre à la typographie : en français, les capitales doivent être accentuées lorsque la police dispose du caractère approprié. La plupart des polices utilisées en informatique comportent de tels accents, les fontes typographiques également.
Ponctuation
Les typographes ont trois objectifs permanents : l’homogénéité, la lisibilité et la cohérence. Ces objectifs sont parfois en conflit entre eux et font l’objet de discussions régulières. Un point sur lequel les avis des typographes restent réservés en dépit des spécifications du Code est la gestion de la ponctuation finale d’une citation entre guillemets quand celle-ci arrive en fin de phrase.
La première forme de ponctuation :
- Il décida : « La question ne sera pas posée. ». On passa à la suite.
serait en effet particulièrement illisible. Pour autant, l’habitude imposée par les logiciels typographiques anglo-saxons de ramener la totalité de la ponctuation finale à l’intérieur des guillemets n’a pas un effet beaucoup plus heureux sur la lisibilité.
En effet, la deuxième forme de ponctuation :
- Il décida : « La question ne sera pas posée. » On passa à la suite.
donne l’impression que la fermeture des guillemets se trouve dans la phrase suivante.
La virgule a une importance comme le montre cette phrase célèbre de la Bataille de Fontenoy, où le sens diffère selon le positionnement de la/des virgule(s) :
- « Messieurs les Anglais, tirez les premiers ! » (Les Anglais sont invités à tirer) ;
- « Messieurs, les Anglais, tirez les premiers ! » (Il faut tirer pour se protéger de l'adversaire).
Informatique
Dans les années 1980, l’arrivée de la micro-informatique et des logiciels de PAO ont fortement démocratisé l’accès de la création de documents vers des intervenants venus d’autres horizons que la typographie. Le faible coût de l’équipement et le gain de temps engendré ont provoqué des perturbations économiques importantes dans le monde de la photocomposition. Le marché a pendant quelque temps changé de mains, et la qualité typographique des documents produits s’en est alors ressentie. Le calme est revenu au milieu de la décennie 1990 : les petites sociétés de PAO soit avaient fini par maîtriser les techniques de la profession, soit avaient fait faillite, soit s’étaient associées avec — ou avaient été rachetées par — des typographes de métier (étude publiée par la revue Caractères)[réf. souhaitée].
Notes et références
Notes
- Ce mot est féminin lorsqu’il désigne l’objet en plomb, de même qu’interligne, languette de plomb ou de bois s’intercalant entre les lignes.
Références
Bibliographie
- Eric Martini, Petit guide de typographie, Éditions Glyphe, 2008
- Collectif, Abrégé du Code typographique à l’usage de la presse (ISBN 2-9080-5626-7)
- Lewis Blackwell, La Typographie du XXe siècle (ISBN 2-0801-1292-9)
- Collectif, Lexique des règles typographiques en usage à l’Imprimerie nationale, Paris, Imprimerie nationale, 2002, rééd. octobre 2007 (ISBN 2-7433-0482-0 et 978-2-7433-0482-9)
- Yves Perrousseaux, Manuel de typographie française élémentaire (ISBN 2-9112-2000-5)
- James Felici, Le Manuel complet de typographie (ISBN 2-7440-8067-5)
- Aurel Ramat, Le Ramat de la typographie (ISBN 978-2-922366-04-4)
- Guide du typographe, 6e édition, (Anciennement, Guide du typographe romand), Groupe de Lausanne de l’Association suisse des typographes
- Jacques Drillon, Traité de la ponctuation française (ISBN 2-0707-2198-1)
- Maurice Grevisse, Le bon usage, treizième édition par André Goosse, éd. De Boeck - Duculot, 1993, 1 762 p. (ISBN 2-8011-1045-0 et 978-2-8011-1045-4)
- Jean Méron, Orthotypographique : recherches bibliographiques (ISBN 2-9517-9711-7)
- Théotiste Lefevre, Guide pratique du compositeur et de l’imprimeur typographes, Librairie de Firmin-Didot et Cie, 1883 (ISBN 2-7384-6919-1)
- Jean-Pierre Lacroux, Orthotypographie. Orthographe & typographie française. Dictionnaire raisonné, version intégrale en HTML et en PDF, sous licence Creative Commons. Voir également la possibilité de se procurer l’ouvrage sous la forme de livre sur le site de La Part de l’ange
- Jacques André, Petites leçons de typographie [PDF], août 2008, 52 p.
Voir aussi
Articles connexes
- Caractère (typographie)
- Fonderie typographique
- Typographe
- Ornement typographique
- Photocomposition
- Infographie
- Publication assistée par ordinateur (PAO)
- Graphisme
- Calligraphie
- Comparatif des différents codes typographiques francophones
- Orthotypographie
- Pangramme
- Poésie typographique
- Typographie expressive
- Typographie cinétique
- Typographie sur le Web
- Imprimerie
- Photogravure
Liens externes
- Jean-Pierre Lacroux, Orthotypographie (version HTML et PDF du lexique des règles typographiques)
- Catégorie Typographie de l’annuaire dmoz
- Dictionnaire de l’argot des typographes disponible sur Wikisource
- Typographie & Civilisation
- Lexique des règles de typographie
- Jacques André, Faqtypo (une page consacrée à quelques aspects de la typographie)
- planete-typographie.com
- Éric Martini, Le Petit Guide de typographie en ligne
- Du bon usage de la typographie sur la Toile sur le site texteur.net
- Normes de saisie de la Cour de cassation [PDF] (Service de documentation et d’études)
Wikimedia Foundation. 2010.
Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Typographie de Wikipédia en français (auteurs)
Regardez d'autres dictionnaires:
typographie — [ tipɔgrafi ] n. f. • 1557; de typo et graphie 1 ♦ Ensemble des techniques et des procédés permettant de reproduire des textes par l impression d un assemblage de caractères en relief (imprimerie typographique; par opposition aux procédés par… … Encyclopédie Universelle
Typographie — (griech.), Buchdruckerkunst … Meyers Großes Konversations-Lexikon
Typographie — Typographie, die Buchdruckerkunst (s.d.) … Lexikon der gesamten Technik
Typographie — Typografie * * * Ty|po|gra|phie 〈f. 19; unz.〉 = Typografie * * * Ty|po|gra|phie usw.: ↑ Typografie usw. * * * I Typographie [Kunstwort, im Sinn von Drucktype zu griechisch »týpos« und »gr … Universal-Lexikon
typographie — (ti po gra fie) s. f. 1° Art de l imprimerie. • Il revendique pour Guttenberg et pour Strasbourg celle [invention] des caractères mobiles de bois, et par conséquent les plus anciens produits de la typographie proprement dite, DAUNOU Instit.… … Dictionnaire de la Langue Française d'Émile Littré
Typographie — Der Begriff Typografie oder Typographie (gr. τυπογραφία typographía, von τύπος týpos „Schlag“, „Abdruck“, „Figur“, „Typ“ und grafie) lässt sich auf mehrere Bereiche anwenden. Im weiteren Sinne bezieht sich die Typografie auf die Kunst des… … Deutsch Wikipedia
Typographie sur le Web — La typographie sur le Web désigne le choix des polices de caractères, la mise en page et l intégration de nouvelles fontes sur les sites Internet et leurs pages Web. Sommaire 1 Mise en situation 2 Standardisation 3 Réactions du marché … Wikipédia en Français
Typographie expressive — Par définition, tout graphiste utilise dans son travail la typographie qui peut alors être qualifiée de typographie expressive, idée venue des États Unis. Il s agit à l origine de renforcer ou de détourner le sens d un mot ou d une expression, d… … Wikipédia en Français
Typographie cinétique — La typographie cinétique (de l’anglais kinetic typography) est une technique de cinéma d’animation alliant mouvement et texte dans le cinéma ou la vidéo. Ses applications les plus fréquentes sont les génériques, le web design et, de plus en plus … Wikipédia en Français
TYPOGRAPHIE — s. f. L art de l imprimerie ; et, plus spécialement, La réunion de tous les arts qui concourent à l imprimerie. Il se dit, quelquefois, d Un grand établissement typographique … Dictionnaire de l'Academie Francaise, 7eme edition (1835)