Terves

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Bressuire

Bressuire
Carte de localisation de Bressuire
Pays France France
Région Poitou-Charentes
Département Deux-Sèvres
(sous-préfecture)
Arrondissement Bressuire
(chef-lieu)
Canton Bressuire
(chef-lieu)
Code Insee 79049
Code postal 79300
Maire
Mandat en cours
Jean Michel Bernier
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes Cœur du Bocage
Latitude
Longitude
46° 50′ 27″ Nord
       0° 29′ 14″ Ouest
/ 46.8408333333, -0.487222222222
Altitude 98 m (mini) – 236 m (maxi)
Superficie 180,59 km²
Population sans
doubles comptes
18 225 hab.
(2006)
Densité 121 hab./km²

Bressuire est une commune française, située dans le Nord du département des Deux-Sèvres dont elle est l'une des deux sous-préfectures, au sein de la région Poitou-Charentes. Ses habitants sont appelés les "Bressuirais".

C'est la capitale du Pays du bocage Bressuirais qui comprend les cantons de Bressuire, de Cerizay et de Mauléon. La ville est membre et accueille le siège de la Communauté de Communes Coeur de Bocage avec les Communes de Chiché, Faye-l'Abbesse, Courlay et Boismé.

Sommaire

Géographie

Bressuire est située au cœur du bocage poitevin, au nord-ouest du département des Deux-Sèvres, à environ 30 à 40 kilomètres de Parthenay (au sud-est), de Thouars (au nord-est) et de Cholet (au nord-ouest).

Elle est à environ une heure de route de grandes agglomérations de l'Ouest : Nantes, Poitiers, Angers et Niort, sur la Route nationale 149 (E62) — future RN 249 — reliant Nantes à Poitiers.

La ville est desservie par le rail avec des liaisons quotidiennes vers Paris "via" Saumur et Tours en TER dernière génération, et vers La Roche-sur-Yon.

Toponymie

L'origine du nom "Bressuire" proviendrait de la réunion de deux éléments, "Berg" (mont) et "Durum" (forteresse), réunis par un "o" de liaison pour former les vocables "Berzoriacum" (attesté en 1029) et "Bercorium" (attesté en 1095) ce qui signifierait "la forteresse sur la colline".[1]

En poitevin, Bressuire se dit "Bercheur".

Héraldique & vexillologie

Blason de Bressuire

"Blasonnement" : D’argent à l'aigle bicéphale de sable.[2]

Ces armes rappellent celles de la famille de Beaumont, seigneurs de Bressuire du Xe au XVIe siècle, qui portaient « une aigle d’or sur champ de gueules semé d’hermines (ou de fers de lance) ».

Le drapeau est identique aux armes : blanc à l'aigle bicéphale noir au centre.[3]

Histoire

Bressuire est dès l'époque celtique et aux temps gallo-romains un carrefour de routes , les premiers témoignages sur l'existence de la ville remontent au XIe siècle autour de la chapelle Saint Cyprien.

La cité médiévale ("Castrum Berzoriacum") dépendait de la vicomté de Thouars et comportait, au Xe siècle, trois paroisses : Notre-Dame, Saint-Jean et Saint-Nicolas. Cette dernière située dans l'enceinte du chateau et aujourd'hui disparue dépendait de l'abbaye de Saint-Jouin-de-Marne.

L'église Saint-Jean s'élevait à proximité du moulin du Peyré près d'une voie très fréquentée. Plusieurs prieurés étaient actifs dans les faubourgs Saint-Cyprien et Saint-Jacques, ainsi que Sainte Catherine qui eux relevaient soit de l'abbaye Sainte Croix de Poitiers, soit de l’abbaye de La Réau (actuel département de la Vienne). Le prieuré de Saint Jacques était un lieu de fête pour les pélerins de passage le jour de la fête du Saint.

Existait également l'église des Cordeliers qui jouxtait le monastère du même nom dans le centre de la ville.

Son château médiéval (aujourd'hui en ruines) est situé sur un coteau qui surplombe l'ancien bourg et le prieuré que le vicomte de Thouars abandonne vers 1030 aux moines de abbaye Saint-Cyprien de Poitiers. L'enceinte extérieure du château est établie au XIIIe siècle, ainsi qu'une enceinte fortifiée, avec de nombreuses tours et cinq portes, entourant les deux paroisses situées hors du château (Notre-Dame et Saint-Jean). La famille Beaumont-Bressuire, seigneurs de Bressuire jusqu'au XVIe siècle, accordent des franchises au bourg en 1190 (abandon des droits de mutation, abandon des réquisitions en chevaux et armes, notamment)[4]. Ils font également élever l'église Notre-Dame en l'an 1090, elle ne fut terminée qu'au début du XVIe, véritable phare de la ville alors en développement. Du Moyen Âge au XVe siècle Bressuire prospère allant jusqu'à atteindre les 10 000 habitants, et la cité est reconnue notamment pour son activité drapière. Jacques de Beaumont Chambellan du roi Louis XI renforce le prestige de la ville.

La guerre de Cent Ans met à l'épreuve le château et la ville. À la fin de 1370, Du Guesclin investit la place alors aux mains des Anglais. Pendant ce terrible conflit les franciscains implantent le premier couvent de la ville : le monastère des Cordeliers, qui est détruit en 1820 pour la construction de l'actuel hôtel de ville.

Au XVeme siècle, sous les vicomtes Pierre II d'Amboise, et Louis d'Amboise, la ville est en plein essor économique.

Les guerres de religion au XVIe siècle, avec la destruction de la ville en 1568, marquent le déclin de Bressuire. Au XVIIe, l'activité drapière principale activité de la ville s'effondre. C'est le début des années noires et la population décroît jusqu'à 2 000 habitants.

Durant la guerre de Vendée, la ville est républicaine au sein du bocage royaliste. Elle résiste aux premiers assauts paysans d'août 1792 et n’est prise qu'en 1793 par l’armée catholique et royale. L’année suivante l’ordre républicain est rétabli par Westermann. Cependant les colonnes infernales de Grignon incendient la ville au printemps et ne laissent que peu de maisons intactes. La population n'a d'autre choix que de se réfugier dans les zones tenues par les armées de la République. Ces "réfugiés de la Vendée" vont gagner dans un premier temps Airvault, à l'est, Saumur, au nord, Niort, au sud, avant d'être éloignés à plus de vingt lieues du théâtre de la guerre, comme le stipule l'arrêté des représentants du peuple (Hentz, Garrau et Francastel) du 2 ventôse an II (20 février 1794). Les Bressuirais iront jusqu'à Poitiers mais aussi, plus loin le long de la vallée de la Loire, Blois et même Orléans.

La période de stagnation est longue, et en 1841 la ville ne compte que 2 685 habitants.

C'est avec l'arrivée du chemin de fer en 1866 que le paysage urbain est considérablement modifié, avec des conséquences nettement plus favorables. La ville est un nœud ferroviaire régional à 5 branches : reliée à La Roche-sur-Yon, Niort, Poitiers "via" Parthenay, Thouars, Cholet, La Rochelle "via" Fontenay-le-Comte, elle était le point de croisement de 2 lignes express voyageurs : Nantes-Limoges et Paris-les Sables-d'Olonne jusqu'en 1971. Grâce aux échanges commerciaux et techniques modernes, Bressuire et sa région se développent, aussi bien sur le plan de l'agriculture que de l'industrie. C’est à cette époque que les foires de Bressuire acquièrent leur renommée. Une usine à gaz est implantée, ainsi que la gare de marchandises, l’abattoir, les halles et le théâtre à la fin du XIXe siècle. Dès 1886, la ville compte ainsi 4 200 habitants.

Dans la période 1900-1950, les deux conflits mondiaux se font cruellement sentir comme dans le reste du pays. La ville s'assoupit alors, les seules actions marquantes sont la construction du nouvel abattoir moderne (1938-1939) relié au réseau ferré grâce auquel le marché parisien s’ouvre à la viande du Bocage par l'intermédiaire des premiers wagons frigorifiques de l'entreprise Grimaud ; à noter l'ouverture d'un jardin public et l'arrivée d'une usine agro-alimentaire (conserverie du Dolo).

C'est à partir des années 1950 que Bressuire retrouve sa vitalité avec l'arrivée de nombreuses petites industries toujours actives (confection, bois, transformation des viandes, travail des métaux, mécanique soudure, métallurgie, etc.) elle compte alors 8 500 habitants.

Dans les années 70 Bressuire va se rapprocher de ses communes périphériques dans le cadre de la fusion association et devenir ce que l'on a coutume d'appeler aujourd'hui le "Grand Bressuire".

Parallèlement le XXe siècle marque le déclin de l'activité ferroviaire avec la fermeture de nombreuses lignes au trafic voyageurs d'abord, puis au fret passant par Bressuire entre 1960 et 1982. Aujourd'hui seule subsiste une ligne unique pour le trafic voyageurs et fret par le rail, qui fut d'ailleurs la première en service à Bressuire : La Roche-sur-Yon-Saumur qui fut l'ancienne ligne Paris-Les Sables-d'Olonne, par laquelle transite du frêt et des TER à destination de La Roche-sur-Yon ou Saumur et Tours , permettant de rallier Paris et retour 2 fois par Jour. Les autres destinations se faisant maintenant par la route via le réseau TER BUS des régions Poitou-Charentes et Pays de la Loire ou le réseau RDS BUS du département des Deux-Sèvres.

Les activités tertiaires (scolaire, administrations, transports, santé…) font qu'aujourd'hui Bressuire, sous-préfecture prospère du département, est devenue un pôle d'attraction majeur du Nord des Deux-Sèvres avec un peu moins de 20 000 habitants.Elle conjugue une activité dynamique et un réseau associatif dense.

La cité réalise de nouvelles zones d'activités au nord-ouest et à l'est de la ville : zone Alphaparc et zone de Bocapole équipées du très haut débit Internet et desservies par les échangeurs de la future RN 249, c'est d'ailleurs sur cette dernière que c'est implantée fin 2006 l'antenne Nord-Deux-Sèvres du Conseil Général et que la chaine de télévision publique France 3 Limousin-Poitou-Charentes y a ouvert depuis fin 2008 un studio décentralisé pour le Nord Deux-Sèvres et l'Est Vendée.

Administration

La municipalité de Bressuire est composée de 8 communes associées limitrophes : Terves, Noirterre, Saint-Sauveur-de-Givre-en-Mai, Chambroutet, Noirlieu, Clazay, Breuil-Chausée, Beaulieu-sous-Bressuire.


Liste des maires depuis la Libération
Période Identité Parti Qualité
1944 1960 Didier Bernard
1960 1975 Alain Metayer médecin
1975 Claude Boutet centriste professeur
mars 2001 réélu en 2008 [7] Jean-Michel Bernier divers droite retraité

Démographie

Évolution démographique
(Source : Cassini[8] et INSEE[9])
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 947 630 1 033 1 344 1 475 1 894 2 685 2 646 2 705
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 654 2 693 3 165 3 369 3 536 3 816 4 166 4 723 4 668
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
5 120 4 967 5 274 5 174 5 094 5 163 5 324 6 071 6 206
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 - -
6 528 8 733 17 115 18 423 17 827 17 799 18 225 - -

Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes


La communauté de Communes Cœur de Bocage compte quant à elle 25 300 habitants avec ses 5 communes : Bressuire, Boismé, Chiché, Courlay et Faye-l'Abbesse.

Économie & enseignement

Le bassin d'emploi est le deuxième pôle industriel et artisanal du département des Deux-Sèvres. Bressuire est une ville dynamique ayant un faible taux de chômage;

Les nombreuses zones industrielles et d'activités situées en périphérie de la ville sont le siège de PME variées principalement dans les activités de l'ameublement, du mobilier de collectivité, de l'agro-alimentaire, de la métallurgie, de la mécano-soudure, de l'équipement automobile (Wagon Automotive) et de la confection.

La ville possède un centre-ville dynamique et attractif disposé autour des rues Gambetta, de la Huchette, Ernest-Pérochon; des places du 5 mai, des anciens combattants, Notre-Dame et Émile-Zola principalement, et du passage de la Poste. Elle dispose de l'antenne de la Chambre de commerce et d'industrie des Deux-Sèvres pour le nord du département ainsi qu'un tribunal de Grande instance .

Bressuire compte deux hypermarchés avec leur zone commerciale, un supermarché et deux grandes surfaces à bas prix.

La ville est le siège de quatre lycées d'enseignement général ou technologiques et d'un lycée agricole ainsi que deux collèges, un Institut rural une Maison familiale rurale et une vingtaine d'écoles maternelles ou primaires. Ainsi plus de 6 500 scolaires fréquentent les établissements publics et privés de la ville avec également plusieurs formations supérieures préparant à des métiers porteurs qui rassemblent près de 500 étudiants. L'école de musique inter-communale à l'échelle du Pays , récemment promue en conservatoire permet à ses 600 élèves grâce à ses 35 enseignants de pouvoir étudier les instruments de leur choix. Avec ses équipements, ses associations dynamiques et ses manifestations d'ampleur nationale ou régionale, Bressuire proclame qu'elle « a tout d'une grande ».

Médias

Personnages célèbres

Lieux et monuments

L'architecture du centre-ville a beaucoup souffert des guerres de Vendée et seules quelques bâtisses témoignent d'avant le XVIIe ; le centre-ville d'aujourd'hui date surtout des XVIIIe et XIXe siècle.Cependant il reste quelques édifices remarquable sur l'agglomération:

  • Château de Bressuire (XIe siècle) ou château de la Dubrie. C'est un château fort avec douves et murailles, récemment rénové. Le logis en son centre est Néo-gothique (partie visitable en jours d'exposition)
  • Église Notre-Dame (Xe siècle)au(XIIe siècle) surmontée d'un clocher gothique de 56 mètres qui domine la ville et qui ne passe pas inaperçu quand on arrive du Nord. Rénovée dès 1999 suite à la tempête de décembre, d'anciennes peintures murales y ont été dévoilées.
  • Église Saint-Porchaire (XVe siècle)
  • Église Saint-Sauveur-de-givre-en-mai (Xe siècle)
  • Musée municipal
  • Chapelle Saint-Cyprien (Xe siècle) qui dispose d'une crypte.
  • Cloître Notre-Dame (ancien couvent des cordeliers) accueillant une crèche animée.
  • La coulée verte, aménagement des berges de la rivière Dolo en sentiers pédestres et de ballades à vélo, permet au cœur de la ville de se sentir sur 3 km loin de la civilisation et de l'agitation du monde, en pleine nature.

Bressuire possède un cinéma (deux salles) en centre-ville, cinq hôtels pour plus de 120 chambres et une vingtaine de restaurants. À proximité de la ville se situe une discothèque.

Le Théâtre du Bocage, compagnie professionnelle, a son siège au théâtre de Bressuire. Il crée des spectacles et encadre des ateliers de pratique amateur.

Le Théâtre de Bressuire quant à lui propose tout au long de l'année une programmation culturelle riche et éclectique. Il va pouvoir compter en 2010 sur le nouvel espace culturel pour développer son activité.

Une médiathèque aménagée dans les locaux de l'ancienne sous-préfecture, l'hotel Barante, place du 5 mai vaut le détour pour son aménagement intérieur qui a su mettre en valeur le particularisme de ce bâtiment du XVIIIe siècle.

"Bocapole" est un complexe ambitieux dédié à l'événementiel totalisant 10 000 m² couverts et intégrant à la fois une salle de spectacle et de congrès (de 1 500 à 2 500 places), un auditorium (400 places) et une halle d'exposition de plus de 3500 mètres carrés dédiée aux salons professionnels et grand public. Cet équipement est la première salle de concerts des Deux-Sèvres et la deuxième de Poitou-Charentes après l'Espace CARAT à Angoulême.

Ce site situé aux portes de la ville et inauguré en mars 2006 fait déjà figure de référence dans le domaine des spectacles en région Poitou-Charentes puisqu'il accueille pas moins de 35 artistes d'envergure nationale et internationale par saison. Il accueille également de nombreux congrès et séminaires ainsi que la Foire-Expo de la ville qui attire chaque année plus de 300 exposants sur 4 jours. Plus de 500 000 visiteurs payants (toutes manifestations confondues) y sont déjà venus au cours des 3 premières années d'existence. Ce superbe site est par ailleurs le moteur du développement d'une zone d'activités sur laquelle se trouve déjà un hôtel, un restaurant, et un bowling ; Devrait s'y adjoindre dans les années à venir un multi-salles de cinéma et une aire de services de type "autoroutière".

Jumelages

Bressuire est une ville ouverte sur le monde avec une politique active de jumelages depuis plus de 15 ans qui permettent "via" les comités dynamiques de nombreux échanges entre les populations et des représentations colorées du folklore et des coutumes des pays concernés souvent honorés.

Sports

Bressuire est une ville sportive regroupant à peu près tous les sports possibles dans une commune de moins de 20 000 habitants. Citons ici quelques exemples sur une liste loin d'être exhaustive :

  • Outre son équipe de basket-ball qui évolue en Nationale 3 sur 2008/2009 , les handballeurs de la ville viseront une place en haut de tableau dans le championnat d'excellence régionale.
  • Le tennis, le badminton le squash et le football possèdent également une équipe fanion à un niveau compétitif, les nombreux stades de la ville et le centre départemental de tennis y sont sans doute pour quelque chose.
  • Le centre nautique municipal comprenant des bassins sportifs d'été et d'hiver et où sont pratiqués entre autres le water-polo et la natation synchronisée , devrait se voir adjoindre courant de l'année 2010 un bassin ludique et un espace bien-être actuellement en construction.
  • Le cyclisme est aussi bien représenté et la ville dispose de l'unique vélodrome du département.
  • Bressuire compte également un club de baseball, "Les Garocheurs", fondé en 1987, ainsi qu'un skate-park de 1 200 m² (stade Metayer) et un BMX-park (Saint-Porchaire).
  • N'oublions pas son club de judo: le judo club du bocage bressuirais et les différents sports de combat.
  • Citons aussi son club de rugby le COB79, d'escalade et son practice de golf ainsi que deux centres équestres.

Voir aussi

Liens internes

Liens externes

Sources

  • Guy-Marie Lenne, "Petite histoire de Bressuire", Geste éditions, 2007.
  • Pascal Paineau, "Mémoire de Bressuire en images", Joué-les-Tours, Alan Sutton, 1998.
  • Maurice Poignat, "Histoire des communes des Deux-Sèvres. Le pays du Bocage", Niort, Éd. du terroir, 1981 (ISBN 290328303X).
  • Charles Merle, "La Révolution française 1789-1799 à Bressuire", Poitiers, Projets éd., 1988 (ISBN 2905282339).
  • Philippe Gaury,"Les seigneurs et la ville à travers l'histoire", Cholet,Ed.du Choletais,1985.
  • Philippe Gaury, "Bressuire ville martyre de la Révolution", Cholet, Éd. du Choletais, 1988.
  • "Regard sur Bressuire et son canton", Bressuire, musée de Bressuire. 1982.
  • Bélisaire Ledain, "Histoire de la ville et baronnie de Bressuire", Bressuire, Baudry, 1866.

Notes

  1. Bélisaire Ledain, "Histoire de la ville et baronnie de Bressuire", Bressuire, Baudry, 1866; p. 32 & Bélisaire Ledain, "Dictionnaire topographique du département des Deux-Sèvres…" Poitiers, Société française d'imprimerie et de librairie, 1902
  2. Ordonnance royale du 1er juillet 1701. Usage confirmé en 1861 par la municipalité
  3. image sur le site "Flags Of The World"
  4. Robert Favreau (historien), « Naissance des communes en Poitou, Aunis, Saintonge et Angoumois », "in" Robert Favreau, Régis Rech et Yves-Jean Riou (directeurs), "Bonnes villes du Poitou et des pays charentais (XIIe-XVIIIe siècles) : Actes du colloque tenu à Saint-Jean-d’Angély les 24-25 septembre 1999", publiés par la Société des antiquaires de l'Ouest "in" Mémoires de la Société des antiquaires de l'Ouest et des Musées de Poitiers, 5e série, tome VIII (2002), à Poitiers. ISBN 2-9519441-0-1, p 152
  5. Beau-frère de Constantin Leclerc, qui fut maire de 1831 à 1834 et qui lui succédera jusqu'en 1852.
  6. Beau-frère de son prédécesseur Félix Pihoué.
  7. Site de la préfecture, consulté le 31 août 2008
  8. http://cassini.ehess.fr/ Population par commune avant 1962 (résultats publiés au journal officiel ou conservés aux archives départementales)
  9. INSEE : Population depuis le recensement de 1962
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