Saguez de Breuvery

La famille Saguez de Breuvery est une famille française originaire de la province de Champagne.

Les porteurs actuels de ce nom sont les descendants directs de Jean Saguez, né au XVe siècle.

Mais "suivant un certificat du sire d'Hozier, il y a tout lieu de croire que Jean SAGUEZ doive être réputé de la famille de Pierre Saguez (1190), Hugues Saguez (1338) et Arnaut Saguez (1341), n'étant point reconnu d'autre famille qui ayt porté le même nom"

Quelques personnalités

• Pierre Saguez (ou Sages) (vers 1190-). Entre deux chartes (1215 et 1216) du Roy Philippe Auguste, on relève un rôle en marge "Sages miles est homo petrus Saguiers tenet in Castellanis" par lequel il apparait que Pierre Saguez était Chevalier et homme lige, seigneur de fiefs relevant de la Chatellerie de Gien sur Loire, autrefois ancienne baronnie, devenue comté du bailliage de Sens (l'un des quatre vieux bailliages de France qui s'étendait depuis Gien sur Loire jusqu'en Lorraine).

• Hugues Saguez vers (1310), écuyer, mentionné dans les comptes de Barthélemy du Drac, trésorier des guerres du Roy et ceux de François de l'Hospital, pour cause de la guerre de Gascogne des années 1338, 1339 et 1340 et l'Ost de Bouvines jusqu'au 12 septembre 1341,

• Arnaut Saguez (vers 1312), également présent à Bouvines en 1341,

• Jean Saguez (1338- 1431), écuyer, seigneur du fief de Montmorillon lès Marson au début du XV^e siècle,

• Jean Saguez, écuyer, seigneur de Rozay, Enseigne au régiment du maréchal de Turenne, reçut un coup de pique en montant les retranchements des lignes d'Arras en 1640 et fut encore blessé au siège de la Capelle^[1].

• Philippe Saguez, écuyer, seigneur de de Breuvery et de Villers-le-Château en partie, né le 17.10.1615, capitaine lieutenant de la Mestre de Camp du duc de Rohan en 1665, reconnu noble et issu de noble race et lignée par arrêt de La Cour des aides de Paris en 1677, maintenu dans sa noblesse depuis 1431 par ordonnance de l'Intendant de Champagne de 1698.

• Maurice Saguez, (1654-1699), écuyer, seigneur de Breuvery et de Villers, né le 27.12.1654, décédé le 23.10.1699, capitaine de cavalerie au régiment de Viltz (1688) ^[2].

• Philippe Maurice Saguez (1684-1744), écuyer, seigneur de de Breuvery, Moncetz et Villers-le-Château, né à Sedan le 7.3.1684, décédé le 12.12.1744 ; Conseiller du Roi, Président Trésorier de France au Bureau des finances de la Généralité de Champagne (1706) ^[3].

• François-Mémie Saguez, écuyer, seigneur de Villers-le-Château, Lieutenant des carabiniers de la Brigade de Montmorency (une des cinq brigades du Régiment Royal-Carabiniers), tué à la bataille de Fontenoy en 1745^[4].

• Édouard-François-Xavier Saguez, écuyer, seigneur de Breuvery, capitaine au Régiment de Picardie, blessé à la bataille de Parme en 1734, mourut à Straubing en Bavière le 22/8/1742 ^[5].

• Pierre-Louis Saguez de Breuvery, (1718-1788) écuyer, seigneur de Breuvery, échevin en 1767 puis maire royal de Châlons-en-Champagne de 1777 à 1779, chevalier de l'Ordre de Saint-Louis.

• Pierre-Magdeleine Saguez de Breuvery, écuyer, dit le Chevalier de Breuvery, né le 10 décembre 1758 et admis au nombre des Gentilshommes – Élève de l'École royale de La Flèche puis du Collège Royal Militaire en conséquence de sa noblesse, après délivrance du certificat rédigé par Antoine-Marie d'Hozier de Sérigny le 12 septembre 1772^[6]. Ancien chevau-léger de la garde du Roi, puis après dissolution de cette compagnie en 1776, il est engagé comme officier au Régiment de Blaisois. Il était Chevalier de l'Ordre de Saint-Lazare, membre de l'Académie Celtique et de la Société royale des antiquaires de France. Par ailleurs, il faisait partie des membres de la noblesse du bailliage de Châlons lors de la convocation des États généraux de 1789.

• Pierre-Maurice Saguez de Breuvery, docteur en théologie de la Faculté de Paris, chanoine, vicaire-général (1768-1789) et doyen de la cathédrale Saint-Étienne de Châlons-sur-Marne, décédé le 12 juillet 1790 à l'âge de 82 ans^[7].

• Joseph Marie Saguez de Breuvery (1792-1811), décédé le 15 janvier 1811 au siège de Lérida, à l'âge de 18 ans.

• Jules Xavier Saguez de Breuvery (1805-1876). Il devient le 22 novembre 1835 maire de Saint-Germain-en-Laye à l'âge de 30 ans. Esprit encyclopédique, géographe de formation, archéologue - ayant légué une partie de ses découvertes au Musée des Antiquités nationales) ^[8],[9] et grand voyageur^[10], L'Égypte et la Turquie^[11], De Damas à Palmyre^[12] et De la question Turque et des empiètements de la Russie)^[13]. Vingt ans de recherches dans la vallée de Retz lui font découvrir de nouvelles sources abondantes et claires^[14] . Il est resté Conseiller général de Seine-et-Oise sans interruption de 1848 à 1874. Son nom a été donné à une rue de la ville de Saint-Germain-en-Laye ^[15],[16]. Il était Chevalier de la Légion d'honneur et Chevalier de l'Ordre du Saint-Sépulcre de Jérusalem).

• Arthur Saguez de Breuvery, né le 8 juillet 1835, secrétaire d'ambassade. Il était Chevalier de la Légion d'honneur, de l'Ordre de la Rose (Brésil), de l'Ordre du Sauveur (de Grêce), et de l'Ordre de St Maurice et St Lazare (Espagne).

• Jules Saguez de Breuvery (1864-1942), Marquis de Breuvery (voir ANF), Chef de bataillon d'infanterie. Le 29 août 1914, il participa en tant que Capitaine commandant la 23^e compagnie (du 326^e régiment d'infanterie) à la résistance contre les allemands (dans le cadre de la bataille de Guise). Il était Officier de la Légion d'honneur et titulaire de la Croix de guerre 1914-1918.

• Marguerite Saguez de Breuvery (1892-1944), décédée - avec son mari le Capitaine Dufaure et leur fille Christiane - pendant le bombardement de Caen le 6 juin 1944.

• Xavier Saguez de Breuvery (1894-1981), Marquis de Breuvery (voir ANF), ancien élève de l'Ecole Navale (1913), Capitaine de vaisseau. Il débute sa carrière pendant la première guerre mondiale. Il embarque à sa demande comme commandant de batteries sur divers navires sur le front français (1916 à 1919). Il devient successivement Commandant du sous-marin à Bizerte (décembre 1925 à juillet 1927), Commandant la Direction du Port de Saigon (Mars 1932 à septembre 1936), Chef d'état-major de la Division marine du levant à Beyrouth (septembre 1936 à Juillet 1938), interné en Angleterre (juillet 1940 à septembre 1941), Commandant la 1ère flotille du groupe des sous-marins d'AOF (septembre 1941 à octobre 1942). Il participe sous les ordres de l'Amiral Jean de Laborde au Sabordage de la Flotte française à Toulon en 1943. Il est Officier de la Légion d'honneur (promu le 31 décembre 1937), titulaire de la Croix de guerre 1914-1918 (avec citation à l'ordre de la Division décernée le 28 avril 1918) et de la Croix de guerre 1939-1945 (avec citation à l'ordre du Régiment décernée le 21 juin 1940).

• Bernard Saguez de Breuvery (1895-1944), né le 28 décembre 1895 à Granville, résistant, décédé le 7 novembre 1944 en déportation au camp de concentration de Neuengamme (Allemagne)^[17]

• Henri Saguez de Breuvery (1899-1996), Comte de Breuvery (voir ANF), né le 24 février 1899 à Granville, décédé le 23 juillet 1996 à Valbonne. En Indochine, il fut directeur d'une plantation d'hévéas de la SIPH. Pendant la dernière guerre, il participa aux parachutages et construisit une piste d'atterrissage clandestine. Capturé par la Kenpeitai (milice japonaise), il fut enfermé (ainsi que son épouse) dans une prison de Saïgon. Torturé par les Japonais, il a été reconnu par la suite Invalide de guerre à 100 %. En 1956, il crée - à la demande de l'IFC (Institut Français du Caoutchouc) - l'IRCA (l'Institut de Recherche sur le Caoutchouc en Afrique) en Côte d'Ivoire à Bimbresso (près d'Abidjan). Henri de Breuvery était Officier de la Légion d'honneur, titulaire de la Croix de guerre 1939-1945, Médaillé de la Résistance, titulaire de la Croix de Guerre T.O.E. et Officier de l'Ordre National de Côte d'Ivoire.

• Emmanuel S. de Breuvery, (1903–1970), Diplomé de Sciences Po (Institut d'études politiques de Paris), Docteur en philosophie de l'université grégorienne, entré à la Compagnie de Jésus (jésuite) dès 1921, il sera ordonné prêtre en 1935. Il fut chargé de cours de géographie économique de la Chine à l'université l'Aurore ^[18] à Shangai. Il fut en quelque sorte missionnaire "dans tous les milieux" (telle était la mission confiée par la Comagnie de Jésus). Avec quelques collaborateurs, il édita un bulletin économique et juridique : The Monthly Bulletin. Le dimanche, il devenait "aumonnier des navires de guerre et célébrait la messe". De 1949 à 1951, comme les autres Pères de l'Aurore, il fut confiné sur place, puis arraché à son enseignement et expulsé de Chine. En 1951, il rentre en France et est nommé Directeur Adjoint de la délégation française du Conseil économique et social des Nations unies. Il entre au secrétariat de l'ONU en 1952. De 1955 à 1960, il est chef de section de l'énergie, des ressources et du transport. Atteint par la limite d'âge, il poursuit jusqu'à sa mort sa tâche de Conseiller spécial de la Science et de la Technologie marine. Il rédige des articles pour la revue Les Études^[19]. À New York, le père Emmanuel de Breuvery résidait – comme son ami le père Pierre Teilhard de Chardin – à la résidence Loyola^[20],[21].

• Alban S. de Breuvery, HEC, moine bénédictin à l'Abbaye Notre-Dame de Fontgombault.
• Gilles S. de Breuvery, artiste contemporain (collages)[8], ex-publicitaire.
• Dominique S. de Breuvery, mariée avec Jean-Philippe Lenclos, tous deux auteurs de nombreux ouvrages sur la couleur et l'architecture

Éléments généalogiques et héraldiques

Origine du nom : Saguez

Cette famille prouve son ancienneté depuis Hugues Saguez, écuyer, mentionné dans les comptes (en 1338, 1339 et 1340) ^[22]de Barthélemi du Drac, trésorier des guerres du Roi^[23], et de François de l'Hofpital Clerc des Arbalétriers.

Le patronyme Saguez est originaire du village de Pogny (près de Châlons-en-Champagne) et figure dans une charte du chapitre Saint-Étienne de Châlons en date du 21 janvier 1396^[24].

Evolution du nom patronymique

L'orthographe du nom a légèrement évolué au 14^e et au 15^e siècle au gré des actes officiels : Saguez, Saguet, Saguier, Saguiers, Sagues, puis de nouveau Saguez. Le nom Saguez se prononce "Sagué".

Les Saguez étant notamment seigneurs de Breuvery-sur-Coole, le patronyme Saguez a été complété par le nom de terre pour devenir Saguez de Breuvery, dès le début du XVIII^e siècle.

Une famille noble d'extraction

La famille Saguez de Breuvery est d'ancienne extraction (1431) originaire de Champagne (Châlons-en-Champagne).

La noblesse de cette maison a été reconnue en 1613, 1674, 1698 et elle établit sa filiation depuis 1400 environ jusqu'à ce jour.

Elle a été admise à l'ANF lors de l'assemblée générale du 16 mai 1936.

Les aînés de cette famille portent depuis de nombreuses générations un titre de courtoisie, dument mentionné par l'ANF, à savoir : l'ainé porte le titre de marquis, le deuxième : celui de comte et les suivants : aucun titre.

Écus

D'azur, au chevron d'or, accompagné de trois cors de chasse d'argent virolés et liés d'or.

- Alias : d’azur au chevron d’or accompagné de trois cors d’argent (pour Saguez de la Baume) ^[25]

- Alias : d'azur au chevron d'or accompagné de trois cors du même (Pour Maurice Saguez, écuyer, seigneur de Breuvery) ^[26].

- Alias : D'azur, au chevron d'or, accompagné de trois cors de chasse d'argent, liés et virolés du second émail^[23].

- D’azur au chevron d’argent, accompagné de 5 cornets d’or (Pour Perette Saguez) ^[27].

Devises

- Sagues ou Saguez: Il est ange à Jésus qui a Jésus pour ange. Il est sage en avis et doibt à Dieu louange.

- Saguez de Breuvery: Clémence et Vaillance.

Alliances

D’Aoust, de La Place, Gargam, de Corvisart de la Cour, de Bezançon, Jacobé, Bescheffer, Billet, Godart de Vingré, Le Clément de Taintégnies, Beaudouin de Saint-Georges, Darodes de Tailly, Plaichard de la Choltière, Bahezre de Lanlay, de Garnier des Garets, Huvier du Mée, Dehollain, des Vallières.

Sources extérieures

Ouvrages et documents

1. Procès-verbal de la recherche de la Noblesse de Champagne, pages 2 et 5 (Louis-François Le Fèvre de Caumartin, 1673-1681),
2. L'impôt du sang ou la Noblesse de France sur les champs de bataille, N° 14062, 14063 et 14064, page 1167 (Jean François d'Hozier, 1874, réédition des Éditions historiques Polema)
3. Catalogue des Gentilshommes de Champagne qui ont pris part aux assemblées de la Noblesse pour l'élection des députés aux États Généraux de 1789, pages 9 et 12 (Louis de La Rocque et Édouard de Barthélemy, chez Auguste Pillet Editeur, 1886), [9]
4. Répertoire des procès-verbaux des preuves de Noblesse des jeunes gentilshommes admis aux écoles royales -1751-1792, page 141 (Stéphane Geoffray, chez Le Vasseur Editeurs à Paris, 1894),
5. Dictionnaire universel de la Noblesse de France, tome 2, page 266 (J.B de Courcelles, successeur de Nicolas Viton de Saint-Allais, édité à Paris par le bureau général de la Noblesse de France, 290 rue Saint-Honoré) [10]
6. Archives historiques et généalogiques de la Noblesse de France - Recueil des preuves, page 86 du Nobiliaire de Champagne, par M. Lainé
7. Histoire de l'Ordre Royal de Saint Louis depuis son institution en 1693 jusqu'en 1863, par Alex Mazas, page 563,tome troisième, chez Firmin Didot Editeurs, 1861,
8. Catalogue des familles nobles de France, comprenant les blasons et tableaux généalogiques de familles confirmées dans leur Noblesse entre 1660 et 1830, tome 6, page 119, par Henri Jougla de Morenas, Paris : les Éditions héraldiques, 1934-1952,(Référence:Grand armorial de France (Jougla de Morenas))
9. Le Second Ordre, pages 112, 185 et 220 (Editions du Palais Royal, ISBN 2-7777-0021-4, publié en 1973)[11]
10. Recueil des personnes ayant fait leurs preuves de Noblesse en 6 volumes, tome 1, page 226 (Association de la Noblesse de France )
11. Dictionnaire de la noblesse française, page 892, par E. de Séréville et F. de Saint Simon, 1975
12. Catalogue de la Noblesse française, page 173, par Régis Valette, chez R. Laffont, 2002 ; ISBN 2-221-09701-7,
13. Nouveau Nobiliaire de France, tome 3, page 447, par d'Izarny, Lartigue et Vaulchier,
14. Dictionnaire et Armorial de la Noblesse française, tome 4, page 1411, par Patrice de Clinchamps, chez Patrice du Puy Editeur à Paris, 2008,
15. Les Vieux noms de la France du Nord et de l'Est, réf 737, par d’Armagnac del Cer, comte de Puymège, Paris, 1968,
16. Dictionnaire historique et héraldique de la noblesse française, page 585, par Philippe Dayre de Mailhol, nouvelle édition 2001, ISBN 3-487-11244-2,
17. Noblesse 2001, page 238, par Nicolas Guerre, 2001,
18. Le Diocèse ancien de Châlons-sur Marne, volume 1, page 257 (Voir Saguez seigneur de Breuvery en partie), par Barthélémy, Paris, 1861,
19. État présent de la Noblesse française (Dictionnaire de la Noblesse contemporaine), page 248, Librairie Bachelin-Delorenne, 1866,
20. Annuaire du High Life de 2007, par Philippe Barrault, ISBN : 2-9517591-5-0.
21. BNF : (n.a.fr. 9236-9237 Vol. I et II), Comptes des trésoriers des guerres Barthélemi du Drac et François de l'Hôpital, Guyenne 1338-1341.
22. Archives nationales (AN Zia 569) : Arrêt de la Cour des Aides de Paris rendu le 6 août 1674, Déclarant nobles Jean et Daniel Saguez (Sagnez),
23. Archives nationales (AN Zia 520) : Arrêt de la Cour des Aides de Paris rendu le 22 juin 1677 qui déclare son arrêt du six d’août 1674 communs avec Philippe Saguez Sieur de Breuvery et de Moncetz,
24. Greffe de la chancellerie de France le 26 août 1649. Parchemin daté de Paris 18 août 1649 signé "Louis, la reine régente (= Anne d’Autriche (1601-1666)) de Guénégaud", avec le sceau royal en cire. Cette pièce fut établie au moment de la révision des titres de noblesse faite dans toute la France
25. Bibliothèque nationale (Manuscrits Fr 32075, Numéro 21), Pièces Originales 2605. Dossiers bleus 94,
26. Cabinet d'Hozier, cahier 10 (Lorraine-Champagne) : Certificat de noblesse rédigé par Antoine-Marie d'Hozier de Sérigny le 12 septembre 1772,
27. Archives départementales de la Marne – Série E "Féodalité-Familles", cotes : E-726 et E-762 et Série G. cote 625, n° 2,
28. Archives départementales de la Marne - C 2514, année 1706, "Registre aux attaches de provisions d'office" du bureau des Finances de Châlons le 16 mai 1706 (voir Philippe Maurice Saguet, trésorier de France en la Généralité de Champagne),
29. Bibliothéque Hunski-Claie de Châlons-sur-Marne : Fonds Octave Maurice, appelé aussi "Fonds Maurice" (manuscrit 1373 "Saguez"), [12],
30. Centre d’entraide généalogique de France, 3 rue de Turbigo, 75001 Paris : "Fonds Michel de la Cassinière" (dossier "Saguez de Breuvery").
31. Armorial général de France, dressé en vertu de l'édit de 1696, recueil officiel "Champagne" tome 3, page 110, par Charles René d'Hozier, 1696-1709. Voir également sur Gallica [13],
32. Armorial général ou registres de la noblesse de France, par Louis Pierre d'Hozier, aux Éditions Firmin-Didot, Paris, 1738-1908, 13 vol. in-fol 6^e registre : 1768,
33. Armorial général des registres de la noblesse de France (résumé) par Louis Pierre d'Hozier et d'Hozier de Sérigny, pages 268 et 269 chez E. Dentu, Editeur (Libraire de la Société des Gens de Lettres) à Paris en 1867. Voir sur Gallica [14],
34. Armorial de la ville de Châlons-sur-Marne, pages 26, 42, 46 par Édouard de Barthélemy chez Laurent Editeur à Paris 1856,
35. Armorial de l'ANF, page 171 par Jean de Bodinat, Jean-Amable de Sailieu et Jean de Vaulchier, aux Éditions du Guy, 2004)
36. Le Grand Armorial par Claude d’Ampleman (référence AZ 70492) : voir [15]
37. La banque du blason, par Jean-Paul de Gassowski (Familles de France/Saguez de Breuvery): voir [16]
38. Les blasons, de Frédéric Luz  : voir [17]
39. Armorial des familles nobles et notables de France
40. Armorial de Châlons-sur-Marne sur le site Héraldique européenne] : [18]
41. Armorial de Flandre, Artois et Picardie, par Robert de Saint-Loup (en cd rom),
42. Revue historique des Ardennes publiée en 1867 / Recherche de Noblesse en Champagne (page 323) par Edmond Sénemaud,
43. La descendance capétienne (blasons figurant sur la base des noms de famille) [19]
44. Liste des devises impériales, royales, nobles, familiales, personnelles
45. Liste des familles subsistantes de la noblesse française,
46. Liste des familles admises à l'ANF : Association d'entraide de la noblesse française
47. Répertoire de généalogies françaises imprimées, aux Editions Berger-Levrault, par le colonel Étienne Arnaud,
48. Gentilshommes et maisons fortes en Champagne, tome 1 "Marne et Ardennes" : Villers-le-Château, par Philippe Seydoux,
49. Mémoires historiques de la Province de Champagne, par Edme Baugier, Paris, 1721 aux Éditions A Cailleau,
50. Carnet des familles nobles ou d'apparence en 1956, par Joseph Valynseele et Philippe Devillard (Notes sur l'article: vol. 14; vol. 19; vol. 22 - 1957).

Notes et références

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