Breuvery-sur-Coole

Breuvery-sur-Coole

48° 51′ 41″ N 4° 18′ 49″ E / 48.8614, 4.3136

Breuvery-sur-Coole
Administration
Pays France
Région Champagne-Ardenne
Département Marne
Arrondissement Châlons-en-Champagne
Canton Écury-sur-Coole
Code commune 51087
Code postal 51240
Maire
Mandat en cours
Bernard Million
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes de la Vallée de la Coole
Démographie
Population 204 hab. (2006)
Densité 20 hab./km²
Géographie
Coordonnées 48° 51′ 41″ Nord
       4° 18′ 49″ Est
/ 48.8614, 4.3136
Altitudes mini. 92 m — maxi. 144 m
Superficie 10,06 km2

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Breuvery-sur-Coole est une commune française, située dans le département de la Marne et la région Champagne-Ardenne.

Ses habitants s’appellent les Breuvetiots.

Sommaire

Géographie

La commune est située, comme son nom l’indique, sur la rivière Coole, à quelques kilomètres au Sud de Châlons.

Économie

Histoire

Antiquité

L’implantation humaine est attestée par la découverte de céramiques dans une nécropole au lieu-dit « La Potence », datant des années -500 à -300 (période de la Tène ancienne)[1].

Époque féodale

"La seigneurie du Pont de Marne appartenait au Chapitre dès une haute ancienneté. Il est certain qu’il la possédait en 1107. Cette seigneurie consistait "en ce que chascun char, chargé de quelque marchandise que ce soit, passant par-dessus ledit pont de Porte Marne, doibt deux deniers, et chascune charette ung denier (…). Sont francs et exempts dudict droict, les habitants de (pour la vallée de la Coole) : Escury-sur-Coole, Nuisement, Breuvery-sur-Coole, Saint-Quentin, Cernon, Vaugencien, Coupetz, Vésigneulx, Fontaine et La Chapelle-sur-Coole (…) lesquelles villes, chascun mesnage doibt ung moicton d’avoine." [2]

  • La seigneurie aux XIIe et XIIIe siècles.

Barthélemy et Grignon notent ceci :

_"Hugues de Breveriis, chevalier, vivait en 1165, et la même année, je trouve la mention d’un curé du même nom." [3]

-"[église] Saint-Alpin, collatéral sud, devant la sacristie, pierre de tonnerre, porte en bordure l’inscription ci-après : Ci gist maître Ravous de Berverei qui trespassa en l’an de grâce mil deux cent et soixante et douze au mois de joing. Priez pour son asme." [4]

  • Les Breuvetiots et les fortifications de Châlons (1416).

"Une ordonnance du 2 septembre 1416, du bailli de Vitry, commissaire des fortifications, et une ordonnance du roi du 2 décembre 1420, obligent les habitants des villages qui se retirent à Châlons en temps de guerre, à contribuer à la réparation des murs des remparts et au curage des fossés, et à donner chacun, deux ou trois journées de travail par an. (…) Voici les noms des villages qui contribuaient en hommes et en journées de travail (…) à l’entretien des fortifications (pour la vallée de la Coole) : Coolus, 3 hommes ; Ecury, Nuisement, 4 hommes ; Breuvery, Saint-Quentin, 2 hommes ; Cernon, Coupetz, La Chapelle sur Coole, 3 hommes"[5].

"Le cortège historique du 14 juillet 1429. (…) Le 14 juillet au matin, l’armée royale est partie de Lettrée, vraisemblablement par le chemin naguère appelé chemin de Jeanne d'Arc, que les armées suivirent plus d’une fois, et qui aboutissait, entre Saint-Quentin et Cernon, au château de Vaugency. De là, il n’est pas impossible que l’on soit passé par Breuvery, Nuisement, Ecury, surtout s’il s’y trouvait quelques châteaux à réduire. Mais le plus court était, en direction de Mairy et sans aller jusque là, de prendre la voie romaine et de la suivre jusqu’à Coolus. De Coolus, par Compertrix, on arriva au Mont Saint-Michel (à Châlons)"[6].

Époque contemporaine

  • Breuvery au XIXe siècle.

"Breuvery (de brevis ripa, bordage étroit) sur la Coole, avec deux moulins à eau et un moulin à vent. (…) C’est une petite commune environnée d’anciens souterrains ou de caves interdites. (…) Ses 15 laboureurs cultivent un territoire long de plus de six kilomètres sur une largeur de plus de deux kilomètres, traversé par la Coole. Il contient 1008 hectares[7].

"Le 9 septembre 1914, la 22e D.I. suit le mouvement de la 18e D.I. en direction de Montépreux. La 44ème brigade (19e et 118e R.I.) occupe le secteur de Haussimont, Sommesous où elle livre des combats avec l’arrière-garde de l’armée allemande. Le 10 septembre, la 22e D.I. se porte à Breuvery-sur-Coole et Nuisement-sur-Coole"[8].

À la mi-septembre 1914, le village vit le passage et le séjour pour une nuit de soldats allemands emmenant des prisonniers civils originaires de Sompuis, dont l’abbé Oudin, qui fut particulièrement maltraité[9].

  • Les sobriquets collectifs des villages de la vallée de la Coole.

"Au cours des années s’échelonnant de 1960 à 1971, nous[Qui ?] avons noté un certain nombre de sobriquets collectifs s’appliquant aux habitants de villages ou villes du département de la Marne. Ces sobriquets étant souvent péjoratifs, a-t-il été nécessaire pour les connaître lors de l’enquête, d’interroger non point ceux qu’ils désignent, mais bien au contraire les habitants des villages voisins." Pour la vallée de la Coole : Coolus : les Carquers ; Ecury-sur-Coole: les Choutiers ; Nuisement-sur-Coole : les Loups ; Breuvery-sur-Coole : les Bêtes ; Saint-Quentin-sur-Coole : les Pauvres gens ; Cernon-sur-Coole : les Messieurs ; Coupetz-sur-Coole : les Grandes salières ; Fontaine-sur-Coole : les Buveurs de goutte ; Faux-sur-Coole : les Almanachs"[10].

Administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
         
mars 2001 mars 2008 Michel Lebonvallet    
mars 2008   Bernard Millon[11]    

Démographie

Évolution démographique
(Source : INSEE[12])
1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006
90[13] 68 87 76 150 188 200 204[14]
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes

Lieux et monuments

La commune a le label « Village fleuri » avec trois fleurs.

Église Notre-Dame

L’église était une annexe de la paroisse de Saint-Quentin-sur-Coole (juste en amont, au Sud-Est), dont le curé percevait, en 1698, toutes les dîmes par cession ; mais en 1747, il n’en avait plus qu’un sixième, les seigneurs décimant le surplus[15].

L’édifice a un chœur ordinaire du XIIIe siècle et abrite un panneau peint du XVIIIe siècle. Il représente une colombe (symbole du Saint-Esprit) et des rinceaux, et fut classé le 12 janvier 1977 au titre des Monuments historiques[16].

Moulins

Les grands moulins à cylindres[17] des frères Brisson, sis sur la Coole à 1 km vers Nuisement, occupent, vers 1930-1935, les premiers rangs dans le domaine de la meunerie marnaise[18].

En 1845, Chalette indique : deux moulins à eau dont un dit "à l'anglaise, et un moulin à vent. En 1848, une enquête effectuée par la gendarmerie dénombre trois moulins à eau :

Le premier moulin est à deux tournures, il possède cinq paires de meules et cinq chevaux. Il emploie quatre ouvriers au salaire journalier de 2,50 fr.

Le deuxième moulin est à une tournure, il possède deux paires de meules et un cheval. Il emploie un ouvrier au salaire journalier de 1,60 fr.

Le troisième moulin est à deux tournures, il possède quatre paires de meules et trois chevaux. Il emploie un ouvrier au salaire journalier de 1,60 fr. nourri.

Au 9 décembre 1930, il n’existe plus qu’un seul moulin à Breuvery-sur-Coole. Il appartient aux sieurs Brisson frères, de Châlons-sur-Marne. Ce moulin est actionné par la force hydraulique et un moteur à gaz pauvre. Sept ouvriers, dont le meunier, y sont employés.

Cimetière

Les tombes de deux aviateurs alliés, tombés à Breuvery dans la nuit du 3 au 4 mai 1944, y sont visibles par la présence de deux stèles dressées côte-à-côte[19].

Deux corps seulement furent retrouvés dans les débris de la carlingue d’un bombardier ayant vraisemblablement explosé en vol : le pilote (le lieutenant anglais David Stuart Jackson, titulaire de la Distinguished Flying Cross, 21 ans) et le mitrailleur de queue (le sous-lieutenant canadien Ross Edward MacFarlane) sont inhumés dans le cimetière de Breuvery[20],[21].

Personnalités liées à la commune

Anciennes familles notables

Propriétaires ruraux châlonnais

Les Châlonnais propriétaires ruraux à Breuvery-sur-Coole appartiennent pour la plupart au milieu professionnel des officiers du roi, dans l’administration des finances (Élu, Trésorier de France, Receveur du Taillon) et de la justice (président du Présidial, avocat, greffier).

Châlons, centre administratif de la Champagne, est aussi ville épiscopale et le comte évêque de Châlons possède également de nombreuses propriétés rurales qui remontent à l’époque féodale. En ce qui concerne la vallée de la Coole, il est seigneur d’Ecury-sur-Coole, de l’église de Coupetz, suzerain du seigneur de Nuisement-sur-Coole, et le baron de Cernon-sur-Coole est maréchal de la Cour épiscopale. L’abbaye bénédictine de Saint-Pierre-au-Mont, le Chapitre de la cathédrale Saint-Étienne possèdent également de nombreux biens dans tout le Châlonnais. On peut considérer que les biens ecclésiastiques l’emportent de beaucoup sur les biens laïcs.

À Breuvery, on sait peu de choses sur les propriétés ecclésiastiques. On sait simplement que la paroisse était une annexe de Saint-Quentin-sur-Coole. Mais on est assez bien renseigné sur les propriétaires laïcs, dits seigneurs de Breuvery.

Ce qui les caractérise principalement, c’est leur nombre : plus d’une quinzaine pour un territoire de 1000 hectares. Autre caractéristique : le faible revenu qu’ils retiraient de ces propriétés. Lors d’une visite épiscopale à Cernon-sur-Coole en 1747, le rédacteur de l’évêché écrit : "On ne connaît point d’autre vice qu’un trop grand attachement à la terre, causé par la stérilité du terroir qui ne produit qu’avec beaucoup de travail et en très petite quantité, joint à la misère des temps".

De sorte que ces petits propriétaires fonciers de Breuvery possédaient d’autres biens "sis sur d’autres terroirs" du Châlonnais. Ils étaient, selon l’expression fréquemment présente dans les actes notariés, seigneurs de Breuvery "et d’autres lieux".

Contrairement à Breuvery, les deux villages voisins de Saint-Quentin-sur-Coole et de Nuisement-sur-Coole avaient, depuis l’époque féodale, une maison forte et un seul seigneur. Le terre et seigneurie de Cernon était la seule terre titrée de la vallée : cette baronnie et son château abritaient le maréchal de la Cour épiscopale. Après Cernon, Vaugency (à St-Quentin) et Nuisement, la 4e maison forte de la vallée de la Coole se situait à Coolus, là où la Coole se jette dans la Marne, en amont de Châlons.

Ces maisons fortes ont été remplacées par des « châteaux de plaisance » au XVIIIe siècle. Il en reste peu de chose. Le très beau château de Cernon a brûlé il y a quelques années. Celui de Vaugency a disparu, mais une gravure de Claude Chastillon permet de se représenter nettement l’aspect de la maison forte d’origine. celui de Nuisement a brûlé vers 1870 (du fait de la guerre, semble-t-il) et celui de Coolus a été détruit en 2009 par la communauté d’agglomération de Châlons.

Familles de notables propriétaires à Breuvery

Les états successifs des fiefs par bailliage entre 1597 et 1693, indiquent les patronymes des 18 notables de Châlons qui se partageaient la terre et seigneurie de Breuvery à l’époque moderne (à part Hugues de Breuvery en 1165 et Ravous de Breuvery en 1272, les époques féodale et médiévale restent inconnues). Dans l’ordre chronologique des pièces justificatives : Daoust (ou d’Aoust) en 1597 ; Godet (2 fois), Horguelin, Langault, Papillon, Pinteville, sur le rôle de 1635 ; Fagnier, Laguille, Lescarnelot, Loisson, Grossetête, Saguez, sur l’état de 1693.

Venus d’autres sources, on peut ajouter : Aubelin en 1583[24], Hennequin en 1630 (d’Hozier), Baugier en 1713[25], Brissier en 1727[26], Beschefer en 1778[27], et Deu, non daté[28].

Famille d’Aoust

  • Jehan d’Aoust, clerc juré à Châlons en 1475[29].
  • Geoffroy Daoust, greffier du Conseil de ville de Châlons en Champagne  : il paye l’impôt de la taille en 1516[30].
  • Jehan d’Aoust, "élu royal en l’Élection de Chaalons", seigneur de Breuvery-sur-Coole [31].
  • Daniel d’Aoust, "grenetier pour le Roy au grenier à sel de Chaalons, et Catherine Horguelin sa femme" [32], offrent à l’église St-Alpin de Châlons, le tableau de la Flagellation, lequel porte la date de 1633[33].

Famille Horguelin

  • Nicolas Horguelin (1540-1592), fils de Jehan Horguelin des Ormes et de Michelette de Beaumont, licencié ès lois, avocat au siège de Châlons, procureur de la ville (1575), intendant du collège Saint-Lazare (1586), épouse Jehanne Chenu (1570), dont Edme, qui suit[34].
  • Edme Horguelin (+ 1665), seigneur de Breuvery, licencié ès lois, avocat en Parlement, conseiller du roi, receveur général du taillon en Champagne (1634), lieutenant de ville (1653), gouverneur de Châlons (1656), épouse (1611) Agnès d’Aoust, fille de Jean d’Aoust, seigneur de Breuvery, et d’Agnès de Bar, dont Edme II, qui suit[35]
  • Edme II Horguelin (+ 1670), esc. (écuyer), seigneur de Breuvery, Nuisement, Germinon, conseiller et secrétaire du roi Maison et Couronne de France et de ses Finances, gouverneur de Châlons (1663), épouse (1653) Louise de Chastillon, fille de Pierre de Chastillon, esc., seigneur du Moy la Croix, et de Blanche Linage, dont Edme III, qui suit[34].
  • Edme III Horguelin (1656-1712), esc., seigneur de Nuisement, Breuvery-sur-Coole et Germinon, gentilhomme ordinaire de Monsieur le frère du roi, épouse (1688) Marguerite le Gorlier, fille de François le Gorlier, seigneur de Drouilly, conseiller du roi, Trésorier général de France en Champagne, et d’Elisabeth Morel[34].
  • Louis Horguelin (1657-1710), fils d’Edme Horguelin et de Louise de Chastillon, seigneur de Breuvery, prêtre et chanoine du chapitre de l’église cathédrale de Châlons-en-Champagne, inhumé dans cette église (pierre tombale derrière le maître autel, à l’entrée de la crypte)[34].
  • Agnès Horguelin de Breuvery (1621-1653), fille d’Edme Horguelin et d’Agnès d’Aoust, épouse (1640) Louis de Rochereau, seigneur d’Hauteville et Blaise, conseiller du roi au parlement de Metz, fils de Denis de Rochereau, argentier du duc de Guise, et de Jacquette du Puys[36].

Famille Hennequin

  • Nicolas Hennequin, seigneur de Cramant en partie, épouse en 1ères noces Claude Horguelin des Ormes (1585) et en secondes noces Perrette Oulry (1597), dont Pierre, qui suit[37].
  • Pierre Hennequin, seigneur de Breuvery, épouse Louise Godet de Croüy, dame de Vienne, fille de Jean Godet, seigneur de Croüy, et de Marie de Paris, dont Claude, qui suit.
  • Delle Claude Hennequin, mariée (1640) avec Claude Loisson, esc., seigneur de Guinaumont, Breuvery et Marson en partie, conseiller d’État, Président et Lieutenant général au bailliage et siège présidial de Châlons.

Famille Loisson

  • Claude Loisson, esc., seigneur de Guinaumont, Breuvery et Marson en partie, conseiller d’État, président au bailliage et siège présidial de Châlons, épouse le 28 août 1640 Claude Hennequin, fille de Pierre Hennequin, seigneur de Breuvery, et de Louise Godet de Croüy, dont Pierre Louis, qui suit[37].
  • Delle Jeanne Loisson épouse en 1641 Jean de Pinteville, esc., seigneur de Montcetz et la Motte, Trésorier de France à Châlons, Elu en 1654, fils de Jean de Pinteville, esc., et d’Andriette Lallemant.
  • Pierre Louis Loisson, esc., seigneur de Guinaumont, Breuvery et Marson, conseiller du roi, président au bailliage et siège présidial de Châlons, grand prévôt de la Province de Champagne, Brie et Pays Messin, épouse le 2 février 1683 Françoise Catherine Langault, fille de Pierre Langault, esc., seigneur de Marson, conseiller du roi, Trésorier de France en Champagne, gouverneur des ville, château et prévosté de Vassy, et de Catherine Hersent[38].

Famille Fagnier

  • François Fagnier, conseiller du roi, contrôleur du grenier à sel d’Epernay, épouse (vers 1650) la Demoiselle Claude Caillet, dont Jean, qui suit.
  • Jean Fagnier, esc., seigneur de Breuvery, conseiller au présidial de Châlons (1694), avocat en Parlement, épouse (à Notre-Dame, en 1672) Françoise Papillon, fille de Samuel Papillon, esc., seigneur de Couvrot, et de Marguerite Fagnier[39].
  • Claude Georges Fagnier, esc., seigneur de Marson et de Breuvery, président Trésorier de France, commissaire général des finances de la Généralité de Champagne, épouse Louise le Lorain.
  • Jean Fagnier, seigneur de Mardeuil, de Breuvery-sur-Coole et de Livry, conseiller du roi et son procureur ancien au bureau des finances et Chambre du Domaine de Champagne (1713), épouse (vers 1700) Louise Antoinette Baugier, dont Bonaventure Christophe, qui suit.
  • Bonaventure Christophe Fagnier, esc., seigneur de Mardeuil, de Breuvery-sur-Coole et de Livry, conseiller du roi, procureur du roi ancien au bureau des finances et Chambre du Domaine de Champagne (1731), épouse (à Notre-Dame, en 1734) Remiette Thérèse Bureau, dont Léonard, qui suit.
  • Léonard Louis Fagnier, esc., seigneur de Mardeuil, Breuvery et Livry, bailli de Châlons (1770), conseiller du Parlement de Paris, épouse (Ste-Marguerite, 1780) Marie Anne Françoise de Parvillez, fille de Charles François de Parvillez, seigneur de Bar, et de Louise Alexandrine Baugier, dame de Vert la Gravelle. Léonard Louis Fagnier est exécuté le 20 avril 1794, victime de la Terreur.

Famille Deu

  • Charles Aubri Deu, seigneur du Vieux Dampierre (1633), de Saint-Rémi et des dixmes d’Auves, conseiller au présidial de Châlons, épouse le 29 août 1599, Anne Braux, fille de Jean Braux et de Lienort Thibault, dont Charles, qui suit.
  • Charles Deu, seigneur du Vieux Dampierre, épouse 1) Marie Lignage, fille de Louis Lignage, seigneur de Jonchery, et de Marie Dommangin ; 2) en 1647, Louise de Joybert, dont Pierre, qui suit.
  • Pierre Deu (né en 1648), esc., seigneur du Vieux Dampierre, de Saint-Rémy, Francheville et Breuvery, conseiller au présidial de Châlons (1696), épouse le 4 janvier 1677 Elisabeth Thérèse Papillon, fille de Samuel Papillon, seigneur de Couvrot, et de Marguerite Fagnier de Breuvery, dont Pierre, qui suit[40].
  • Pierre Deu, esc., seigneur du Vieux Dampierre et autres lieux, épouse Marie-Jeanne Mathé, fille de Jean Mathé et de Jeanne Ytam, dont Pierre-Louis, qui suit[40].
  • Pierre-Louis Deu, chevalier, seigneur du Vieux Dampierre, épouse en 1756 Charlotte Claudette Leclerc de Nuisement, fille de Pierre-Benoist Leclerc, chevalier, seigneur de Nuisement (1743), conseiller au présidial, lieutenant général, commissaire examinateur au présidial, et de Marie-Claude Lallemant[39].

Famille Aubelin

  • Pierre Aubelin, esc., seigneur de Nuisement, épouse Marguerite Gruyer, fille de Jean Gruyer, esc., seigneur de Nuisement, Germinon, Cormont, bailly de Châlons, dont Jacques, qui suit. (Armorial de Caumartin).
  • Jacques Aubelin, esc., seigneur de Nuisement, lieutenant au bailliage d’Épernay, épouse Pérette l’Hoste, fille de Claude l’Hoste, esc., seigneur de Recy, prévost des maréchaux, dont Nicolas qui suit[41].
  • Nicolas Aubelin, esc., seigneur de Nuisement, Breuvery en partie, Marson en partie et des dixmes de Poix, épouse par contrat le 16 janvier 1583 Marie d’Aoust, fille de Pierre d’Aoust, esc., seigneur de Breuvery, échevin de Châlons, et de Marie Langault[42]. Son petit-fils, Nicolas Aubelin, marié à Magdeleine Linage, vend en 1662 la terre de Nuisement à Edme II Horguelin, esc., seigneur de Breuvery en partie, marié (1653) à Louise de Chastillon[43].

Famille Godet

  • "Pierre Godet, avocat, seigneur de Breuvery en partie"[44].
  • "Jacques Godet, chanoine de Châlons, seigneur de Breuvery (1/64e)"[44].
  • Delle Godet, dame de Breuvery (+1657), épouse noble homme Pierre Horguelin, seigneur de Breuvery et de Marson en partie (+1624)[45].
  • "Noble homme Pierre Godet, seigneur de Breuvery", épouse Pérette Baugier[46].

Famille Langault

  • Jacques Langault, sieur de Marson[31], commissaire des salpêtres pour le roi (1590)[47].
  • Jacques Langault, seigneur de Breuvery en partie (Rôle des gentilshommes de Châlons, 1635), conseiller du roi, receveur du taillon en l’élection de Vitry[43].
  • Pierre Langault (1624-1698), Trésorier de France au bureau des finances de Champagne, épouse Catherine Hersant[43].
  • "Catherine Langault (1657-1709), femme de Pierre Loisson, Conseiller du roi, pdt au Présidial de Chaalons"[48].

Famille Papillon

  • Claude Papillon, écuyer, seigneur de St-Martin-aux-Champs, décédé après 1505, marié avec Claude Lambesson (cité en 1495 et en 1505).
  • Claude Papillon, conseiller de ville (1515), seigneur de Couvrot. (Maintenue par Caumartin)[49].
  • François Papillon le jeune, seigneur de Breuvery en partie[44].
  • Samuel Papillon, écuyer, seigneur de Couvrot, marié avec Marguerite Fagnier (+1706), dont : Elisabeth Papillon, femme (1677) de Pierre Deu, seigneur du Vieux-Dampierre et Françoise Papillon, femme (1672) de Jean Fagnier.
  • Magdeleine de Joybert, veuve de Jean Leduc, vend une maison sise rue Grande Etape à Châlons à Me Pierre Deu, conseiller au Présidial et à Elisabeth Papillon, sa femme[50].
  • Denis Pierre Papillon (1727-1794), fils de Pierre Papillon, escuyer, seigneur de la Ferté, et de Jeanne du Verdier (Riocour, Notre-Dame, 1727, p. 98), intendant des menus plaisirs du roi (1756-1792), marié avec Catherine de Villers, guillotiné le 7 juillet 1794, inhumé au cimetière de Picpus, Paris, XIIe. (Geneanet, Ghislain de Beauregard)[51].

Famille de Pinteville

  • Guillaume de Pinteville (ca 1590-+ avant 1668), épouse Anne Langault (Riocour, St-Alpin, p. 247  : mariage de sa fille Louyse avec Hiérosme Le Duc), seigneur de Breuvery-sur-Coole[52].
  • Guillaume de Pinteville (*Notre-Dame, 1621)[53] épouse Marie de Pinteville. À un fils Guillaume, qui suit.
  • Guillaume de Pinteville (St-Alpin, 1653 - Trinité, 1737), seigneur de Breuvery-sur-Coole, greffier en chef du Bureau des finances de Champagne[54], épouse Françoise Babault (St-Germain, 1680)[55].

Famille Lescarnelot

  • Jean Lescarnelot, seigneur de Noyers et de Raincourt, anobli par le duc de Lorraine le 22 septembre 1539, épouse (ca 1525) Nicole Millet, dont Claude, qui suit[56].
  • Claude I Lescarnelot (né 1520), seigneur de Noyers et Raincourt, épouse 1) Marie de Saubourel (née 1530); 2) Claude Cauchon de Dampierre, fille de Prudent homme Cauchon de Dampierre et d’Anne Langault, dont Claude, qui suit[57].
  • Claude II Lescarnelot, seigneur de Noyers et Raincourt, épouse Madeleine Lefébure[58].
  • Louise Lescarnelot épouse le 24 janvier 1601 Nicolas Fourault de Parroy, seigneur de Parroy, la Vallée et la Tour d’Hérouville, dont Claude Fourault de Parroy, qui suit.
  • Claude Fourault de Parroy, esc., seigneur de Parroy et de Berzieux, épouse le 5 mars 1625, Marie Beschefer, fille de Pierre Beschefer (1561-1651) et de Marie Hocquart (1570-1658).
  • Madeleine Lescarnelot, dame de Breuvery et de Rapsécourt, est décédée paroisse Notre-Dame à Châlons le 17 octobre 1709, âgée de 74 ans. Elle est inhumée à Rapsécourt (près de Givry-en-Argonne)[39].

Famille Grosseteste

  • Gaspard I Grosseteste, épouse ca 1620 Marie de Rochereau, dame d’Hauteville, dont Gaspard, qui suit.
  • Gaspard II Grosseteste, esc., conseiller au présidial de Châlons, épouse à Châlons le 18 juin 1646 (minutes Duboys), Magdeleine Deu, fille de Loys Deu et de Jehanne Alfeston (minutes Roget, 1598), laquelle est la fille de Jehan Alfeston, notaire royal à Châlons, et de Perette Colle[59].
  • François Grosseteste, esc., seigneur probable de Breuvery (État des fiefs, bailliage de Châlons, 1693), conseiller du roi, président en l’Election de Vitry-le-François. Sa fille Madeleine Grosseteste épouse Pierre François Le Gorlier, esc., seigneur de la Grandcour et Verneuil, président au bailliage et siège présidial de Châlons, fils de Jacques le Gorlier et d’Anne Françoise d’Origny[60].

Famille Laguille

  • Jacques Laguille, notaire royal à Châlons (actif de 1581 à 1605)[61].
  • Jacques Laguille, procureur, épouse (ca 1610) Louise Hermant, dont Thomas, qui suit[57].
  • Thomas Laguille, notaire royal à Châlons (actif de 1652 à 1710), seigneur probable de Breuvery[62], épouse par contrat du 13 juin 1655[63] Nicole Lefébure, fille de Jean Lefébure et de Nicole Lallement, dont Appoline (voir ci-dessous)[57].
  • Pierre Laguille, notaire royal à Châlons. Porte d’azur au triangle d’or[64]
  • Appoline Laguille (1678-1733) épouse (Châlons/Notre-Dame ca 1700) Jean-Baptiste Lorain de Beuville, conseiller du roi au bailliage et présidial de Châlons, dont Marguerite Appoline qui suit[39].
  • Marguerite Appoline Lorain de Beuville (Ste-Menehould, 1704-1757) épouse à Châlons/Notre-Dame le 28 avril 1727, Jacques Brissier, seigneur de Marson et de Breuvery, conseiller du roi, grenetier au grenier à sel de Sainte-Menehould, fils de Jacques Brissier et d’Elisabeth Hocart[39].

Famille Saguez

  • Philippe Saguez, écuyer, seigneur de Breuvery et de Villers-aux-Corneilles en partie, né le 17.10.1615 (épouse par contrat le 12 octobre 1649 Anne de Bezançon fille de Jacob et de Judith de Pinteville) capitaine lieutenant de la Mestre de Camp du duc de Rohan en 1665, reconnu noble et issu de noble race et lignée par arrêt de La Cour des aides de Paris en 1677, maintenu dans sa noblesse depuis 1431 par ordonnance de l’Intendant de Champagne de 1698.
  • Maurice Saguez, écuyer, seigneur de Breuvery et de Villers-aux-Corneilles, né le 27.12.1654, décédé le 23.10.1699, capitaine de cavalerie au régiment de Viltz (1688)[65].

Famille Baugier

  • Pierre Baugier, esc., seigneur de Lozeray à Vésigneul-sur-Marne, conseiller du roi, bailli de Toussaint, épouse en 1602 Jacquette Aubelin, dame de Nuisement, fille de Nicolas Aubelin et de Marie d’Aoust.
  • Jean Baugier, esc., seigneur de Lozeray, épouse Jacquette de Saint-Rémy, dont Edme, qui suit[68].
  • Edme Baugier (1644-1728), esc., seigneur de Lozerois et de Breuvery (1713), conseiller du roi au présidial, auteur des « Mémoires historiques de la Province de Champagne » (1721), épouse Remiette Bachelier, dont Pierre-Edme-Rémy, qui suit[68].
  • Pierre-Edme-Rémy Baugier, (né Notre-Dame, 1672), esc., seigneur de Bignipont, greffier en chef au bureau des finances, épouse (Châlons/Notre-Dame, 1694) Marie-Anne Givry, dont Pierre-Louis, qui suit[68].
  • Pierre-Louis Baugier, esc., seigneur de Bignipont, épouse (Châlons/Notre-Dame, 1735), Marie-Anne-Jacquette Papillon de la Ferté, fille de Pierre Papillon, esc., seigneur de la Ferté, et de Jeanne du Verdier[39].

Famille Brissier

  • Jean Brissier, marchand bourgeois de Châlons, épouse Anne Hennequin, fille de Gérard Hennequin, seigneur d’Allonneaux, et d’Anne Bizet (ces derniers mariés le 15 mai 1535).
  • Michel Brissier, conseiller du roi, prévôt de Sainte-Menehould, contrôleur au présidial de Châlons, épouse Catherine Dieu, fille de Claude Dieu et de Claude Mangin, dont Jacques, qui suit[39].
  • Jacques Brissier, conseiller, grainetier du roi au grenier à sel de Sainte-Menehould, épouse le 16 février 1706, Elisabeth Hocart, fille de Jean Hocart, avocat du roi, receveur des gabelles, et de Blanche Baillet, dont Jacques, qui suit.
  • Jacques Brissier, seigneur de Marson et de Breuvery, conseiller du roi, grenetier au grenier à sel de Sainte-Menehould, épouse le 28 avril 1727, Marguerite Appoline Lorain de Beuville, fille de Jean-Baptiste Lorain de Beuville et d’Appoline Laguille[39].

Famille Beschefer

  • Pierre Beschefer (1561-1651), lieutenant particulier, assesseur criminel à Vitry, lieutenant en l’élection de Châlons, épouse Marie Hocquart, dont Germain, qui suit.
  • Germain Beschefer, conseiller du roi, lieutenant général civil et criminel au présidial, et garde du sel en l’élection de Châlons, auteur du "Journal de noble homme Maître Germain Beschefer, 1639-1679"[69]. Il épouse Marie de Paris, dont Germain, qui suit.
  • Germain Beschefer, conseiller du roi, échevin de Châlons, gentilhomme du duc d’Orléans, épouse Marie Jourdain, dont Fabio, qui suit[70].
  • Fabio Beschefer, seigneur des Créaux, officier de S.A.R. Madame, épouse 1) Nicole Huat (+ 1708) et 2) Jeanne le Pescheur, dont Pierre, qui suit.
  • Pierre Beschefer, avocat en Parlement (1717), épouse Marie Suzanne Berthier, dont Pierre Joseph, qui suit.
  • Pierre Joseph Beschefer, écuyer, Trésorier de France au bureau des finances de Châlons, épouse le 21 mai 1776 Madeleine Laguille de Courtagnon. Il est mort au château de Vaugency le 27 mars 1785.
  • Pierre Beschefer, écuyer, seigneur de Vaugency, Saint-Quentin, Breuvery, Trésorier de France, décédé paroisse Saint-Alpin à Châlons, le 7 novembre 1778[39].

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

  1. Hélène Delnef, Un aspect de la céramique de la Tène ancienne, 2003, in « Bulletin de la Société archéologique champenoise », Reims, vol. 96, no2A, pages 17-49, ISSN 1145-7295.
  2. Grignon, « Topographie historique de la ville de Châlons-sur-Marne », 1889, page 39.
  3. Diocèse ancien de Châlons, 1861, tome 2, page 48.
  4. "Historique et description de l’église et paroisse de Saint-Alpin de Châlons", Châlons, 1878, page 112, n° 21.
  5. L. Barbat, « Histoire de la ville de Châlons-sur-Marne et de ses monuments », 1855, page 162.
  6. E. Gauroy, "Sainte Jeanne d’Arc à Châlons : Châlons en 1429", 1948, page 117.
  7. Chalette, « Précis de la statistique générale du département de la Marne », 1845, page 70.
  8. Le 19eme régiment d’infanterie 1914/1918.
  9. Recueil de témoignages concernant des civils maltraités en septembre 1914.
  10. René Gandilhon, Inspecteur Général des Archives de France, in : Mémoires de la SACSAM,1973, page 151.
  11. L’Union
  12. Breuvery-sur-Coole sur le site de l’Insee
  13. Dictionnaire National des Communes de France - Dictionnaire Meyrat, 17e édition, éd. Albin Michel, Paris (1959), 1350 pages.
  14. Population municipale au 1er janvier 2006, consulté le 13 janvier 2009
  15. Barthélemy, Dictionnaire des communes, 1861, page 48.
  16. Base de données Patrimoine de France, Champagne-Ardenne, Breuvery-sur-Coole (51), Devant d’autel.
  17. Il existe au moins une vue (carte postale ancienne) du moulin, accessible par exemple ici.
  18. R. Nommé, « Châlons-en-Champagne et son arrondissement », 2004, tome 2, page 59.
  19. Site consacré aux pertes du Bomber Command dans le département de la Marne.
  20. Hervé Chabaud, Études marnaises, 2005, page 399
  21. Hervé Chabaud, Le bombardement du camp de Mailly, texte consultable sur le site du CRDP de Reims.
  22. Édition en ligne de l'École des Chartes.
  23. La vie rémoise.
  24. Bibliothèque nationale, D.B.35.
  25. Minutes Pérignon.
  26. Archives de Châlons/Notre-Dame.
  27. Archives de Châlons/Saint-Alpîn.
  28. Diocèse ancien.
  29. Barthélemy, "Recueil des pierres tombales…", page 147, pierre tombale de Jehanne Daoust, femme de Guillaume Lignage, 1595.
  30. Archives départementales de la Marne, E supplément, 4855.
  31. a et b Rôle des gentilshommes de Châlons, 1597.
  32. Acte de mariage de 1625, Arch. Marne 4E 8175.
  33. L. Grignon, "Historique et description de l’église et paroisse St-Alpin", Châlons, 1878, page 86.
  34. a, b, c et d Bibliothèque nationale, D.B. 360.
  35. Bibliothèque nationale, P.O. 1533.
  36. Caumartin, 1673.
  37. a et b d’Hozier.
  38. Riocour, 1683.
  39. a, b, c, d, e, f, g, h et i Riocour.
  40. a et b Lhote.
  41. Armorial de Caumartin.
  42. Bibliothèque nationale, D.B. 35, note de Bertin du Rocheret.
  43. a, b et c Archives départementales de la Marne, 4E 8450, minutes Guyot, 1662.
  44. a, b et c Rôle des gentilshommes de Châlons, 1635.
  45. Barthélemy, Recueil des pierres tombales, St-Alpin, p. 129.
  46. Riocour, Saint-Nicaise n°270, p. 136.
  47. Louis Grignon, "Topographie historique (…)", p. 248.
  48. Riocour, Notre-Dame, p. 88.
  49. Barthélemy, "Histoire de la ville de Châlons-sur Marne", p. 463.
  50. Grignon, "Topographie historique (…)", rue Grande Etape, p. 289.
  51. Jean-Paul Barbier Des Châlonnais célèbres, illustres et mémorables, 2000.
  52. Rôle des gentilshommes de Châlons, 1622.
  53. Riocour p. 13.
  54. Riocour, Trinité, p. 221.
  55. Riocour, p. 301.
  56. De Courcelles, Dictionnaire universel de la noblesse de France, 1821.
  57. a, b et c Geneanet.
  58. De Courcelles.
  59. Archives de Châlons Notre-Dame.
  60. Riocour
  61. Archives départementales de la Marne, liste des notaires.
  62. Etat des fiefs de 1693.
  63. Minutes Pierre Lefébure.
  64. d’Hozier, Armorial de Champagne, 1711, page 134.
  65. D’Hozier, « Recherche de la noblesse de France », édition 1884, registre 6, page 496.
  66. référence 14063 par Jean-François d’Hozier : "l’impôt de sang".
  67. Cabinet d’Hozier, cahier 10 Lorraine-Champagne.
  68. a, b et c Lhote & Riocour.
  69. SACSAM, 1899-1900, tome 2, p. 59.
  70. Armorial d’Hozier.

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