Province autonome de Bolzano

Province autonome de Bolzano

46°30′0″N 11°20′0″E / 46.5, 11.33333

Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir Haut-Adige.
Province autonome de Bolzano
Autonome Provinz Bozen – Südtirol
Provincia Autonoma di Bolzano – Alto Adige
Provinzia Autonòma de Balsan/Bulsan – Südtirol
Image illustrative de l'article Province autonome de Bolzano
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Carte de la province autonome de Bolzano
Administration
Coordonnées 46° 30′ 00″ Nord
       11° 19′ 59″ Est
/ 46.5, 11.333
  
Pays Drapeau d'Italie Italie
Région Trentin-Haut-Adige
Capitale Bolzano
Président Luis Durnwalder
(SVP(17/03/1989)
Site officiel www.provincia.bz.it
Statistiques
Superficie 7 399,97 km²
Population 507 657 hab. (31-12-2010[1])
Densité 69 hab./km²
Communes 116
Données administratives
Plaque d'immatriculation BZ
Code postal 39010-39100
Préfixe téléphonique 0471, 0472, 0473, 0474, 0463
Code ISTAT 021
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La Province autonome de Bolzano - officiellement Autonome Provinz Bozen – Südtirol en allemand, Provincia Autonoma di Bolzano - Alto Adige en italien, Provinzia Autonòma de Balsan/Bulsan - Südtirol en ladin - plus connue en français comme Haut-Adige ou Tyrol du Sud, est une province italienne, située dans le nord-est du pays, qui fait partie de la région autonome du Trentin-Haut-Adige. Le chef-lieu en est Bolzano (en allemand Bozen, en ladin Bulsan ou Balsan).

La majorité des habitants est de langue allemande, parlant un dialecte allemand du groupe bavarois, appelé Südtirolerisch (tyrolien méridional). Un quart de la population est italophone et une petite minorité a une des formes du ladin comme dialectes maternels.

Sommaire

Toponymie

Cette région des Alpes est connue sous différentes appellations, dues aux vicissitudes de l'histoire. En italien le nom officiel est Provincia autonoma di Bolzano. Haut-Adige, l'appellation la plus fréquente en français, vient d'une création lexicale et toponymique pour la région, alors autrichienne, du Tyrol du Sud, un nom géographique imposé pendant l'occupation napoléonienne faisant référence aux sources de l'Adige.

Le toponyme complet allemand est Autonome Provinz Südtirol. Les germanophones disent couramment Südtirol, et même l'administration provinciale utilise comme politique linguistique Tyrol du Sud pour sa présentation internet en français. Ce nom correspond à la région historique et géographique du Tyrol. Le Tyrol du Nord, le Tyrol de l'Est, le Tyrol du Sud et le Tyrol italien (Welschtirol, le Trentin d'aujourd'hui) constituent ensemble la région historique du Tyrol (unité administrative de l'Autriche-Hongrie avant 1918).

En ladin la province s'appelle Provinzia autonòma de Balsan - Südtirol ou Provinzia autonòma de Bulsan - Südtirol selon le dialecte.

La Constitution de l'Italie (art. 116) reconnait officiellement les deux versions Alto-Adige/Südtirol. En plus tous les noms géographiques doivent être bilingues, trilingue dans les vallées ladines. La plupart des toponymes italiens ont été crées par Ettore Tolomei, un nationaliste originaire du Trentin, qui publia un manuel avec le titre Prontuario dei nomi locali dell'Alto Adige, devenu officiel sous le gouvernement fasciste et encore en vigueur.

Géographie

La province est limitrophe au nord et à l'est de l'Autriche (Tyrol et Salzbourg), à l'ouest de la Suisse (Grisons), au sud-est de la Vénétie (province de Belluno), au sud de la province autonome de Trente (Trentin) et au sud-ouest (par le col du Stelvio) de la Lombardie (province de Sondrio).

Le Haut-Adige est une région entièrement montagneuse, caractérisée par les Alpes et les Dolomites. Le massif des Dolomites est constitué d'une roche calcaire particulière, la dolomie, identifiée au XVIIIe siècle par un géologue français, Déodat Gratet de Dolomieu, qui lui a laissé son nom. Ce massif est depuis 2009 inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO[2]. Chaque année, des millions de touristes, parcourent cette contrée, pratiquant, selon la saison, le ski ou l'escalade. Ils y trouvent aussi le repos dans de confortables chalets au pied des Dolomites. Le sommet le plus élevé du Haut-Adige est l'Ortles (all. Ortler), qui dépasse les 3 900 m d'altitude.

Le territoire est irrigué par plusieurs cours d'eau : l'Adige (en allemand Etsch), l'Eisack, le Rienz, le Passeier, le Talfer. Il existe également plusieurs lacs : lacs de Reschen (Reschensee), de Kaltern (Kalterer See), de Montiggl (Montiggler Seen), de Prags (Pragser Wildsee), de Vahrn (Vahrner See). La particularité hydrologique du Tyrol du Sud est que l'ensemble de ses cours d'eau appartient au bassin versant du Pô (ce qui a légitimé les demandes de rattachement à l'Italie plutôt qu'à l'Autriche), excepté la zone Nord-Est de la province, où commence le bassin de la Drau qui se jette, plus loin, dans le Danube.

Organisation territoriale

La province de Tyrol du Sud compte 116 communes, organisées en 8 communautés (ita. comunità comprensoriali, all. Bezirksgemeinschaften).

Communautés

Communauté (italien/allemand) Chef lieu (italien/allemand) Superficie Habitants
Bolzano/Bozen Bolzano/Bozen 52 km² 100.808
Burgraviato/Burggrafenamt Merano/Meran 1.101 km² 88.300
Oltradige-Bassa Atesina/Überetsch-Unterland Egna/Neumarkt 424 km² 63.000
Salto-Sciliar/Salten-Schlern Bolzano/Bozen 1.037 km² 44.400
Valle Isarco/Eisacktal Bressanone/Brixen 624 km² 44.500
Val Pusteria/Pustertal Brunico/Bruneck  2.071 km² 73.000
Val Venosta/Vinschgau Silandro/Schlanders 1.442 km² 34.307
Alta Valle Isarco/Wipptal Vipiteno/Sterzing 650 km² 18.220

Communes majeures

Commune (italien) Commune (allemand) Habitants
Bolzano Bozen 100.324
Merano Meran 35.602
Bressanone Brixen 19.504
Laives Leifers 15.962
Brunico Bruneck 14.148
Appiano sulla Strada del Vino Eppan an der Weinstraße 13.325
Lana Lana 10.458
Caldaro sulla strada del vino Kaltern an der Weinstraße 7.307
Renon Ritten 7.147
Sarentino Sarntal 6.669
Castelrotto Kastelruth 6.247
Vipiteno Sterzing 5.947
Silandro Schlanders 5.908
Valle Aurina Ahrntal 5.641
Naturno Naturns 5.201
Laces Latsch 5.050

Population

La province de Bolzano est comme la Vallée d'Aoste une région officiellement multilingue. L'italien et l'allemand sont les langues officielles de toute la province, auxquels s'ajoute le ladin dans quelques communes. C'est pourquoi la signalisation est presque entièrement bilingue ou parfois trilingue. Le gouvernement provincial voudrait privilégier la version allemande.

Chaque citoyen a le droit de s'exprimer dans sa langue maternelle avec l'administration publique, même devant un juge. Les écoles sont séparées pour chaque groupe linguistique.

groupe linguistique 1991 2001
allemand 67,99 % 69,15 %
italien 27,65 % 26,47 %
ladin 4,36 % 4,37 %

Pour garantir une distribution équilibrée des emplois dans l'administration publique, il y a un système appelé proportionnalité ethnique (ita. proporzionale etnica, all. ethnischer Proporz). En occasion du recensement décennal de la population, chaque citoyen doit déclarer son appartenance à un groupe linguistique: italien, allemand ou ladin.

La plupart des Italiens habitent dans les villes les plus grandes. La chef-lieu Bolzano et quatre autres communes ont une majorité de langue italienne. Dans 103 des 116 communes les germanophones sont le premier groupe linguistique, atteignant 99,81% à St. Pankraz.

Les ladinophones sont nombreux dans le Val Gardena (lad. Gherdëjna) et dans le Val Badia (lad. La Gran Ega).

Histoire

Article détaillé : Histoire du Trentin-Tyrol du Sud.

Le territoire de la province de Bolzano fait partie des rares régions disputées entre la Romania (où se pratiquent des langues romanes) et la Germania (où se pratiquent des langues germaniques). La frontière linguistique initiale, qui correspondait alors approximativement au limes de l'Empire romain, a reculé au Moyen Âge en certains endroits (Comté de Flandre, Lorraine, Alsace, Suisse et Tyrol). Ce glissement est expliqué par une colonisation bavaroise et en partie lombarde qui semble remonter à l'an 1200. Cette région fut le berceau de poètes qui jouèrent un rôle important dans le développement de la langue allemande comme Oswald von Wolkenstein et Walter von der Vogelweide.

À partir du IXe siècle, le Tyrol fit partie, comme tout le nord et le centre de l'Italie, du Saint-Empire romain et, à partir de l'année 1363, de l'Empire autrichien des Habsbourg, partageant le sort et l'histoire de l'Autriche de manière presque ininterrompue jusqu'à la fin de la Première Guerre mondiale.

Le Tyrol tomba quelque temps aux mains des troupes françaises de Napoléon et de ses alliés bavarois. Le héros de la lutte armée contre les envahisseurs, Andreas Hofer, fusillé à Mantoue, est un personnage populaire du Tyrol, comme peut l'être Giuseppe Garibaldi pour les Italiens. Son irrédentisme fut souvent mis en avant à des époques plus récentes. L'hymne d'Andreas Hofer est devenu l'hymne officiel du Tyrol.

Le territoire du Tyrol du Sud, presque complètement germanophone (presque 90 % de sa population, contre 2,9 % d'italophones en 1910), fut rattaché à l'Italie à la fin de la Première Guerre mondiale en application du traité de Saint-Germain-en-Laye de 1919.

À partir de 1922, les Tyroliens du sud furent soumis à une tentative avortée d’italianisation forcée de la part du régime fasciste, qui favorisa l'immigration depuis les autres régions italiennes et tenta d'imposer l'usage généralisé de la langue italienne, surtout grâce à l'enseignement monolingue dans les écoles, ce qui, non seulement provoqua protestations et rancœur de la part des habitants de langue allemande, mais aussi provoqua la naissance d'un enseignement clandestin, dans les écoles des catacombes. Le Programme de Tolomei, mis en œuvre à la suite des propositions faites par le sénateur Ettore Tolomei en 1923, a permis l'italianisation de l'ancien Südtirol autrichien, peuplé d'une population en très grande majorité germanophone. La toponymie allemande devait être supprimée et remplacée en se servant du Prontuario dei nomi locali dell'Alto Adige, dont Tolomei lui-même était l'auteur.

Dans le même temps toutefois, le rapprochement entre Hitler et Mussolini et l'annexion de l'Autriche par le Troisième Reich (Anschluss) allégea la pression de la propagande, tandis que des cellules nazies, tolérées par Rome, proliféraient dans le Haut-Adige.

En 1939, un accord entre le régime nazi et le régime fasciste, intéressés pour divers motifs à éloigner le plus grand nombre possible d'Allemands de la région, conduisit aux Options, qui virent une bonne partie des habitants allemands, confrontés au pressions fascistes, choisir d'émigrer vers le Troisième Reich, en premier lieu vers les terres conquises à l'Est (Pologne), déchirant des familles entières entre les « Dableiber » (ceux qui décidèrent de ne pas quitter leur terre) et « Optanten » (ceux qui privilégièrent leur identité culturelle).

Après le 8 septembre 1943, dans un contexte d'effondrement du pouvoir fasciste en Italie, le Haut-Adige fut gouverné directement par les autorités nazies (ce sont les 600 jours). Cette période favorisa la langue allemande au détriment de l'italien. De nombreux habitants de langue allemande s'engagèrent dans les SS et la Gestapo, collaborèrent aux persécutions contre les juifs (la communauté de Merano fut décimée) et à la chasse aux soldats italiens débandés après le 8 septembre. Parmi les plus inflexibles gardiens du camp de concentration de Bolzano — étape vers Mauthausen, Auschwitz, etc. — se distinguèrent plusieurs habitants de langue allemande, y compris des femmes. Mais des individus (Franz Thaler, Josef Mayr Nusser) ou de petits groupes, surtout dans la minorité qui n'avait pas opté pour le Troisième Reich nazi (les Dableiber), s'opposèrent courageusement au nazis, allant parfois jusqu’à la lutte armée.

Après la Seconde Guerre mondiale, le Haut-Adige fut à nouveau rendu à l'Italie. Les Alliés imposèrent à l'Italie un traité de protection de la minorité de langue allemande, prévoyant une vraie autonomie pour la province (Accord De Gasperi-Gruber, 5 septembre 1946). Le président du conseil italien, Alcide de Gasperi, originaire de Pieve Tesino en Trentin, voulut élargir cette autonomie à ses concitoyens. Ainsi fut créée la région Trentin-Haut-Adige, où les Italiens étaient la majorité, rendant moins facile l'auto-administration des Tyroliens du sud.

Pour cette raison, et à cause de l'arrivée de nouveaux immigrés italiens, l'insatisfaction de la population allemande crût et culmina dans les années 1960 avec le mouvement terroriste du BAS (all. Befreiungsausschuss Südtirol - Comité pour la libération du Tyrol du Sud), pour obtenir la réunification du Tyrol au sein de l'Autriche. Au début, les actions étaient dirigées exclusivement contre les biens (monuments fascistes, lignes électriques) et non contre les personnes.

Parmi les représentants les plus en vue de la lutte pour le rattachement du Haut-Adige à l’Autriche il y eut Sepp Kerschbaumer et Georg Klotz qui défendirent leur cause en étroite coordination avec les autorités politiques du Haut-Adige (le charismatique Silvius Magnago de la Südtiroler Volkspartei, président de la province) et de l'Autriche (Bruno Kreisky, ministre autrichien des Affaires étrangères de l'époque et chancelier très populaire par la suite).

À la suite de l'action des carabiniers et de la justice, la lutte se durcit coûtant la vie à une vingtaine de personnes entre les forces de l'ordre italiennes, la population italienne et la soi-disant résistance autochtone. La lutte continua jusqu'à la fin des années quatre-vingt.

La question du Haut-Adige devint un cas international. Avec la résolution n° 1497 les Nations unies pressèrent urgemment l'Italie et l'Autriche à « reprendre les négociations avec l'objectif de trouver une solution à toutes les divergences relatives à la mise en œuvre de l'accord de Paris du 5 septembre 1946 », dans la mesure où, de fait, le gouvernement italien n'appliquait pas complètement ces accords.

En 1972 un nouveau statut d'autonomie entra en vigueur. La plupart des compétences législatives et administratives ainsi que les ressources financières ont été transférées de la région Trentin-Haut-Adige aux deux provinces de Trente et Bolzano, pour cette raison définies autonomes. Le Haut-Adige retient 90 % de tous les impôts, il s'agit du statut d'autonomie le plus poussé pour une province en Europe (avec celui d'Åland en Finlande). Cette autonomie est basée sur une séparation des populations dans les écoles, sur l'obligation du bilinguisme pour tous les employés publics, sur la répartition des emplois publics proportionnellement à l'importance des groupes linguistiques.

La province de Bolzano aujourd'hui

La province de Tyrol de Sud est considérée un modèle de cohabitation interethnique[3]. Grâce à son autonomie elle est aujourd'hui la région la plus riche d'Italie.

Pourtant il y reste des problèmes. Dans les dernières années du XXe siècle et les premières du XXIe siècle, on assiste à la diffusion progressive d'un mal-être de la population de langue italienne (qui est passée de 35 % à environ 25 %), avec une évolution ultérieure tout à fait imprévisible. L'entrée de l'Autriche dans l'Union européenne (en 1995) et son adhésion au traité de Schengen a entraîné un redéploiement des forces armées de la frontière entre les deux Tyrols vers les autres régions d'Italie. Ces troupes étant constituées quasi exclusivement d'Italiens, leur départ a fortement contribué à ce phénomène. En même temps l'administration publique n'est plus un domaine exclusif des Italiens : jusqu'aux années 1970, 90% des fonctionnaires étaient italiens.

Parmi les causes objectives du mal-être du groupe italien, traditionnellement lié à la droite italienne (MSI d'abord, Alliance nationale et Peuple de la Liberté aujourd'hui) s'inscrit aussi la question de sa représentation politique. Depuis l'adoption du système électoral majoritaire à deux tours (loi 81/1993), dans les communes de plus de 15 000 habitants, la droite italienne, même dans les communes à forte majorité italienne comme Bolzano, se voit régulièrement dépassée par la gauche qui bénéficie du vote de la minorité germanophone, plus dirigé contre la droite que favorable à la gauche. Les conseils municipaux qui en résultent sont fortement conditionnés par les minorités germanophones locales et peu représentatifs du groupe linguistique localement majoritaire.

En 2002, la population italienne de Bolzano vota contre le changement de nom de Place de la Victoire, où se trouve un imposant monument construit par les fascistes. La proposition était de l'appeler Place de la Paix, mais la majorité y a vu l'intention de dépouiller la ville de son identité italienne.

En 2006, presque tous les maires de la province envoient une pétition au parlement de Vienne, demandant que dans la nouvelle constitution autrichienne on indique explicitement le rôle de l'Autriche comme puissance protectrice des Tyroliens du Sud. De la part des germanophones, il y a aussi des aspirations indépendantistes pour créer un État libre du Tyrol du Sud ou se rattacher à l'Autriche, comme le démontre la croissance de la droite (en particulier Die Freiheitlichen et Südtiroler Freiheit) aux dernières élections.

Politique

La province autonome de Bolzano est représentée par un Conseil de la province composé de 35 conseillers (organe législatif) et par une junte de la province (organe exécutif, avec un président et des assessori, adjoints). Le parti dominant est la Südtiroler Volkspartei, qui dispose de la majorité absolue depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale.

Le président de la junte et président de la province (Landeshauptmann en allemand) est depuis 1989 Luis Durnwalder. Les adjoints sont huit: cinq du groupe allemand (SVP), deux du groupe italien (Parti démocrate), un du groupe ladin (SVP).

Conseil de la province 2008-...

Lors des élections provinciales de 2008, les résultats ont été les suivants:

Sitzverteilung Landtag Südtirol.png

Conseil de la province 2003-2008

Lors des précédentes élections (octobre 2003) les résultats avaient été les suivants (entre parenthèses, gains ou pertes par rapport aux élections du 22 novembre 1998):

Personnages célèbres

Galeries d'images

Notes et références

  1. (it) Popolazione residente e bilancio demografico sur le site de l'ISTAT.
  2. Page officielle de l'UNESCO sur les Dolomites sur le site de l'UNESCO, consulté le 8 février 2011.
  3. [1]

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes


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